Presses Universitaires de France - PUF, coll. "Littératures modernes" 1976 1 vol. broché in-8, broché, 205 pp., index. Edition originale de 1976. Envoi autographe de l'auteur. Plusieurs rayures à la couverture, sinon bon état.
Reference : 76465
ISBN : B017NR03XQ
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M. Henri Vignes
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Genève, Georg & Co, 1908, fort pt in-8°, lxxvi-247 et 335 pp, 10e édition, les 2 tomes reliés ensemble en un volume demi-chagrin chocolat, dos à 5 nerfs soulignés à froid, titres et fleurons dorés (rel. de l'époque), un mors frotté, trace de mouillure ancienne au 1er plat, coupes frottées, intérieur propre et sans rousseurs, bon état
Le 11 mai 1881, Henri-Frédéric Amiel – âgé de 59 ans et 8 mois – meurt à Genève en laissant un Journal intime de 16.867 pages. Ce Journal, il l'a légué à une de ses confidentes et admiratrices, Fanny Mercier, en lui recommandant d'en tirer de quoi donner une idée de sa pensée. Deux ans plus tard, des “Fragments d'un Journal intime” paraissent à Genève et Paris, par les soins de Fanny Mercier et d'Edmond Schérer, sous la forme de deux petits volumes. Le Journal intime nous donne une idée du drame de cet homme qui a passé sa vie à scruter sa conscience, qui s'est analysé chaque jour avec une lucidité extraordinaire, et cela sans discontinuer pendant trente-trois ans. (Bernard Gagnebin) — Henri-Frédéric Amiel eut de bonne heure l'habitude de noter ses impressions et ses observations, de converser avec lui-même la plume à la main ; c'est ce dont témoignent un certains nombres de pages éparses, écrites pendant ses années d'études et de voyages, et qui forment un premier essai de Journal Intime. Interrompu à plusieurs reprises, ce Journal devient régulier en 1849, au moment où Amiel rentre à Genève après un séjour en Allemagne, et dès lors il se poursuit, semaine après semaine, puis jour après jour, jusqu'à la fin d'avril 1881, une semaine seulement avant la mort de l'auteur. Ce manuscrit, qui embrasse ainsi plus de trente années, servait à plusieurs fins. Amiel y consignait les souvenir des occupations et des incidents de la journée. Il y notait ses observations psychologiques et les impressions qu'il recevait de ses lectures. Mais son Journal était surtout le confident de ses méditations intimes, l'asile où le penseur prenait conscience de sa vie intérieure, interrogeait sa destinée, laissait échapper le cri de ses peines, cherchait l'apaisement dans l'examen et la confession.
Ensemble de 15 volumes in-8 (202 x 123 mm), plein veau acajou moucheté de l'époque, dos lisses ornés d'un riche décor romantique de palettes, chaînettes, filets et fers spéciaux dorés, pièces de titre et de tomaison de veau vert bronze, tranches cailloutées assorties aux gardes.
Exceptionnel ensemble des oeuvres collectives non romanesques de Benjamin Constant, en édition originale, réunies et reliées uniformément à l'époque (sauf le dernier volume, relié à l'identique).1- Première édition collective en partie originale, recueil complet des écrits politiques, écrits de circonstances et articles de presse composés par Benjamin Constant, augmentés de l'histoire des sessions parlementaires de 1816 et 1818. (Courtney, 131a).2- Edition originale. Recueil de 69 discours prononcés par Benjamin Constant entre 1819 et 1827, précédés d'un avant-propos de l'auteur. (Courtney, 132a).3- Première édition collective de ces vingt importants essais de philosophie politique de Benjamin Constant, la plupart dans des éditions modifiées, et six inédits, précédés d'une préface de circonstance. Publié quelques mois avant la mort de l'auteur, l'ouvrage constitue l'ultime synthèse de sa doctrine et son testament politique, "véritable credo du libéralisme". (Courtney, 134a).4- Édition originale des cinq parties, conforme à la description donnée par Courtney, les deux dernières ont paru à titre posthume. (Courtney, 58a).5- Edition originale posthume. Le testament spirituel de Benjamin Constant, "expression interrompue et dernière d'une pensée qui aurait dû prolonger sa course longtemps encore". (Courtney, 63a).6- Première édition complète. Etablissement du texte, introduction et notes par Jean Mistler. Ce volume en reliure moderne à limitation de lensemble.Des rousseurs et piqûres éparses, plus soutenues à certains feuillets.Bel ensemble réuni dans une reliure romantique uniforme décorative de l'époque.
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In-8, broché (plat supérieur détaché), lxxxi, 521 p. Paris, Albin Michel, 1928.
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Ides et calendes, 1951. In/8 (19 x 13 cm) broché, couverture illustrée d'une vignette, 119 pages.
"Gide André – Et nunc manet in te suivi de Journal intime : André Gide a tenu un journal intime pendant près de 60 ans. «Et nunc manet in te» et «Journal intime» sont une tranche de son journal, celle écrite après la mort de sa femme Madeleine. Rédigeant sans aucun artifice littéraire, il raconte certains faits marquants de sa vie conjugale, complexe et torturée. La mort de Madeleine a été une grande douleur pour Gide, qu’il tente certainement de conjurer avec ce plaidoyer qui fait revivre ses souvenirs."
P., Editions de l'Illustration, 1923-1928, in-4°, 104-76-92 pp, un portrait photo de Pierre Loti en lieutenant de vaisseau (1881) en frontispice, 40 gravures et photos sur 16 planches en noir et une planche en couleurs hors texte dans la première partie, – 81 illustrations de Georges Baudin dans la seconde, – 25 dessins et aquarelles de l'auteur dans le texte et à pleine page (dont 3 planches en couleurs hors texte) et une photo de l'auteur en 1878 dans la troisième partie, les 3 parties reliées ensemble en un volume demi-maroquin noisette, dos à 5 nerfs filetés, titre (La Petite Illustration) et tomaison (12) dorés (rel. de l'époque), pt trace de mouillure ancienne en coin de la troisième partie, dos uniformément passé, bon état
Pré-publication illustrée du “Journal intime” de Pierre Loti (1850-1923) dans « La Petite Illustration », le supplément adressé aux seuls souscripteurs de l'abonnement N°1 à « L'Illustration ».