Paris Julliard 1961 1 vol. Broché in-8, broché, 319 pp. Edition originale ornée d'un frontispice par Jean-Pierre Jouffroy. Exemplaire du service de presse avec un envoi de l'auteur : "A Georges Bataille, honneur de notre littérature contemporaine. Hommage de Maurice Rheims". Prière d'insérer joint. Couverture un peu usée.
Reference : 41329
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M. Henri Vignes
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Guy Trédaniel Editeur Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1996 Book condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée éditeur rouge, illustrée d'une silhouette de main sur fond jaune In-8 1 vol. - 187 pages
31 figures de main dans le texte en noir et blanc 1ere édition Contents, Chapitres : Préface et introduction - Le Karma dans la main - La bonne façon de procéder - La division de la main, symbole de l'évolution humaine - La main externe - Les formes de la main - Les monts de la main - Les doigts, antennes de la communication spirituelle - La main sphérique et le flux des énergies - Les lignes de la main - Postface bon état, intérieur frais et propre
Paris Novembre 1874 | 13 x 20.50 cm | une feuille
Lettre autographe datée et signée d'Auguste Préault, 19 lignes à l'encre noire sur un feuillet, adressée au journaliste Philippe Gille à propos de la fonte de la main du poète-assassin romantique Pierre François Lacenaire. Lettre insolite du sculpteur romantique Auguste Préault, qui prodigue ses conseils à son ami Philippe Gille : "Si vous faites fondre la main de Lassennaire [sic] chez le fondeur Thiébaut recommandez-lui de faire [...] comme une cire perdue."A partir d'un moulage d'après nature, le journaliste Philippe Gille souhaitait réaliser une fonte de la terrible relique du meurtrier. Familier des libertés prises par les fondeurs, le sculpteur adresse ses recommandations teintées d'humour : "ne pas ciseler et enlever seulement les coutures de la fonte. Dans cette main, on fond admirablement quand on veut. Mais il faut lui demander énergiquement sinon on vous donne un robinet ou une poignée de sabre [...]" On avait gardé de Lacenaire, guillotiné en 1836, sa main"conservée par un procédé chimique. C'est la chose la plus sinistre qui se puisse voir! Cette main momifiée, aux doigts maigres etcanailles, aplatis et élargis aux extrémités comme des têtes de jeunes serpents, explique la cruauté rampante de cet homme. Les poils qui la recouvrent ont des reflets sanglants lorsqu'on les regarde au prisme de la lumière. On dirait un débris de sépulcre égyptien. Elle sent encore l'odeur acre et pénétrante du baume mystérieux qui l'a maintenue jusqu'ici dans sa hideuse réalité. C'est bien là la main qui assassine les vieilles femmes dans leur lit." écrira Victor Cochinat dans sa biographie de l'assassin (1857). Les Romantiques seront profondément inspirés par la destinée de Lacenaire et sa main naturalisée : Gautier, l'auteur du Roman de la Momie, lui avait même consacré des vers dans "Étude de mains",du recueilÉmaux et Camées(1852) dont voici un extrait : "On y voit les oeuvres mauvaises / Ecrites en fauves sillons / Et les brûlures des fournaises / Où bouillent les corruptions;" Oscar Wilde y fera également référence dans son célèbre Portrait de Dorian Gray : une main jaune "du supplice encore mal lavée", aux "doigts de faune". - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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MAISON DE LA POESIE. DECEMBRE 1996. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 126 pages.. . . . Classification Dewey : 841-Poésie
Sommaire : La main - Charles Duits : main droite, L'épreuve du miroir par Christian Le Mellec, Joël des Rosiers : Boucan pour la main, les mains de Vaïna, François Cheng : main lettrée, Yves Bichet : la gestion des arrondis, Ghani Alani : de la main a la ligne, Yannick Courtel : a mains nues Classification Dewey : 841-Poésie
N° 178 de Janvier 1993 - revue illustrée - in-4 Broché
bon état
Heidelberg, (Druck und Papier von Brede in Offenbach), 1817. 8vo. Nice cont. cardboardbdg. w. title-label to back. Corners and capitals professionally restored. Hinges w. a bit of paper-loss. Occational brownspotting. Front free end-paper w. vast cont. annotations by former owner Fr. Selasinski.
The rare first edition of Hegel's immensely important work, the ""Encyclopaedia of the Philosophical Sciences"", by himself and his contemporaries considered his main work, and likewise an absolute main work of philosophy in general. Hegel is considered one of the four greatest philosophers of all times, and his contributions to philosophy are incomparable to other than perhaps those of Aristotle, Plato and Kant. In 1816 Hegel chose the professorship of philosophy at the University of Heidelberg, and here he taught his courses with great enthusiasm. He lectured no less than 16 hours a week, mostly over his own system, which is the object of this (chronologically speaking) third main work, generally just called the ""Encyclopaedia"".Hegel himself considered his ""Encyclopedia"" to be the most important of his works, and his contemporaries likewise judged it his actual main work. Hegel was considered the epitome of the great systematic thinker of the 19th century, and his ""Encyclopaedia"" forms the epitome of his work, at the same time as it, to his own mind, constitutes his greatest achievement. Hegel's main aim was to systematically comprise all spiritual and natural knowledge, and thus his philosophy peaks with his all-comprising Encyclopaedia, which remained of the greatest importance to himself throughout his life-time. He kept working on the book, and no less than three different altered editions appeared within his lifetime, the last in 1830, the year before he died, confirming his lasting devotion to this work.The book has belonged to one Friedrich Selasinski (perhaps a midshipman from the aristocracy), who has annotated the entire front free end-paper (ab. 1830).