Gallimard, 2008 - in-12 broché, 269pp. - bon état -
Reference : 23188
Le Livre à Venir
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France
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1818 Paris , Locard et Davi, 1818 ; 2 tomes en 1 volume in-12°, demi-cuir de Russie violine de l'époque, dos à 4 nerfs plats cernés de filets maigres dorés, quadruple filet doré sur les nerfs, fleurons azurés aux entre-nerfs, palette en pied, titre et tomaison dorés ( Thouvenin relieur); (4),VII, 266pp.; (4), 268pp. 2 frontispices.
Piqûres, papier des plats un peu frotté. Tomes 1 et 2 seuls ( sur 4), dans, une jolie reliure romantique de Thouvenin. ( GrD2)
Issoudun, Thuin,Chez les Filles de Notre-Dame du Sacré-Coeur et Paris, Société Saint-Augustin, desclée de Brouwer et cie, sans date( 1913) ;grand in-8°, broché, couverture blanche impriéme en noir;433pp.;petites piqûres au faux-titre.Très bon exemplaire non coupé.
Portrait de la Révérende Mère en frontispice en héliogravure et 34 illustrations photographiques hors texte.Marie-Louise Hartzer quita Issoudun et exeça en Australie, Nouvelle-Guinée (Papouasie), Nouvelle Poméranie et aux Iles Gilbert. (GrF)
Bourg, Imprimerie Villefranche, 1888 ; 1 volume in-12°, demi-chagrin noir de l' époque, dos à nerfs, auteur et titre dorés; IXpp.,322pp.,1f. Portrait en frontispice.Très rares piqûres, reliure très légèrement frottée aux coffes, mais bon exemplaire.
La révérende Mère était de la famille Chavant de Cerdon ( Ain). ( GrBO)
16/02/1869 TRÈS BEAU SONNET EMPREINT DE TENDRESSE FILIALE EN HOMMAGE À SA MÈRE ÉLISABETH-ZÉLIE DE BANVILLE :...Ma mère, pour fêter sous les cieux rajeunis, Le jour où tu naissais, je veux avec tendresse Faire parler encore la lyre enchanteresse Dans le triste silence où nos cœurs sont unis. Voici venir le temps des lilas et des nids : Déjà, comme une haleine errante et charmeresse, La brise du printemps suave nous caresse, Ma mère, et ce nest pas moi seul qui te bénis ! Car, du séjour lointain caché sous tant de voiles, Sitôt quavec la nuit seffacent les étoiles, Ceux qui sont dans les cieux nous regardent pleurer...Théodore de Banville qui vouait à sa mère une véritable adoration, lui rendit souvent hommage dans ses poésies. Le tout premier recueil de Banville, Les Cariatides, salué par Charles Baudelaire, souvre sur un poème dédié à sa mère : « Oh ma mère, ce sont nos mères dont les sourires triomphants, bercent nos premières chimères, dans nos premiers berceaux denfants... ». Dans son avant-propos à Roses de Noël (recueil entièrement consacré à sa mère et publié en 1878), Banville déclarait : « Les quelques poëmes qui suivent ne sont pas des œuvres d'art. Ces pages intimes, tant que ma si faible santé et les agitations de ma vie me l'ont permis, je les écrivais régulièrement pour mon adorée mère, lorsque revenaient le 16 février, jour anniversaire de sa naissance, et le 19 novembre, jour de sa fête, sainte Elisabeth. Parmi ces vers, destinés à elle seule, j'avais choisi déjà quelques odes qui ont trouvé place dans mes recueils. Les autres ne me paraissaient pas devoir être publiés, et je sais bien ce qui leur manque. Presque jamais on ne se montre bon ouvrier, lorsqu'on écrit sous l'impression d'un sentiment vrai, au moment même où on l'éprouve. Mais, en les donnant aujourd'hui au public, j'obéis à la volonté formellement exprimée de Celle qui ne sera jamais absente de moi et dont les yeux me voient. D'ailleurs, en y réfléchissant, j'ai pensé qu'elle a raison, comme toujours ; car le poëte qui veut souffrir, vivre avec la foule et partager avec elle les suprêmes espérances, n'a rien de caché pour elle, et doit toujours être prêt à montrer toute son âme. Paris, le 19 novembre 1878. Roses de Noël, A ma mère...). CE PRÉSENT POÈME SEMBLE INÉDIT.
Autrement - Directeur-rédacteur en chef : Henry Dougier - dirigé par Nicole Czechowski et Jean-Marc Terrasse
Reference : 3074
N° 90 de Mai 1987 - broché - 219 pages
bon état