‎BAUDELAIRE (Charles).‎
‎Lettres autographes à sa mère.‎

‎Paris Hôtel Drouot 1982 1 vol. broché in-8 carré, broché, couverture illustrée, 88 pp., 215 n° décrits, nombreuses reproductions. Important catalogue de vente publique (collection Armand Godoy). Liste d'estimations jointe. Manque le supplément (manuscrit des "Voyelles" de Rimbaud). Bon état.‎

Reference : 103563


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M. Henri Vignes
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‎BAUDELAIRE (Charles).‎

Reference : 4440

(1982)

‎Lettres autographes à sa mère.‎

‎Paris Hôtel Drouot 1982 1 vol. broché in-8 carré, broché, couverture illustrée, 88 pp., 215 n° décrits, nombreuses reproductions. Important catalogue de vente publique (collection Armand Godoy). Liste d'estimations jointe, ainsi que le supplément (manuscrit des "Voyelles" de Rimbaud). Très belle condition.‎


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EUR18.00 (€18.00 )

‎ELZEAR, Pierre; [ BONNIER ORTOLAN, Elzéar ]‎

Reference : 63944

(1891)

‎[ Lot de 7 lettres autographes signées et d’un portrait photographique signé dont une très intéressant sur le «féminisme littéraire» ] L.A.S. d’une page: «Mon Cher Hauser, ne trouvez-vous pas qu’il est temps que cette plaisanterie finisse? Suis-je trop exigeant en vous priant de veiller à ce que les tableaux confiés à vous ou à votre ami Mr. Bender soient [… ] chez ma mère, qui revient dans huit jours? Devrais-je faire le voyage exprès? Avec surprise, mais sans rancune»; 1 L.A.S. de 2 pages manuscrites (sur 2 ff.) datée de Paris le 20 octobre 99: «Mon cher Hauser, Vous me demandez ce que je pense du féminisme littéraire. On ne peut songer à interdire la prose et la poësie au sexe faible. Dans l’écriture la femme laide trouve parfois un soulagement, le femme âgée une consolation. Ca et là, j’en conviens, de vrais talents surgissent. On déclare alors que ces talents sont «virils». C’est ce qui fut dit pour George Sand. Mais permettez-moi de me situer à un point de vue spécial. Quand je vois une femme, que son cœur, ses sens, une enveloppe aimable ont destiné à la passion, se servir d’un porte-plume autrement que pour écrire à l’absent des phrases délicieusement incohérentes, je me sens fort attristé. Que de biens perdus! L’amour, en effet, prime toute littérature. La vie est courte, et il n’y a pas de gloire au monde qui vaille l’échange d’un baiser sincère. Or on ne peut être à la fois une femme de lettres et une femme de tendresse. Mlle de Pougy elle-même n’a pu réaliser ce double idéal. Juliette – pas plus que Roméo d’ailleurs – n’a songé à écrire un recueil de sonnets et à faire antichambre chez un éditeur. Et la femme journaliste? Je n’évoque son spectre qu’avec terreur. Elle peut devenir une force; je préfèrerais qu’elle restât une adorable faiblesse […] ».; 1 L.A.S. d’une page, datée du 20 février 1906. Il s’excuse d’avoir dû rester s’occuper de sa mère souffrante; «Le directeur du [ … ] ne paraît pas décidé absolument à faire le Peuple Souverain. Et voici pourtant l’époque des élections. Il faudrait peut-être que vous, le principal auteur, donnassiez un coup d’épaule. Qu’en pensez-vous? [… ]»; 1 L.A.S. d’une page, datée du 13 décembre 1908: «Mon cher ami, Fernand Sarnette dépasse toutes les limites de l’impudence, vis-à-vis de moi et vis-à-vis d’autres. Si vous ne l’avez pas fait, veuillez lui écrire 14 rue des Sts Pères pour lui réclamer dans un délai de quatre jours Le Peuple Souverain, sinon nous aviserons la Société des Auteurs. Emile Rochard et moi en faisons autant de notre côté [ … ]»; 1 L.A.S. d’une page, datée du 29 janvier 1909: «Mon cher Hauser, [ … ] Sarnette fait le mort. Il faudrait, comme Rochard et moi, écrire un mot à M. Gangnat, agent général des Auteurs Dramatiques, [ … ] Henner, qui va convoquer le délinquant avant de le traduire devant la Commission»; avec 2 autres L.A.S.‎

‎[ Lot de 7 lettres autographes signées et d’un portrait photographique signé dont une très intéressant sur le «féminisme littéraire» ] L.A.S. d’une page datée au crayon par une autre main de 1882: «Mon Cher Hauser, ne trouvez-vous pas qu’il est temps que cette plaisanterie finisse? Suis-je trop exigeant en vous priant de veiller à ce que les tableaux confiés à vous ou à votre ami Mr. Bender soient [… ] chez ma mère, qui revient dans huit jours? Devrais-je faire le voyage exprès? Avec surprise, mais sans rancune»; 1 L.A.S. de 2 pages manuscrites (sur 2 ff.) datée de Paris le 20 octobre 99: «Mon cher Hauser, Vous me demandez ce que je pense du féminisme littéraire. On ne peut songer à interdire la prose et la poësie au sexe faible. Dans l’écriture la femme laide trouve parfois un soulagement, le femme âgée une consolation. Ca et là, j’en conviens, de vrais talents surgissent. On déclare alors que ces talents sont «virils». C’est ce qui fut dit pour George Sand. Mais permettez-moi de me situer à un point de vue spécial. Quand je vois une femme, que son cœur, ses sens, une enveloppe aimable ont destiné à la passion, se servir d’un porte-plume autrement que pour écrire à l’absent des phrases délicieusement incohérentes, je me sens fort attristé. Que de biens perdus! L’amour, en effet, prime toute littérature. La vie est courte, et il n’y a pas de gloire au monde qui vaille l’échange d’un baiser sincère. Or on ne peut être à la fois une femme de lettres et une femme de tendresse. Mlle de Pougy elle-même n’a pu réaliser ce double idéal. Juliette – pas plus que Roméo d’ailleurs – n’a songé à écrire un recueil de sonnets et à faire antichambre chez un éditeur. Et la femme journaliste? Je n’évoque son spectre qu’avec terreur. Elle peut devenir une force; je préfèrerais qu’elle restât une adorable faiblesse […] ».; 1 L.A.S. d’une page, datée du 20 février 1906. Il s’excuse d’avoir dû rester s’occuper de sa mère souffrante; «Le directeur du [ … ] ne paraît pas décidé absolument à faire le Peuple Souverain. Et voici pourtant l’époque des élections. Il faudrait peut-être que vous, le principal auteur, donnassiez un coup d’épaule. Qu’en pensez-vous? [… ]»; 1 L.A.S. d’une page, datée du 13 décembre 1908: «Mon cher ami, Fernand Sarnette dépasse toutes les limites de l’impudence, vis-à-vis de moi et vis-à-vis d’autres. Si vous ne l’avez pas fait, veuillez lui écrire 14 rue des Sts Pères pour lui réclamer dans un délai de quatre jours Le Peuple Souverain, sinon nous aviserons la Société des Auteurs. Emile Rochard et moi en faisons autant de notre côté [ … ]»; 1 L.A.S. d’une page, datée du 29 janvier 1909: «Mon cher Hauser, [ … ] Sarnette fait le mort. Il faudrait, comme Rochard et moi, écrire un mot à M. Gangnat, agent général des Auteurs Dramatiques, [ … ] Henner, qui va convoquer le délinquant avant de le traduire devant la Commission»; avec 2 autres L.A.S.‎


‎Intéressant lot d’autographes de l’écrivain Pierre Elzéar. Petit-fils du juriste Joseph Ortolan, frère du naturaliste Gaston Bonnier, Pierre Elzéar (1848-1916) verra l’un de ses poèmes publié dans le «Le Tombeau de Théophile Gautier», l’un des grands témoignages du mouvement parnassien. On peut le voir dans le célèbre tableau de Fantin-Latour, le Coin de table, où il est représenté, portant un haut-de-forme, debout à Gauche, aux côtés d'autres poètes comme Paul Verlaine et Arthur Rimbaud. Bon ensemble (prix du lot, non séparable). Les lettres sont adressés à l'écrivain de Toulon et félibre Fernand Hauser (1869-1941)‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR495.00 (€495.00 )

‎DECAMPS (Alexandre-Gabriel) célèbre peintre et graveur français (1803-1860) ‎

Reference : 10C22

‎Ensemble de 9 lettres autographes signées adressées au danseur et maître de ballet français, Albert (François Décombe-Albert, 1787-1865). Une lettre est toutefois adressée à son épouse, mais qui le concerne et une seconde est adressée à sa belle-mère qui le concerne également. Fontainebleau et Paris, de 1835 à 1839. 9 p. in-4.‎

‎Belle et intéressante correspondance relative à des demandes particulières d’œuvres que le peintre Decamps avaient réalisées, et acquises par le danseur Albert, afin d’en obtenir le prêt, pour les faire figurer dans plusieurs expositions et salons. Avril 1835. « Vous serait-il agréable que les deux tableaux que vous voulez bien me prêter pour l’exposition, soient emballés aujourd’hui. Demain matin Mr Jadin et moi partons pour Paris, nous ne les quitterons que dans la salle où ils doivent être exposés, l’administration me presse tout est disposé pour le recevoir… ». En décembre de cette même année, il l’informe qu’il vient d’apprendre par un sculpteur, « récemment arrivé d’Italie, que le navire porteur du marbre et tableaux parmi lesquels sont les miens, devois se trouver maintenant tout au plus à Marseille, ce qui porte à un mois encore l’arrivée de mes effets en reste. Vous pouvez compter sur la promesse que je vous fais de vous prévenir aussitôt que j’aurai quelque chose de digne de vous être présenté… ». Il lui recommandera plusieurs amateurs d’art afin de venir visiter ses collections de tableaux. Février 1839, il l’informe de son grand désir, « de pouvoir mettre au salon votre petit tableau du Mendiant … ». Toujours en février 1839, il prévient Mme Himm, sa belle mère, qu’il à écrit à son gendre qui se trouvait à Bruxelles de bien vouloir remettre au porteur un tableau, « qu’il a dans sa possession et que j’aurai le plus grand désir d’exposer, c’est le petit pauvre... ». Celle-ci lui répondra en retour, qu’elle a bien été prévenu par son cher gendre « de remettre le tableau le petit pauvre […] A présent moi-même, je suis dans le doute pour connaître ce tableau car celui que je crois être est un vieillard, ainsi Monsieur pardonnez à ma faible connaissance… ».‎


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Phone number : 33 01 45 66 48 65

EUR1,450.00 (€1,450.00 )

Reference : 12514

‎Collection Armand Godoy - Lettres autographes de Charles Baudelaire à sa mère‎

‎Luçon, Drapeau Compo, 1982. In-4 broché, couv. ill. (autoportrait de Baudelaire), 89 p. 215 présentations. Introduction par Claude Pichois. Fac-similés de lettres.Catalogue de la vente du 23 novembre 1982, Hôtel Drouot, salle 4, Exposition chez les experts.‎


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Phone number : 33 05 56 81 68 79

EUR40.00 (€40.00 )

‎Baudelaire‎

Reference : 13322

(1982)

‎Lettres autographes de Charles Baudelaire à sa mère.‎

‎Important catalogue de la vente du 23 novembre 1982 à Drouot. Avec les résultats. Broché sans couverture illustrée Très bon Paris Drouot 1982 1 volume in-4°‎


‎édition originale‎

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