P., Editions du Sagittaire, 1938, in-8, br., 122 p. Edition originale. 1/750 ex. (celui-ci marqué S.P.) sur vélin fort. Dos légèrement jauni. Nom de possesseur sur garde.
Reference : 23341
J.-F. Fourcade - Livres anciens et modernes.
M. J.-F. Fourcade
3 rue Beautreillis
75004 Paris
France
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Conformes aux usages de la libraire ancienne et moderne. Prix nets, en euros, frais de port (envoi en recommandé) à la charge du destinataire.
Paris, Éditions du Sagittaire, 1938. Un volume in-8 carré, monté sur onglets, veau bordeaux glacé, dos lisse, plats ornés d’un décor mosaïqué en relief de seize pièces de maroquin noir teintées de nuances dorées, argentées ou cuivrées évoquant des feuilles emportées par le vent, tranches dorées sur témoins, couverture et dos conservés, chemise, étui (Leroux 1970. 1 EAU-FORTE ORIGINALE DE SALVADOR DALI EN FRONTISPICE (20 x 16,2 cm). Édition originale : elle est dédiée à Nusch Éluard . EXEMPLAIRE HORS-COMMERCE TIRÉ SUR PAPIER DE HOLLANDE ENRICHI DE L'EAU FORTE ORIGINALE DE SALVADOR DALI QUI N'EST JOINTE QU'AUX 5 EXEMPLAIRES SUR CHINE ET AUX 10 HOLLANDE DU TIRAGE DE TÊTE. Un des hors-commerce réservés à Paul Éluard et à l’éditeur. Envoi autographe signé sur le faux-titre : "à monsieur Edmond Bomsel très amical hommage Paul Éluard". Note : Avocat, bibliophile et collectionneur, mécène de plusieurs surréalistes et de nombreux artistes, Edmond Bomsel finança l’ouverture de la galerie Gradiva d’André Breton (1937). Il fut également actionnaire des éditions du Sagittaire où parut Cours naturel. Après-guerre, il fut un des fondateurs de la Compagnie de l’Art brut (1948). La gravure a été tirée par Lacourière. La septième gravure de Dali pour illustrer un recueil de ses amis poètes surréalistes : André Breton (2), Paul Éluard (2), René Char (1), Georges Hugnet (1) et Tristan Tzara (1). Très bel exemplaire personnalisé, dans une reliure de Georges Leroux en phase totale avec les poèmes de Paul Éluard. Reliure probablement inspirée et dans le goût de Lucienne Thalheimer. Edmond Bomsel avait effectivement commandité plusieurs reliures à celle-ci et Leroux le savait. Lucienne Thalheimer est le relieur surréaliste par excellence (Yves Peyré, Histoire de la reliure de création 2015, p. 51) et Georges Leroux pendant des années celui des bibliophiles et collectionneurs des ouvrages surréalistes comme Filippachi, Kahn, Destribats…
Extrêmement rare. Parfait état de conservation. Restauration au premier plat de couverture. Références : Milcher-Löpsinger n° 58.
Phone number : 06 88 90 24 07
Paris, Editions du Sagittaire, 1938. In-8°, 123p. Broché.
Edition originale tirée à 765 exemplaires. Celui-ci un des quelques exemplaires hors commerce marqués HC tirés sur vélin, comme les 750 exemplaires "courant". Enrichi d'un envoi autographe signé d'Eluard en page de faux-titre.
Dijon, J.-E. Rabutot, (1870). In-8 br., VII-152 pp., envoi manuscrit de l'auteur à M. d'Arbois de Jubainville.
Couverture défraîchie, petit manque en tête et en pied du dos, bon état par ailleurs. - Frais de port : -France 4,95 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €)
Paris : Editions du Sagittaire, 1938 In-8, broché, couverture impirmée.
Couverture un peu passée et tachée. Edition originale.
Paris, Claude Micard, 1597. In-12 de 180 ff. (mal chiffrés 190), maroquin vieux-rouge, dos orné à nerfs, double encadrement de filets dorés sur les plats, dentelle intérieure, tranches dorées (Petit succr. de Simier).
Troisième édition française traduite de l'italien par Claude de Kerquifinen. Marque typographique de Claude Micard (bona fide) sur le titre imprimé en rouge et noir.L'édition originale I Capricci del Bottaio de Giambattista Gelli (1498-1563) fut publiée à Florence en 1548, la première édition française à Paris en 1566, réimprimée à Lyon en 1575. Les dix dialogues sont autant de dissertations morales dans lesquelles le tonnelier Grusto, artisan florentin sans instruction mais doué d'un solide bon sens, s'entretient avec son âme, tandis que son neveu Bindo en prend note à son insu. « Né à Florence en 1498, cordonnier de son état, Giovambattista Gelli cultiva les lettres sous la direction de Francesco Verino et participa dans sa jeunesse aux réunions des Orti Oricellari, où se retrouvait l’élite intellectuelle de Florence, de Machiavel à Pietro Vettori. Plus tard il fut assis au sein de l’Accademia déglinguer Umidi transformée par Cosme de Médicis en Acadomia Fiorentina, dont il devint consul en 1548. Cosme de Médicis confia à Gelli la charge de tenir des leçons académiques sur Dante. Il composa en outre plusieurs comédies mais sa renommée est surtout attachée à ses dialogues, Il Capricci del Bottaio et La Circe (…) mis à l’index dès 1554 et 1559, mesures que Gelli tenta en vain de faire abroger » (Jean Balsamo, Poètes italiens de la Renaissance, p. 374).Provenance : Nathan Schuster (ex-libris) collectionneur français dont la bibliothèque a été dispersée avant 1938.Brunet, II, 1521.