Librairie de Théatre / J.L. Lejeune, 1937, in12 broché, 160 pages, signature autographe de l'auteur sur la page de faux-titre, quelques rousseurs sur la couverture sinon bon exemplaire.
Reference : 5053
Pièce en un prologue et huit tableaux d'après le roman de Maxime Gorki, représentée pour la première fois le 15 Mai 1937 sur la scène de la Renaissance par le Théatre du Peuple.
Librairie Franck Launai
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Paris, René Van den Berg et Louis Enlart, 1926 1 volume In-8° (14,5 x 20,6cm) Broché sous couverture grise rempliée imprimée en noir et rouge. 1frontispice, 4 feuillets, XXXIX + 209p., 3 feuillets; 3 planches hors texte. Fentes au dos de la couverture (cahiers non débrochés) et en haut de la charnière du dessus (4cm), très léger manque en haut du dos (4mm x 1cm), intérieur propre, sauf petites taches d'adhésif sur les gardes.
Edition originale du recueil de lettres envoyées à sa mère par le poète, journaliste et féroce pamphlétaire Laurent TAILHADE (1854-1919); introduction, notes et index de Pierre DUFAY, bibliothécaire: des lettres qui "révèlent [...] un Laurent Tailhade inconnu", auxquelles l'écrivain confie colères, espoirs et tristesses, et où il requiert souvent l'avis de sa "chère mère" sur ses vers; illustré de 2 portraits en héliogravure et du fac-similé d'une lettre; index des noms de personnes. Tirage à 1310 exemplaires; 1 des 900 sur alfa, justifié n°992 (après 60 sur grands papiers et 350 sur vélin Lafuma).
Paris, Garnier frères, 1950 1 volume In-8° (11,2 x 17,2cm) Reliure demi-vélin à coins à la bradel; dos orné d'une vignette couleurs aquarellée et auteur et titre en caractères manuscrits noirs et rouges; papier marbré sur les plats, aux mors et coins bordés de filets rouges; coiffe de tête rouge. 3 feuillets, XVIII + 469p., 2 feuillets. Bon état (léger et discret renflement du dos).
Volume réunissant 3 oeuvres de Pierre-Augustin Caron de BEAUMARCHAIS (1732-1799): "Le Barbier de Séville", "Le Mariage de Figaro" et "La Mère coupable", avec introduction sur la vie de l'écrivain, notice à chaque pièce, notes, principales variantes et bibliographie de Maurice RAT. Exemplaire relié.
[MASSOUDY (Hassan) [MAS UD ( asan al-)] .] - SENEQUE.
Reference : 20415
ISBN : 2-84146-123-8
Paris, Editions Alternatives, "Pollen", 1995 1 volume 10 x 19cm Broché sous couverture jaune ornée de calligraphies. 92p., 2 feuillets; 45 calligraphies à pleine page, en noir et en couleurs. Très bon état.
Extraits de "Ad Helviam matrem de consolatione" - une des trois "consolations" du recueil des "Dialogues" écrite par le philosophe stoïcien SENEQUE (4 av. J.-C.-65) en exil, pour consoler sa mère Helvia de cet éloignement - traduits du latin par Colette LAZAM; édition ornée de 45 calligraphies de mots français (alphabet latin) du peintre et calligraphe dorigine irakienne Hassan MASSOUDY ( asan al-MAS UD); notice bio-bibliographique du calligraphe. Exemplaire avec dédicace manuscrite calligraphiée par Hassan MASSOUDY .
16/02/1869 TRÈS BEAU SONNET EMPREINT DE TENDRESSE FILIALE EN HOMMAGE À SA MÈRE ÉLISABETH-ZÉLIE DE BANVILLE :...Ma mère, pour fêter sous les cieux rajeunis, Le jour où tu naissais, je veux avec tendresse Faire parler encore la lyre enchanteresse Dans le triste silence où nos cœurs sont unis. Voici venir le temps des lilas et des nids : Déjà, comme une haleine errante et charmeresse, La brise du printemps suave nous caresse, Ma mère, et ce nest pas moi seul qui te bénis ! Car, du séjour lointain caché sous tant de voiles, Sitôt quavec la nuit seffacent les étoiles, Ceux qui sont dans les cieux nous regardent pleurer...Théodore de Banville qui vouait à sa mère une véritable adoration, lui rendit souvent hommage dans ses poésies. Le tout premier recueil de Banville, Les Cariatides, salué par Charles Baudelaire, souvre sur un poème dédié à sa mère : « Oh ma mère, ce sont nos mères dont les sourires triomphants, bercent nos premières chimères, dans nos premiers berceaux denfants... ». Dans son avant-propos à Roses de Noël (recueil entièrement consacré à sa mère et publié en 1878), Banville déclarait : « Les quelques poëmes qui suivent ne sont pas des œuvres d'art. Ces pages intimes, tant que ma si faible santé et les agitations de ma vie me l'ont permis, je les écrivais régulièrement pour mon adorée mère, lorsque revenaient le 16 février, jour anniversaire de sa naissance, et le 19 novembre, jour de sa fête, sainte Elisabeth. Parmi ces vers, destinés à elle seule, j'avais choisi déjà quelques odes qui ont trouvé place dans mes recueils. Les autres ne me paraissaient pas devoir être publiés, et je sais bien ce qui leur manque. Presque jamais on ne se montre bon ouvrier, lorsqu'on écrit sous l'impression d'un sentiment vrai, au moment même où on l'éprouve. Mais, en les donnant aujourd'hui au public, j'obéis à la volonté formellement exprimée de Celle qui ne sera jamais absente de moi et dont les yeux me voient. D'ailleurs, en y réfléchissant, j'ai pensé qu'elle a raison, comme toujours ; car le poëte qui veut souffrir, vivre avec la foule et partager avec elle les suprêmes espérances, n'a rien de caché pour elle, et doit toujours être prêt à montrer toute son âme. Paris, le 19 novembre 1878. Roses de Noël, A ma mère...). CE PRÉSENT POÈME SEMBLE INÉDIT.
Autrement - Directeur-rédacteur en chef : Henry Dougier - dirigé par Nicole Czechowski et Jean-Marc Terrasse
Reference : 3074
N° 90 de Mai 1987 - broché - 219 pages
bon état