Laon La Porte, coll. "Poésie de voyage" 2003 1 vol. broché Plaquette in-12 oblong, brochée, non paginée. Edition originale tirée à 200 exemplaires numérotés. En parfaite condition.
Reference : 85317
Vignes Online
M. Henri Vignes
La Font Macaire
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France
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LA PORTE. 2003. In-16. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Non paginé, environ 10 pages .. . . A l'italienne. Classification Dewey : 841-Poésie
Classification Dewey : 841-Poésie
A Casères, Capitale de l'île de Naudely, chez Pierre Fortané, 1703. In-12 de (40)-164-(6) pp., veau brun glacé, dos orné à nerfs (reliure de l'époque).
Édition originale assez rare. Première partie seule publiée. Neuf figures gravées par Harrewyn.Prototype de l'utopie bourgeoise selon Wijngaarden, imitation du Télémaque pour Imgard Hartig, Lesconvel est considéré comme un prophète de la liberté restreinte, un précurseur du parti libéral, un champion du libre-échange.Très bon exemplaire.Hartig p. 37 ; Cioranescu 43071 ; Cohen 639 ; NED, 2860 (pour la deuxième édition).
[Imprimerie Emile Flouret] - DE LA BATUT, Jeanne et Pierre
Reference : 44471
(1900)
1 cahier d'écolier, Imprimerie Emile Flouret, Bergerac, 7 pages manuscrites, s.d. (circa 1900-1930 ?) [ Témoignage détaillé sur la mort de Decamps ]. [ ... ] "Un jour Decamps invité [chez ] Napoléon III ne voulait s’y rendre qu'avec une femme et ses filles et son épouse refusant d'y aller, fit habiller en Amazone son fils qui avait une jolie figure efféminée. Personne ne s'aperçut de la supercherie, et chacun se demandait quel était cette jeune inconnue que Decamps accompagnait ainsi. Mais cela fit un scandale énorme et le lendemain toute la ville en parlait ; et le peintre s'en amusait beaucoup car il se souciait peu de l'opinion des autres. Enfin un ami qu'on avait mis dans la confidence raconta l'histoire et les potins s'apaisèrent, chacun disant : « C'est bien une idée d'artiste »." [...] "Decamps fit son premier tableau à l'huile de vers l'âge de 14 ans et le donna à une cousine [...] La scène était très animée et recelait déjà réel talent. Musard, l'introducteur des cafés-concerts en France, ayant vu ce tableau : « le jeune homme qui l'a fait, s'il continue, fera certainement son chemin ». Cela n'empêcha que le père de deux camps s'opposa longtemps à ce que son fils soit peintre ; il voulait en faire un notaire comme lui." [...] Il était très indépendant. Traité avec ses amis, éléments à s'amuser en compagnie, il avait, cependant un fond de mélancolie incurable." [...] « Les amis de ma femme ne sont pas mes amis », disait mon grand-père Dentu.[...] "M. Emile Gaboriau avait pour maîtresse une blanchisseuse. Il l'épousa après avoir été soigné par elle durant une maladie, mais sa mère ne lui pardonna pas. [...] Gambetta, ayant gagné (à la bourse, je crois) 4 millions et ne voulant pas qu'on le sache car un républicain milliardaire est toujours suspect s'acheta l'île de Porquerolles mais au nom de M. E. De Roussen, son secrétaire. Gambetta étant mort rapidement sans avoir le temps de régulariser la situation, M. de Roussen conserva, sans scrupules, l'île de Porquerolles. Sa femme, directrice d'une maison de correction dans l'île, se fit remarquer par sa brutalité, sa cruauté et fut d'ailleurs condamné de ce chef." [...] "Ma bisaïeule Mme Caumartin, veuve d'un avoué, propriétaire d'un hôtel particulier au coin de la rue Caumartin et du boulevard des Italiens vendus 2 millions au Crédit Lyonnais, versa 1 million pour libérer son gendre, Dentu, de prison où il se trouvait à la suite de polémiques dans le drapeau blanc. Sans doute pour payer ses amendes. Cette somme fut déduite de l'héritage de Mme Dentu afin que les soeurs de cette dernière n'en supportent pas les conséquences." [...] Decamps avait un ours. Il le prêta un ami qui le mena au bal de l'opéra où on le prit pour un déguisé. Puis il le laissa pour danser et l'ours, s'en fut coucher dans une loge où il s'endormit. Après le bal, une ouvreuse vint lui taper sur l'épaule et pensa mourir de frayeur quand elle s'aperçut que c'était un ours véritable." [ Notes sur Mme Gonzalez, femme du romancier, mère d'Eva Gonzalez, élèvre de Berthe Morizot ; notes sur la famille de Ponson du Terrail ]
Intéressant recueil d'anecdotes diverses, rédigé d'après les témoignages de la tante Angèle Lair par Jeanne Dentu ou par son fils Pierre de La Batut.
Tallandier. 1913. In-4. En feuillets. Etat d'usage, Livré sans Couverture, Dos frotté, Papier jauni. 16 pages illustrées en couleurs et en noir et blanc - accrocs au dos. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
les meilleurs yeux par Lajarrige - Justin Pigrièche par Steimer - Sans souci, île moderne par Clavigny - Excellente idée par Drawer - Un témoin à charge par Dig - L'invasion par Nézière - Le canard à quatre pattes par Nadal - le lasso par Steimer - Les trois écus d'or par Thomen - ... Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues