Paris Editions de Minuit 1977 1 vol. broché plaquette in-18 brochée, 18 pp. Edition originale. Un des 135 exemplaires numérotés sur vélin d'Arches, et parmi ceux-ci l'un des 35 exemplaires hors commerce, celui-ci justifié "H.C. VI" et enrichi en page de titre d'un envoi autographe signé de l'auteur : "Pour Henri Causse, bien amicalement Sam. Beckett, octobre 1977". Henri Causse fut directeur commercial des éditions de Minuit. En parfaite condition.
Reference : 118261
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M. Henri Vignes
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S.l., Gallimard, (1953). Un vol. au format in-12 (188 x 113 mm) de 174 pp., broché.
Edition originale ; dépourvue de mention d'édition. " Que va-t-il donc arriver ? Ai-je vraiment eu ce désir de me dérober, de me décharger sur quelqu'un d'autre ? plutôt de dérober en moi l'inconnu, de ne pas troubler, d'effacer ses pas pour que ce qu'il a accompli s'accomplisse sans laisser de reste, de sort que cela ne s'accomplit pas pour moi qui demeure au bord, en dehors de l'événement, lequel passe sans doute avec l'éclat, le bruit et la dignité de la foudre, sans que je puisse faire plus qu'en perpétuer l'approche, en surprendre l'indécision, la maintenir, m'y maintenir sans céder. Etait-ce autrefois, là où je vivais et travaillais, dans la petite chambre en forme de guérite, en cet endroit où, déjà, comme disparu, loin de me sentir déchargé de moi, j'avais au contraire le devoir de protéger cette disparition, de persévérer en elle pour la pousser plus loin, toujours plus loin ? N'était-ce pas là-bas, dans l'extrême détresse qui n'est même pas celle de quelqu'un, que m'avait été offert le droit de parler de moi à la troisième personne ? " Dos légèrement passé. Papier jauni. Du reste, très belle condition.
94 cartes et LAS, auxquelles nous joignons quelques photos et quelques lettres postérieures. Belle correspondance personnelle adressée aux deux frères Charlemagne et Jean Bart par leur frère Léo Bart, du 4 janvier 1915 au 21 août 1917, adressée à Jean Bart, matelot mécanicien à la Caserne Eblé au Havre, puis marin à l’Arsenal de Cherbourg, puis embarqué à bord du sous-marin Denis-Papin. Remarquable correspondance, car non soumise à la censure militaire, d’environ 94 lettres et cartes, auxquelles nous joignons quelques photos personnelles des protagonistes.La première lettre est datée du 29 septembre 1914 de Nomain Andignies, adressée des parents Bart à leur « Cher Fils », dont ils ont appris qu’il était blessé mais peu gravement. Ils racontent le passage des allemands, la fuite des habitants de Nomains vers Douai, « et les allemands sont restés pendant 15 jours à Orchies pour préparer leurs mauvais coups il y a eu des anglais qui sont venus les dénicher alors ils sont partis pour Valenciennes [ etc… ] depuis le 24 août nous n’avons plus de courrier nous sommes obligés de faire porter nos lettres à Lille. Nous avons été tranquille jusque le 24 septembre la nous avons eu un combat à Archies les français ont pris 3 auto et dans un fossé on a trouvé un officier tué avec un ordre dans la poche que l’on devait incendier Orchies à 7 heures du soir [… ] et le lendemain ils ont mis le fin à tout Orchies [ …] A l’heur ou je t’écrit on vient de nous dire qu’il y a des Hulans qui viennent reconnaître le terrain et ce matin nous avons vu deux aéroplanes une allemande et une française qui lui a fait la chasse [etc…] ». Il s’agit de l’unique lettre de l’ensemble provenant des parents de Jean Bart, Nomain ayant ensuite été occupée par les allemands.Un frère (manifestement Léo Bart) écrit le 7 décembre 1914 « je ne travaille plus pour l’armée depuis 8 jours car en général tous les patrons parisiens se figurent que parce que nous sommes des réfugiés nous devons subir toutes leurs humiliations et faire des bassesses. J’ai fait 3 boutiques depuis mon arrivée à Paris, et je rentre demain dans la 4e comme contremaître [… ] Je me suis fait inscrire pour passer le conseil mais j’ai bien stipulé « automobiliste » mais c’est une ressource car je ferai tout ce qu’il m’est possible de faire pour me faire réformer de nouveau et si je ne puis l’être au conseil j’aurai au moins la chance de l’être en arrivant au corps ».[ … ] je suis ici avec l’oncle de Germaine, le directeur de chez Thiriez. [ … ] Il a envoyé un télégramme à Germazine « par la voie d’un consul de Hollande » [… ] « tout ce que l’on sait c’est que les Allemands ont tout organisés comme s’ils étaient chez eux à Roubaix ils ont rouvert les écoles, il font marcher les usines en autres la maison Thiriez ». Il évoque la guerre qui va durer au moins l’hiver, s’inquiète de son frère : « Et ton bras, comment va-t-il ? Fais bien attention de ne plus retourner à cette orgie sanguinaire et si les mouvements de ton bras ne sont plus complets ils ne pourront certainement pas de renvoyer au feu si tu sais te débrouiller, maintenant si à force d’insister on voulait te réformer ne te laisse surtout pas réformer n°2 il faut te faire réformer n°1 c’est-à-dire avec pension car il ne faut pas que tous ces messieurs c’en tire à si bon compte [ … ] Maintenant je voudrais bien savoir l’état exact de ton bras, car je crois que tu ne me dis pas toute la vérité [ …] ». Il lui conseille de se faire inscrire comme décolleteur.Suivent deux autres CP datées du 20 puis du 28 décembre 1914. On y apprend que leur frère Charlemagne, blessé, est à Périgueux, et que lui-même, Léo, a dû abandonner côté allemand sa femme et sa fille…Le même écrit le 4 janvier 1915 (1914 par erreur sur la lettre) à Jean, depuis le Grand Hôtel du Pont du Cher, à Saint-Florent, et l’informe qu’il s’y trouve « non comme soldat, mais comme militarisé pour monter une usine pour la fabrication des gaines d’obus. Je suis ici dans un sale patelin et on s’y fait crever à travailer je t’assure que je préfèrerais être sur le front ». Il est sans nouvelles de sa femme et de sa petite-fille, restées à Loos. Le 12 février 1915, il s’inquiète pour son frère « il paraît que chaque fois que tu sors du bois et te rends malade ce n’est pas digne d’un jeune homme tel que toi, que dirais-je moi qui ait laissé ma femme et ma petite-fille à Loos », [ …], « prends patience un grand coup se prépare et avant 1 mois soit persuadé que tous ces bandits seront chassés de chez nous ». Le 9 juin 1915, automobiliste dans le secteur Postal 63, il lui reproche d’avoir fait « de la caisse ». Il sait bien que l’on souhaiterait savoir ce qui se passe sur le front ; leur frère Charlemagne « pourrait te raconter bien des choses, mais la guerre du mois d’août dernier n’était pas celle que l’on fait en ce moment. Je puis t’en causer car ce matin encore je suis allé à 1500 mètres des tranchées boches et je t’assure que ça barde quand tu vois des chevaux coupés en deux par des éclats d’obus il faut pas demander quand cela arrive dans groupe d’hommes [ …] ». Les 11 et 15 mars 1915, Léo Bart écrit à Jean, sur papier à en-tête de l’Hôtel franco-russe à Paris. Il est désormais automobiliste et compte « monter sur le front avec une auto-mitrailleuse ou une auto-canon ou auto-projecteur. Je te conseillerai de faire une demande pour être versé comme moi au 13ème Artillerie comme automobiliste car on en demande beaucoup » [ … ] Charlemagne me dit que tu désires aller voir comment ça se passe sur le front, ne fait jamais cette bêtise là moi j’en reviens j’y ai passé 8 jours et je t’assure que ce n’est pas amusant ». Le 17 mars, Léo lui envoie une des lettres les plus émouvantes : « Je reviens du front où j’ai fait des convois de chevaux et maintenant je suis automobiliste mais malheureusement je crois que je vais repartir bientôt comme auto-mitrailleur. Enfin si jamais j’y laissai ma peau je compte sur toi pour aller voir Germaine et l’embrasser pour moi. Surtout ne dit jamais que c’est moi qui ai demandé à partir, tu me le jureras dans ta prochaine lettre [ souligné six fois !] car je le regrette amèrement ». […] « Ne te fais pas de mousse pour moi, je ne suis pas encore parti et tu sais que je suis débrouillard ». Suivent six missives plus brèves adressées à Jean et Charlemagne (lequel est arrivé au centre des Convalescents de La Force en Dordogne). Léo est désormais au service du courrier.Le 17 juillet 1915, Léo écrit qu’il lui est « arrivé une sale blague, nous étions en train de discuter dans la cour de chez nous quand arriva le lieutenant un copain cria 22, ce lieutenant a peut-être cru que c’était moi qui avait crié et depuis 8 jours je suis sur les épines [ … ] figure toi que le fautif est parti en permission, mais je dois te dire que ce lieutenant est du Midi et soit certain qu’il ne doit pas gober les gens du Nord, et il n’est pas sans savoir que les Gars du Nord détestent les mauvais soldats du Midi. Mais vois-tu la Guerre finira un jour et il faut espérer qu’on les houspillera un peu car ils n’ont rien à souffrir ils sont les bienvenus dans les hautes sphères, ils sont en communication avec les leurs enfin ils ont tou pour être heureux tandis que nous, il nous manque tout cela et non content d’être ainsi favorisé ces salauds là rient de notre malheur et nous tourne en risées [… ] Lorsque j’ai demandé ma permission pour Bergerac au bureau ont ma demandé si c’était pour aller voir Cyrano, j’aurai bien pu leur répondre que s’ils étaient un peu moins fénéants et un peu plus patriotes nous pourrions faire comme eux aller embrasser les nôtres [ … ] ».Le 19 septembre il expose la manière de correspondre avec Lille (« l’enveloppe ne doit pas être cacheté et ne pas parler de la guerre »). Le 20 septembre, Léo annonce avoir reçu des nouvelles de sa femme et de sa fille. Le 22 octobre (à Charlemagne et Jean, tous deux à Cherbourg) : « hier ont a demandé des volontaires pour la Serbie, et je vous prie de croire que si je n’avais pas femme et enfant je me serai fait inscrire car j’en ai assez de vivre au milieu de tous ces salauds là. Qu’est-ce que c’est que la guerre pour eux, ce n’est rien au contraire ils font de l’automobile toute la journée, ils ont de l’argent plein leurs poches, ils font venir leurs femmes quand ils veulent. Tu vois que ces gens là voudraient bien que la guerre dure éternellement [ …] Maintenant dans notre secteur c’est plus calme depuis quelques jours les boches attaquent plus à l’Ouest du côté de Reims mais ils ramassent la purge [ … ] ces vaches là tiennent bon quand même et quand on fait des prisonniers c’est parce qu’ils sont prix par les tirs de barrages qui empêchent les vivres d’arriver sans cela il se font tuer jusqu’au dernier même étant prisonnier ils nous engueulent encore ».Le 1er novembre 1915 puis le 6 novembre, Léo écrit, précisant que « si je t’envoie un lettre par un civil, c’est pour ne pas que ma lettre passe à la censure militaire et farceur que tu es tu mets sur ton adresse pour remettre à un militaire farceur va enfin ça y est tout est arrivé à bon port [ … ] » Dans les lettres suivantes (novembre et décembre ), il essaie d’envisager la réunion des 3 frères à Cherbourg, mais avec prudence, car les mensonger exposent aux enquêtes de gendarmerie.Le 21 janvier 1916, il indique avoir reçu une photo de sa femme dont il est resté marqué, « elle fait pitié tellement elle a maigri ».Le 20 février 1916, il s’inquiète de ne plus recevoir de nouvelles. Il a appris par son oncle que l’explosion du dépôt de munition de la Porte des postes a causé des dégâts considérables, « tout le quartier de Moulins-Lille est rasé il y a 600 immeubles de démolis, 2000 victimes civiles et 300 soldats boches, tout cela demande confirmation bien entendu mais c’est le bruit qui coure ».Le 1er avril 1916 il écrit : « nous sommes de nouveau au repos et tu as dû lire la citation de tous les automobilistes du front de Verdun ». Le 19 mai 1916 il écrit (Motocycliste 551 T. M. Convois auto B.C.M. Paris) : « Pour le moment nous sommes très surmenés avec cette sacrée bataille de Verdun qui n’en fini pas, qui est très fatiguant pour nous car il faut marcher jour et nuit pour le transport des munitions ».Nous ne détaillons pas l’intégralité de la correspondance. En juillet 1916, il raconte que des « nuées d’avions sillonnent continuellement le ciel nuit et jour et les boches ne peuvent plus monter leurs saucisses car on les abat aussitôt ». Le 216 octobre 1916 il évoque un tuyau de l’Intendance anglaise prétendant que Lille sera repris pour la fin du mois. « Contrairement à ce que je t’avais dit, au lieu d’aller dans l’infanterie, c’est pour les tracteurs d’artillerie, ou dans les « Tancks » (crème-de-menthe ») et on relèvera jusqu’à la classe 1902. En novembre « j’ai bien peut d’être expédié à Salonique, car en ce moment c’est une vraie pétaudière ». La dernière lettre du temps de guerre date du 21 août 1917
Passionnant ensemble, à analyser en profondeur. Prix de l'ensemble, non séparable.
S.l., Editions Gallimard, (1992). Un vol. au format pt in-8 (206 x 142 mm) de 187 pp., broché.
«Temps, temps : le pas au-delà qui ne s'accomplit pas dans le temps conduirait hors du temps, sans que ce dehors fût intemporel, mais là où le temps tomberait, chute fragile, selon ce "hors temps dans le temps" vers lequel écrire nous attirerait, s'il nous était permis, disparus de nous, d'écrire sous le secret de la peur ancienne.» Très belle condition.
Paris, Alphonse Lemerre, 1887. 2 vol. au format pt in-12 (173 x 107 mm) de 1 f. bl., 2 ff. n.fol., 313 pp. et 1 f. bl. ; 2 ff. n.fol., 301 pp. et 1 f. n.fol. Reliures uniformes de l'époque de plein maroquin glacé aubergine, plats jansénistes, dos à nerfs ornés de filets gras en noir, titre doré, tomaison dorée, date dorée en queue, têtes dorées sur témoins, double filet doré sur les coupes, décor doré en marge de chacun des contre-plats, couvertures conservées. (R. Claessens).
Ensemble complet des deux volumes le constituant et ici revêtu de délicates reliures du temps de plein maroquin ; signées R. Claessens dans la doublure. Germaine ou La pitié qui deviendra Ce qui ne meurt pas constitue de l'aveu même de Barbey un roman qui «a été pour moi, de vous à moi, une des plus douloureuses choses de ma vie.» Mirbeau de considérer que c'est là ''le livre d'un grand artiste qui arrive juste à temps pour nous faire sortie de cette littérature de boudoir et d'arrière-boutique qui menace, chaque jour davantage, de nous envahir et de nous submerger. Les hommes ont beau être ici méchants, les choses laides, par-delà les cris, les blasphèmes, les passions hideuses, au-dessus des bouches tordues, à travers les poings convulsés, monte pourtant le triomphe de l'éternelle Bonté, de l'éternelle Beauté. L'ordure des mauvais livres nous rend plus précieuse encore la beauté des beaux livres, de même que le spectacle du vice abject fait resplendir plus lumineusement l'image sereine de la vertu. ''Ce qui ne meurt pas'', c'est la littérature. Elle a beau, à de certains jours, être déshonorée et salie par des Colombier et galvaudée par des boutiquiers de lettres, nous avons encore, Dieu merci, assez d'hommes courageux et fiers pour la défendre, pour la conserver belle et parée. je prends le titre de ce roman pour le mettre en épitaphe de tous les livres de Barbey et en fais la devise de ses armes littéraires''. (Les Grimaces, 22 décembre, 1883). Seguin, Barbey / Essai de bibliographie critique, p. 37 (pour une édition millésimée 1888) - Pour l'édition originale de 1884 : Carteret I, Le Trésor du bibliophile romantique et moderne, p. 113 - Vicaire I, Manuel de l'amateur de livres du XIXème siècle, 306 - Clouzot, Guide di bibliophile français, p. 25 - Fléty, Dictionnaire des relieurs français, p. 45. Dos présentant quelques frottements. Du reste, très belle condition.
Paris, Alphonse Lemerre, 1887. Un vol. au format pt in-12 (173 x 107 mm) de 1 f. bl., 2 ff. n.fol., 313 pp. et 1 f. bl. Reliure légèrement postérieure de demi-chagrin maroquiné et glacé acajou à coins, filets en noir portés sur les plats, dos à nerfs orné de filets gras en noir, titre doré, tête dorée sur témoins, couvertures et dos conservés.
Tome Ier seul. Précieux exemplaire de Barbey d'Aurevilly lui-même ; paraphé par l'éditeur au colophon. Lequel a ajouté cette mention manuscrite : ''pour l'auteur''. Un des 12 exemplaires du tirage sur Whatman. Second papier après les 20 de tête sur Chine ; mais plus petit papier par le nombre. Germaine ou La pitié qui deviendra Ce qui ne meurt pas constitue de l'aveu même de Barbey un roman qui «a été pour moi, de vous à moi, une des plus douloureuses choses de ma vie.» Mirbeau de considérer que c'est là ''le livre d'un grand artiste qui arrive juste à temps pour nous faire sortie de cette littérature de boudoir et d'arrière-boutique qui menace, chaque jour davantage, de nous envahir et de nous submerger. Les hommes ont beau être ici méchants, les choses laides, par-delà les cris, les blasphèmes, les passions hideuses, au-dessus des bouches tordues, à travers les poings convulsés, monte pourtant le triomphe de l'éternelle Bonté, de l'éternelle Beauté. L'ordure des mauvais livres nous rend plus précieuse encore la beauté des beaux livres, de même que le spectacle du vice abject fait resplendir plus lumineusement l'image sereine de la vertu. ''Ce qui ne meurt pas'', c'est la littérature. Elle a beau, à de certains jours, être déshonorée et salie par des Colombier et galvaudée par des boutiquiers de lettres, nous avons encore, Dieu merci, assez d'hommes courageux et fiers pour la défendre, pour la conserver belle et parée. je prends le titre de ce roman pour le mettre en épitaphe de tous les livres de Barbey et en fais la devise de ses armes littéraires''. (Les Grimaces, 22 décembre, 1883). Pour l'édition originale de 1884 : Carteret I, Le Trésor du bibliophile romantique et moderne, p. 113 - Vicaire I, Manuel de l'amateur de livres du XIXème siècle, 306 - Clouzot, Guide di bibliophile français, p. 25 Très rares autant que discrets frottements affectant le dos. Du reste, très belle condition. L'exemplaire a conservé de larges témoins.