relié - 14,5x21 - 418 pp - 1958 - éditions Le club français du livre, Paris.Traduction de Arthur ADAMOV. Préface de Dominique FERNANDEZ.Edition hors commerce réservée exclusivement aux membres du club français du livre, numérotés de 1 à 8000. N° 235.
Reference : 3514
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<p>Personnage clé du « harem royal, la mère du Roi (mwt nswt – mwt nswt bjtj) semble avoir joué un rôle important dès l’Ancien Empire. En témoigne sa mention dans les annales royales – Pierre de Palerme, Pierre de Saqqara Sud – à la fin de la titulature du souverain. Ce que l’on sait de la vie de Seshseshet, mère du roi Téti, fondateur de la VIe Dynastie, illustre bien cette réalité. Cette grande dame semble avoir été un personnage de première importance. Son fils, le roi Téti, a donné son nom à toutes ses filles connues, cas unique de témoignage d’affection filiale dans l’histoire pharaonique. Il a assuré son aisance matérielle et lui a fait construire un temple funéraire, qui a malheureusement été détruit par son petit-fils, dans des circonstances non encore élucidées. La mère royale Seshseshet a certainement joué un rôle dans l’accession au pouvoir de son fils et est restée la première dame du « harem royal tout au long du règne, jusqu’à sa mort. Cet ouvrage va s’attacher à essayer de déterminer quelles ont été son influence et sa participation lors de la prise de pouvoir de son fils et dans les débuts du règne. Le livre traitera de la succession de Téti et de la désignation d’un héritier. Quel fut le rôle de la mère du roi dans le choix du successeur ? A-t-elle aidé à l’accession au trône d’Ouserkarê ? Pépy Ier fut-il le choix de son aïeule, ou celui dicté par les circonstances après la fin brutale de Téti ?</p> Bruxelles, 2013 108 p., illustrations N/B, broché. 17 x 24
Neuf
Ouest-France, 2005, 127 pages, Association des Amis de la Mère Poulard, in/8 broché. Photographies en couleurs de Bernard Enjolras.
"Dans les années 1880, la digue-route qui relie le Mont-Saint-Michel au continent n'existe pas et les voyageurs qui arrivent à pied ou à cheval sont tributaires des marées pour traverser la baie. Pour réconforter ses hôtes, Annette Poulard tient en permanence sa grande cheminée allumée et confectionne à la minute sa fameuse omelette qui fera par la suite sa renommée dans le monde entier. Les quelque sept cents recettes qu'elle met au point derrière ses fourneaux lui valent d'être surnommée la "Mère Poulard", titre honorifique qui distingue les femmes chefs de cuisine les plus talentueuses. Cet ouvrage présente un historique du Mont et montre comment les richesses de la baie ont fait l'originalité et l'authenticité de cette cuisine. La célèbre cuisinière nous est présentée, entourée des nombreux hommages qu'elles a reçus, qu'ils soient du monde politique, artistique ou culturel. Les recettes sont ensuite expliquées par saison, mettant en valeur ainsi le patrimoine maritime et agricole de la région qu'utilisa la Mère Poulard à son époque."
Edition du journal "La femme et l'enfant", Paris, 1931. In-8 (19 x 14 cm), reliure demi-basane marbrée brune, dos à nerfs à fleurons et titres dorés, couvertures et dos conservés, 12 planches hors-texte, 202 p., 5è édition. Exemplaire enrichi d'un envoi de l'auteur en page de garde.
Cet ouvrage contient tout ce qui les poètes, penseurs, peintres, savants et musiciens ont dit de leur mère (en positif...).
16/02/1869 TRÈS BEAU SONNET EMPREINT DE TENDRESSE FILIALE EN HOMMAGE À SA MÈRE ÉLISABETH-ZÉLIE DE BANVILLE :...Ma mère, pour fêter sous les cieux rajeunis, Le jour où tu naissais, je veux avec tendresse Faire parler encore la lyre enchanteresse Dans le triste silence où nos cœurs sont unis. Voici venir le temps des lilas et des nids : Déjà, comme une haleine errante et charmeresse, La brise du printemps suave nous caresse, Ma mère, et ce nest pas moi seul qui te bénis ! Car, du séjour lointain caché sous tant de voiles, Sitôt quavec la nuit seffacent les étoiles, Ceux qui sont dans les cieux nous regardent pleurer...Théodore de Banville qui vouait à sa mère une véritable adoration, lui rendit souvent hommage dans ses poésies. Le tout premier recueil de Banville, Les Cariatides, salué par Charles Baudelaire, souvre sur un poème dédié à sa mère : « Oh ma mère, ce sont nos mères dont les sourires triomphants, bercent nos premières chimères, dans nos premiers berceaux denfants... ». Dans son avant-propos à Roses de Noël (recueil entièrement consacré à sa mère et publié en 1878), Banville déclarait : « Les quelques poëmes qui suivent ne sont pas des œuvres d'art. Ces pages intimes, tant que ma si faible santé et les agitations de ma vie me l'ont permis, je les écrivais régulièrement pour mon adorée mère, lorsque revenaient le 16 février, jour anniversaire de sa naissance, et le 19 novembre, jour de sa fête, sainte Elisabeth. Parmi ces vers, destinés à elle seule, j'avais choisi déjà quelques odes qui ont trouvé place dans mes recueils. Les autres ne me paraissaient pas devoir être publiés, et je sais bien ce qui leur manque. Presque jamais on ne se montre bon ouvrier, lorsqu'on écrit sous l'impression d'un sentiment vrai, au moment même où on l'éprouve. Mais, en les donnant aujourd'hui au public, j'obéis à la volonté formellement exprimée de Celle qui ne sera jamais absente de moi et dont les yeux me voient. D'ailleurs, en y réfléchissant, j'ai pensé qu'elle a raison, comme toujours ; car le poëte qui veut souffrir, vivre avec la foule et partager avec elle les suprêmes espérances, n'a rien de caché pour elle, et doit toujours être prêt à montrer toute son âme. Paris, le 19 novembre 1878. Roses de Noël, A ma mère...). CE PRÉSENT POÈME SEMBLE INÉDIT.
Autrement - Directeur-rédacteur en chef : Henry Dougier - dirigé par Nicole Czechowski et Jean-Marc Terrasse
Reference : 3074
N° 90 de Mai 1987 - broché - 219 pages
bon état