‎EVERETT (Alexander Hill).‎
‎Nouvelles Idées sur la Population, avec des remarques sur les théories de Malthus et de Godwin. Ouvrage traduit sur l'édition anglaise, publiée à Boston, en 1823, avec une nouvelle préface de l'auteur.‎

‎Paris, Renouard, Sautelet, 1826. In-8 broché de 127 pp., couverture imprimée. ‎

Reference : 2179


‎Première édition française. « Ouvrage devenu rare » (Coquelin et Guillaumin), traduit de l'anglais par Claude-Joseph Ferry, rédacteur à la Revue Encyclopédique. Alexander Hill Everett (1790-1847), fut « l'un des hommes les plus éminents des Etats-Unis », chargé d'affaires à Bruxelles en 1818 puis ambassadeur en Espagne en 1825 où il resta quatre ans. De retour aux Etats-Unis, il devint éditeur et principal propriétaire de la Revue de l'Amérique du Nord, dont il avait été déjà l'un des principaux collaborateurs. Sous la présidence de Polk, Everett fut chargé d'une mission pour la Chine ; à peine installé, il mourut à Canton, en 1847, âgé de 57 ans. Dans son Histoire de l'Economie Politique (chapitre XXV), Adolphe Blanqui résume ainsi l'opinion de l'auteur : « La richesse publique continue de s'accroître dans presque tous les pays de l'Europe en même temps que la population, et ce phénomène se reproduit d'une manière tellement générale, qu'un économiste américain, M. Alexandre Everett, a été jusqu'à considérer l'accroissement de la population comme la cause essentielle de ses progrès en tout genre. Il a pensé que, puisque les produits du travail sont toujours en raison du travail lui-même et par conséquent de la population, les moyens de subsistance pour les individus ne dépendent que de la répartition plus ou moins équitable des profits entre les employés des diverses industries. Ces industries elles-mêmes se développent chaque jour davantage sur un territoire limité, soit par le perfectionnement de l'agriculture, soit par l'extension du commerce. Les jeunes branches, loin d'épuiser le tronc, lui donnent une vigueur nouvelle et deviennent des éléments de prospérité, au lieu d'être comme le suppose Malthus, une cause de ruine et de dépérissement ». Rousseurs, tache brune sur la couverture. Einaudi, I, 1797 ; Coquelin et Guillaumin, I, 742. ‎

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