GRASSET.. 1936. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Papier jauni. 252 pages.. . . . Classification Dewey : 800-LITTERATURE (BELLES-LETTRES)
Reference : R150121821
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GRASSET Bernard. 9 mai 1936. In-12. Relié. Etat d'usage, Couv. défraîchie, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 252 pages. Reliure de bibliothèque : étiquette de code sur la coiffe en-tête et tampons sur la page de titre et dans quelques marges.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
GRASSET BERNARD. 1936. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 252 pages - Renfort aadhesif en coiffe en tete et pied.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
P., Grasset, 1936, in 12 broché, 253pp.
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s.d. (1953) | 22.30 x 27.60 cm | un feuillet manuscrit et un feuillet tapuscrit
| "Ecris tout ce qui te passe par la fenêtre" disaitLise| Manuscrit préparatoire autographe d'André Breton pour la préface du catalogue de vente de la collection Lise Deharme.Une demi page manuscrite à l'encre noire, et une demi page tapuscrite avec des corrections manuscrites, chacune au verso d'un feuillet à en-tête "A l'étoile scellée / Rue du Pré-Aux-Clercs - Paris VIIe". Précieux manuscrit de travail d'André Breton, abondamment biffé avec de nombreuses variantes. Le père du Surréalisme signe ici la préface de la vente deslivres surréalistes et tableaux modernes d'une grande protagoniste du mouvement : la romancière Lise Deharme. La vente eut lieu à l'hôtel Drouot le 6 mars 1953, sous le marteau de Maurice Rheims. Joint au manuscrit, figure le tapuscrit du texte, avec les toutes dernières corrections de Breton à l'encre noire. *** Lise Deharme et Breton s'étaient rencontrés en 1924, année de publication du Manifeste du surréalisme. Elle fascina Breton qui en fit une égérie du mouvement et un véritable symbole de la révolution surréaliste. Deharme fut immortalisée dans Nadja et entretint une relation complexe et fusionnelle avec l'écrivain tout au long de sa vie. Breton lui rend ici hommage à travers cette préface, noircie de repentirs et maintes fois retravaillée : par cette présentation "il signe une manière de reconnaissance de dette à l'égard de celle qui lui avait offert le gant deNadja" (Association André Breton). " Ce qui va se disperser ici, soit dit que pour quelques-uns c'est un peu du trésor du temps. De la manne où nous puisons de quoi nous faire cette coquille_ le mobilier au sens très large où le conditionne aussi bien le choix des livres que des [parures] plantes ou des oiseaux. Si rares sont ceux qui, comme Lise Deharme, ont su extraire ce qui est électivement fait pour eux tant de l'intérieur [extérieur] que l'extérieur [intérieur]. "Au pays qui te ressemble", n'est-ce pas dont a parlé Baudelaire ? Et l'on retrouve sa mélancolieà voir, au vent, filer comme graines [filer au vent comme un chardon] ces choses que tant de discernement passionnel avait réunies comme si, autour de celle qui s'en entourait, elles étaient venues obéissant à une loi d'attraction pure. Le goût poétique d'une époque en ce qu'il a de spécifique, a étincelé là comme nulle part. Qu'enparticulier il me soit permis de dire que [dans son caprice souverain, et ce qu'il exaltait du présent et retenait du passé]le surréalisme, à travers plusieurs d'entre nous, a vivement subi l'ascendant de ce caprice souverain. "Ecris tout ce qui te passe par la fenêtre" disait [dit] Lise et [ne songe plus aujourd'hui à rien garder pour soi, que le] voici qu'elle ajoute : ne garde rien que ce que tu tiens du murmure de source de cette année-làet du parful du Pot de mousse. Mais tout ce dont elle se sépare grâce à elle demeurera si chargé d'esprit que rien ne pourra l'éteindre dans sa gravitation vers d'autres destinées" - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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