Dijon : Darantière, 1969. Un volume broché (10x14,5 cm), non paginé (80) pages. Edition originale tirée à 750 exemplaires. Bon état.
Reference : 43276
Le Livre à Venir
Mme et Mr. Florine et Richard Jaillet
41 Place de l'Oscambre
03140 Chantelle
France
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Dijon, Imprimerie Darantière, 1969. In-12° broché, couverture mauve, avec en son centre une pièce collée avec le titre, non coupé. EDITION ORIGINALE. Tirage à 750 exemplaires, Un des 50 de tête sur vergé.
Parfait état, rare en grand papier.
Paris match / rombaldi 1972 in8. 1972. Reliure editeur. 8 romans (en 8 volumes): Les baladins de la Margeride Sauveterre Les murailles d'Israël Tout homme est une guerre civile (2 vol.); Ces voix qui nous viennent de la mer Le paravent japonais un million de dollars le viet les mercenaires --- illustrations en noir et blanc
Très Bon Etat de conservation général couvertures un peu ternies intérieur frais
Flammarion / détective club 1952 6 romans policiers coll. détecti pages poche. 1952. Broché. 6 romans policiers coll. détecti pages. 6 romans policiers coll. détective club du n°49 au 54: Cent mille dollars; Pas de fleurs d'oranger L'ombre d'une chance Un million de témoins L'homme de nulle part La serrure et la cité
Etat Correct couv. un peu défraîchie intérieur uniformément jauni propre
Bureau du journal. 24 mars 1933. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 177 à 192. Nombreuses photographies en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 791.43-Cinéma
Sommaire : Mireille et Berval dans une scène du film Les 28 jours de Clairette, Lil Dagover a Paris, L'homme a l'hispano, Les lettres qu'elles reçoivent, Le retour a l'écran de Mary Pickford la bien aimée du monde, Si j'avais un million, L'enfant de ma soeur, Robinson moderne Classification Dewey : 791.43-Cinéma
[Imprimerie Emile Flouret] - DE LA BATUT, Jeanne et Pierre
Reference : 44471
(1900)
1 cahier d'écolier, Imprimerie Emile Flouret, Bergerac, 7 pages manuscrites, s.d. (circa 1900-1930 ?) [ Témoignage détaillé sur la mort de Decamps ]. [ ... ] "Un jour Decamps invité [chez ] Napoléon III ne voulait s’y rendre qu'avec une femme et ses filles et son épouse refusant d'y aller, fit habiller en Amazone son fils qui avait une jolie figure efféminée. Personne ne s'aperçut de la supercherie, et chacun se demandait quel était cette jeune inconnue que Decamps accompagnait ainsi. Mais cela fit un scandale énorme et le lendemain toute la ville en parlait ; et le peintre s'en amusait beaucoup car il se souciait peu de l'opinion des autres. Enfin un ami qu'on avait mis dans la confidence raconta l'histoire et les potins s'apaisèrent, chacun disant : « C'est bien une idée d'artiste »." [...] "Decamps fit son premier tableau à l'huile de vers l'âge de 14 ans et le donna à une cousine [...] La scène était très animée et recelait déjà réel talent. Musard, l'introducteur des cafés-concerts en France, ayant vu ce tableau : « le jeune homme qui l'a fait, s'il continue, fera certainement son chemin ». Cela n'empêcha que le père de deux camps s'opposa longtemps à ce que son fils soit peintre ; il voulait en faire un notaire comme lui." [...] Il était très indépendant. Traité avec ses amis, éléments à s'amuser en compagnie, il avait, cependant un fond de mélancolie incurable." [...] « Les amis de ma femme ne sont pas mes amis », disait mon grand-père Dentu.[...] "M. Emile Gaboriau avait pour maîtresse une blanchisseuse. Il l'épousa après avoir été soigné par elle durant une maladie, mais sa mère ne lui pardonna pas. [...] Gambetta, ayant gagné (à la bourse, je crois) 4 millions et ne voulant pas qu'on le sache car un républicain milliardaire est toujours suspect s'acheta l'île de Porquerolles mais au nom de M. E. De Roussen, son secrétaire. Gambetta étant mort rapidement sans avoir le temps de régulariser la situation, M. de Roussen conserva, sans scrupules, l'île de Porquerolles. Sa femme, directrice d'une maison de correction dans l'île, se fit remarquer par sa brutalité, sa cruauté et fut d'ailleurs condamné de ce chef." [...] "Ma bisaïeule Mme Caumartin, veuve d'un avoué, propriétaire d'un hôtel particulier au coin de la rue Caumartin et du boulevard des Italiens vendus 2 millions au Crédit Lyonnais, versa 1 million pour libérer son gendre, Dentu, de prison où il se trouvait à la suite de polémiques dans le drapeau blanc. Sans doute pour payer ses amendes. Cette somme fut déduite de l'héritage de Mme Dentu afin que les soeurs de cette dernière n'en supportent pas les conséquences." [...] Decamps avait un ours. Il le prêta un ami qui le mena au bal de l'opéra où on le prit pour un déguisé. Puis il le laissa pour danser et l'ours, s'en fut coucher dans une loge où il s'endormit. Après le bal, une ouvreuse vint lui taper sur l'épaule et pensa mourir de frayeur quand elle s'aperçut que c'était un ours véritable." [ Notes sur Mme Gonzalez, femme du romancier, mère d'Eva Gonzalez, élèvre de Berthe Morizot ; notes sur la famille de Ponson du Terrail ]
Intéressant recueil d'anecdotes diverses, rédigé d'après les témoignages de la tante Angèle Lair par Jeanne Dentu ou par son fils Pierre de La Batut.