STOCK. 1996. In-8. Relié. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 254 pages. Couverture illustrée en couleur. . . . . Classification Dewey : 810-Littérature américaine
Reference : R160084165
ISBN : 2286113971
Traduction de Germaine Delamain. Le grand livre du mois. Classification Dewey : 810-Littérature américaine
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PUF, Revue française de Psychanalyse, tome LI, n° 5, revue trimestrielle, Juillet-Septembre 1987, 1299-1486 pp., broché, couverture très légèrement défraîchie.
SOMMAIRE: A. Green - La capacité de rêverie et le mythe étiologique - S. Lebovici - Le psychanalyste et "la capacité à la rêverie de la mère" - P. Israël - Malaise dans la pratique. "La capacité de rêverie de la mère": pour quoi faire? - G. Diatkine - La "capacité de rêverie de la mère" et la psychanalyse - CONFERENCES: A. Bécache - La chair et le sang - LES LIVRES - F. Missenard - Le drame de l'enfant doué, de Alice Miller - S. Lebovici - Bébés/mères en révolte, de Rosine Debray.
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Payot, Bibliothèque scientifique, 1984, 215 pp., broché, traces d'usage, dos écrasé, quelques passages signalés au crayon, état correct.
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Paris Le club français du livre 1961 270 pages in-8. 1961. cartonné. 270 pages. Grand In-8 oblong (213x276 mm) 270 pages. Cartonnage toilé vert. La Bible en 503 scènes gravées 68 pointes sèches du XVIIe siècle dédiée à la Reyne Mère - Légendes et commentaires par le R. Père Antoine Girard choisis par J. Darche.Bon état. Poids : 930 gr
PUF, Psychiatrie de l'enfant, 1981, 174 pp., dos décoloré, bon état général.
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16/02/1869 TRÈS BEAU SONNET EMPREINT DE TENDRESSE FILIALE EN HOMMAGE À SA MÈRE ÉLISABETH-ZÉLIE DE BANVILLE :...Ma mère, pour fêter sous les cieux rajeunis, Le jour où tu naissais, je veux avec tendresse Faire parler encore la lyre enchanteresse Dans le triste silence où nos cœurs sont unis. Voici venir le temps des lilas et des nids : Déjà, comme une haleine errante et charmeresse, La brise du printemps suave nous caresse, Ma mère, et ce nest pas moi seul qui te bénis ! Car, du séjour lointain caché sous tant de voiles, Sitôt quavec la nuit seffacent les étoiles, Ceux qui sont dans les cieux nous regardent pleurer...Théodore de Banville qui vouait à sa mère une véritable adoration, lui rendit souvent hommage dans ses poésies. Le tout premier recueil de Banville, Les Cariatides, salué par Charles Baudelaire, souvre sur un poème dédié à sa mère : « Oh ma mère, ce sont nos mères dont les sourires triomphants, bercent nos premières chimères, dans nos premiers berceaux denfants... ». Dans son avant-propos à Roses de Noël (recueil entièrement consacré à sa mère et publié en 1878), Banville déclarait : « Les quelques poëmes qui suivent ne sont pas des œuvres d'art. Ces pages intimes, tant que ma si faible santé et les agitations de ma vie me l'ont permis, je les écrivais régulièrement pour mon adorée mère, lorsque revenaient le 16 février, jour anniversaire de sa naissance, et le 19 novembre, jour de sa fête, sainte Elisabeth. Parmi ces vers, destinés à elle seule, j'avais choisi déjà quelques odes qui ont trouvé place dans mes recueils. Les autres ne me paraissaient pas devoir être publiés, et je sais bien ce qui leur manque. Presque jamais on ne se montre bon ouvrier, lorsqu'on écrit sous l'impression d'un sentiment vrai, au moment même où on l'éprouve. Mais, en les donnant aujourd'hui au public, j'obéis à la volonté formellement exprimée de Celle qui ne sera jamais absente de moi et dont les yeux me voient. D'ailleurs, en y réfléchissant, j'ai pensé qu'elle a raison, comme toujours ; car le poëte qui veut souffrir, vivre avec la foule et partager avec elle les suprêmes espérances, n'a rien de caché pour elle, et doit toujours être prêt à montrer toute son âme. Paris, le 19 novembre 1878. Roses de Noël, A ma mère...). CE PRÉSENT POÈME SEMBLE INÉDIT.