Neuchâtel, Delachaux et Niestlé 1958, 210x140mm, 71pages, broché. Couverture à rabats. Etiquette de cotation sur le bas de la page de garde supérieure, autrement bel exemplaire.
Reference : 113785
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François Mitterrand accorda la nationalité française à Milan Kundera en juillet 1981, très peu de temps après son arrivée au palais de L'Elysée.L'envoi a été réalisé peu de temps après la sortie etl'acquisition de l'exemplaire (acheté en 1990 à la librairie Gallimard du Bd. Raspail ; dédicacé par Kundera l'année suivante).Note autographe de François Mitterrand : «Milan Kundera, L'Immortalité ed. or. chez Gallimard, 1990, 600 [fr.]». De la bibliothèque François Mitterrand (Piasa, 2018, n° 334). Parfait état. Paris, Gallimard, (2 janvier) 1990. 1 vol. (145 x 220 mm) de 411 p., 1 et [1] f. Broché, non coupé, sous chemise et étui. Édition originale de la traduction française. Un des 91 premiers exemplaires sur vélin de Rives (n° 24). Envoi signé : «Paris 1991. Pour François Mitterrand, avec ma grande admiration et ma fidélité. Milan Kundera».
L’Immortalité met en scène divers personnages fictifs et historiques dont Goethe, Hemingway, Rilke, Soljenitsyne ou François Mitterrand : « sans doute - de tous les hommes d’État européens de notre temps – celui qui a donné la plus grande place à l’immortalité dans ses pensées. Je me souviens de l’inoubliable cérémonie organisée en 1981 après son élection à la présidence. Sur la place du Panthéon s’était rassemblée une foule enthousiaste, dont il s’éloigna : il gravissait le large escalier […], trois roses à la main. Puis, disparaissant aux yeux du peuple, il se retrouva seul parmi les tombeaux de soixante-quatre morts illustres, n’étant suivi dans sa solitude pensive que d’une caméra, d’une équipe de cinéastes et de quelques millions de Français qui, sous le déluge de la Neuvième de Beethoven, fixaient le petit écran. Il posa les roses successivement sur les tombes des trois morts qu’il avait choisis entre tous. Tel un arpenteur il planta ces trois roses comme trois jalons sur l’immense chantier de l’éternité, pour délimiter ainsi le triangle au milieu duquel on érigerait son palais […] Valéry Giscard d’Estaing, son prédécesseur à la présidence, convia en 1974 les éboueurs à son premier petit déjeuner au palais de l’Elysée. Ce geste était celui d’un bourgeois sensible, soucieux de se faire aimer des gens simples et de leur faire croire qu’il était des leurs. Mitterrand n’était pas assez candide pour vouloir ressembler aux éboueurs (aucun président n’y peut réussir) ; il voulait ressembler aux morts, ce qui témoigne d’une plus grande sagesse car, la mort et l’immortalité formant un couple d’amants inséparables, celui dont le visage se confond avec le visage des morts est immortel de son vivant. » (Milan Kundera). François Mitterrand accorda la nationalité française à Milan Kundera en juillet 1981, peu de temps après son accession à l’Élysée. De la bibliothèque François Mitterrand (Piasa, 2018, n° 334). L’envoi a été réalisé peu de temps après la sortie et l’acquisition de l’exemplaire (acheté en 1990 à la librairie Gallimard et dédicacé par Kundera l’année suivante), avec une note autographe de Mitterrand : « Milan Kundera, L’Immortalité ed. or. chez Gallimard, 1990, 600 [fr.] ». Parfait état.
Thème fascinant et complexe abordé dans divers domaines tels que la philosophie, la religion et la littérature. Sur le plan métaphysique, l'immortalité fait souvent référence à la question de l'existence continue ou éternelle de l'âme ou de l'esprit après la mort du corps physique. De nombreux systèmes de croyances religieuses et philosophiques ont des conceptions différentes de l'immortalité de l'âme, allant de la croyance en une vie éternelle dans un paradis ou une autre dimension à celle de la réincarnation, où l'âme revient dans un nouveau corps après la mort. D'un point de vue anthropologique, l'immortalité peut être considérée comme un thème culturellement universel qui se manifeste dans les mythes, les légendes et les croyances de différentes sociétés à travers l'histoire. L'immortalité peut être une source d'espoir et de réconfort pour les individus face à la finitude de la vie humaine. Volume In-8, 23x16, Broché. Bon état, très bel état intérieur, 192 pages. Payot 1957 ref/260
Paris, Les Belles Lettres, "Vérité des mythes", 1989, 15 x 21,5, 232-XX pages cousues sous couverture rempliée imprimée et bandeau illustré. Préface de André Caquot. Avec un cahier, in fine, de 32 photographies noir & blanc réparties sur XX pages. "Le monument de Yazilikaya, en Anatolie, fut pour le peuple hittite ce qu'était la basilique de Saint-Denis pour le royaume de France. En étudiant ce site exceptionnel, Emilia Masson renouvelle spectaculairement notre connaissance des mythes fondateurs indo-européens. Pour la première fois, en effet, est ici proposée une exégèse, archéologique, iconographique et épigraphique, de la totalité de Yazilikaya qui permet de reconstituer le rituel funéraire accompagnant la dépouille du roi hittite et de restituer, par un recours à la religion comparée, tout le système de croyances qui s'exprimait dans ce monument. Découverte capitale : ces croyances (immortalité, traversées d'épreuves, etc.) offrent des parallèles frappants avec quelques-uns des aspects les plus importants de la pensée grecque - Homère et Platon notamment - , et aident à voir plus clairement sur quel fond mythique s'élabore la philosophie grecque (séparation de l'âme et du corps immortalité de l'âme...) Dans ses reconstitutions, Emilia Masson fait appel non seulement aux textes usuellement employés par les indo-européanistes, mais aussi à un domaine quasiment inexploité jusqu'alors : le monde slave. Les parallélismes qu'elle décèle et établit sont extrêmement frappants et annoncent un nouveau champ d'études extraordinairement fécond. Ainsi, la plupart des textes dont elle fait état sont encore connus aujourd'hui en Serbie, et les rites invoqués pour expliquer tel ou tel élément du monument sont encore pratiqués à 20km de Belgrade. Emilia Masson démontre ainsi que les dieux de Yazilikaya sont toujours vivants en Europe, et que les mythes qui furent au berceau de notre civilisation perdurent par-delà les siècles."
Très bon état.
A Paris, chez Saillant et à Bayeux, chez Lepelley, 1772. In-8 de 1 frontispice gravé, (4)-XXIV-342-(2) pp., veau marbré glacé, dos lisse orné, pièce de titre en maroquin rouge (reliure de l'époque).
Première édition française donnée par Junker. Gravure de Ménil d'après Monet en frontispice.Traduit deux fois en français en 1772, d'abord par un pasteur huguenot à Berlin (Abel Burja sous le titre : Phédon ou Dialogues Socratiques sur l'Immortalité de l'Ame), ensuite par G.-A. Junker, un Allemand installé à Paris qui s'était déjà signalé par plusieurs traductions de l'allemand l'anglais, il le fut rapidement aussi en hollandais, italien, suédois, polonais, russe et hongrois. Le 1er juillet 1772, la Correspondance littéraire de Grimm en prit acte : « traduit depuis peu le Phédon, ou Entretiens sur la spiritualité et l'immortalité de l'âme, non de Platon mais de Mosès Mendelshon [sic], juif, à Berlin. M. Mosès jouit d'une grande réputation en Allemagne. C'est un célèbre métaphysicien et son Phédon a fait quelque sensation à Paris, quoique la philosophie dominante ne soit pas dans ce goût-là. M. Mosès s'est permis de mettre dans la bouche de son Socrate beaucoup d'arguments et de raisonnements tirés de la philosophie moderne en faveur du système de l'immortalité de l'âme. Ce Socrate au lieu d'être le maître de Criton et des autres philosophes d'Athènes, n'est qu'un élève de Leibnitz, de Wolff et de Mosès » (P. H. Meyer, Le rayonnement de Moïse Mendelssohn hors d'Allemagne).Très bon exemplaire. Cohen - De Ricci, 386 ; Szajkowski, Franco-Judaïca, 1625.
Cette précieuse édition des œuvres du «poète maudit» n’est recensée qu’à 4 autres exemplaires. A Paris, Iouxte la Copie imprimée à Rouen, chez Jean de la Mare, 1627. - Suivi de: Œuvres du Sieur Theophile. Seconde partie. 1628. - Suivi de: Recueil de toutes les pièces que le Sieur Théophile a mises en lumiere pendant sa prison, iusques à present. Avec quelques autres Œuvres à luy envoyees par ses Amis. Troisieme partie. 1628. - Suivi de: Apologie de Theophile au Roy. Soit 4 parties en 1 volume in-8 de (8) ff., 336 pp., 160 pp., (1) f. de titre, pp. 163 à 285, 69 pp. Plein vélin souple, dos lisse, restes de liens. Reliure de l’époque. 165 x 103 mm.
Rarissime édition collective en partie originale des Œuvres de Théophile de Viau (1590-1626) réunissant les trois parties qui avaient été publiées séparément, savoir, la première partie, Paris, J. Quesnel, 1621, in-8; la seconde, Paris, Quesnel et Billaine, 1623; la troisième en 1624, le volume s’achève sur une partie séparée de 69 pp.: «L’Apologie de Theophile au Roy». Notre édition est si rare qu’elle est demeurée inconnue de la plupart des bibliographes. Tchémerzine cite une autre édition de 1627 d’après le catalogue solar, et G. Saba, Théophile de Viau, 2007, n°50, ne recense que 4 autres exemplaires: Arsenal, Orléans, Yale et Toronto. La première édition collective des Œuvres de Théophile de Viau fut imprimée à Paris, chez Billaine, l’année précédente, en 1626. Elle est bien sûr introuvable et Tchemerzine ne la connaît pas. «Elle est de toute rareté; le père Niceron semble l’avoir vue, mais l’abbé Goujet n’a connu que celle de 1627 et une de 1643 qu’il appelle la Seconde, et enfin une in-12 de 1662. Lachèvre dont la documentation est immense dit ne pas l’avoir vue. Nous ne la connaissons pas.» (Tchemerzine, V, p. 860). Selon l’abbé Goujet (Tome XIV, p. 496), la première édition collective serait identique à la nôtre, imprimée à Rouen, chez Jean de la Mare, en 1627. Elle est si rare que Tchemerzine mentionne «nous ne la connaissons pas». En fait les éditions collectives de 1626-1627 sont tellement rares – Théophile, mort en 1626, venait de vivre un terrible procès et ses œuvres étaient condamnées et brûlées – qu’elles sont aujourd’hui ou inconnues – cas de celle présentée ici – ou répertoriées à quelques rares exemplaires dans le monde. Le seul autre exemplaire imprimé à Paris en 1627 cité par Tchemerzine (V, p. 863): «l’édition de Paris, 1627, est citée au catalogue Solar, n°1311» est en fait une autre édition composée différemment qui se termine par la Tragédie de Pasiphae. La première édition collective à pagination continue ne sera publiée que deux ans plus tard, en 1629, chez le même imprimeur. A Paris, Iouxte la Copie imprimée à Rouen, chez Jean de la Mare, aux degrez du Palais, 1629. La place de Théophile est essentielle dans la littérature française. Selon Ant. Adam, il a «renouvelé la poésie française», il est «le premier en date de nos grands prosateurs classiques». Vivant dans le milieu libertin, il s’est heurté aux Jésuites qui ont déployé tous leurs efforts pour le faire condamner. Sa paraphrase du Phedon sous le titre de «Traicté de l’immortalité de l’âme», l’a fait classer parmi les suiveurs de Giordano Bruno et de Vanini et la hardiesse de ses vers licencieux ont noirci le tableau qu’ils ont fait de lui. «Il ne connut les flammes que sous la forme d’un homme de paille vêtu d’un pourpoint de satin, il fut néanmoins condamné, et ses amis reçurent la double leçon, de son péril d’abord, et de son angoisse…». (R. Pintard). Théophile de Viau est mort à 36 ans, plus usé, écrit Henri Mondor, par les persécuteurs que par son libertinage. Assuré par contre, aux dires des meilleurs esprits de son temps, de l’immortalité littéraire… (il) a été un des grands poètes lyriques français. La brève beauté des femmes, leur souriante trahison, leur vieillesse décrépite… l’ont particulièrement inspiré… les grâces de son ton naturel annonçaient La Fontaine; sa bravoure et sa liberté avaient continué Villon. Mallarmé… accordait, à Théophile de Viau, une place si importante qu’elle se trouve honorer l’un et l’autre. Un premier exil avait mené le poète aux Pays-Bas, avec Guez de Balzac. Selon Henri Mondor, une brouille, peut-être par quelques points comparable à celle de Verlaine et de Rimbaud, les sépara. Rentré en France, pensionné par Louis XIII, Théophile de Viau devait de nouveau fuir en Angleterre où le duc de Buckingham l’accueillait; revenu en 1621, il abjurait le protestantisme et se mêlait aux poètes des cabarets de l’île Saint Louis; accusé d’être l’auteur de poèmes scandaleux, il fut arrêté et incarcéré dans le propre cachot de Ravaillac. Au terme d’un long procès, il bénéficia de la protection du roi et ne fut exécuté qu’en effigie. Maintes fois rééditées, ses «œuvres poétiques» connaîtront au XVIIe siècle un succès tel que la gloire de Malherbe même en pâlira. Symbole d’un temps mal assuré, fort de ses hésitations, qui prépare l’avènement de l’ordre classique, mais n’y a encore rien sacrifié, l’art de Théophile a les vertus et les limites de sa préciosité. «L’univers borne ses horizons, consent à plus de «matin» ou de «Solitude». L’auteur de l’«Elégie à une dame» manque de peu le secret de Jean de la Fontaine; celui d’une paresse qui est disponibilité, d’une flânerie qui est docilité aux dieux. Il arrive aussi qu’un songe, un pressentiment fissurent telle ode, en lézardant le surnaturel de convention. Le meilleur Théophile est-il dans la prose dépouillée des lettres, de l’«Apologie au roi», de la nouvelle latine «Larissa», des «Fragments d’une histoire comique», ou bien dans le lyrisme flamboyant de ses tragédies, «Pasiphaé», «Pyrame» et «Thisbé»? Plus musical que Racan, plus robuste que Tristan, l’oiseau Théophile traverse plus heureusement les siècles qu’il n’a fait son temps.» Antoine Duminaret. Sa Poésie enchantera Mallarmé. Renouvelant profondément la poésie baroque par le naturel de son lyrisme et la vivacité de son imagination le poète substitue à l’inspiration religieuse l’exaltation de la nature en témoignant d’un naturalisme épicurien de tendance nettement matérialiste. «Je veux faire des vers qui ne soient pas contraints, Promener mon esprit par de petits desseins, Chercher des lieux secrets où rien ne me déplaise, Méditer à loisir, rêver tout à mon aise,…». Avec une sensibilité très affirmée Théophile chante la solitude, la passion amoureuse et la Beauté de la nature: … « la charrue écorche la plaine; Le bouvier, qui suit les sillons, Presse de voix et d’aiguillons Le couple de bœufs qui l’entraîne… Une confuse violence Trouble le calme de la nuit Et la lumière, avec le bruit, Dissipe l’ombre et le silence…» Les œuvres complètes de Théophile de Viau imprimées avant 1630 reliées en vélin de l’époque sont de la plus insigne rareté. Superbe exemplaire de cette précieuse édition collective en partie originale, conservé dans son vélin souple de l’époque.