‎DUPUY Chantal‎
‎La marche du milieu‎

‎ Voix d'Encres Voix d'Encres, 2001. In-8 broché, couverture à rabats de 108 pages. Encres de Michèle Dadolle. Très bon état‎

Reference : 162933
ISBN : 2910957594


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‎GUIART Jean ‎

Reference : QWA-15102

‎Les Mélanésiens devant l'économie de marché. Du milieu du XIXème siècle à la fin du millénaire ‎

‎Nouméa, Le Rocher-à-la-Voile, 1999, 191 p., in-8 br. (14,5 x 20,5), réédition revue et augmentée, coll. "Cahiers pour l'intelligence du temps présent, 5", 20 illustrations, carte, tableaux, bon état ‎


‎Le développement a été la tarte à la crème depuis les accords de Matignon, utilisé pour tenter de faire oublier la revendication d'indépendance. Il s'agissait là d'un problème ancien, posé dans des termes pas tellement différents par les amiraux gouverneurs, qui distribuaient aux chefs de la côte est des médailles de bronze pour les encourager à fournir des travailleurs pour la création de routes, « la route qui apporte la civilisation". Pourtant les pouvoirs publics ne sont pas les seuls à s'être penchés sur le problème du développement. Les intéressés l'ont toujours tenté par eux-mêmes. En particulier les Mélanésiens, dont la curiosité technique a toujours été plus grande que les Européens n'imaginaient, mais qui se heurtaient à des obstacles difficilement surmontables chaque fois qu'ils prétendaient se développer par eux-mêmes. Cela ne les a pas empêchés de se lancer dans le coprah, le café, le coton, les mandarines ou les letchis, chaque fois qu'on leur en a laissé l'occasion. Ils ont même fini par être les principaux producteurs de café et voir leurs élevages grandir dans les limites de ce qui leur était possible financièrement. Les subventions d'irrigation, de plantation de fourrage ou d'amélioration génétique ne leur parviennent guère facilement et les productions rationalisées aux portes de la ville leur bloquent la plus grande part de l'accès au marché des consommateurs urbains. D'où deux idées parallèles, l'une venant d'hommes politiques utilisant les fonds publics pour se transformer en industriels de la mine, ou les fonds syndicaux pour constituer le capital de sociétés d'acconage ou de transport maritime, l'autres d'hommes de bonne volonté, restant à leur échelle pour bâtir, peu à peu, un tissu économique nouveau, en particulier par la réappropriation par les Canaques de la rente foncière, confisquée si longtemps par le système colonial. Les échecs relatifs des uns ou des autres sont voués à s'approfondir devant l'impact de la crise des sociétés de grande consommation asiatiques, renvoyées à réapprendre, elles aussi, le danger des très grandes ambitions et de l'arrogance politique et financière. La leçon à retenir est que le développement commode est sans autre avenir que celui des fonds gaspillés et que la réalité économique est que « la subvention tue le développement". Voir le sommaire sur photos jointes ‎

Librairie de la Garenne - Clichy-la-Garenne

Phone number : 01 42 70 11 98

EUR25.00 (€25.00 )

‎GUIART Jean ‎

Reference : QWA-15093

‎Les Mélanésiens devant l'économie de marché. Du milieu du XIXème siècle à la fin du millénaire ‎

‎Nouméa, Le Rocher-à-la-Voile, 1999, in-8 br. (14,5 x 20,5), 191 p., réédition revue et augmentée, coll. "Cahiers pour l'intelligence du temps présent, 5", 20 illustrations, carte, tableaux, bon état. ‎


‎Le développement a été la tarte à la crème depuis les accords de Matignon, utilisé pour tenter de faire oublier la revendication d'indépendance. Il s'agissait là d'un problème ancien, posé dans des termes pas tellement différents par les amiraux gouverneurs, qui distribuaient aux chefs de la côte est des médailles de bronze pour les encourager à fournir des travailleurs pour la création de routes, « la route qui apporte la civilisation". Pourtant les pouvoirs publics ne sont pas les seuls à s'être penchés sur le problème du développement. Les intéressés l'ont toujours tenté par eux-mêmes. En particulier les Mélanésiens, dont la curiosité technique a toujours été plus grande que les Européens n'imaginaient, mais qui se heurtaient à des obstacles difficilement surmontables chaque fois qu'ils prétendaient se développer par eux-mêmes. Cela ne les a pas empêchés de se lancer dans le coprah, le café, le coton, les mandarines ou les letchis, chaque fois qu'on leur en a laissé l'occasion. Ils ont même fini par être les principaux producteurs de café et voir leurs élevages grandir dans les limites de ce qui leur était possible financièrement. Les subventions d'irrigation, de plantation de fourrage ou d'amélioration génétique ne leur parviennent guère facilement et les productions rationalisées aux portes de la ville leur bloquent la plus grande part de l'accès au marché des consommateurs urbains. D'où deux idées parallèles, l'une venant d'hommes politiques utilisant les fonds publics pour se transformer en industriels de la mine, ou les fonds syndicaux pour constituer le capital de sociétés d'acconage ou de transport maritime, l'autres d'hommes de bonne volonté, restant à leur échelle pour bâtir, peu à peu, un tissu économique nouveau, en particulier par la réappropriation par les Canaques de la rente foncière, confisquée si longtemps par le système colonial. Les échecs relatifs des uns ou des autres sont voués à s'approfondir devant l'impact de la crise des sociétés de grande consommation asiatiques, renvoyées à réapprendre, elles aussi, le danger des très grandes ambitions et de l'arrogance politique et financière. La leçon à retenir est que le développement commode est sans autre avenir que celui des fonds gaspillés et que la réalité économique est que « la subvention tue le développement". Voir le sommaire sur photos jointes. ‎

Librairie de la Garenne - Clichy-la-Garenne

Phone number : 01 42 70 11 98

EUR25.00 (€25.00 )

‎PERRIN, Emile‎

Reference : 44449

(1860)

‎Chronique Musicale. [ Manuscrit autographe signé de 12 pp. in-8, pour un article paru dans la Revue Européenne du 1er Juin 1860 ] "Le Théâtre-Lyrique avait inauguré par Orphée sa saison d'hiver, il vient d'ouvrir par Fidelio sa saison de printemps. Après avoir fêté tour à tour Weber, Mozart et Gluck, il a voulu rendre les mêmes honneurs à Beethoven. L'intention est également louable ; mais je crains que le succès ne soit point égal. Populaire en Allemagne, accueilli avec enthousiasme en Angleterre, la partition de Fidelio n'a jamais pu s'acclimater sur nos scènes françaises. Faut-il en accuser le goût de notre public ? [ ... ] C'est dans la faiblesse de la pièce sur laquelle Beethoven a écrit la partition de Fidelio qu'il faut donc chercher la cause de ce constant insuccès. Le triste mélodrame de Bouilly, mis d'abord en musique par Gaveaux, n'était pas de nature à inspirer Beethoven. Son génie plane sur les hauteurs sublimes de la Symphonie Pastorale, de la Symphonie Héroïque ; il étouffe emprisonné dans les murs étroits d'une fable vulgaire, sans vraisemblance, sans intérêt, sans passion." [ Suit une analyse de l'histoire de Fidelio et de sa réception par le public français ] "L'exécution de Fidelio est inférieure à l'exécution d'Orphée et des noces de Figaro. L'orchestre, sur lequel pèse ici une grande part de responsabilité, s'est montré parfois, notamment dans l'ouverture, au-dessous de sa tâche. Mme Viardot n'a pu trouver dans le rôle de Fidelio les puissants contrastes, la vive passion du rôle d'Orphée. [...] Le rôle entier paraît d'ailleurs écrit sur un registre trop élevé pour la voix de Mme Viardot, et bien que cette voix soit douée d'une étendue exceptionnelle, elle n'atteint cependant les notes les plus élevés qu'à l'aide d'un déchirement douloureux. Le personnage de Fidelio exige, en outre, de la jeunesse ; sous l'habit du jeune paysan qui surprend l'amour de la fille du geôlier, Mme Viardot nous a fait regretter l'art avec lequel elle portait la tunique, la chlamyde et le cothurne antiques. M. Battaille chante le rôle de Rocco en musicien consommé et avec un grand sentiment du style ; Mlle Faivre montre de l'intelligence et la finesse, mais une finesse qui touche parfois au maniéré ; les autres artistes ne sont point de taille se mesurer à cette partition. [...] L'artiste chargé de représenter Ludovic Sforza a failli plus d'une fois, par l'étrangeté de ses allures, amener dans ce sombre drame un élément tout à fait imprévu, l'élément comique. Quel que doive être le succès de Fidelio, il faut savoir gré au Théâtre-Lyrique de cette tentative. [...] Il est assez curieux de voir une scène musicale, qui marche au quatrième rang, donner aux autres cet exemple du sentiment de l'art et du respect au public dont on ne craint point ailleurs de flatter les caprices et les inexcusables fantaisies. Il semble pour cela que tous les moyens soient bons, et l'on a répondu à tout quand on a dit : cela fait de l'argent. Avec ce mot là on a voulu absoudre un scandale musical qui s'est produit l'autre semaine dans la salle Ventadour. Le Théâtre-Italien a représenté l'Orphée aux Enfers de M. Offenbach.[...]" Il évoque ensuite l'Opéra-Comique et M. Gevaërt, mais aussi Donizetti : "la gloire de Donizetti ne recevra pas non plus un nouveau lustre de la représentation du petit ouvrage inédit joué sous le nom de Rita ou le Mari battu. On peut même dire que la musique de Donizetti a passé presque inaperçu au milieu des rires provoqués par les plaisanteries, un peu au gros sel, dont la pièce et semée. Il est vrai que l'exécution musicale laisse beaucoup à désirer.. [...] Seule, Mme Faure-Lefebvre ne peut suffire à tout. Elle a joué avec infiniment de grâce et l'esprit, trop d'esprit peut-être, un rôle bien invraisemblable pour elle, puisque Rita a fait la double faute d'épouser à la fois un niais et un butor. [ ... ] On dit que le rôle de Rita sera le dernier rôle créé par Mme Faure-Lefebvre et qu'elle doit prochainement quitter le théâtre. Ce sera une grande perte pour l'Opéra-Comique." ‎

‎Manuscrit signé de 12 feuillets in-8 oblong rédigés au recto, pour un article paru dans la Revue Européenne du 1er Juin 1860, tome IX, pp. 409-413 : Intéressant manuscrit autographe signé par l'écrivain et critique Emile Perrin (1814-1885), alors ancien directeur de l'Opéra Comique (1848-1857) et futur directeur de l'Opéra (1862-1871) puis Administrateur général de la Comédie Française (1871-1885). On relève les annotations d'imprimeur (noms des typographes). Son analyse de Fidelio et de sa réception en France sont très informées. "Le Théâtre-Lyrique avait inauguré par Orphée sa saison d'hiver, il vient d'ouvrir par Fidelio sa saison de printemps. Après avoir fêté tour à tour Weber, Mozart et Gluck, il a voulu rendre les mêmes honneurs à Beethoven. L'intention est également louable ; mais je crains que le succès ne soit point égal. Populaire en Allemagne, accueilli avec enthousiasme en Angleterre, la partition de Fidelio n'a jamais pu s'acclimater sur nos scènes françaises. Faut-il en accuser le goût de notre public ? [ ... ] C'est dans la faiblesse de la pièce sur laquelle Beethoven a écrit la partition de Fidelio qu'il faut donc chercher la cause de ce constant insuccès. Le triste mélodrame de Bouilly, mis d'abord en musique par Gaveaux, n'était pas de nature à inspirer Beethoven. Son génie plane sur les hauteurs sublimes de la Symphonie Pastorale, de la Symphonie Héroïque ; il étouffe emprisonné dans les murs étroits d'une fable vulgaire, sans vraisemblance, sans intérêt, sans passion." [ Suit une analyse de l'histoire de Fidelio et de sa réception par le public français ] "L'exécution de Fidelio est inférieure à l'exécution d'Orphée et des noces de Figaro. L'orchestre, sur lequel pèse ici une grande part de responsabilité, s'est montré parfois, notamment dans l'ouverture, au-dessous de sa tâche. Mme Viardot n'a pu trouver dans le rôle de Fidelio les puissants contrastes, la vive passion du rôle d'Orphée. [...] Le rôle entier paraît d'ailleurs écrit sur un registre trop élevé pour la voix de Mme Viardot, et bien que cette voix soit douée d'une étendue exceptionnelle, elle n'atteint cependant les notes les plus élevés qu'à l'aide d'un déchirement douloureux. Le personnage de Fidelio exige, en outre, de la jeunesse ; sous l'habit du jeune paysan qui surprend l'amour de la fille du geôlier, Mme Viardot nous a fait regretter l'art avec lequel elle portait la tunique, la chlamyde et le cothurne antiques. M. Battaille chante le rôle de Rocco en musicien consommé et avec un grand sentiment du style ; Mlle Faivre montre de l'intelligence et la finesse, mais une finesse qui touche parfois au maniéré ; les autres artistes ne sont point de taille se mesurer à cette partition. [...] L'artiste chargé de représenter Ludovic Sforza a failli plus d'une fois, par l'étrangeté de ses allures, amener dans ce sombre drame un élément tout à fait imprévu, l'élément comique. Quel que doive être le succès de Fidelio, il faut savoir gré au Théâtre-Lyrique de cette tentative. [...] Il est assez curieux de voir une scène musicale, qui marche au quatrième rang, donner aux autres cet exemple du sentiment de l'art et du respect au public dont on ne craint point ailleurs de flatter les caprices et les inexcusables fantaisies. Il semble pour cela que tous les moyens soient bons, et l'on a répondu à tout quand on a dit : cela fait de l'argent. Avec ce mot là on a voulu absoudre un scandale musical qui s'est produit l'autre semaine dans la salle Ventadour. Le Théâtre-Italien a représenté l'Orphée aux Enfers de M. Offenbach.[...]" Il évoque ensuite l'Opéra-Comique et M. Gevaërt, mais aussi Donizetti : "la gloire de Donizetti ne recevra pas non plus un nouveau lustre de la représentation du petit ouvrage inédit joué sous le nom de Rita ou le Mari battu. On peut même dire que la musique de Donizetti a passé presque inaperçu au milieu des rires provoqués par les plaisanteries, un peu au gros sel, dont la pièce et semée. Il est vrai que l'exécution musicale laisse beaucoup à désirer.. [...] Seule, Mme Faure-Lefebvre ne peut suffire à tout. Elle a joué avec infiniment de grâce et l'esprit, trop d'esprit peut-être, un rôle bien invraisemblable pour elle, puisque Rita a fait la double faute d'épouser à la fois un niais et un butor. [ ... ] On dit que le rôle de Rita sera le dernier rôle créé par Mme Faure-Lefebvre et qu'elle doit prochainement quitter le théâtre. Ce sera une grande perte pour l'Opéra-Comique." ‎


‎Intéressant manuscrit autographe signé par l'écrivain et critique Emile Perrin (1814-1885), alors ancien directeur de l'Opéra Comique (1848-1857) et futur directeur de l'Opéra (1862-1871) puis Administrateur général de la Comédie Française (1871-1885). On relève les annotations d'imprimeur (noms des typographes). Son analyse de Fidelio et la présentation de sa réception en France sont celles d'un critique très informé. Manuscrit provenant du fonds Dentu (l'éditeur Edouard Dentu prit la direction de la Revue Européenne de 1859 à 1862).‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR390.00 (€390.00 )

‎Collectif‎

Reference : R110437828

(1967)

‎Constellation n° 228 - Annecy, ville test des loisirs, Gibraltar par la face nord, Pour Paco Rabanne, la couture sort de son cadre, Il s'évade pour prouver son innocence, Le milieu a l'heure du Marché commun, Guérissez votre chien par l'homéopathie‎

‎Bureau de la revue. Avril 1967. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 193 pages. Nombreuses illustrations en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Sommaire : Annecy, ville test des loisirs, Gibraltar par la face nord, Pour Paco Rabanne, la couture sort de son cadre, Il s'évade pour prouver son innocence, Le milieu a l'heure du Marché commun, Guérissez votre chien par l'homéopathie, La télépathie entre dans les laboratoires, Le racisme aux U.S.A. : d'abord une affaire sexuelle, Les tests psychotechniques : un scandale, Ira de Furstenberg : le bonheur dans le cinéma Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR19.80 (€19.80 )

‎Collectif‎

Reference : R110440061

(1983)

‎Bulletin de l'union des physiciens n° 659 - Le milieu interstellaire par Monique Gros, Spectroscopie a bon marché par M. Chapelet, Caustiques de lentilles épaisses par M. Chapelet, Caustique d'un miroir cylindrique par M. Chapelet, Tourbillons‎

‎Bureaux de la revue. Décembre 1983. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 289 à 431.. . . . Classification Dewey : 530-Physique‎


‎Sommaire : Le milieu interstellaire par Monique Gros, Spectroscopie a bon marché par M. Chapelet, Caustiques de lentilles épaisses par M. Chapelet, Caustique d'un miroir cylindrique par M. Chapelet, Tourbillons a la surface d'une lame mince d'eau savonneuse par M. Chapelet Classification Dewey : 530-Physique‎

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