‎N'GUYEN VAN LOC Georges‎
‎LE CHINOIS 2‎

‎Presses de la Cité Document. 1992. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 288 pages.. . . . Classification Dewey : 848-Ecrits divers, citations, journaux intimes, souvenirs, mémoires‎

Reference : R160033139
ISBN : 2258035589


‎Paroles d'homme. Avec la collaboration de Jean-Max Tixier. Classification Dewey : 848-Ecrits divers, citations, journaux intimes, souvenirs, mémoires‎

€19.80 (€19.80 )
Bookseller's contact details

Le-livre.fr / Le Village du Livre

ZI de Laubardemont
33910 Sablons
France

serviceclient@le-livre.fr

05 57 411 411

Contact bookseller

Payment mode
Others
Cheque
Others cards
Sale conditions

Les ouvrages sont expédiés à réception du règlement, les cartes bleues, chèques , virements bancaires et mandats cash sont acceptés. Les frais de port pour la France métropolitaine sont forfaitaire : 6 euros pour le premier livre , 2 euros par livre supplémentaire , à partir de 49.50 euros les frais d'envoi sont de 8€ pour le premier livre et 2€ par livre supplémentaire . Pour le reste du monde, un forfait, selon le nombre d'ouvrages commandés sera appliqué. Tous nos envois sont effectués en courrier ou Colissimo suivi quotidiennement.

Contact bookseller about this book

Enter these characters to validate your form.
*
Send

5 book(s) with the same title

‎LONGOBARDI, Nicola.‎

Reference : LCS-17581

‎Traité sur quelques points de la religion des Chinois. Edition originale de cette étude de la religion des Chinois par le successeur de Matteo Ricci à la tête de la mission jésuite en Chine.‎

‎ Paris, Jacques Josse, 1701.- [Avec] : Copie d’une lettre de Monsieur Maigrot à Monsieur Charmot, du II Janvier 1699 reçue à Paris en Août 1700. Elle montre la fausseté de ce que le Père le Comte a écrit touchant la Religion ancienne des Chinois. 1700.- [Avec] : Suite du journal historique des assemblées tenues en Sorbonne, pour condamner les Mémoires de la Chine.In-12 de (2) ff., 100 pp. ; II/ 88 pp., déchirure p. 25 ; III/ 45 pp. Veau brun granité, dos à nerfs orné de fleurons dorés, coupes décorées, tranches mouchetées. Reliure de l’époque.157 x 87 mm.‎


‎Edition originale de cette étude de la religion des Chinois par le successeur de Matteo Ricci à la tête de la mission jésuite en Chine.De Backer & Sommervogel IV, 1932; Quérard V, p. 347.« Les Directeurs du Séminaire des Missions Etrangères ont obtenu privilège de faire imprimer d’anciens Traités de divers Auteurs sur les cérémonies de la Chine. Le premier qu’ils font paraitre est celui du P. Longobardi, Jésuite, qui à son entrée dans ce Royaume-là lût les quatre Livres de Confucius, & remarqua que l’idée que divers Commentateurs donnaient de Xangti était opposée à la nature divine. Mais parce que les Pères de sa Compagnie, qui depuis longtemps faisaient la Mission dans ces Pays-là, lui avaient dit que Xangri était notre Dieu, il rejeta ses scrupules, s’imagina que la différence qui se trouvait entre le texte ainsi entendu, & les commentaires Chinois, ne venait que de l’erreur de quelque inerprete, & demeura treize ans dans cette pensée.Après la mort du P. Mathieu Ricci, il fut chargé de tout le poids de cette Mission, & reçut une lettre du P. François Passio Visiteur du Japon, qui l’avertissait qu’en des Livres composés en Chinois par quelques-uns de leurs confrères, il y avait des erreurs semblables à celles des Gentils. Cet avis du P. Passio augmenta les doutes dont son esprit avait été autrefois partagé, & le porta à s’instruire de telle sorte qu’il pût découvrir la vérité.Les fonctions de sa Charge l’ayant obligé depuis à aller à Pékin, il trouva le P. Sabathino de Urbis dans les mêmes scrupules, & s’en entretint avec lui. Pendant le cours de ces disputes le P. Jean Ruiz retourna du Japon, & arriva à la Chine avec un grand défi de voir ces difficultés éclaircies, & ces questions décidées […].Les trois Jesuites travaillerent selon l’intention du P. Visiteur. Les Peres Pantoya, & Banoni prirent l’affirmative, & tâchèrent de prouver que les anciens Chinois avaient eu quelque connaissance de Dieu, de l’ame, & des Anges.Le P. Sabathino prit la négative, & soutint que les Chinois n’ont point connu de substance spirituelle, distincte de la matière, & que par conséquent ils n’ont connu ni Dieu, ni Anges, ni ame raisonnable. Le P. Sabatino prit la négative, & soutint que les Chinois n’ont point connu de substance spirituelle, distincte de la matière, & que par conséquent ils n’ont connu ni Dieu, ni Anges, ni ame raisonnable. Le P. Sabathino envoya ces deux traités au P. Longobardi & aux autres Jésuites de la Chine, pour les examiner & pour en conférer avec les Létrés Chrétiens & avec les Gentils.Au même temps le P. Ruiz en composa un entierement conforme au sentiment du P. Sabathino. Le P. Longobardi reçut dans la suite ces quatre traités, les lut, en confera avec ses confreres de la Chine, & avec les Mandarins Chrétiens, & jugea toujours que le sentiment des Peres Sabathino & Ruiz était le plus sur. Il en conféra encore depuis avec les Docteurs Gentils, & se trouvant parfaitement instruit, composa le traité dont je fais l’extrait.Il y explique avant toutes choses la doctrine des Livres authentiques de la Chine, & après un examen exact du détail de ce qu’ils contiennent, il en conclut qu’il est évident que les Chinois n’ont jamais connu de substance spirituelle, distincte de la matière, comme sont Dieu, les anges, & l’ame raisonnable, & qu’ils ont connu seulement une substance universelle, immense, & infinie, d’où est émané l’air primitif, qui prenant différentes qualités, tantôt par le mouvement, & tantôt par le repos, devient matiere immediate de toutes choses.Tout ceci montre clairement quels sont les esprits que les Chinois regardent comme des Dieux. Selon eux tout ce qui est & tout ce qui peut être vient du Taikie, qui renferme en soi la Li, qui est la matière premiere, ou la substance universelle de toutes choses ; & l’air primitif, qui en est la matiere prochaine. De la Li, en tant que Li, émanent la piété, la justice, la religion, la prudence, & la foi. De la Li qualifiée & unie avec l’air primitif, émanent les cinq élemens avec touts les figures corporelles ; de sorte que suivant la Philosophie Chinoise, toutes choses, phisiques et morales, sortent de la même source.Les Chinois dès le commencement de leur Empire ont adoré les Esprits & leur ont offert quatre sortes de sacrifices. Le premier se faisait au Ciel ; le second à l’esprit des six principales causes, c’est-à-dire des quatre saisons, du chaud, du froid, du soleil et de la Lune, des étoiles, de la pluie & de la sècheresse. Le troisième aux esprits des montagnes & des rivieres, le quatrième aux esprits des Hommes illustres.Les consequences que le P. Longobardi tire de ces principes, sont que tous les esprits que les Chinois adorent sont une même substance avec les choses auxquelles ils sont unis ; que tous ces esprits ont un principe ; qu’ils finiront avec le monde, que ces Esprits, ou Dieux, sont par rapport à leur être d’une égale perfection ; & enfin qu’ils sont sans vie, sans science, & sans liberté.Le P. Longobardi, pour convaincre tout le monde que c’est là au vrai la doctrine des Chinois, rapporte les témoignages de leurs plus fameux Docteurs, qui enseignent qu’il n’y a point d’autres esprits que les choses naturelles.Il prouve dans la 16e Section que les Lettrés sont Athées, qu’ils se persuadent que le monde a été fait par hazard, que le destin y regle tout, & que les hommes après leur mort rentrent dans le vide du premier principe, sans qu’il y ait auncune récompense pour les bons, ni aucun chatiment pour les méchants ; ce qu’il confirme par ce qui lui a été avoué ingenuement par plusieurs Lettrés Payens, & par plusieurs Chrétiens, dans les conferences qu’il a eues avec eux sur ce sujet. » (Le Journal des Savans, 1701, 147-149). Nicolo Longobardi was Ricci's successor as superior general of the mission in China. He raised objections to the use of the Confucianist terms 'Tian' (Heaven) and 'Shangdi' (Sovereign on High) which had been favoured by Ricci as valid terminology for preaching to the Chinese. Longobardi's followers were concerned that the Catholic catechism would be diluted by a Confucianist interpretation, as well as by the ongoing veneration of ancestors. The debate was resolved in 1628 at a convention in Jiading, where it was decided that the veneration of ancestors would be permitted (i.e. it was not a pagan superstition), and the use of Confucian terms was banned. 'Cet ouvrage fut traduit et imprimé par les soins des directeurs des Missions étrangères. La Bibliothèque du Roi en possède un exemplaire avec des notes manuscrites de Leibnitz' (Quérard).‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 01 42 84 16 68

EUR9,000.00 (€9,000.00 )

‎KANGXI (ou QING SHENGZU, 1654-1722).‎

Reference : LCS-18001

‎Gengzhitu (耕織圖 = Le Livre du Riz et de la Soie). Edition originale de ce superbe album commandité par l’empereur chinois Kangxi en 1696, présentant des poèmes de sa composition ainsi que 46 superbes gravures sur bois représentant la vie quotidienne des paysans chinois au XVIIe siècle.‎

‎Il s'agit d'un ouvrage majeur de la littérature illustrée de la dynastie Qing (1644-1912). Chine, Pékin, 1696.In-folio de (52) pp. Trace d’une petite galerie de vers anciennement restaurée. L’ensemble est monté sous forme de dépliant « à l’accordéon » (Leperello). Cachet rouge en tête du volume.L’album est protégé par deux plats en bois massif. Il est conservé dans sa rare reliure du XVIIIe siècle, identique à celle de la Bibliothèque Nationale, Département des Estampes. Pièce de titre en papier sur le plat supérieur.348 x 282 mm.‎


‎Edition originale de cet album commandité par l’empereur chinois Kangxi en 1696, comportant ses poèmes et ses sceaux. Il y eut plusieurs tirages de cette édition et le présent exemplaire ne présente pas le tout premier tirage des bois.Il s'agit d'un ouvrage majeur de la littérature illustrée de la dynastie Qing (1644-1912) que le savant Yao Shi commenta de la façon suivante : « Que ceux qui verront cet album ne le regardent pas à la légère ».L’ouvrage présente 46 poèmes composés et calligraphiés par l'Empereur de Chine, Kangxi 康熙.Cet empereur, contemporain de Louis XIV, régna de 1662 à 1722. C’était un souverain tolérant qui laissa la Chine ouverte aux influences bouddhistes et chrétiennes en utilisant les connaissances mathématiques, géographiques et astronomiques des Jésuites. L’album est orné de 46 superbes gravures sur bois de grand format (24 x 24 cm) qui illustrent chacun des poèmes de l’empereur.Elles représentent les travaux des champs et la vie quotidienne des paysans chinois au XVIIe siècle. Ces gravures furent réalisées à partir de peintures sur soie de Jiao Bingzhen.Après avoir commandité la publication du présent album réunissant ses poèmes, Kangxi ordonna la gravure de répliques fidèles sur des planches de bois des superbes peintures sur soie de Jiao Bingzhen, 焦秉貞 (1689-1726), afin de les diffuser sous forme d'imprimé. A cette époque, la sériciculture n'était plus la technique secrète jalousement gardée.Les peintures originales sur soie sont aujourd'hui perdues, et le présent ouvrage est une reproduction xylographique ordonnée par l'empereur Kangxi en 1696. Les poèmes de l'empereur, imprimés dans l’espace laissé vide au-dessus des gravures, furent traduits par Bernhard Fuehrer, célèbre sinologue de l'université de Londres.Les 46 illustrations sont les suivantes: Première partie: Les travaux des champs :1. Le trempage des semences ; 2. Le labour ; 3. Le hersage ; 4. Le hersage en profondeur ; 5. Le nivellement ; 6. Les semailles des pousses ; 7. La poussée des jeunes plants ; 8. L'amendement ; 9. L'extraction des jeunes plants ; 10. Le repiquage ; 11. Le premier sarclage ; 12. Le deuxième sarclage ; 13. Le troisième sarclage ; 14. L'irrigation ; 15. La moisson ; 16. La mise en meules sur l'aire ; 17. Le battage ; 18. Le pillonage ; 19. Le criblage ; 20. Le vannage ; 21. Le passage à la meule ; 22. L'engrangement ; 23. L'offrande aux esprits.Deuxième partie: Les travaux de la soie :24. Le bain des graines ; 25. Le deuxième sommeil ; 26. Le troisième sommeil ; 27. Le grand réveil ; 28. Le filage ; 29. La répartition des claies ; 30. La cueillette des feuilles de mûrier ; 31. La montée sur les litières ; 32. Le chauffage des claies ; 33. Le délitage ; 34. Le triage des cocons ; 35. L'enfouissement des cocons ; 36. Le trempage de la soie ; 37. Les papillons ; 38. L'offrande de remerciement ; 39. La trame ; 40. Le tissage ; 41. Le travelage ; 42. La chaine ; 43. La teinture ; 44. Le tissage à ramages ; 45. La coupe de la soie ; 46. La confection des vêtements. Précieux exemplaire de ce superbe ouvrage commandité par l’empereur chinois en 1696, conservé dans sa rare reliure du XVIIIe siècle constituée de deux plats de bois massif.Nous avons pu localiser 3 exemplaires de ce rare ouvrage : à la B.n.F. (Département des estampes), Oxford Library et Amsterdam.‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 01 42 84 16 68

EUR30,000.00 (€30,000.00 )

Reference : LCS-14866

‎PEINTURE CHINOISE EN ROULEAU REPRÉSENTANT UN CORTÈGE DE MARIAGE. Cortège d’un mariage luxueux sur rouleau chinois du XIXe siècle‎

‎Superbe peinture chinoise en rouleau horizontal représentant le cortège d’un mariage luxueux. Chine, dynastie Qing, seconde moitié du XIXe siècle. S.l.n.d. [Chine, dynastie Qing, seconde moitié du XIXe siècle].Rouleau horizontal peint sur soie et papier traditionnel chinois. Encre de Chine et lavis coloriés. Baguette d’enroulement en bois sombre ornée d’une bande de soie bleue. L’axe central du rouleau a un diamètre de 2 cm environ. Couverture décorée de soie multicolore. Dimensions du rouleau : environ 3,85 m de longueur x 0,36 m de largeur.‎


‎Superbe peinture chinoise en rouleau horizontal représentant le cortège d’un mariage luxueux. Le rouleau offre une palette de couleurs très variée, et en particulier de superbes violets, roses et verts traditionnels. La scène est également rythmée par l’emploi du rouge qui occupe une place importante dans ce thème festif. Il est intéressant de noter que les couleurs de peau sont codifiées selon les types de personnages. De nombreux rehauts d’or et d’argent ponctuent la scène et lui donnent du relief.On peut déduire du caractère luxueux de la peinture qu’elle fut commandée par une famille noble, puissante et aisée, comme en témoignent les inscriptions visibles sur la peinture, les somptueux trousseaux de la mariée, contenus dans un coffre d’une grande richesse décoré d’un dragon, symbole de puissance... Les nombreux détails du rouleau : les palanquins élégants, les magnifiques lanternes et boites de cadeaux, les bannières, soulignent l’importance et la richesse de la famille, sans jamais révéler son identité. La peinture porte trois inscriptions : 1. Sur une bannière : Deng Ke, 登科, signifiant qu'un membre de la famille (probablement le père déjà décédé) a été reçu aux examens impériaux, au niveau le plus élevé, ouvrant la voie à une haute fonction dans le gouvernement impérial, 2. sur une boîte: 登科, la même inscription que sur la bannière, mais en caractères stylisés, 3. sur une autre bannière (le deuxième caractère est à moitié caché): Shi Jia, せ家, signifiant qu'il s'agit d'une famille de “Mandarins” (les personnes de la famille, de génération en génération et depuis des temps anciens, ont toujours été des hauts fonctionnaires du gouvernement impérial). 76 personnages sont représentées sur la peinture. Le cortège se compose essentiellement de six groupes, définis selon des règles strictes de l'époque: a. la mère de la mariée, portée sur un palanquin, (le père, probablement décédé, n'est pas représenté sur le rouleau), b. un premier groupe de musiciens, c. un groupe de personnages porteurs de cadeaux, d. un deuxième groupe de musiciens, e. la mariée en tête d'un groupe de jeunes femmes, membres de la famille ou amies proches de la mariée, f. les porteurs du magnifique trousseau. Les deux groupes de musiciens, se composant de 8 et de 12 instrumentistes, accentuent l'atmosphère festive. Les instruments de musique représentés sont d'un grand intérêt pour les historiens de la musique chinoise: une cithare, plusieurs cornets, cymbales, flûtes, tambours ou tambourins, un lute et deux instruments dont on ne connaît pas l'équivalent en Europe et qui pourraient être des instruments de percussion. Les visages des 76 personnages sont expressifs et, contrairement à de nombreuses peintures chinoises, sont individualisés et peints avec une grande minutie. Les vêtements, aux couleurs particulièrement vives, sont élégants, en conformité avec la fête. Superbe peinture chinoise sur rouleau, mettant en scène le cortège de mariage d’une famille aisée sous la dynastie Qing, somptueusement mis en couleurs dans des tons vifs et chatoyants avec de nombreux rehauts d’or et d’argent.‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 01 42 84 16 68

EUR25,000.00 (€25,000.00 )

‎[Chez J. F. Bernard, ] - ‎ ‎PICART, Bernard‎

Reference : 51320

(1783)

‎Cérémonies et coutumes religieuses de tous les Peuples du Monde. Lot de 8 planches relatives aux religions de la Chine : [ Numérotation double pour chaque planche ] 4 / Tome VII N° 16 : Idole Xekia ; 38 / Tome VII N° 17 : Les Dieux des Chinois tirés de la Chine de Kircher ; 37 / Tome VII N° 19 : Dieu de l'Immortalité - Fo-Tek ou Ninifo - Kin-Gan que les Jésuites nomment aussi Chin-Hoan - Divinité que les ambassadeurs hollandois nomment Lincing ; 39 / Tome VII N° 21 : Vitek ou Ninifo - Matzou ; 40 / Tome VII N° 22 : Quantecong - Quonin divinité domestique ; 44 / Tome VII N° 23 : Religieux en noir avec un Chapelet - Religieux Mendiant Chinois - Religieux chinois avec leurs chapelets - Gueux dévôt ; 46 / Tome VII N° 28 : Magiciens et sorciers de la Chine ; 36 bis / Tome VII N° 34 : Kirin des Chinois et des Japonois - Tats Dragons des Chinois et des Japonois - Banières Impériales des Chinois - Foo ou Phénix des Chinois ‎

‎8 planches tirées du tome 6, B. Picart sculpt., [ À Amsterdam : Chez Laporte, 1783 ].Rappel du titre complet : Cérémonies et coutumes religieuses de tous les Peuples du Monde. Lot de 8 planches relatives aux religions de la Chine : [ Numérotation double pour chaque planche ] 4 / Tome VII N° 16 : Idole Xekia ; 38 / Tome VII N° 17 : Les Dieux des Chinois tirés de la Chine de Kircher ; 37 / Tome VII N° 19 : Dieu de l'Immortalité - Fo-Tek ou Ninifo - Kin-Gan que les Jésuites nomment aussi Chin-Hoan - Divinité que les ambassadeurs hollandois nomment Lincing ; 39 / Tome VII N° 21 : Vitek ou Ninifo - Matzou ; 40 / Tome VII N° 22 : Quantecong - Quonin divinité domestique ; 44 / Tome VII N° 23 : Religieux en noir avec un Chapelet - Religieux Mendiant Chinois - Religieux chinois avec leurs chapelets - Gueux dévôt ; 46 / Tome VII N° 28 : Magiciens et sorciers de la Chine ; 36 bis / Tome VII N° 34 : Kirin des Chinois et des Japonois - Tats Dragons des Chinois et des Japonois - Banières Impériales des Chinois - Foo ou Phénix des Chinois ‎


‎Très intéressant lot de 8 gravures des "Cérémonies et coutumes religieuses de tous les Peuples du Monde" (manifestement de l'édition Laporte de 1783), relatives aux religions de Chine. Etat très satisfaisant (qq. petits accrocs ou mouill. marginales, bon état par ailleurs, voir les photos). Prix du lot‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR195.00 (€195.00 )

‎[COLLECTION GUERINET] - [ART CHINOIS - INDO-CHINOIS - JAPONAIS] ‎

Reference : 8883

‎La Collection Guérinet - Art Chinois - Indo-Chinois - Japonais‎

‎Paris, Publiée par Vve Armand Guérinet, Editeur, sans date (ca 1920). 1 volume in-folio, sous chemise demi-toile à rubans de l'éditeur, [1] feuillet de table des planches, complet des 32 planches en phototypie en noir et blanc et en couleurs (10 planches rehaussées à l'aquarelle), très bon état d'ensemble.‎


‎Ensemble de planches d'art décoratif chinois, indo-chinois et japonais: plateaux, statuettes, bois sculptés, paravents, poupées, vases, céramiques, cabinets, tableaux, théières, tasses, etc.‎

Phone number : 852 95539385

EUR150.00 (€150.00 )
Get it on Google Play Get it on AppStore
The item was added to your cart
You have just added :

-

There are/is 0 item(s) in your cart.
Total : €0.00
(without shipping fees)
What can I do with a user account ?

What can I do with a user account ?

  • All your searches are memorised in your history which allows you to find and redo anterior searches.
  • You may manage a list of your favourite, regular searches.
  • Your preferences (language, search parameters, etc.) are memorised.
  • You may send your search results on your e-mail address without having to fill in each time you need it.
  • Get in touch with booksellers, order books and see previous orders.
  • Publish Events related to books.

And much more that you will discover browsing Livre Rare Book !