‎BOCCACE.‎
‎GRISELIDIS.‎

‎MODERNE.. Non daté. In-8. Cartonnage d'éditeurs. Etat passable, Couv. défraîchie, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 124 pages. Nombreuses illustrations en noir et blanc dans le texte et hors texte. Manque le premier plat de couverture et le dos. Le deuxième plat de couverture est débroché.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française‎

Reference : R150154615


‎Illustrations de C HEROURAD. Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française‎

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‎PERRAULT, Charles‎

Reference : LCS-18293

‎La Marquise de Salusses, ou la patience de Grisélidis. Nouvelle. Edition originale absolument rarissime du premier conte de fées de Charles Perrault « La Marquise de Salusses, ou la patience de Grisélidis », conservée dans sa reliure de l’époque aux armes du marquis de Langeac.‎

‎Les éditions originales des contes de Perrault appartiennent depuis longtemps au mythe de la haute bibliophilie. Paris, chez la Veuve de Jean-Baptiste Coignard et Jean-Baptiste Coignard Fils, 1691. In-12 de (1) f.bl., (6) ff., 324 pp., (1) f.bl. Relié en plein veau brun granité de l’époque, armes frappées or au centre des plats, dos à nerfs orné de fleurons dorés, coupes décorées, tranches mouchetées. Reliure de l’époque. 160 x 80 mm.‎


‎Edition originale absolument rarissime du premier conte de Charles Perrault imprimée 6 ans avant le recueil de Contes de 1697. Il s’agit ici de l’édition originale avec le titre à l’adresse de la veuve et du fils de J.B. Coignard. Certains exemplaires de cette édition originale portent l’adresse de J.B. Coignard, d’autres celle de sa veuve et de son fils. Il est très difficile de savoir lequel des deux feuillets de titre, celui avec l’adresse de l’imprimeur ou celui avec l’adresse de sa veuve et de son fils, fut imprimé avant l’autre. Il est probable que quelques exemplaires de l’édition originale aient été remis dans le commerce à la fin de l’année 1691 avec un titre de relais. Mais donner l’antériorité à l’un ou l’autre feuillet de titre semble difficile. Le 25 aout 1691, l’abbé de Lavau lit à l’Académie Française ‘La Marquise de Salusses ou la patience de Grisélidis’, qui est accueillie avec beaucoup d’applaudissements. La nouvelle en vers de Charles Perrault paraît peu après dans le ‘Recueil’ de l’Académie pour 1691, où figure également ‘A Monsieur ** en luy envoyant la Marquise de Salusses’, ainsi que différents textes de lui. Elle sera aussi, toujours en 1691, publiée séparément chez Jean-Baptiste Coignard. Elle est si rare que Tchemerzine ne décrit que la seconde édition séparée qu’il qualifie déjà de « rarissime » (V, 172). Seuls Gumuchian (n°4472), Stoerer et Tannery (n°402) décrivent la présente édition (à l’adresse de J.B. Coignard). « Il est probable que cette nouvelle soit ici en édition originale » écrit Tannery. Ce conte connut deux éditions cette année-là, l'une dans le présent recueil, l'autre en volume séparé. Or, bien que les bibliographes aient toujours décrit l'édition séparée comme l'originale (cf. Tchemerzine, V, 172), il semble maintenant établi qu'elle parut après le présent recueil. Tony Gheeraert écrit notamment dans son édition critique des Contes merveilleux (Honoré Champion, 2005, p. 19) : « Cette pièce paraît deux fois en 1691, d'abord dans le ‘Recueil de plusieurs pièces d'éloquence [...]’ donné cette année-là, puis, isolément, dans un petit volume in-12° de 58 pages ». La lecture du volume, « achevé d’imprimer le 22 septembre 1691 », soit moins d’un mois après la première lecture du texte, ne laisse aucun doute. Dans le passage intitulé « A Monsieur ** en luy envoyant la Marquise de Salusses », page 195, le conteur écrit « Si je m’estais rendu à tous les differents avis qui m’ont esté donnez sur l’Ouvrage que je vous envoye, il n’y seroit rien demeuré que le conte tout sec & tout uni, & en ce cas j’aurois mieux fait de n’y pas toucher & de le laisser dans son papier bleu où il est depuis tant d’années…Ensuite de cette conférence j’ay pris le parti de laisser mon Ouvrage tel à peu près qu’il a esté lu dans l’Académie… J’apprendray du public ce que j’en dois croire et suivray exactement tous ses avis, s’il m’arrive jamais de faire une seconde édition de cet ouvrage ». Cette seconde édition est décrite par Tchemerzine comme originale puisqu’il ignore l’existence de la nôtre. « De tout ce qu’a écrit Perrault, rien n’a plus contribué à le rendre célèbre qu’un tout petit livre auquel, probablement, il n'attachait lui-même que peu d'importance. L'idée lui vint de recueillir les contes que les enfants aiment tant à entendre de la bouche de leurs mères, de leurs nourrices, quand ils ont été sages. Il les publia en janvier 1697, sous le nom de son fils Perrault d'Armancourt. Voici en quels termes Sainte-Beuve parle de ce petit livre: « La Belle au bois dormant, le Petit chaperon rouge, la Barbe bleue, le Chat botté, Cendrillon, Riquet à la houppe, la marquise de Salusses et le Petit Poucet, qu'ajouter au seul titre de ces petits chefs-d’œuvre ? On a disserté sur la question de savoir si Perrault en est le véritable auteur. Il est bien certain que pour la matière de ces Contes Perrault a dû puiser dans un fonds de tradition populaire, et qu'il n'a fait que fixer par écrit ce que, de temps immémorial, toutes les mères grands ont raconté. Mais sa rédaction est simple, courante, d'une bonne foi naïve, quelque peu malicieuse pourtant et légère ; elle est telle que tout le monde la répète et croit l'avoir trouvée. Les petites moralités finales en vers sentent bien l'ami de Quinault et le contemporain gaulois de La Fontaine, mais elles ne tiennent que si l'on veut au récit ; elles en sont la date. Si j'osais revenir, à propos de ces Contes d'enfants, à la grosse querelle des anciens et des modernes, je dirais que Perrault a fourni là un argument contre lui-même, car ce fonds d'imagination merveilleuse et enfantine appartient nécessairement à un âge ancien et très antérieur ; on n'inventerait plus aujourd'hui de ces choses, si elles n'avaient été imaginées dès longtemps ; elles n'auraient pas cours, si elles n'avaient été accueillies et crues bien avant nous. Nous ne faisons plus que les varier et les habiller diversement. Il y a donc un âge pour certaines fictions et certaines crédulités heureuses, et si la science du genre humain s'accroît incessamment, son imagination ne fleurit pas de même ». « Mais l'origine de ces contes doit être recherchée encore plus loin. Les contes se rattachent à Berthe au pied d'oie (la Reine Pédauque) - Berthe ou Berchta, divinité germanique. Pour les frères Grimm, la mythologie survit dans les « Contes de nourrice ». L’édition originale du premier Conte, « La marquise de Salusses » parut en 1691, puis le recueil parut en janvier 1697 sous la protection d'un privilège daté du 28 octobre 1696 et enregistré le 11 janvier 1697. La littérature de colportage adopta les Contes de Perrault dès 1707 et le Cabinet des fées de 1781 les regardera comme la création d'un genre nouveau. Le récit puise sa source dans le Décaméron de Boccace. A nouveau publiée en 1694, la nouvelle est alors suivie de deux autres contes également en vers, Peau d’Ane et Les Souhaits ridicules dont ce sont les éditions originales. C’est Charles Nodier (1844) « qui, le premier, y décèlera une des plus ravissantes productions de la prose française » et la situera parmi les grands textes littéraires français. La gloire vint avec les XIXe et XXe siècles. Précieux exemplaire relié à l’époque en veau granité aux armes du marquis de Langeac. « Gilbert-Allyre-Antoine de Langeac, VIIe du nom, dit le marquis de Langeac, seigneur de Préchonnet, Bonnebaut, Paleport et autres lieux, fils de Claude-Allyre et de Madeleine de Montanier, né vers 1700, fut grand sénéchal d’Auvergne et mourut à Clermont-Ferrand en septembre 1780. Il avait épousé en premières noces Marguerite-Reine Rochette en 1720 et en secondes noces, le 5 mai 1742, Louise-Elisabeth de Melun, princesse d’Epinoy ». Olivier, Pl. 748. Les éditions originales des contes de Perrault conservées dans leur reliure de l’époque armoriée ont de tout temps été recherchées des bibliophiles.‎

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‎PERRAULT, Charles‎

Reference : LCS-2785

‎La Marquise de Salusses, ou la patience de Grisélidis. Nouvelle. La Marquise de Salusses, de Perrault‎

‎Édition originale absolument rarissime de « La Marquise de Salusses, ou la patience de Grisélidis » de Charles Perrault, conservée dans sa reliure de l’époque. Paris, chez la Veuve de Jean-Baptiste Coignard et Jean-Baptiste Coignard Fils, 1691. In-12 de (6) ff., 324 pp., (1) f.bl. Petit trou de vers dans la marge blanche des 5 premiers feuillets, sans la première garde blanche. Relié en plein veau brun de l’époque anciennement restauré, dos à nerfs orné de fleurons dorés, tranches mouchetées. Mors et dos frottés. Reliure de l’époque. 166 x 91 mm.‎


‎Édition originale absolument rarissime de ce conte de Charles Perrault parue quelques semaines avant la première édition séparée. Il s’agit ici de l’édition originale avec le titre à l’adresse de la veuve et du fils de J.B. Coignard. Certains exemplaires de cette édition originale portent l’adresse de J.B. Coignard, d’autres celle de sa veuve et de son fils. J.B. Coignard est décédé en 1688 et certains des livres imprimés sur les presses familiales en 1690 portent l’adresse de sa veuve. Mais de nombreux livres sont encore imprimés avec l’adresse de J.B. Coignard jusqu’en 1697. Ainsi, la première édition séparée de La Marquise de Salusses, qui paraît à la fin de 1691, est encore imprimée avec l’adresse de J.B. Coignard. Il est donc extrêmement difficile de savoir lequel des deux feuillets de titre, celui avec l’adresse de l’imprimeur ou celui avec l’adresse de sa veuve et de son fils, fut imprimé avant l’autre. Il est probable que quelques exemplaires de l’édition originale aient été remis dans le commerce à la fin de l’année 1691 avec un titre de relais. Mais donner l’antériorité à l’un ou l’autre feuillet de titre semble difficile. Le 25 aout 1691, l’abbé de Lavau lit à l’Académie Française ‘La Marquise de Salusses ou la patience de Grisélidis’, qui est accueillie avec beaucoup d’applaudissements. La nouvelle en vers de Charles Perrault paraît peu après dans le ‘Recueil’ de l’Académie pour 1691, où figure également ‘A Monsieur ** en luy envoyant la Marquise de Salusses’, ainsi que différents textes de lui. Elle sera aussi, toujours en 1691, publiée séparément chez Jean-Baptiste Coignard. Seule l’édition séparée qui paraît quelques semaines plus tard est décrite par Tchemerzine et déjà qualifiée par lui de « rarissime » (V, 172). Seuls Gumuchian (n°4472), Stoerer et Tannery (n°402) décrivent la présente édition (à l’adresse de J.B. Coignard). « Il est probable que cette nouvelle soit ici en édition originale » écrit Tannery. La lecture du volume, « achevé d’imprimer le 22 septembre 1691 », soit moins d’un mois après la première lecture du texte, ne laisse aucun doute. Dans le passage intitulé « A Monsieur ** en luy envoyant la Marquise de Salusses », page 195, le conteur écrit « Si je m’estais rendu à tous les differents avis qui m’ont esté donnez sur l’Ouvrage que je vous envoye, il n’y seroit rien demeuré que le conte tout sec & tout uni, & en ce cas j’aurois mieux fait de n’y pas toucher & de le laisser dans son papier bleu où il est depuis tant d’années…Ensuite de cette conférence j’ay pris le parti de laisser mon Ouvrage tel à peu près qu’il a esté lu dans l’Académie… J’apprendray du public ce que j’en dois croire et suivray exactement tous ses avis, s’il m’arrive jamais de faire une seconde édition de cet ouvrage ». Cette seconde édition est décrite par Tchemerzine comme originale puisqu’il ignore l’existence de la nôtre. Le récit puise sa source dans le Décaméron de Boccace. A nouveau publiée en 1694, la nouvelle est alors suivie de deux autres contes également en vers, Peau d’Ane et Les Souhaits ridicules dont ce sont les éditions originales. Précieux exemplaire à grandes marges conservé dans sa reliure en plein veau de l’époque.‎

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‎LE THEATRE N°73‎

Reference : RO10032504

(1902)

‎LE THEATRE N°73 - Théatre National de l'OPéra COmique : Grisélidis (L.Bréval), le petit Loys (Petite Suzanne) - Numéro spécial sur Grisélidis à l'Opéra COmique, conte d'Armand Silvestre et Eugène Morand, musique de Massenet, illustré de photos..‎

‎Manzi,Joyant et Cie.. janvier 1902. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 26 pages illustrées de nombreuses photographies noir et blanc et couleur.. . . . Classification Dewey : 792-Théâtre‎


‎Numéro spécial sur Grisélidis à l'Opéra COmique, conte d'Armand Silvestre et Eugène Morand, musique de Massenet, illustré de photos et d'extraits de partitions. Autour de la pièce : une repétition de Griséldis. Classification Dewey : 792-Théâtre‎

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‎BENNET Elis‎

Reference : 63642

(1794)

‎Henry Bennet et Julie Johnson, ou les esquisses du coeur, roman traduit de l'anglais, et orné de gravures [Ensemble] Griselidis, ou la Marquise de Salusses [Ensemble] Emérance, ou l'orgueil vaincu par la raison‎

‎Chez Louis, à Paris 1794, In-18 (8,5x13,8cm), (4) 192pp. ; (4) 188pp. et (4) 184pp. ; (4) 207pp. et (4) 216pp. ; 165pp., 5 tomes en 3 volumes reliés.‎


‎Edition originale de la traduction française, illustrée de 6 figures légendées anonymes. Nouvelle édition de Griselidis. Relilures en demi veau vers 1820. Dos lisses ornés de 2 fers centraux en miroir, roulettes. Pièces de titre et de tomaison en veau noir. Tranches marbrées. Manque le faux-titre dans le premier tome. Elis Bennet est une romancière anglaise née en 1750. Parmi les nombreuses écrivaines anglaises de la fin du XVIIIe, elle eut un certain succès et ornait la plupart des bibliothèques de romans. Voici ce qu'on trouve dans L'Esprit des journaux français et étrangers, un périodique de l'époque : "L'auteur a mis en action cette maxime célèbre, que le coupable est puni tôt ou tard de ses fautes. Son roman, dont le fond ressemble à beaucoup d'autres, a cependant sa physionomie particulière, qui flattera les amateurs de ces sortes d'ouvrages." Le héros est un jeune homme sans scrupule, adonné à ses plaisirs et ses vices, victimes d'une mauvaise éducation. Un des aspects les plus intéressants de ce roman consiste dans la conception de son narrateur omniscient, un narrateur commentateur, faisant des digression morales, etc. Griselidis est une nouvelle de Charles Perrault, qui parut pur la première fois en 1691. Elle raconte l'histoire d'un prince qui épouse une bergère. Follement amoureux il ne cesse de tester sa patience et son amour. Le sujet a été tiré de Boccace. Emerance a été traduit de l'italien par Mademoiselle de Montmartrin et serait dût à la plume de Fulvio Testi, lequel n'en serait pas à l'origine. NB : Cet ouvrage est disponible à la librairie sur demande sous 48 heures. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

Le Feu Follet - Paris
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EUR450.00 (€450.00 )

‎SILVESTRE Armand & MORAND Eugene‎

Reference : 3001

(1920)

‎GRISELIDIS, Mystere - Gouaches. Aquarelles. Lettres ornees & ecriture par Serge Beaune‎

‎ 1920, En feuilles (232 x 250 mm) sous un portefeuille. 153 feuillets.Sur japon nacre, chaque feuillet manuscrit recto verso est execute sur papier japon nacre a fort grammage et se compose d’un texte manuscrit a l’imitation de l’ancien encadre de compositions art nouveau, bandeaux, culs de lampes et motifs.Les motifs decoratifs a theme animalier ou abstrait, pour certains s’inspirent de l’art roman, d’autres de themes egyptiens et orientaux.Bien qu’uniforme dans l’esprit les themes changent subtilement d’une page a l’autre en changeant de couleurs d’une scene a l’autre. Chaque initiale du texte et le nom des personnages est peint en rouge.Chaque scene (en moyenne toutes les deux et trois pages, parfois moins) s’ouvre par une peinture occupant la moitie de l’espace dans une demi ogive, realisee a la gouache puis vernie.Les ornements etant peints dans une technique mixte gouache et aquarelle.La tonalite de l’ouvrage joue sur les clairs obscurs et privilegie les scenes de nuit ou d’interieurs eclairees par des lanternes et flambeaux.Ces scenes alternent des paysages crepusculaires.Ouvrage date et signe en fin d’ouvrage « Termine le 23 mars 1920, Serge Beaune » ‎


‎Cet exemplaire unique, fruit de six ans de travail est l’œuvre de Serge Beaune, peintre symboliste representant de la tendance art nouveau, ami de Roche Grosse. Illustrateur et affichiste il a collabore et illustre plusieurs ouvrages d’Anatole France, Francis Carco, Pierre Louys, Remy de Gourmont et Charles Baudelaire.Il collabore regulierement dans le journal l’illustration pour les numeros de noel. En 1926 il cesse son activite de peintre et devient imprimeur.Ce livre unique est a rapprocher d’un autre travail, sur un texte de Pierre Louys «Chrysis ou la ceremonie matinale» qui se trouve de nos jours a Lisbonne dans la prestigieuse collection du musee de la Fondation Calouste Gulbenkian. Calouste Gulbenkian (1869- 1955) , financier armenien et esthete, etait connu pour l’exigence de ses choix, ses moyens financiers lui permettant d’acquerir les plus belles pieces proposees sur le marche, il acquit les manuscrits anciens les plus precieux de son temps, ainsi que les œuvres art nouveau les plus recherchees. Ce collectionneur de genie, etait un des plus grands bibliophile de son temps, il chassait avec la meme passion les manuscrits medievaux et les reliures art deco, sa devise «The best or nothing» s’adapte particulierement au travail de Serge Beaune.Donne en 1891 la piece Griselidis fut interprete au Francais et rencontra un vif succes, les roles principaux etaient tenus Madame Bartet dans le role de la marquise de Salus et Coquelin Cadet dans le role du diable. Quelques annees plus tard Jules Massenet adapta la piece a l’opera. ‎


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