‎COLIN, Alphonse, abbé, Professeur au collège de Lesneven‎
‎Souvenirs - A mes Amis‎

‎ GRANVILLE, Imp. J. GOACHET - 1906 - In-8 -Broché - couverture rempliée - manque page de titre -Préface II & 162 pages - comme neuf ‎

Reference : 5978


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5 book(s) with the same title

‎[SOUVENIRS] - KIPLING (Rudyard) - ‎

Reference : 200903288

‎Souvenirs, un peu de moi-même pour mes amis connus et inconnus. ‎

‎Paris, Paul hartmann éditeur, 1946; in-12, 257 pp., broché, couverture illustr. Traduction de S. et J. Vallette.‎


‎Traduction de S. et J. Vallette.‎

Phone number : 03 89 24 16 78

EUR12.00 (€12.00 )

‎Rudyard Kipling‎

Reference : 4961

(1946)

‎Souvenirs. Un peu de moi-même pour mes amis connus et inconnus‎

‎État : Assez bon état - Année : 1946 - Format : in 12° - Pages : 257pp - Editeur : Paul Hartmann - Lieu d'édition : Paris - Type : Broché - Divers : Couv un peu salie (qes tâches). Dos un peu plié. Pages jaunies. Intérieur solide et propre. - Commander rapidement : https://www.bons-livres.fr/livre/rudyard-kipling/4961-souvenirs-un-peu-de-moi-meme-pour-mes-amis-connus-et-inconnus?lrb‎


‎Le célèbre auteur du non moins célèbre ˮLivre de la Jungleˮ revient à 70 ans, peu avant sa mort, sur son passé. Il nous parle de sa prime jeunesse heureuse aux Indes, de sa jeunesse fort malheureuse dans une famille d'accueil en Angleterre, de son séjour en Amérique, de ses voyages en Afrique du Sud, de sa famille et de ses activités littéraires. Traduction de S. et J. Vallette. Des souvenirs qui permettent de mieux pénétrer l'oeuvre et les idées de cet immense écrivain, prix Nobel en 1907 auteur de ˮKimˮ, du ˮFardeau de l'homme blancˮ, de ˮCapitaine courageuxˮ, de ˮL'homme qui voulut être roiˮ...‎

Phone number : 09 63 58 85 14

EUR9.00 (€9.00 )

‎[Imprimerie Emile Flouret] - ‎ ‎DE LA BATUT, Jeanne et Pierre‎

Reference : 44471

(1900)

‎Carnet Manuscrit de "Souvenirs et anecdotes de Tante Lair", Angèle Lair, fille du peintre Alexandre-Gabriel Decamps, vraisemblablement notés par sa nièce Jeanne Dentu Epouse De La Batut puis son petit neveu Pierre de La Batut.[ Anecdotes sur Decamps, Gambetta, Emile Gaboriau, etc. ] : [ Témoignage détaillé sur la mort de Decamps ]. [ ... ] "Un jour Decamps invité [chez ] Napoléon III ne voulait s’y rendre qu'avec une femme et ses filles et son épouse refusant d'y aller, fit habiller en Amazone son fils qui avait une jolie figure efféminée. Personne ne s'aperçut de la supercherie, et chacun se demandait quel était cette jeune inconnue que Decamps accompagnait ainsi. Mais cela fit un scandale énorme et le lendemain toute la ville en parlait ; et le peintre s'en amusait beaucoup car il se souciait peu de l'opinion des autres. Enfin un ami qu'on avait mis dans la confidence raconta l'histoire et les potins s'apaisèrent, chacun disant : « C'est bien une idée d'artiste »." [...] "Decamps fit son premier tableau à l'huile de vers l'âge de 14 ans et le donna à une cousine [...] La scène était très animée et recelait déjà réel talent. Musard, l'introducteur des cafés-concerts en France, ayant vu ce tableau : « le jeune homme qui l'a fait, s'il continue, fera certainement son chemin ». Cela n'empêcha que le père de deux camps s'opposa longtemps à ce que son fils soit peintre ; il voulait en faire un notaire comme lui." [...] Il était très indépendant. Traité avec ses amis, éléments à s'amuser en compagnie, il avait, cependant un fond de mélancolie incurable." [...] « Les amis de ma femme ne sont pas mes amis », disait mon grand-père Dentu.[...] "M. Emile Gaboriau avait pour maîtresse une blanchisseuse. Il l'épousa après avoir été soigné par elle durant une maladie, mais sa mère ne lui pardonna pas. [...] Gambetta, ayant gagné (à la bourse, je crois) 4 millions et ne voulant pas qu'on le sache car un républicain milliardaire est toujours suspect s'acheta l'île de Porquerolles mais au nom de M. E. De Roussen, son secrétaire. Gambetta étant mort rapidement sans avoir le temps de régulariser la situation, M. de Roussen conserva, sans scrupules, l'île de Porquerolles. Sa femme, directrice d'une maison de correction dans l'île, se fit remarquer par sa brutalité, sa cruauté et fut d'ailleurs condamné de ce chef." [...] "Ma bisaïeule Mme Caumartin, veuve d'un avoué, propriétaire d'un hôtel particulier au coin de la rue Caumartin et du boulevard des Italiens vendus 2 millions au Crédit Lyonnais, versa 1 million pour libérer son gendre, dentu, de prison où il se trouvait à la suite de polémiques dans le drapeau blanc. Sans doute pour payer ses amendes. Cette somme fut déduite de l'héritage de Mme Dentu afin que les soeurs de cette dernière n'en supportent pas les conséquences." [...] Decamps avait un ours. Il le prêta un ami qui le mena au bal de l'opéra où on le prit pour un déguisé. Puis il le laissa pour danser et l'ours, s'en fut coucher dans une loge où il s'endormit. Après le bal, une ouvreuse vint lui taper sur l'épaule et pensa mourir de frayeur quand elle s'aperçut que c'était un ours véritable." [ Notes sur Mme Gonzalez, femme du romancier, mère d'Eva Gonzalez, élèvre de Berthe Morizot ; notes sur la famille de Ponson du Terrail ]‎

‎1 cahier d'écolier, Imprimerie Emile Flouret, Bergerac, 7 pages manuscrites, s.d. (circa 1900-1930 ?) [ Témoignage détaillé sur la mort de Decamps ]. [ ... ] "Un jour Decamps invité [chez ] Napoléon III ne voulait s’y rendre qu'avec une femme et ses filles et son épouse refusant d'y aller, fit habiller en Amazone son fils qui avait une jolie figure efféminée. Personne ne s'aperçut de la supercherie, et chacun se demandait quel était cette jeune inconnue que Decamps accompagnait ainsi. Mais cela fit un scandale énorme et le lendemain toute la ville en parlait ; et le peintre s'en amusait beaucoup car il se souciait peu de l'opinion des autres. Enfin un ami qu'on avait mis dans la confidence raconta l'histoire et les potins s'apaisèrent, chacun disant : « C'est bien une idée d'artiste »." [...] "Decamps fit son premier tableau à l'huile de vers l'âge de 14 ans et le donna à une cousine [...] La scène était très animée et recelait déjà réel talent. Musard, l'introducteur des cafés-concerts en France, ayant vu ce tableau : « le jeune homme qui l'a fait, s'il continue, fera certainement son chemin ». Cela n'empêcha que le père de deux camps s'opposa longtemps à ce que son fils soit peintre ; il voulait en faire un notaire comme lui." [...] Il était très indépendant. Traité avec ses amis, éléments à s'amuser en compagnie, il avait, cependant un fond de mélancolie incurable." [...] « Les amis de ma femme ne sont pas mes amis », disait mon grand-père Dentu.[...] "M. Emile Gaboriau avait pour maîtresse une blanchisseuse. Il l'épousa après avoir été soigné par elle durant une maladie, mais sa mère ne lui pardonna pas. [...] Gambetta, ayant gagné (à la bourse, je crois) 4 millions et ne voulant pas qu'on le sache car un républicain milliardaire est toujours suspect s'acheta l'île de Porquerolles mais au nom de M. E. De Roussen, son secrétaire. Gambetta étant mort rapidement sans avoir le temps de régulariser la situation, M. de Roussen conserva, sans scrupules, l'île de Porquerolles. Sa femme, directrice d'une maison de correction dans l'île, se fit remarquer par sa brutalité, sa cruauté et fut d'ailleurs condamné de ce chef." [...] "Ma bisaïeule Mme Caumartin, veuve d'un avoué, propriétaire d'un hôtel particulier au coin de la rue Caumartin et du boulevard des Italiens vendus 2 millions au Crédit Lyonnais, versa 1 million pour libérer son gendre, Dentu, de prison où il se trouvait à la suite de polémiques dans le drapeau blanc. Sans doute pour payer ses amendes. Cette somme fut déduite de l'héritage de Mme Dentu afin que les soeurs de cette dernière n'en supportent pas les conséquences." [...] Decamps avait un ours. Il le prêta un ami qui le mena au bal de l'opéra où on le prit pour un déguisé. Puis il le laissa pour danser et l'ours, s'en fut coucher dans une loge où il s'endormit. Après le bal, une ouvreuse vint lui taper sur l'épaule et pensa mourir de frayeur quand elle s'aperçut que c'était un ours véritable." [ Notes sur Mme Gonzalez, femme du romancier, mère d'Eva Gonzalez, élèvre de Berthe Morizot ; notes sur la famille de Ponson du Terrail ]‎


‎Intéressant recueil d'anecdotes diverses, rédigé d'après les témoignages de la tante Angèle Lair par Jeanne Dentu ou par son fils Pierre de La Batut.‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR180.00 (€180.00 )

‎KIPLING (Rudyard).‎

Reference : 65019

(1938)

‎Souvenirs, un peu de moi-même pour mes amis connus et inconnus.‎

‎ P., Paul Hartmann, 1938, in-12, 260 pp, traduction de S. et J. Vallette, biblio des oeuvres de Kipling publiées en France, reliure toile carmin, dos lisse, pièce de titre basane moutarde, couv. conservées, papier lég. jauni, bon état, ex-libris Gabriel Puaux‎


‎Rudyard Kipling reste un monument de la littérature anglaise. Né à Bombay le 30 décembre 1865, alors que les Britanniques règnent sur l'Inde, ce fils d'un pasteur féru d'art passe son enfance en Italie avant d'étudier dans un collège du Devonshire. Rentré en Inde à l'âge de 17 ans, il se lance dans le journalisme à Lahore, où son père est conservateur de musée, collaborant à un périodique local, la “Civil and Military Gazette”. Il a 21 ans lorsqu'il publie son premier livre, “Chants de divers services”, un recueil de vers satiriques. Son abondante oeuvre en prose qui comptait notamment pour admirateurs Oscar Wilde, Jean Giono et José Luis Borges, démarre avec la parution d'un classique, “Simples contes des collines”. Suivront des titres aussi fameux que le poème “Si” (1910), des romans et des contes tels “L'homme qui voulut être roi” (1888), “Le Livre de la jungle” (1894), “La lumière qui s'éteint” (1891) ou “Kim” (1901). En 1907, à 42 ans, il est le premier auteur anglophone à recevoir le prix Nobel de littérature. Rudyard Kipling n'a jamais cessé d'écrire jusqu'à sa mort à Londres, en 1937. Il laisse une autobiographie inachevée et posthume, “Souvenirs, un peu de moi-même pour mes amis connus et inconnus”, où il évoque sa prime jeunesse heureuse aux Indes, sa jeunesse fort malheureuse dans une famille d'accueil en Angleterre, son séjour en Amérique, ses voyages en Afrique du Sud, sa famille et ses activités littéraires... ‎

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Phone number : 01 43 54 43 61

EUR25.00 (€25.00 )

‎KIPLING (Rudyard) -‎

Reference : 34021

‎Souvenirs - Un peu de moi-même pour mes amis connus et inconnus - ‎

‎ Traduction de J. et S. Vallette - Paris : Hartmann, 1938 - In-16 (12x18,5 cm) de 264 pages - légères rousseurs éparses sinon bon état - 1/90 exemplaires sur vélin à la cuve des papeteries de Rives à son filigrane : tirage spécial pour la société de bibliophiles, "Les Amis des beaux livres" - sous jaquette spéciale "Les Amis des beaux livres" - Edition originale de la traduction - ‎


‎Un tout petit homme - L'école avant son temps - Sept ans de travaux forcés - L'interrègne - La commission du budget - L'Afrique du Sud - Sa maison à soi - Instruments de travail - ‎

Le Livre à Venir - Chantelle

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EUR20.00 (€20.00 )
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