Gallimard 1912 1 vol. broché in-12, broché, 166 pp. Edition originale. Bon exemplaire, enrichi d'un envoi de l'auteur.
Reference : 83924
Vignes Online
M. Henri Vignes
La Font Macaire
87120 Eymoutiers
France
05 55 14 44 53
conformes aux usages de la Librairie ancienne et moderne et, pour l'étranger, aux règlements en matière de paiement. Les prix indiqués sont nets, en euros. Frais de port en sus à la charge du destinataire.
Paris, Imprimerie Royale, 1790. In-4 de (4)-XVI-309-(3)pp., illustré de 11 cartes dépliantes et 1 gravure, basane mouchetée, dos lisse avec pièce de titre en maroquin rouge, large filet doré aux plats, filets aux coupes, frottements et épidermures, bel exemplaire
Édition originale de cet ouvrage remarquable d'un des plus grands hydrographes de son temps. Le texte des Découvertes des Français en Nouvelle-Guinée est accompagné de Reconnaissances postérieures des mêmes terres par des navigateurs anglais qui leur ont imposé de nouveaux noms et précédé d'un Abrégé historique des navigations et des découvertes des Espagnols dans les mêmes parages. L'illustration comprend 12 planches dépliantes tirées sur papier bleuté, dont 9 cartes, 2 vues en coupe et une planche d'outils et d'armes indigènes. Cet ouvrage, présenté à l'Académie des sciences en 1790, contient la relation du deuxième voyage du comte de Fleurieu (1738-1810), marin et savant, grand explorateur et hydrographe français, capitaine de vaisseau et directeur des ports et arsenaux, qui fut également ministre de la Marine sous Louis XVI. Durant la guerre d'Indépendance américaine, il traça tous les plans des opérations navales, jouant ainsi un rôle important dans le succès des Américains. Il rédigea également les instructions du voyage de La Pérouse et de d'Entrecasteaux. L'ouvrage a pour but d'assurer les droits de Bougainville et de Surville contre les prétentions ou les usurpations de certains navigateurs anglais, faisant valoir « le désir de restituer à la Nation françoise des découvertes qui lui appartiennent, et qu’un voisin, rival et jaloux, tente de s’approprier », écrit-il dans l'avant-propos. Fleurieu appuya ses idées, celles notamment qui défendaient la prééminence des explorations françaises, de belles cartes fondées sur les découvertes de son époque et non sur des conjectures. Or, nous dit Hill, quand d'Entrecasteaux rentra de sa vaine recherche de La Pérouse, il confirma que les théories de Fleurieu semblaient généralement correctes, et notamment sa démonstration que les îles Salomon, découvertes par Mendaña en 1567, sont les mêmes que celles qui avaient été localisées par Carteret en 1767 et par Bougainville l'année suivante, ou encore par Shortland en 1788. First edition complete, with 11 folding charts and maps and a folding plate. Nice copy of this account of the French discovering of the Solomon Islands. The 12 folding maps and plates relate to New Guinéa and the Solomon Islands: when d’Entrecasteaux returned from his fruitless search for La Pérouse he confirmed that Fleurieu’s theories appeared to be genially correct. M6-C
Paris, Maison Bouasse-Lebel, Imp. Édit. et ancienne Maison Basset réunies, [circa 1865]. 503 x 636 mm.
Très rare et belle vue d'ensemble des inventions et découvertes dans les Sciences et les Arts, depuis l'Antiquité. Elle est issue de l'Encyclopédie Bouasse-Lebel, et a été publiée vers 1865 par la Maison Bouasse-Lebel et l'ancienne Maison Basset réunies. La première édition a été publiée par la Maison Basset en 1860. Plus de deux cents inventions et découvertes, la plupart datées, sont représentées, depuis 3600 av. J.-C. jusqu'à 1854, réparties en vingt-six domaines des Sciences et des Arts : agriculture, mouture du blé, fabrication du fer, puits artésiens, élévation de eaux et arrosements, chauffage, éclairage, armes, navigation, télégraphie, horlogerie, céramique, verrerie, moyens de transport, serrures, instruments de pesage, monnayage, fabrication du papier, typographie, systèmes de pression, filature et plantes textiles, tissus, physique, optique, électricité et machines à vapeur. On trouve, parmi ces inventions et découvertes, la boussole de mer inventée par Flavio Gioja d'Amalfi vers 1300, une forge à la Catalane du XIIe siècle, la moissonneuse Hussey construite par William Dray en 1854, une machine à battre et égrainer les épis inventée par André Meikle en 1800, un moulin portatif arabe, la première pompe à eau inventée par Ctésibius d'Alexandrie en 120 av. J.-C., la vis d'Archimède en 200 av. J.-C., la première lanterne créée en 1667, la lampe astrale inventée par Isaac Bordier-Marcet, des armes du Moyen-Âge (catapulte, baliste), une baïonnette des chasseurs de Vincennes, un navire scandinave vers l'an 400, un radeau polynésien, le télégraphe électrique de Morse du Ministère de l'Intérieur, la montre dite œuf de Nuremberg inventée vers 1500, la clepsydre inventée vers 1600 av. J.-C., des poteries gauloises et gallo-romaines datant de 100 av. J.-C., un charriot gaulois utilisé av. J.-C., le nœud gordien servant de fermeture en 1000 av. J.-C., le balancier inventé par Nicolas Briot en 1641, la presse mécanique inventée par Selligue en 1822, la presse lithographique inventée par Aloys Senefelder en 1802, une fabrique de drap à Rome en 300 av. J.-C., la fontaine de Héron d'Alexandrie en 120 av. J.-C., le chemin de fer atmosphérique inventé par Samuel Clegg et Joseph Samuda en 1831, le miroir ardent au moyen duquel Archimède incendia la flotte ennemie, le paratonnerre de Franklin, l'électrophore inventé par Wilcke en 1775, ou encore la locomotive Stephenson et Seguin aîné de 1804. En bas à droite figure un tableau chronologique des inventions et découvertes qui ne sont pas mentionnées dans le tableau, la dernière étant l'invention de l'aluminium par Henri Sainte-Claire Deville en 1854. L'Encyclopédie Bouasse-Lebel est un ensemble de tableaux synoptiques pour l'enseignement élémentaire et la vulgarisation des arts, des sciences et des métiers. Les tableaux synoptiques sont des présentations graphiques permettant de saisir d'un seul coup d'œil un ensemble d'informations, sous une forme attrayante et facile à saisir. La Maison d'édition Bouasse-Lebel a été fondée en 1845 par Eulalie Lebel, épouse Bouasse, et s'établit au 26 puis au 35 rue de la Harpe. En 1857, le magasin s'installe au 29 rue Saint-Sulpice, et l'atelier d'imprimerie au 3 rue Garancière. La société est active sous le nom de Maison Bouasse-Lebel de 1845 à 1865, date à laquelle elle reprend la Maison Basset, fondée en 1700, et devient Maison Bouasse-Lebel et ancienne Maison Basset réunies. En 1879, son Encyclopédie comptait 188 tableaux synoptiques, composés d'environ 15 000 figures. Ces tableaux étaient proposés à la vente en deux versions, en noir ou en couleurs. Très rare. Nous n'avons pas trouvé d'exemplaire de cette planche dans les collections publiques. Bel exemplaire. Bibliographie de la France, Journal général de l'Imprimerie et de la Librairie, 29 septembre 1860, 1860, p. 464, 1957 (pour l'édition publiée en 1860) ; Liste des fournitures et du matériel à l'usage des maisons des Frères des écoles chrétiennes, 1888, p. 57, 1578.
Payot, 1934-1941 6 vol. in-8°, 279, 259, 271, 271, 291 et 329 pp, traduit du norvégien, 397 cartes et gravures dans le texte et à pleine page, index chronologique des principaux voyages, les 6 tomes reliés en 3 volumes demi-chagrin noir à coins, dos à 4 nerfs soulignés à froid, titres dorés (rel. de l'époque), bon état (Bibliothèque historique). Bel exemplaire bien relié
Complet. – I-II : Des origines à Christophe Colomb ; III-IV : De Christophe Colomb à Cook ; V-VI : De Cook à nos jours. — Table : I. Les premiers pionniers ; Les plus vieilles civilisations ; L'Egypte ; Les Keftiou ; L'Ophir et le Pont ; Les Phéniciens ; Carthage ; Le périple d'Hannon ; Les conceptions géographiques des anciens Grecs ; Les colonies de la Grèce ; Les géographes grecs d'avant Hérodote ; Hérodote et sa géographie ; L'Anabase de Xénophon ; L'Inde de Ctesias ; L'Expédition d'Alexandre ; L'Expédition de Néarque ; Le voyage de Mégasthènes en Inde ; Le voyage de Pythéas aux pays du nord ; Les savants d'Alexandrie et de Rhodes ; La géographie au temps de la puissance romaine, Ptolémée ; L'Empire chinois et ses relations avec l'Europe ; Les voyages de Fa-Hien (399-417) ; Le commerce de Byzance avec l'Asie. La mission de Zémarque ; La géographie au Moyen Age ; La géographie chez les Arabes ; Les voyages d'Ibn Batouta ; Les voyages d'exploration des Norvégiens ; Les voyages de Benjamin de Tudèle, 1159-1173 ; Les conquêtes mongoles. La conflagration universelle ; La visite de Plan Carpin au grand khan. – II. Les voyages de Rubruquis à Karakoroum ; Marco Polo ; Les missions d'Asie ; Jean de Béthencourt ; Les explorations portugaises sous Henri le Navigateur ; Vasco de Gama trouve la route maritime de l'Inde ; La deuxième période des expéditions portugaises ; Christophe Colomb découvre l'Amérique. – III. Le deuxième voyage de Colomb ; Le troisième voyage de Colomb. Découverte de l'Amérique du Sud ; Le quatrième voyage de Colomb ; Les dernières années de Colomb ; Les conquistadores dans l'Amérique centrale. Le nouveau monde. Les « explorateurs mineurs » ; Balboa découvre la Mer du Sud ; Découverte et conquête du Mexique ; Découverte et conquête du Pérou. François Pizarre ; Conquête du Chili. Découverte de l'Amazone ; Les premières expéditions dans l'Amérique du Nord. L'El Dorado. Les voyages en Floride, le Mississipi, l'Arizona, le Nouveau Mexique, la Prairie ; Las Casas, « l'Apôtre des Indiens » ; Fernand de Magellan fait le tour du monde, 1519-1522. – IV. Découvertes sur la côte orientale de l'Amérique du Nord. A la recherche du passage du Nord-Ouest ; La fondation de Buenos-Ayres. Découvertes en Argentine, au Paraguay et au Brésil ; L'empire des jésuites au Paraguay ; Les Français en Floride. Sir Walter Raleigh ; Le capitaine John Smith et la fondation de la Virginie ; La colonie française du Canada ; Voyages aux terres polaires en quête d'un raccourci vers la Chine ; Voyages de découverte des Espagnols dans la mer du Sud ; Voyage autour du monde de Sir Francis Drake ; Les successeurs immédiats de Francis Drake ; Voyages des Hollandais dans les eaux japonaises ; Découverte et conquête de la Sibérie ; Le travail des missionnaires ; La Salle et la Louisiane ; William Dampier « le grand flibustier » ; Le tour du monde de Roggeveen. Découverte de l'île de Paques ; L'amiral Anson, le dernier des grands corsaires ; Expédition de John Byron aux mers du Sud ; Wallis et Carteret. Découverte de Tahiti, Pittcairn, etc ; Le voyage autour du monde de Bougainville ; Le premier voyage de Cook. – V. Le deuxième voyage de Cook ; Le troisième voyage de Cook ; Les navigateurs français contemporains de Cook ; La colonisation de l'Australie ; Jean Egède et le Groenland ; La grande expédition russe au Kamtchatka, en Sibérie et en « Tartarie » ; Nouvelles découvertes en Amérique ; Découvertes en Afrique ; La mer Rouge, l'Asie occidentale et l'Inde au début du XIXe siècle ; Nouveaux progrès en Afrique ; La reconnaissance du territoire américain s'organise ; Circumnavigations des Russes ; Nouvelles explorations dans le Pacifique. – VI. Les premiers voyages dans l'Antarctique ; Le passage Nord-Ouest et les expéditions Franklin ; Les détails du territoire américain ; Les derniers voyages d'exploration en Australie ; Découvertes en Afrique à partir du milieu du XIXe siècle ; Les dernières explorations de l'Asie ; L'Océan glacial. La « Vega » et la « Jeannette » ; Le Spitzberg, la Nouvelle Zemble et l'Archipel François-Joseph ; Le détroit de Smith, le canal de Robeson et le Groenland ; Les expéditions du Pôle Nord ; Les derniers voyages aux mers antarctiques. La conquête du Pôle Sud ; Index chronologique.
Paris, A. Bertrand, 1856. 1856 1 vol in-8° non rogné(230 x 140 mm) de : 32 pp. (dont titre) ; 1 carte dépliante ; [1] f. (titre) ; 53 pp. (catalogue du libraire). Brochage éditeur jaune. (couverture cornée et tâchée, dos précaire).
Rare publication consacrée aux découvertes anglaises des grands lacs africains du milieu du XIXème siècle, due à Victor-Adolphe Malte-Brun (1816-1889), géographe et cartographe français. Cette notice est suivie du mémoire du R. J. Erhardt. Fils du géographe Conrad Malte-Brun, fondateur de la Société de géographie, il se destine lui aussi à la géographie. Membre à son tour de la Société de géographie de Paris, il en devient secrétaire-adjoint en 1852 puis, comme son père, secrétaire général de 1860-1867. Responsable de lédition du Bulletin de la Société de géographie, il est lauteur de plus de cent articles. En parallèle, il complète le Précis de géographie universelle, uvre de son père, et s'intéresse au projet du percement d'un canal en Amérique centrale entre l'Océan Pacifique et l'Océan Atlantique. Excellent cartographe, il présente ses projets à loccasion du Congrès international d'études du Canal interocéanique présidé par Ferdinand de Lesseps. Il meurt en 1889, laissant derrière lui de nombreuses publications dont le présent ouvrage. Dans une première partie, Malte-Brun fait un état des lieux géographique des découvertes européennes en Afrique: LAfrique nest plus aujourdhui comme jadis cette terre inconnue et mystérieuse que dévoraient les rayons du soleil, ce nest plus un vaste plateau sec et aride auquel on ne parvenait de lest ou de louest quen gravissant des chaînes de montagnes qui en formaient les rampes. Le style de lauteur reflète ici sa vision humaniste de la géographie inspirée dEugène Cortambert, lui-même inspiré par les travaux de son père Conrad Malte-Brun. Cortambert avance que la géographie doit être : la peinture générale de la nature, de l'humanité et de ses travaux. Cette vision dune géographie moderne construite sur d'autres bases qu'une énumération des lieux tient beaucoup à Victor-Adolphe Malte-Brun qui sillustre en tant que géographe écrivain. Cette notice de Malte-Brun est suivie du : mémoire de J. Erhardt, pour lexplication de la carte de lAfrique orientale centrale, composée par lui et J. Rebmann. Johannes Rebmann (1820-1876), explorateur et missionnaire allemand, est le premier Européen, avec son complice Johann Ludwig Krapf, à entrer en Afrique par la côte indienne. De plus, ils sont considérés comme étant les premiers Européens à découvrir le Kilimandjaro et le mont Kenya. Dans cette seconde partie, lauteur fait un état très complet de toutes les découvertes récentes en Afrique Centrale et tout particulièrement en ce qui concerne le lac Victoria. Ce mémoire est accompagné de la carte en question intitulée : Carte du lac équatorial dUniamési ou dUkéréwé dans lAfrique Centrale et Orientale. 1 vol. in-8vo untrimmed (230 x 140 mm) of : 32 pp (including title); 1 folding map; [1] f. (title); 53 pp (bookseller's catalogue). Yellow publisher's paperback (cover corroded and stained, spine in poor condition). A rare publication devoted to the English discoveries of the great African lakes in the mid-19th century, by Victor-Adolphe Malte-Brun (1816-1889), a French geographer and cartographer. It is followed by a memoir by R. J. Erhardt. Son of the geographer Conrad Malte-Brun, founder of the Société de géographie, he too was destined to become a geographer. A member of the Société de géographie de Paris, he became assistant secretary in 1852 and then, like his father, secretary general from 1860-1867. Responsible for publishing the Bulletin de la Société de géographie, he wrote over a hundred articles. At the same time, he completed his father's Précis de géographie universelle and became interested in the project to build a canal in Central America between the Pacific and Atlantic Oceans. An excellent cartographer, he presented his plans at the International Congress on the Study of the Interoceanic Canal, chaired by Ferdinand de Lesseps. He died in 1889, leaving behind numerous publications, including this book. In the first part, Malte-Brun gives a geographical account of the European discoveries in Africa: "Africa is no longer, as it once was, an unknown and mysterious land devoured by the sun's rays; it is no longer a vast, dry and arid plateau that could only be reached from the east or west by climbing the mountain ranges that formed its ramps". The author's style here reflects his humanist vision of geography, inspired by Eugène Cortambert, himself inspired by the work of his father Conrad Malte-Brun. Cortambert argued that geography should be: "the general painting of nature, humanity and its works". This vision of a modern geography built on a basis other than an enumeration of places is of great importance to Victor-Adolphe Malte-Brun, who distinguished himself as a writer-geographer. This note by Malte-Brun is followed by: "mémoire de J. Erhardt, pour l'explication de la carte de l'Afrique orientale centrale, composée par lui et J. Rebmann". Johannes Rebmann (1820-1876), a German explorer and missionary, was the first European, along with his accomplice Johann Ludwig Krapf, to enter Africa via the Indian coast. They are also considered to be the first Europeans to discover Kilimanjaro and Mount Kenya. In this second part, the author gives a comprehensive account of all the recent discoveries in Central Africa, with particular reference to Lake Victoria. This memoir is accompanied by the map in question, entitled "Map of the equatorial lake of Uniamési or Ukéréwé in Central and East Africa...".
[Imprimerie J. Poncet] - DELATTRE, R.P. A.-L. [ Delattre, Alfred-Louis (1850-1932) ]
Reference : 37117
(1912)
Notes et Découvertes mariales à Carthage 1910-1911 [Livre dédicacé par l'auteur ] [ Avec : ] Les Découvertes Mariales à Carthage 1er novembre 1909 - 3 Septembre 1910. Rapport présenté au Congrés Marial du Puy [Avec : ] Invocations Africaines à la Sainte Vierge, 2 brochures et 1 feuillet plié, Imprimerie J. Poncet, Lyon, 1912 et 1910, 46 et 12 pp.
La brochure principale dédicacée par le R.P. Delattre. Etat très satisfaisant (couv. du premier titre débrochée, du fait de l'insertion de l'autre brochure et du f. ajouté). Le père Delattre appartenait aux Missionnaires d'Afrique, plus connus comme "Pères blancs".