‎Arkaï (Léo d').‎
‎Pélagie la Sainte.‎

‎"L'ILLUSTRATION JOURNAL UNIVERSEL N° 2870 - Gravures: arrivée de M.Hneri Rochefort à la prison de Sainte-Pélagie par E.Tilly - le ""Flachat"", de la Compagnie transatlantique par Bonquart / Articles: prison modele, fantaisie de dimanche gras par le Greffier"‎

‎Au bureau du journal. 26 fevrier 1898. In-Folio. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 16 pages environ illustrées de nombreuses gravures en noir et blanc - Paginées de 162 à 176 - avec couverture et pages publicitaires.. . . . Classification Dewey : 70.4417-L'illustration / Figaro salon‎

‎"SOMMAIRE : Gravures: arrivée de M.Hneri Rochefort à la prison de Sainte-Pélagie par E.Tilly - le ""Flachat"", de la Compagnie transatlantique par Bonquart / Articles: prison modele, fantaisie de dimanche gras par le Greffier de la Prison Modèle - Henri Rochefort à Sainte-Pélagie par M.N. - le naufrage du ""Flachat"" - la sainte-madeleine par Jean Signaux - l'affaire Zola par Edmond Frank - de Courbevoie à Banghi avec la mission marchand (suite-voir nos numéro des 22, 29 janvier, 12 et 19 février) - la mode par Saint-Léger Classification Dewey : 70.4417-L'illustration / Figaro salon"‎

‎Lettre autographe signée de 4 pages rédigée depuis la prison de Sainte-Pélagie‎

‎Paris, Prison de Sainte-Pélagie 12 Novembre 1851 | 13 x 20.50 cm | une feuille‎

‎Lettre autographe signée de 4 pages datée du 12 novembre 1851. 124 lignes à l'encre noire. Le manuscrit est présentésous une chemise en demi maroquin vert sapin, plats de papier vert marbré portant une pièce de maroquin avec lamention "Lettre autographe" incrustée sur le premier plat, contreplats doublés d'agneau vert,étui bordé du même maroquin, ensemble signé Goy & Vilaine. Lettre autographe inédite sur le progrès, signée de Pierre-Joseph-Marie Proudhon, figure incontournable de la pensée sociale française, et «père de l'anarchie» selon le président de la République française Armand Fallières. Le philosophe emprisonné depuis 1849 développe dans un style virulent et combatif ses convictions socialistes et condamne les absolutismes de son temps. Extraordinaire profession de foi philosophique, politique et sociale d'un penseur à la marge, dont la fortune critique et l'influence se retrouvent de Karl Marx à Émile Durkheim en passant par Benjamin Tucker. La missive est rédigée d'une écriture rapide et dense, comportant de nombreux passages soulignés appuyant certains concepts philosophiques. Le premier feuillet présente un en-tête du journal Le Peuple de 1850, un des quatre journaux dirigés par Proudhon sous la seconde République, qui lui valurent d'être emprisonné pour «incitation à la haine du gouvernement» «provocation à la guerre civile» et «attaque à la Constitution et à la propriété». Cette lettre inédite, datée du 12 novembre 1851, constitue une réflexion passionnée et inédite, proche d'une lettre intitulée «De l'Idée de Progrès», écrite une dizaine de jours plus tard, que Proudhon publie avec une autre («De la Certitude et de son criterium») dans l'ouvrage Philosophie du progrès. Cet ensemble de textes fut composé seulement deux semaines avant la prise de pouvoir définitive de Louis-Napoléon Bonaparte, à laquelle il s'opposa immédiatement. Une fois sorti de prison en 1852, Proudhon publia les deux lettres chez Lebègue à Bruxelles afin d'échapper à la censure, qui avait interdit la vente de l'opuscule sur le territoire français. Déjà détenu depuis deux ans dans les geôles du futur empereur des Français, Proudhon écrit depuis la prison de Sainte-Pélagie à Romain Cornut, journaliste de La Presse, qui venait de terminer une série d'articles sur le positivisme d'Auguste Comte (Etudes critiques sur le socialisme, octobre-novembre 1851). Il faut voir cette lettre comme un admirable plaidoyer de quatre pages, ou plutôt une confession de sa vision socialiste du progrès, un «positivisme social» qui se fonde sur la remise en cause de l'ordre ancien: «on recule devant une négation intellectuelle, qui est la condition sine qua non du progrès ultérieur». Proudhon tente dans cette lettre de convaincre son destinataire du bien-fondé de ses convictions, et n'hésite pas à user de flatteries qui contrastent étrangement avec sa verve habituelle («Ce n'est pas croyez-le bien, [..] que je désire le moins du monde influencer votre opinion, quelque désir que j'aie de faire la conquête d'un esprit aussi judicieux que le vôtre»). Il établit au fil de la lettre un équilibre entre son âme de polémiste et son désir de légitimité, aspirant à être reconnu par ses pairs non plus comme un simple agitateur mais comme un véritable penseur. On se souvient en effet de ses célèbres traits d'esprit («la propriété c'est du vol?!»), ses sympathies pour les soulèvements de 1848 ainsi que ses pamphlets au vitriol dans Le Peuple qui avaient consacré sa réputation de radical: «J'ai été, jusqu'à ce jour, si sottement jugé, même par les socialistes [...] Parce que j'ai conduit la critique des vieux principes aussi loin qu'elle pouvait aller [...] je n'apparais encore à beaucoup de gens comme la négation pure et simple de tout ce qui est». Proudhon affirme cependant son intention de quitter les remparts de la critique («laissant pour le moment la polémique de circonstance, dans mes nouvelles études») et annonce ainsi à demi-mots l'écritur‎

‎Les Prisons politiques. Sainte-Pélagie.. Première partie. Le Pavillon de la dette et le Pavillon de la préfecture. - Deuxième partie. Le Pavillon de l'est, dit Pavillon des princes. - Troisième partie. Catalogue officieux des détenus qui depuis 1793 ont séjourné rue de la Clef. Deuxième édition‎

‎Paris, E. Dentu, 1869 in-12, 250 pp., demi-basane verte, dos lisse orné de filets, guirlandes et pointillés dorés, tranches mouchetées (reliure de l'époque). ‎

‎La première édition parut en 1868. L'ouvrage offre un intéressant tableau de Sainte-Pélagie, ancienne prison pour dettes, réservée à partir de février 1831 aux détenus politiques et démolie en 1899.Journaliste et romancier, Alfred Sirven (1838-1900) fut brièvement sous-préfet de Dreux en 1870. Il fit lui-même un bref séjour à Sainte-Pélagie (cf. dernière partie).Ex-libris Yves-Louis Mongrolle. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

‎Madame Roland, sa détention à l'abbaye et à Sainte-Pélagie. 1793. Racontée par elle-même dans ses Mémoires.‎

‎Paris, Georges Hurtrel, 1886. In-12, broché (16,5 x 11 cm), couverture imprimée rempliée, 239 p., portrait frontispice à l'eau-forte gravé et aquarellé par A. Poirson, nombreuses illustrations in et hors texte, dont certaines en couleurs. Tirage limité, numéroté et signé par l'éditeur (n° 161). Bonne édition donnant les principaux extraits des Mémoires de l'égérie des Girondins, rédigés pendant ses cinq mois de détention à l'Abbaye et à Sainte-Pélagie.- Bon état.‎

‎Arrivée d'Henri de Rochefort à la prison de SAinte Pélagie.‎

‎Journal Universel. 26 février 1898. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 16 pages environ illustrées de nombreuses gravures noir et blanc, premier plat de couverture illustré d'une gravure.. . . . Classification Dewey : 70.4417-L'illustration / Figaro salon‎

‎Rochefort à Sainte Pélagie avec gravures dans le texte dont Rochefort se réveillant en prison.La Sainte Madeleine par Jean Sigaux. L'affaire ZOla illustré de gravures dnas le texte des protagonistes dont le commandant Esterhazy et Zola lui même. De Coubevoie à Banghi, suite avec gravures dans el textE. La mode - joaillerie et boucles de ceinture par Saint Léger avec photos dans le texte de bijoux dont broche de corsage, aigrette de coiffure, boucle de ceinture roseau, iris et gui... Classification Dewey : 70.4417-L'illustration / Figaro salon‎