Write to the booksellers
PORTIER (Claudius).
Souvenirs d'Alger.
Alger, Portier Phot, avant 1878. Album in-4 oblong (31 x 42 cm) composé de 20 épreuves sur papier albuminé (16 x 24 cm) contrecollées sur cartons. Crédits du photographe et titres imprimés sur les montages, percaline de l'époque.
Reference : 15695
Claudius Portier (1841-1910), photographe et photograveur, avait un studio à Alger et a réalisé de 1860 à 1880 des séries intitulées Algérie pittoresque, Types algériens signées "C. Portier Phot." ou "C. Portier photograveur". Vues d'Alger, Blidah, Constantine, Biskra, Oran, etc., ainsi que quelques beaux portraits. Bibliographie : Photographes en Algérie au XIXe siècle, Paris, 1999, p. 82.
Bookseller's contact details
Bonnefoi Livres Anciens
M. Henri Bonnefoi
1-3, rue de Médicis
75006 Paris
France
33 01 46 33 57 22
Payment mode
Sale conditions
Nos livres sont garantis complets et en bonne condition sauf mention contraire. Conditions de vente conforme au règlement du SLAM et aux usages de la LILA (ILAB). Port Recommandé en sus ; emballage gratuit. Nous acceptons les cartes de crédit Visa et Mastercard. <br />
5 book(s) with the same title
Souvenirs d'Alger
Paris : Challamel aîné, 1884, In-8° , 131 p., fig. Extrait de la "Revue lyonnaise", T. VI,Un volume in 8 , broché , couverture illustrée , quelques dessins in texte , des rousseurs , dos abscent ; Ouvrage assez Rare
envoi autographe auteur,couvertures conservees,
"LA REVUE POLITIQUE ET LITTERAIRE 2e ANNEE - 2e SEMESTRE N°27 - HISTOIRE D'UN PANTOUFLARD PAR HENRY GREVILLE, LE ""KULTURKAMPF"" EN SUISSE PAR E. DE PRESSENSE, SOUVENIRS D'ALGER PAR JULES LEMAITRE, ROMANS ET CONTES PAR E.R."
LIBRAIRIE GERMER BAILLIERE. 30 DEC 1882. In-4. En feuillets. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 833 à 856. Lecture en colonnes.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Revue des cours littéraires. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul [On joint : Souvenirs 1886-1944. Jours de Gloire par son grand-frère Fernand Marchal ]. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fill à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Ropartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul.
1 manuscrit illustré de 47 ff., avec nombreuses photos contrecollées (retirage de clichés anciens mais également plusieurs photos originales anciennes (Mathilde Müller, Fernand Marchal, Roger et Thérèse Ramspacher, Les Ormeaux à Epinal, Ninette Reboul), 1978-1980, et 1 vol. reprographié (Souvenirs de Fernand Marchal), 205 pp.. Rappel du titre complet : Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul [On joint : Souvenirs 1886-1944. Jours de Gloire par son grand-frère Fernand Marchal ]. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fill à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Ropartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul.
Ecrit avec style ("L'Aîné était un roi d'égoisme, l'autre la bonté la plus délicate" ; "Celle-ci épousa un alsacien qui la fit plus pleurer que rire..." etc...) ce manuscrit intéressera de manière très large, notamment les amateurs d'histoire de l'Alsace ou des Vosges. Nous joignons à ce manuscrit original les souvenirs reprographiés de son frère Fernand Marchal (souvenirs beaucoup mieux "construits" mais très complémentaires).Nous fournissons ci-après un résumé succinct et quelques extraits de ce manuscrit original : Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul, née vers 1900. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fille à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Rapartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul, etc...
Envers et contre tout. Tome I : De Londres à Alger. Souvenirs et documents sur la France Libre, 1940-1942. (1 volume).Tome II : D'Alger à Paris. Souvenirs et documents sur la France Libre, 1942-1944 (1 volume).
1947 Paris, Laffont, 1947-1950, 2 forts volumes in 8° brochés, 471et 455 pages ; couvertures effrangées.
Souvenirs de l'ancien chef des servoces secrets du Général de Gaulle. ...................... Photos sur demande ..........................
Phone number : 04 77 32 63 69
SOUVENIRS DE NERIS. Reliés à la suite : GUIDE MEDICAL AUX EAUX DE NERIS - ALGER ET LA TUBERCULOSE PULMONAIRE par le Docteur GANDIL - DIVONNE-LES-BAINS. Hydrothérapie, par le Docteur E. Vidart - L'HIVER A CANNES ET AU CANNET, par A. BUTTURA [etc.].
1886 Montluçon, Imprimerie A. Herbin, 1886. Huit ouvrages reliés en un fort volume in-12 (130 X 194 mm) demi-chagrin poli rouge vif, dos cinq nerfs ornés d'un filet doré, caissons double encadrement de filet doré, titre doré, chiffre " E[variste] M[ichel] " doré en queue (reliure circa 1890). Montluçon, Imprimerie A. Herbin, 1886 ; 155 pages.
EDITION ORIGINALE des souvenirs d'un "ancien Médecin-inspecteur des Eaux de Néris". RELIE à la suite : "GUIDE MEDICAL AUX EAUX DE NERIS par le docteur BONNET de MALHERBE". Paris, Baillière, 1872. Frontispice gravé, 129 pages (dont faux-titre et titre), 1 feuillet (table des matières). Edition originale contenant un envoi autographe signé de l'auteur sur la page de faux-titre : " à M. le Docteur Ev. Michel / Hommage confraternel / B. M.". Bien complet de la gravure représentant l'établissement thermal de Néris côté jardin. RELIE à la suite : "ALGER ET LA TUBERCULOSE PULMONAIRE par le Docteur [Fernand] GANDIL". Paris, E. Lecrosnier et Babé, 1890. Faux-titre, titre, 77 pages, 3 feuillets non paginés (tableaux). Edition originale contenant un envoi autographe signé de l'auteur sur la page de faux-titre : "à Monsieur le D. Michel Evariste / Hommage de l'auteur / F. Gandil". RELIE à la suite : " DIVONNE-LES-BAINS - Hydrothérapie - Renseignements généraux sur l'établissement et sur les procédés thérapeutiques employés à Divonne par le Docteur E. Vidart ". Genève, Imprimerie Charles Pfeffer, 1888. Un feuillet double replié (plan du nouvel établissement de Divonne-les-Bains), 31 pages (dont titre), un feuillet double replié (carte topographique de Divonne et de ses environs). RELIE à la suite : "L'HIVER A CANNES ET AU CANNET. Les bains de mer et la Méditerranée. Les bains de sable par A. BUTTURA". Paris, Baillière, Cannes, Robaudy, 1883. VIII (dont faux-titre et titre), 110 pages, carte dépliante couleurs (Cannes, Le Cannet et le golfe Jouan). Illustrations in et hors-texte. RELIE à la suite : "QUELQUES CONSIDERATIONS SUR L'HYDROTHERAPIE par le Dr BENI-BARDE". Paris, Masson, 1890. 20 pages (dont faux-titre). RELIE à la suite : "TRAITEMENT DE LA GOUTTE ET DES MANIFESTATIONS ARTHRITIQUES AUX EAUX DE ROYAT par le Dr C.-A. PETIT, M.-D., Paris". Paris, Octave Doin, 1888. 16 pages (dont titre). RELIE à la suite : "LOUECHE-LES-BAINS ET SES EAUX THERMALES - Notice médicale par le Dr Eugène de La Harpe, de Lausanne". 40 pages (dont titre). BEL EXEMPLAIRE pour cette INTERESSANTE REUNION, bien relié. NICE COPY. PICTURES AND MORE DETAILS ON REQUEST.
Phone number : 06 21 78 12 79
