Flammarion. 1999. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 239 pages.. . . . Classification Dewey : 320-Science politique
Reference : R100072309
ISBN : 2080676091
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A Paris, rue Dauphine, Chez Cellot & Jombert, fils jeune, Libraires & Imprimeur, la seconde Porte cochère à droite, par le Pont-Neuf. Au fond de la Cour, 1778. 1778 1 vol. in-12° (175 x 107 mm.) de : [1] f. (Titre), 452 - [3] (Privilège, Errata) pp. Plein veau d'époque, dos à nerfs orné, titre de marocain rouge, filet doré sur les coupes. (Coiffes arrasées, fentes aux mors, coins émoussés, intérieur très frais).
Édition originale de cette remarquable chronique des événements de l'indépendance américaine. Cf. Howes : "Récit journalier dévénements depuis larrivée de Gage à Boston jusquau moment où la France reconnaît lindépendance." Lauteur dit, dans sa préface : "Combien est-il de François qui ne savent même pas la nomenclature des peuples avec lesquels leur Souverain vient de faire alliance ? Le nom de Bostoniens, qui nest dû quaux Habitans de la Province de Massachusett, une des quatre qui forment la Nouvelle-Angleterre proprement dite, est cependant devenu la dénomination générale & commune des habitans des treize Provinces." À la fin de louvrage se trouve le texte du Traité damitié et de commerce conclu entre le Roi & les États-Unis de lAmérique Septentrionale. Du Buisson (1746-1794) était lauteur de quelques autres livres sur les relations internationales, ainsi que de plusieurs pièces de théâtre et des libretti dopéras. Même sil était un fervent de la Révolution Française, il critiqua quelques-uns de ses excès, et fut guillotiné en 1794. Epigraphe en page de titre : "Chaque Peuple à son tour a brillé sur la terre, Par les Loix, par les arts, & sur-tout par la guerre. Le tems de lAmérique est à la fin venu, Ce Peuple généreux, trop long-tems inconnu Laissait dans ses deserts ensevelir sa gloire : Voici les jours nouveaux marqués pour la victoire." Voltaire. Bel exemplaire. Sabin, 9080 & 21037; Howes (Hartley), D537 ("c"). 1 vol. 12mo. Contemporary full calf. First edition of this detailed narrative of events in America during the period from the arrival of General Gage in Boston to the recognition of the United States by the French government. In his introductory Avertissement the author states that he had returned to France from a visit to America to find his countrymen excited and curious about the War for Independence but woefully ignorant of its progress, so he was attempting to instruct them. Dubuisson (1746-1794) wrote a couple of other books on international relations and a number of plays and operatic libretti. An ardent supporter of the French Revolution, he fell in with the wrong faction and was guillotined on March 34, 1794. This work went through two French editions and was also published in German and Italian. Fine copy.
( Surréalisme ) - Paul Éluard - André Breton - René Crevel - Tristan Tzara - Salvador Dalí - Louis Aragon - René Char - Benjamin Péret - Albert Valentin - Francis Ponge - Pierre Unik - Georges Sadoul - Marcel Fourrier - Maxime Alexandre - André Thirion - Jacques Viot - Luis Buñuel - Man Ray.
Reference : 31602
(1964)
Le Livre à la Carte - La Hune sans date. In-8 broché de 55 pages au format 28 x 19,5 cm. Couverture avec titre imprimé. Dos carré avec titre un peu frotté. Plats et intérieur frais. Tirage en fac-similé de " Le Surréalisme au Service de la Révolution n°1 ", édité à Paris par Librairie Jose Corti en 1930. Textes de Paul Éluard, André Breton, René Crevel, Tristan Tzara, Salvador Dalí, Louis Aragon, René Char, Benjamin Péret, Albert Valentin, Francis Ponge, Pierre Unik, Georges Sadoul, Marcel Fourrier, Maxime Alexandre, André Thirion et Jacques Viot. Photographies Illustrée d'oeuvres de Luis Buñuel, Man Ray et Salvador Dalí. Edition réalisée par Marie-Claude Char. Superbe état général.
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Félix Alcan, s.d. (1929), 3 vol. in-12, xxxii-381, 427 et 455 pp, traduit de l'anglais par Jules Roche, brochés, bon état
Dans ce livre sauvage et fou qui n’a jamais été réédité en France depuis cent ans, mais qui fut très lu en son temps, l’historien britannique Thomas Carlyle raconte la Révolution de manière peu orthodoxe. Tome I : La Bastille. Tome II : La Constituante. Tome III : La Guillotine. — Thomas Carlyle (1795-1881) est un écrivain, satiriste et historien écossais, dont le travail eut une très forte influence durant l'époque victorienne. — "Plusieurs études ont souligné la popularité et l'influence de la Révolution française de Thomas Carlyle. Paru pour la première fois en 1837, réédité à de nombreuses reprises, tiré à des dizaines de milliers d'exemplaires, ce récit a été la représentation dominante de la Révolution française en Grande-Bretagne pendant tout le XIXe siècle, et au-delà. L'ouvrage porte la marque du changement de perspective opéré pendant la décennie qui a précédé sa publication : le « souffle » de la Révolution y est rendu. Mais le peuple, la populace, y sont violents voire féroces, contribuant ainsi à entretenir un stéréotype britannique du XIXe siècle qui opposait le pacifisme du peuple anglais à la brutalité des Français. Et le jacobinisme est fustigé par une histoire dont le premier héros est Mirabeau." (Fabrice Bensimon, L'écho de la Révolution française dans la Grande-Bretagne du XIXe siècle, 2005) — "Dans le premier volume de son histoire de la Révolution française, Carlyle décrit la fameuse procession qui avait ouvert les États généraux du clergé de la noblesse et du tiers état à Versailles, le 4 mai 1789. Il invite le lecteur à jeter sur elle, comme lui, «un regard prophétique». Il isole dans la foule les personnages auxquels la Révolution réserve un bel avenir. Parmi eux, les plus importants sont Mirabeau et Robespierre. Honoré Gabriel Riquetti de Mirabeau devait devenir le leader officieux du tiers état. (...) Tout comme Louis XIV avait déclaré « L’État c’est moi », Mirabeau aurait pu dire « L’Assemblée nationale, c’est moi ». Le contraste avec l’obscur avocat d’Arras, Maximilien Robespierre, est délibérément souligné : « Mais, si Mirabeau est le plus grand, lequel de ces six cents pourrait être le plus misérable ? Signalerons-nous cet homme mince, âgé de moins de 30 ans, portant des lunettes, d’un aspect inquiet, insignifiant, les yeux ternes (lorsqu’il retirait ses verres), circonspects et attentifs, le nez en l’air, flairant avec anxiété l’incertitude des temps futurs ; le teint bilieux des hépatiques, dont la nuance finale pourrait être verdâtre. » Pour l’historien Richard Cobb, Carlyle « aborde la Révolution en quête d’un Héros ». Mirabeau, bien qu’encore très loin de le satisfaire, est son meilleur candidat, jusqu’à sa mort brutale en 1791; mais Robespierre est pour lui l’antihéros par excellence. (...) D’Edmund Burke à Simon Schama, de nombreux exégètes de la Révolution l’ont décrite comme une erreur inutile et gratuitement sanglante. Ce n’est pas l’opinion de Carlyle. Pour lui, la Révolution est un phénomène transcendant, « le Phénix du monde, consumé dans le feu et renaissant dans le feu (...) : la mort et la naissance d’un monde ». Se demander d’où elle venait et où elle allait, c’était poser des questions sans réponse. Au lieu d’analyser – tâche vaine, dans ces conditions, à ses yeux du moins –, Carlyle cherche à évoquer et à décrire. À la fin du premier volume, il dépeint dans des termes apocalyptiques, « le Sans-Culottisme, surgissant de la fumée des Enfers avec ses têtes multiples et son haleine de feu et demandant: “Que pensez-vous de moi?”». Il fait ainsi de la figure du sans-culotte un monstre inconnaissable. Dans le deuxième volume, Carlyle décrit les célébrations à Paris du premier anniversaire de la prise de la Bastille la fête de la Fédération au Champ-de-Mars, qu’il rebaptise «la fête des Piques». […] Plus loin, il compare cette fête célébrant ouvertement l’acceptation de la Révolution par Louis XVI à un mariage aussi tendre qu’insensé devant lequel, au milieu des feux d’artifice et des réjouissances, les anciens hocheraient la tête d’un air entendu, conscients que l’union serait amère et malheureuse. Moins d’un an après la fête de la Fédération, les relations entre Louis XVI et la nation étaient devenues impossibles; Mirabeau était le dernier espoir de réparation, et Mirabeau agonisait: il «ne put vivre une année de plus, pas plus qu’il n’aurait pu vivre encore pendant mille ans». Il mourut le 2 avril 1791. Carlyle n’est ni le premier ni le dernier à imaginer que la Révolution aurait pris une tout autre tournure si Mirabeau avait survécu. (...) Le troisième tome du livre s’intitule fort à propos «La guillotine», puisque c’est après l’effondrement de la monarchie que l’instrument d’exécution est installé pour la première fois près du palais des Tuileries (soit sur la place du Carrousel, soit sur la place de la Révolution, l’actuelle place de la Concorde). La première utilisation publique de cette invention, qui doit son nom au docteur Guillotin, remonte au 25 avril 1792. Mais, ce jour-là, elle avait servi à exécuter un criminel devant l’Hôtel de Ville. Ce déplacement de la guillotine à côté du palais des Tuileries recelait un symbolisme sinistre. Qu’allait-il arriver à Louis XVI ? « Il est malheureux, bien que naturel, note Carlyle, que l’histoire de cette période ait été si souvent écrite dans l’exaltation. Tout n’est qu’exagération, exécration, hurlements; et par-dessus tout, obscurité. » On ne peut pas dire que lui-même ait fait beaucoup pour ramener le calme. Assurément, lui aussi exagère et embellit. Sur Robespierre en septembre 1792, il écrit: « L’incorruptible Robespierre n’y manque pas, maintenant que le fort de la lutte est passé ; l’homme au teint verdâtre y siège à la dérobée, ses yeux de chat sont excellents dans le crépuscule ». « Pauvre Robespierre, notait Richard Cobb, qui pouvait à peine voir à la lumière du jour et qui devait porter des verres teintés. » D’où, si ce n’est de son imagination, Carlyle a-t-il tiré le détail d’un Robespierre qui, tel un chat, voyait mieux dans le noir ? Mais Carlyle est aussi capable d’une juste concision. (...) La phrase: « À l’intérieur, cette mort du roi a divisé tous les amis, et à l’extérieur, elle a uni tous les ennemis » est un condensé brillant des conséquences du procès et de l’exécution de Louis XVI le 21 janvier 1793. (...) Quand il en arrive à la Terreur, Carlyle aborde de front la difficulté d’en écrire l’histoire. À première vue, au sujet des « horreurs de la Révolution française », il y avait « beaucoup à dire et à hurler ». Mais ces horreurs ne sont, selon lui, que l’ombre du phénomène, et non le phénomène lui-même. (...) La haine que Carlyle voue à Rousseau, et son mépris pour le rôle qu’ont joué ses idées et ses partisans dans la Révolution nourrissent l’ensemble de l’œuvre. Il conseillait à ses collègues historiens de reconnaître que la Révolution, phénomène sans précédent, avait dévoilé de nouvelles lois de la nature, impossibles à décrire avec les mots et les théories d’autrefois. Pour l’heure, les historiens devaient renoncer à la prétention de nommer ou de raconter de manière définitive la Révolution, et la regarder honnêtement, en ne nommant que ce qu’ils pouvaient, morceau par morceau. Il ne trouvait en elle rien de constructif, seulement l’évangile de Rousseau, théorème devenu credo, et dont l’application détruisit tout ce qui pouvait l’être." (Ruth Scurr, Times Literary Supplement, traduit dans BoOks 34, 2012)
Le Havre, Centre havrais de Recherche historique, 1990, gr. in-8°, 413 pp, 29 illustrations dans le texte, biblio, index, broché, bon état
38 études érudites. — Cet ouvrage, fruit des recherches d'universitaires et d'amateurs, membres de sociétés historiques de Normandie, contribue à une meilleure connaissance de la Révolution dans cette province, en apportant des éclairages neufs sur des questions déjà connues, mais qui avaient trop souvent été traitées dans un esprit polémique ou apologétique, et en abordant des aspects jusqu'alors restés en friches. Table : Jacques Dupont (de l’Eure) 1767-1855. Son rôle et son influence en Normandie (Jean Bariller) ; L’abbé Grégoire et Le Havre sous la Monarchie constitutionnelle : l’histoire d’une brève alliance (Sylvie Barot) ; Un voyageur énigmatique en Normandie : Francisco de Miranda (mai 1789) (Maylis Baylé) ; La vie religieuse à Fécamp sous la Révolution à travers les exemples de l’abbaye des bénédictins et du couvent des annonciades (David Bellamy) ; « L’industrie » papetière sous la Révolution en Haute Normandie (Faruk Billici) ; Les conflits entre la Coutume de Normandie et la loi du 17 nivôse an II à propos de la propriété des biens des époux (Corinne Bléry) ; La noblesse et les biens nationaux dans le département de l’Eure (Bernard Bodinier) ; Les Fécampois et leur abbaye, 1789-1799 (Anne Bourienne-Savoye) ; Des anciennes mesures au système métrique : Le Havre 1740-1840 (Jacqueline Briot) ; La Révolution de 1789 à l’échelle d’une paroisse cauchoise : Sainte Hélène (canton de Valmont) (René Bruneau) ; Le Conventionnel Siméon Bonnesoeur-Bourginière, oncle de Géricault (Gilles Buisson) ; Comment commémorer la Révolution ? Le premier centenaire de 1789 en Seine Inférieure (Jean Pierre Chaline) ; Survivre en Révolution : la noblesse rouennaise entre la prison et l’exil (Olivier Chaline) ; La Révolution Française dans les écrits de la Résistance en Seine-Maritime (Claude-Paul Couture) ; Sommesnil : un village au Pays de Caux pendant la Révolution (Philippe Dahhan) ; La maitrise de la cathédrale de Rouen au moment de la Révolution (Bernard Delaporte) ; L’odyssée de l’Enfant de la Patrie, navire corsaire construit au Havre pendant la Révolution (Jean-François Dupont-Danican) ; Les projets de réunion de paroisses dans le district de Montivilliers de 1790 à 1792 (Daniel Fauvel) ; Un clandestin inattendu, l’abbé Houtou de la Robillardière (Pierre Flament) ; Les inventaires de 1790 dans les abbayes prémontrées de Normandie (Jean Fournée) ; Années noires du grand règne et rebellions rouennaises, 1690-1715 (Jean-Marcel Goger) ; La minoterie Planter, cible des émeutes vernonnaises de 1775 à 1789 (André Goudeau) ; Les émeutes de Quillebeuf et de Thionville : étude comparée (Philippe Goujard) ; Aux origines de la contre-révolution à Rouen : le chanoine Baton (Gérard Hurpin) ; Fêtes rurales d’Ancien régime, fêtes rurales du Directoire : permanences et évolutions (Françoise Lamotte) ; François-Pierre Balleroy, un jacobin elbeuvien (Pierre Largesse) ; Un espace révolutionnaire : le théâtre du Havre, 1789-1850 (Jean Legoy) ; Les cultes révolutionnaires à Doudeville, 1794-1799 (Pierre Lejeune) ; Une préface à la Révolution en Haute-Normandie : les troubles populaires au XVIIIe siècle (Guy Lemarchand) ; Elire une municipalité en 1790 : le cas du Havre (Philippe Manneville) ; La vente des biens nationaux dans le Domfrontais : les paysans contre les bourgeois (Jean Claude Martin) ; Les Jacobins haut-normands face à la crise fédéraliste (Danièle Pingué) ; La question des pouvoirs dans une ville moyenne au début de la Révolution : Louviers, 1789 (Jean-Jacques Pingué) ; Le bocage normand, terre de révolte (Jean Quellien) ; Un voyageur à Rouen en 1789 : Charles-Etienne Coquebert de Montbret (Marie-Françoise Rose) ; La défense des côtes de Seine-Inférieure en 1793 (Bruno Sintic) ; De l’attitude différente de trois prêtres de la Seine-Inférieure lors de la promulgation de la Constitution civile du clergé (Gabrielle Sueur) ; L’Ecole royale de la Marine du Havre au XVIIIe siècle (Michel Vergé-Franceschi).
Collectif - J. CHOLEAU - Y. PENFELD - L. KERVRAN - Claire CHARLES-GENIAUX - BOPISECQ, d'Alger - Yves du MEINGA - Dr S. 96TARA - Y. Le DIBERDER - M. BOURREAU - J. MORLEC - B. KERVERZIOU - J. MAHEZ - I. KERPERT - Aldrig a Naoned - L.M. RIWALL - A. de La BORDERIE - J. LANCELOT - Y.-G. KERONNES - L. de La HAUTE-DIBOIS - L. de VILLARTAY - J.-J. Le MAGUEREZE - R. PRADIG (PRAUD) - GALAAD - L. JARNOUEN de VILLARTAY - C. CHASSE - E. Le BARZIC - G. Le CLER - M. DUVAL - La savary ve duclos - J. de VILLERS
Reference : 22759
RENNES, imp./ Rigault/VITRE, Siège social - Revue In-8, 24,5 x 16 cm - Broché - Environ 40 pages par fascicule - Certaines couvertures illustrées - Illustrations en texte N° 43, 1948 au N° 96 de 1963 - Globalement en bon état, sauf 64 & 75, 90 & 96 - Au TOTAL 36 NUMEROS
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