‎GORKI Maxime‎
‎La mère.‎

‎ relié - 14,5x21 - 418 pp - 1958 - éditions Le club français du livre, Paris.Traduction de Arthur ADAMOV. Préface de Dominique FERNANDEZ.Edition hors commerce réservée exclusivement aux membres du club français du livre, numérotés de 1 à 8000. N° 235. ‎

Reference : 3514


‎‎

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‎SAINT-EXUPERY (Antoine).‎

Reference : 29481

(1963)

‎Lettres à sa mère.‎

‎ Paris, Gallimard, (1955). Un vol. au format in-12 (181 x 117 mm) de 230 pp., broché.‎


‎ Edition originale (mention fictive d'édition portée en page de titre). Datées de 1910 à 1936, ces lettres, les plus belles sans doute de toute sa correspondance, révèlent un aspect méconnu de l'œuvre de Saint-Exupéry. Elles constituent un précieux témoignage du tendre amour qu'il éprouvait pour sa mère, être d’exception, figure rassurante, refuge et consolation, le «réservoir de paix» dans lequel il puise «aux minutes lourdes»: «Vous êtes ce qu'il y a de meilleur dans ma vie. J'ai ce soir le mal du pays comme un gosse! (…) C'est vrai que vous êtes la seule consolation quand on est triste». Au travers de ses lettres, on découvre un jeune homme toujours insatisfait, cherchant un sens à la vie, regrettant son enfance choyée si souvent évoquée. Son spleen, son ennui, ses expériences d'homme, tout ce qu'il entreprend (ses poèmes, ses dessins), il les partage avec sa mère. Une mère artiste, aux jugement pertinents, qui sans cesse l'encourage, le rassure, elle qui a surmontée tant de chagrins (elle fut veuve à 28 ans). Ces chagrins (la mort de son frère François et de sa sœur Marie-Madeleine) vont rendre plus fusionnelle encore leur relation («Ma petite maman, vous pouvez compter désormais doublement sur mon amour. Mais aucun enfant ne peut remplacer un enfant perdu») et faire de Saint-Exupéry un vrai chef de tribu. À sa mère et à ses sœurs comme à ses pilotes plus tard, il prodiguera la même surprotection: «Et quand mes avions partent, c'est comme mes poussins. Et je suis inquiet jusqu'à ce que la TSF m'ait annoncé leur passage à l'escale suivante (...) Et je suis prêt à partir à la recherche des égarés». Rousseurs au dos lequel est légèrement gauchi. Papier très légèrement oxydé. Du reste, belle condition. ‎

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EUR15.00 (€15.00 )

‎SAINT-EXUPERY (Antoine).‎

Reference : 29038

(1963)

‎Lettres à sa mère.‎

‎ Paris, Gallimard, (1955). Un vol. au format in-12 (181 x 117 mm) de 230 pp. Reliure de l'époque de demi-cartonnage émeraude à coins à l'imitation de maroquin, dos lisse orné de filets dorés, fleuron central doré, pièce de titre de maroquin lie-de-vin, titre doré, tranches mouchetées.‎


‎ Edition originale (mention fictive d'édition portée en page de titre). Datées de 1910 à 1936, ces lettres, les plus belles sans doute de toute sa correspondance, révèlent un aspect méconnu de l'œuvre de Saint-Exupéry. Elles constituent un précieux témoignage du tendre amour qu'il éprouvait pour sa mère, être d’exception, figure rassurante, refuge et consolation, le «réservoir de paix» dans lequel il puise «aux minutes lourdes»: «Vous êtes ce qu'il y a de meilleur dans ma vie. J'ai ce soir le mal du pays comme un gosse! (…) C'est vrai que vous êtes la seule consolation quand on est triste». Au travers de ses lettres, on découvre un jeune homme toujours insatisfait, cherchant un sens à la vie, regrettant son enfance choyée si souvent évoquée. Son spleen, son ennui, ses expériences d'homme, tout ce qu'il entreprend (ses poèmes, ses dessins), il les partage avec sa mère. Une mère artiste, aux jugement pertinents, qui sans cesse l'encourage, le rassure, elle qui a surmontée tant de chagrins (elle fut veuve à 28 ans). Ces chagrins (la mort de son frère François et de sa sœur Marie-Madeleine) vont rendre plus fusionnelle encore leur relation («Ma petite maman, vous pouvez compter désormais doublement sur mon amour. Mais aucun enfant ne peut remplacer un enfant perdu») et faire de Saint-Exupéry un vrai chef de tribu. À sa mère et à ses sœurs comme à ses pilotes plus tard, il prodiguera la même surprotection: «Et quand mes avions partent, c'est comme mes poussins. Et je suis inquiet jusqu'à ce que la TSF m'ait annoncé leur passage à l'escale suivante (...) Et je suis prêt à partir à la recherche des égarés». Papier très légèrement oxydé. Du reste, très belle condition. ‎

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EUR25.00 (€25.00 )

‎BEAUMARCHAIS (Pierre-Augustin CARON de).‎

Reference : 17175

(1785)

‎La Folle journée ou Le Mariage de Figaro [a été relié à la suite :] Le Barbier de Séville ou La Précaution inutile [a été relié à la suite :] L'Autre Tartuffe ou La Mère coupable. ‎

‎ A Paris, chez les libraires qui vendent les nouveautés, 1785 / A Paris, de l'Imprimerie de Clousier, chez Ruault et la Veuve Duchesne, 1785 / A Paris, chez Silvestre, l'an 2 [1794]. 3 ouvrages reliés en un fort vol. au format in-8 (198 x 122 mm) de xliv - 152 pp. ; 46 pp., 1 f. n.fol. et 132 pp. ; 1 f. n.fol. et 69 pp. Reliure de l'époque de demi-basane mouchetée blonde, dos à nerfs orné de filets gras à froid, double filet doré, pièce de titre de maroquin taupe, titre doré, toutes tranches mouchetées.‎


‎ Réunion - en un volume - de trois textes de Beaumarchais. Le Mariage de Figaro est l'une des éditions parues à la date de l'originale avec cette mention au dernier feuillet : ''achevé d'imprimer pour la première fois le 28 février 1785''. L'Autre Tartuffe ou la mère coupable est en originale. Il s'agit d'une ''édition imprimée sans l'autorisation de l'auteur. C'est une contrefaçon tronquée, dont la parution poussa les amis de l'auteur à publier la suivante à l'insu même de Beaumarchais. La première édition avouée par l'auteur a paru en 1797. Malgré la mention ''édition originale'' portée en page de titre, cette édition n'est pas la première''. (in Tchemerzine). Cordier, Bibliographie des oeuvres de Beaumarchais, 135 (pour Le Mariage) - Tchemerzine II, Bibliographie d'éditions originales et rares d'auteurs français, p. 22 - Cioranescu I, Bibliographie de la littérature française du XVIIIème, 10400 (pour La Mère coupable, avec une collation différente) - Cordier, Bibliographie des oeuvres de Beaumarchais, 273 (pour La Mère coupable). Angles émoussés. Frottements épars affectant la reliure. Perte de papier marbré au second plat. Dont la coupe est par ailleurs nettement élimée.Petit manque affectant le fond de cahier du premier feuillet. Quelques rousseurs dans le texte. Petite déchirure angulaire affectant un feuillet. Deux petites déchirures et une perforation affectant le faux-titre du deuxième texte. Les deux derniers feuillets sont légèrement effrangés en marge. Du reste, bonne condition. ‎

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EUR350.00 (€350.00 )

‎BANVILLE (Théodore)‎

Reference : 3372

(1869)

‎Né à Moulins. 1823-1891. Poète, dramaturge et critique littéraire. Ami de Victor Hugo, de Charles Baudelaire et Théophile Gautier. Romantique et parnassien, Banville a été un auteur respecté et admiré de ses contemporains. Son recueil « Odes funambulesques » publié chez Poulet-Malassis, en 1857, peu de temps avant la parution des Fleurs du Mal chez le même éditeur, lui apporta une consécration. M.A.S. « Théodore de Banville » titré « A ma Mère » et daté « le 16 février 1869 ». 1 page grand in-folio.‎

‎ 16/02/1869 TRÈS BEAU SONNET EMPREINT DE TENDRESSE FILIALE EN HOMMAGE À SA MÈRE ÉLISABETH-ZÉLIE DE BANVILLE :...Ma mère, pour fêter sous les cieux rajeunis, Le jour où tu naissais, je veux avec tendresse Faire parler encore la lyre enchanteresse Dans le triste silence où nos cœurs sont unis. Voici venir le temps des lilas et des nids : Déjà, comme une haleine errante et charmeresse, La brise du printemps suave nous caresse, Ma mère, et ce nest pas moi seul qui te bénis ! Car, du séjour lointain caché sous tant de voiles, Sitôt quavec la nuit seffacent les étoiles, Ceux qui sont dans les cieux nous regardent pleurer...Théodore de Banville qui vouait à sa mère une véritable adoration, lui rendit souvent hommage dans ses poésies. Le tout premier recueil de Banville, Les Cariatides, salué par Charles Baudelaire, souvre sur un poème dédié à sa mère : « Oh ma mère, ce sont nos mères dont les sourires triomphants, bercent nos premières chimères, dans nos premiers berceaux denfants... ». Dans son avant-propos à Roses de Noël (recueil entièrement consacré à sa mère et publié en 1878), Banville déclarait : « Les quelques poëmes qui suivent ne sont pas des œuvres d'art. Ces pages intimes, tant que ma si faible santé et les agitations de ma vie me l'ont permis, je les écrivais régulièrement pour mon adorée mère, lorsque revenaient le 16 février, jour anniversaire de sa naissance, et le 19 novembre, jour de sa fête, sainte Elisabeth. Parmi ces vers, destinés à elle seule, j'avais choisi déjà quelques odes qui ont trouvé place dans mes recueils. Les autres ne me paraissaient pas devoir être publiés, et je sais bien ce qui leur manque. Presque jamais on ne se montre bon ouvrier, lorsqu'on écrit sous l'impression d'un sentiment vrai, au moment même où on l'éprouve. Mais, en les donnant aujourd'hui au public, j'obéis à la volonté formellement exprimée de Celle qui ne sera jamais absente de moi et dont les yeux me voient. D'ailleurs, en y réfléchissant, j'ai pensé qu'elle a raison, comme toujours ; car le poëte qui veut souffrir, vivre avec la foule et partager avec elle les suprêmes espérances, n'a rien de caché pour elle, et doit toujours être prêt à montrer toute son âme. Paris, le 19 novembre 1878. Roses de Noël, A ma mère...). CE PRÉSENT POÈME SEMBLE INÉDIT. ‎


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EUR750.00 (€750.00 )

‎BAUDELAIRE Charles‎

Reference : 62164

(1858)

‎Lettre autographe signée adressée à sa mère : «Tu sais cependant bien que ma destinée est mauvaise.»‎

‎[Paris] 13 [juillet] 1858 (mal datée « juin »), 13,3x20,6cm, 2 pages sur un feuillet remplié.‎


‎Lettre autographe signée de Charles Baudelaire, rédigée au crayon de papier, adressée à sa mère. Papier en-tête à tampon sec du Grand Hôtel Voltaire, Faubourg Saint-Germain. Adresse de Madame Aupick à Honfleur (Calvados) de la main de l'auteur ainsi que plusieurs tampons postaux en dates des 13 et 14 juillet 1858. Quelques soulignements, biffures et corrections de l'auteur. Trace de sceau de cire avec initiales de Charles Baudelaire au crayon, probablement de la main de l'auteur. Un morceau de papier du second feuillet a été amputé, sans atteinte au texte. Cette lettre a été publiée pour la première fois dans la Revue de Paris le 15 septembre 1917. Ancienne collection Armand Godoy, n°102. Précieux document, témoignage d'un moment décisif de la vie du poète?: la réconciliation avec la désormais veuve Aupick, cette mère sacrée «?qui hante le cur et l'esprit de son fils?». Baudelaire, victorieux, a surmonté l'obstacle que représentait l'encombrant beau-père, dont il a même souhaité la mort?: il est prêt à reprendre sa place auprès de sa mère dont il s'est souvent senti délaissé. Après le décès de son mari en avril 1857, cette dernière invite son fils à venir vivre à ses côtés dans sa «?maison-joujou?» de Honfleur. Cette lettre nous montre un Baudelaire en proie à des sentiments complexes?: déchiré entre son aspiration à un idéal fusionnel et son inexorable attraction vers le spleen. Pour le «?bas bohème?» (comme l'appellent les Goncourt) harcelé par les créanciers, Honfleur et l'attention exclusive de sa mère, sont les promesses de l'accomplissement de sa destinée poétique. C'est en ces termes que le poète fait part de cet espoir à ses amis, notamment Antoine Jaquotot (d'ailleurs cité à la fin de la lettre que nous proposons)?: «?Je veux décidément mener cette vie de retraite que mène un de mes amis, [...] qui, par la vie commune qu'il entretient avec sa mère a trouvé un repos d'esprit suffisant pour accomplir récemment une fort belle uvre et devenir célèbre d'un seul coup.?» (20 février 1858) «?Tu vas, dans peu de jours, recevoir le commencement de mon déménagement [...]. Ce seront d'abord des livres - tu les rangeras proprement dans la chambre que tu me destines.?» Avec ses livres, il confie à sa mère le soin de lui composer un univers de création idéal. Mais en marge de ses promesses et espoirs d'une vie enfin paisible et sereine, Baudelaire laisse transparaître son attachement à sa vie de poète maudit?: «?Tu sais cependant bien que ma destinée est mauvaise.?» Au-delà de ses «?nouveaux embarras d'argent?» c'est bien son uvre qui le retient à la capitale?: «?Si mon premier morceau à la Revue contemporaine a été retardé, c'est uniquement parce que je l'ai voulu; j'ai voulu revoir, relire, recommencer et corriger.?» Le «?premier morceau?» évoqué par Baudelaire n'est autre «?De l'Idéal artificiel, le Haschisch?», premier texte des Paradis artificiels à venir (1860), qui ne paraîtra que dans le numéro du 30 septembre 1858 de la revue. Ce passage de la lettre, montrant l'acharnement perfectionniste de Baudelaire, rappelle la complexité tentaculaire des brouillons et épreuves du poète qui, jusqu'au dernier instant (jusque sur les premiers exemplaires de ses Fleurs du Mal, voir notre exemplaire), n'a de cesse de le corriger méticuleusement. En dépit de ses problèmes financiers, le poète corrige et modifie sans relâche, ne pouvant alors proposer qu'un nombre d'articles très restreint. Pourtant Baudelaire croit plus que jamais à son enrichissement par l'écriture et promet: «?Cette fois-ci je m'en tirerai à moi tout seul, sans emprunter un sol.?» Baudelaire ne quittera finalement Paris pour Honfleur qu'en janvier 1859 et n'y restera pas. Au bout de quelques semaines, il s'ennuiera de l'effervescence parisienne et surtout de Jeanne Duval qui le réclame?: il quitte sa mère pour son amante et regagne sa Babylone, inexorablement attiré par le spleen. Il n'effectuera alors plus que de brefs séjours à Honfleur jusqu'à son exil pour la Belgique, mais ces parenthèses normandes, loin des tentations de la capitale, sont des plus profitables pour le poète?: «?Les séjours à Honfleur durant l'hiver et au printemps correspondent à une étonnante période de fécondité et à un état physiologique relativement satisfaisant. [...] C'est le second apogée de sa vie créatrice, le premier devant être situé entre 1842 et 1846.?» (Claude Pichois & Jean Ziegler, Baudelaire, p. 385) C'est en effet auprès de sa mère que le poète raccommode ses Fleurs du Mal?: il rééquilibre le recueil en compensant la disparition des pièces condamnées par la composition de plusieurs «?Fleurs?» nouvelles. Il offre ainsi à ses lecteurs son monumental «?Voyage?», mais aussi «?L'albatros?» ou encore «?La chevelure?». À travers cette émouvante annonce d'un retour au bercail, le poète redevient pour un temps l'enfant prodigue promettant à sa «?chère petite mère?» de mériter son affection «?Il faut des miracles et je les ferai?» et clamant sa nécessité vitale d'exister à ses yeux?: «?Seulement, admire-moi?!?» - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

Le Feu Follet - Paris
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