P., Plon, 1938, in 12 broché, 159 pages ; illustrations ; jaquette illustrée.
Reference : 43382
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Librairie ancienne le Bouquiniste Cumer-Fantin
M. Jean Paul Cumer-Fantin
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France
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État : Bon état - Année : 1952 et 1954 - Format : in 12° - Pages : 159, 119 et 127pp - Editeur : Librairie Arthème Fayard - Lieu d'édition : Paris - Type : Reliure percaline éditeur - Divers : Cartonnage très légèrement frotté. Pages un peu jaunies. Qqes pâles rousseurs sur la tranche de tête. Intérieur bien propre. - Collection : L'Histoire illustrée - Commander rapidement : https://www.bons-livres.fr/livre/collectif/7995-marie-stuart-la-tragedie-de-varennes-600-milliards-sous-les-mers?lrb
Trois livres de la collection ˮL'Histoire illustréeˮ de chez Fayard regroupés dans un cartonnage éditeur en skivertex: Marie Stuart de Paule Henry-Bordeaux. La tragédie de Varennes de André Castelot. 600 milliards sous les mers de harry E. Rieseberg traduction de l'anglais par Francis Cusset.
Phone number : 09 63 58 85 14
Lausanne, Rencontre, 1965 14 x 20, 191 pp., illustrations N/B, cartonnage éditeur, bon état
Paris, Le Club du Meilleur Livre, 1956 17 x 20, 300 pp., illustrations, cartonnage éditeur, bon état
P., Le Club du meilleur livre, 1956, in-8° carré, (10)-300 pp, documents originaux traduits et présentés par Marcel Thomas, 21 gravures hors texte, sources, tiré sur bouffant de Bellegarde, reliure pleine basane chagrinée chocolat de l'éditeur ornée du blason des Stuart, gardes illustrées (maquette de Massin), bon état (Coll. Dossiers de l'Histoire)
Fait partie d'une collection unique en son genre de sept titres consacrés à des procès historiques célèbres avec Galilée, les Templiers, Jeanne d'Arc (deux volumes), Savonarole et Vidocq. – "Depuis quatre cents ans, tant d'ouvrages ont été publiés sur Marie Stuart qu'à peine en dresserait-on la liste. Ajouter un nouveau volume à cette imposante bibliothèque pourrait donc, à première vue, sembler assez superflu. Pourtant, s'il est vrai que peu de grandes destinées ont pareillement réussi à inspirer les dramaturges, à exciter l'imagination des foules et à provoquer les discussions passionnées des historiens, la figure de Marie Stuart n'en demeure pas moins enveloppée d'un certain halo de mystère. Pour la plupart des Français, ce nom évoque la romantique personnalité d'une jeune reine que sa beauté, son intelligence, sa sensibilité, et surtout son héroïsme devant la mort, auréolent de toutes les séductions. On se la représente en général comme la victime d'une impitoyable fatalité, contrainte par son veuvage prématuré à regagner une lointaine et inhospitalière patrie avant que la haine de ses ennemis ne lui fasse enfin, au terme d'une longue captivité, gravir les marches d'un échafaud. Aux yeux de bon nombre d'Anglais, en revanche, Marie Stuart apparaît tout autre : ils verraient volontiers en elle une aventurière intrigante et débauchée, n'hésitant pas, par fanatisme, à trahir les intérêts de son propre fils, prête au besoin à recourir au meurtre pour écarter de sa route des adversaires gênants. Notre intention n'est point, on s'en doute, de donner ici un aperçu d'ensemble sur la carrière si mouvementée et si dramatique de Marie Stuart. C'est seulement la catastrophe par laquelle s'acheva sa douloureuse existence dont nous voudrions faire saisir le mécanisme et les dessous secrets. Selon l'interprétation qu'il donnera aux documents présentés ici, le lecteur pourra y trouver des motifs de condamner ou d'absoudre la reine d'Écosse. Peut-être préférera-t-il s'abstenir de porter un jugement définitif, mais il aura au moins eu sous les yeux le dossier complet de l'affaire, non sans qu'y aient été jointes un certain nombre de pièces annexes qui contribuent à la replacer dans son véritable contexte. Ces documents n'ont certes pas été ignorés des historiens de Marie Stuart, mais, rédigés qu'ils étaient, pour la plupart, en anglais, en latin, ou en espagnol, et publiés le plus souvent dans des recueils familiers aux seuls érudits de profession, ils sont restés à peu près inconnus du grand public cultivé de notre pays..." (Avant-propos)
Editions du Rocher, 2007, gr. in-8°, 649 pp, 12 pl. de gravures et portraits hors texte en couleurs, une carte, biblio, index, généalogies, code secret, broché, couv. illustrée, bon état
Marie Stuart est une incontournable et fascinante figure de la Renaissance. Fille de Jacques V roi d'Écosse et de Marie de Guise, une grande princesse française, Marie naquit en Écosse le 8 décembre 1542. Son père mourut aussitôt. Elle fut sacrée reine d'Écosse à l'âge de neuf mois et reçut trop jeune les plus glorieux hommages. Sa singulière beauté et son orgueil tracèrent les fatales arabesques de cette existence hors du commun. Mariée à François II, fils du roi de France Henri II et de Catherine de Médicis, Marie connaît la gloire et l'enchantement de vivre à la somptueuse cour des Valois. Veuve à dix-huit ans, elle veut à toute force régner sur son lointain royaume: l'Écosse. Seule en une cour de lords calvinistes, avides, hostiles, convoitant sa beauté et surtout sa couronne, Marie va rencontrer la trahison. Elle se mariera deux fois, mal. Elle épouse, au mécontentement de sa cousine, pire ennemie Elizabeth 1ère, le décevant lord Darnley dont elle aura un fils, le futur Jacques I roi d'Angleterre. Subjuguée par le séduisant comte de Bothwell, Marie bascule dans la passion. Bothwell assassine Darnley et épouse Marie Stuart au mécontentement des lords et de la cour. Des péripéties sanglantes suivent ce mariage qui déclenche la révolte des lords. Marie Stuart commet alors la folle imprudence de croire à l'hospitalité de sa cousine Elizabeth 1ère, l'implacable reine-vierge. Elle ignore que vingt années de dures prisons anglaises l'attendent. Elles aboutiront à son procès et à son exécution à Fotheringhay, le 10 février 1587. Son héroïsme devant la mort, la décapitation non sans cruauté, a impressionné même ses ennemis. Elle allait avoir quarante-cinq ans, reine déchue qui avait brodé sa devise en ses années de captivité : En ma fin est mon commencement. Pour ses fervents alliés, elle demeure fidèle à son sacre et fut la martyre de sa foi catholique. Elle est entrée pour toujours dans le mythe.