‎HENRIOT (Henri MAIGROT)‎
‎La semaine comique‎

‎ Sans nom Sans nom, 1891 - 1892. In-12 oblong, broché, couverture muette de mapier marbré, non paginé. Bon état‎

Reference : 160141


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‎Polo F. (Rédacteur en chef) ; Lévy.D (Directeur) ; Gill (caricature) ; Gripp Carlo (caricature) ; Collectif‎

Reference : 126449

(1867)

‎Journal : La Lune Semaine comique illustrée: Troisième année - N°53 - 10 Mars 1867 : M. Glais-Bizoin, par Gill‎

‎5, Cité Bergère, La Lune, impr. Internationale de Towne, 9, rue d'Aboukir 1867 Journal en un double feuillet de 4 pages 50 cm sur 33. Pliures centrales et petites déchirures au niveau de la pliure principale.. État correct d’occasion.‎


‎Journal en un double feuillet Etat correct d’occasion ‎

Librairie de l'Avenue - Saint-Ouen

Phone number : 01 40 11 95 85

EUR22.00 (€22.00 )

‎PERRIN, Emile‎

Reference : 44449

(1860)

‎Chronique Musicale. [ Manuscrit autographe signé de 12 pp. in-8, pour un article paru dans la Revue Européenne du 1er Juin 1860 ] "Le Théâtre-Lyrique avait inauguré par Orphée sa saison d'hiver, il vient d'ouvrir par Fidelio sa saison de printemps. Après avoir fêté tour à tour Weber, Mozart et Gluck, il a voulu rendre les mêmes honneurs à Beethoven. L'intention est également louable ; mais je crains que le succès ne soit point égal. Populaire en Allemagne, accueilli avec enthousiasme en Angleterre, la partition de Fidelio n'a jamais pu s'acclimater sur nos scènes françaises. Faut-il en accuser le goût de notre public ? [ ... ] C'est dans la faiblesse de la pièce sur laquelle Beethoven a écrit la partition de Fidelio qu'il faut donc chercher la cause de ce constant insuccès. Le triste mélodrame de Bouilly, mis d'abord en musique par Gaveaux, n'était pas de nature à inspirer Beethoven. Son génie plane sur les hauteurs sublimes de la Symphonie Pastorale, de la Symphonie Héroïque ; il étouffe emprisonné dans les murs étroits d'une fable vulgaire, sans vraisemblance, sans intérêt, sans passion." [ Suit une analyse de l'histoire de Fidelio et de sa réception par le public français ] "L'exécution de Fidelio est inférieure à l'exécution d'Orphée et des noces de Figaro. L'orchestre, sur lequel pèse ici une grande part de responsabilité, s'est montré parfois, notamment dans l'ouverture, au-dessous de sa tâche. Mme Viardot n'a pu trouver dans le rôle de Fidelio les puissants contrastes, la vive passion du rôle d'Orphée. [...] Le rôle entier paraît d'ailleurs écrit sur un registre trop élevé pour la voix de Mme Viardot, et bien que cette voix soit douée d'une étendue exceptionnelle, elle n'atteint cependant les notes les plus élevés qu'à l'aide d'un déchirement douloureux. Le personnage de Fidelio exige, en outre, de la jeunesse ; sous l'habit du jeune paysan qui surprend l'amour de la fille du geôlier, Mme Viardot nous a fait regretter l'art avec lequel elle portait la tunique, la chlamyde et le cothurne antiques. M. Battaille chante le rôle de Rocco en musicien consommé et avec un grand sentiment du style ; Mlle Faivre montre de l'intelligence et la finesse, mais une finesse qui touche parfois au maniéré ; les autres artistes ne sont point de taille se mesurer à cette partition. [...] L'artiste chargé de représenter Ludovic Sforza a failli plus d'une fois, par l'étrangeté de ses allures, amener dans ce sombre drame un élément tout à fait imprévu, l'élément comique. Quel que doive être le succès de Fidelio, il faut savoir gré au Théâtre-Lyrique de cette tentative. [...] Il est assez curieux de voir une scène musicale, qui marche au quatrième rang, donner aux autres cet exemple du sentiment de l'art et du respect au public dont on ne craint point ailleurs de flatter les caprices et les inexcusables fantaisies. Il semble pour cela que tous les moyens soient bons, et l'on a répondu à tout quand on a dit : cela fait de l'argent. Avec ce mot là on a voulu absoudre un scandale musical qui s'est produit l'autre semaine dans la salle Ventadour. Le Théâtre-Italien a représenté l'Orphée aux Enfers de M. Offenbach.[...]" Il évoque ensuite l'Opéra-Comique et M. Gevaërt, mais aussi Donizetti : "la gloire de Donizetti ne recevra pas non plus un nouveau lustre de la représentation du petit ouvrage inédit joué sous le nom de Rita ou le Mari battu. On peut même dire que la musique de Donizetti a passé presque inaperçu au milieu des rires provoqués par les plaisanteries, un peu au gros sel, dont la pièce et semée. Il est vrai que l'exécution musicale laisse beaucoup à désirer.. [...] Seule, Mme Faure-Lefebvre ne peut suffire à tout. Elle a joué avec infiniment de grâce et l'esprit, trop d'esprit peut-être, un rôle bien invraisemblable pour elle, puisque Rita a fait la double faute d'épouser à la fois un niais et un butor. [ ... ] On dit que le rôle de Rita sera le dernier rôle créé par Mme Faure-Lefebvre et qu'elle doit prochainement quitter le théâtre. Ce sera une grande perte pour l'Opéra-Comique." ‎

‎Manuscrit signé de 12 feuillets in-8 oblong rédigés au recto, pour un article paru dans la Revue Européenne du 1er Juin 1860, tome IX, pp. 409-413 : Intéressant manuscrit autographe signé par l'écrivain et critique Emile Perrin (1814-1885), alors ancien directeur de l'Opéra Comique (1848-1857) et futur directeur de l'Opéra (1862-1871) puis Administrateur général de la Comédie Française (1871-1885). On relève les annotations d'imprimeur (noms des typographes). Son analyse de Fidelio et de sa réception en France sont très informées. "Le Théâtre-Lyrique avait inauguré par Orphée sa saison d'hiver, il vient d'ouvrir par Fidelio sa saison de printemps. Après avoir fêté tour à tour Weber, Mozart et Gluck, il a voulu rendre les mêmes honneurs à Beethoven. L'intention est également louable ; mais je crains que le succès ne soit point égal. Populaire en Allemagne, accueilli avec enthousiasme en Angleterre, la partition de Fidelio n'a jamais pu s'acclimater sur nos scènes françaises. Faut-il en accuser le goût de notre public ? [ ... ] C'est dans la faiblesse de la pièce sur laquelle Beethoven a écrit la partition de Fidelio qu'il faut donc chercher la cause de ce constant insuccès. Le triste mélodrame de Bouilly, mis d'abord en musique par Gaveaux, n'était pas de nature à inspirer Beethoven. Son génie plane sur les hauteurs sublimes de la Symphonie Pastorale, de la Symphonie Héroïque ; il étouffe emprisonné dans les murs étroits d'une fable vulgaire, sans vraisemblance, sans intérêt, sans passion." [ Suit une analyse de l'histoire de Fidelio et de sa réception par le public français ] "L'exécution de Fidelio est inférieure à l'exécution d'Orphée et des noces de Figaro. L'orchestre, sur lequel pèse ici une grande part de responsabilité, s'est montré parfois, notamment dans l'ouverture, au-dessous de sa tâche. Mme Viardot n'a pu trouver dans le rôle de Fidelio les puissants contrastes, la vive passion du rôle d'Orphée. [...] Le rôle entier paraît d'ailleurs écrit sur un registre trop élevé pour la voix de Mme Viardot, et bien que cette voix soit douée d'une étendue exceptionnelle, elle n'atteint cependant les notes les plus élevés qu'à l'aide d'un déchirement douloureux. Le personnage de Fidelio exige, en outre, de la jeunesse ; sous l'habit du jeune paysan qui surprend l'amour de la fille du geôlier, Mme Viardot nous a fait regretter l'art avec lequel elle portait la tunique, la chlamyde et le cothurne antiques. M. Battaille chante le rôle de Rocco en musicien consommé et avec un grand sentiment du style ; Mlle Faivre montre de l'intelligence et la finesse, mais une finesse qui touche parfois au maniéré ; les autres artistes ne sont point de taille se mesurer à cette partition. [...] L'artiste chargé de représenter Ludovic Sforza a failli plus d'une fois, par l'étrangeté de ses allures, amener dans ce sombre drame un élément tout à fait imprévu, l'élément comique. Quel que doive être le succès de Fidelio, il faut savoir gré au Théâtre-Lyrique de cette tentative. [...] Il est assez curieux de voir une scène musicale, qui marche au quatrième rang, donner aux autres cet exemple du sentiment de l'art et du respect au public dont on ne craint point ailleurs de flatter les caprices et les inexcusables fantaisies. Il semble pour cela que tous les moyens soient bons, et l'on a répondu à tout quand on a dit : cela fait de l'argent. Avec ce mot là on a voulu absoudre un scandale musical qui s'est produit l'autre semaine dans la salle Ventadour. Le Théâtre-Italien a représenté l'Orphée aux Enfers de M. Offenbach.[...]" Il évoque ensuite l'Opéra-Comique et M. Gevaërt, mais aussi Donizetti : "la gloire de Donizetti ne recevra pas non plus un nouveau lustre de la représentation du petit ouvrage inédit joué sous le nom de Rita ou le Mari battu. On peut même dire que la musique de Donizetti a passé presque inaperçu au milieu des rires provoqués par les plaisanteries, un peu au gros sel, dont la pièce et semée. Il est vrai que l'exécution musicale laisse beaucoup à désirer.. [...] Seule, Mme Faure-Lefebvre ne peut suffire à tout. Elle a joué avec infiniment de grâce et l'esprit, trop d'esprit peut-être, un rôle bien invraisemblable pour elle, puisque Rita a fait la double faute d'épouser à la fois un niais et un butor. [ ... ] On dit que le rôle de Rita sera le dernier rôle créé par Mme Faure-Lefebvre et qu'elle doit prochainement quitter le théâtre. Ce sera une grande perte pour l'Opéra-Comique." ‎


‎Intéressant manuscrit autographe signé par l'écrivain et critique Emile Perrin (1814-1885), alors ancien directeur de l'Opéra Comique (1848-1857) et futur directeur de l'Opéra (1862-1871) puis Administrateur général de la Comédie Française (1871-1885). On relève les annotations d'imprimeur (noms des typographes). Son analyse de Fidelio et la présentation de sa réception en France sont celles d'un critique très informé. Manuscrit provenant du fonds Dentu (l'éditeur Edouard Dentu prit la direction de la Revue Européenne de 1859 à 1862).‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR390.00 (€390.00 )

‎Comédie Française ; GOT, Edmond ; BARNETT, H.‎

Reference : 44281

(1871)

‎[ Programme de la Comédie française, imprimé sur soie et galonné d'argent. Représentation de Gala à Londres, le 29 mai 1871, en l'honneur du Prince de Galles - au lendemain de la Semaine Sanglante de la Commune de Paris ] Comédie Française (de Paris). 1871. Salle dite Opéra Comique, Strand. Pour la première fois à Londres La Société de la Comédie Française. Acting Manager M. H. Barnett. MM. Got, Delaunay, Bressant, Talbot, Coquelin, Febvre, Chery, Barbe, Garraud, Boucher. Mmes Favart, Emilie Dubois, Jouassain, Provost-Ponsin, Marie Royer. Ce Soir Au Printemps, Comédie en Un Acte de M. Léopold Laluyé. Mlle de Belle-Isle. Comédie en Cinq Actes, en Prose, de M. Alexandre Dumas ‎

‎1 programme sur soie format 35,5 x 17 cm, intégralement orné de galons à frange en fil d'argent (de 2,5 cm de large), s.d. [ mai 1871 ]. Rappel du titre complet : [ Programme de la Comédie française, imprimé sur soie et galonné d'argent. Représentation de Gala à Londres, le 29 mai 1871, en l'honneur du Prince de Galles - au lendemain de la Semaine Sanglante de la Commune de Paris ] Comédie Française (de Paris). 1871. Salle dite Opéra Comique, Strand. Pour la première fois à Londres La Société de la Comédie Française. Acting Manager M. H. Barnett. MM. Got, Delaunay, Bressant, Talbot, Coquelin, Febvre, Chery, Barbe, Garraud, Boucher. Mmes Favart, Emilie Dubois, Jouassain, Provost-Ponsin, Marie Royer. Ce Soir Au Printemps, Comédie en Un Acte de M. Léopold Laluyé. Mlle de Belle-Isle. Comédie en Cinq Actes, en Prose, de M. Alexandre Dumas ‎


‎Exceptionnel souvenir du passage de la Comédie Française à Londres, du 2 Avril au 9 Juillet 1871. Le guide essentiel à l'analyse de cette impression sur soie est le "Journal inédit de E. Got". La guerre, le siège de Paris puis les événements de la Commune ayant fortement compromis la situation financière de la Comédie Française, le sociétaire Edmond Got proposa de "tenter de gagner à l'étranger l'argent qui était nécessaire aux dépenses". En compagnie d'une petit troupe dans laquelle on compte Coquelin (Aîné) ou Prosper Bressant, il organise une tournée londonienne de 3 mois. A la date du 28 mai, suite à un séjour éclair à Paris en pleine "Semaine Sanglante" de la Commune, Edmond Got écrit : "le prince de Galles (l'héritier présomptif), et sa femme assisteront demain à la représentation de Mademoiselle de Belle-Isle, et je suis chargé de les recevoir officiellement, comme directeur". Sur la même page, une note précise que le 29 mai, seront jouées " Au Printemps" et "Mademoiselle de Belle-Isle". L'examen attentif du Journal de Got révèle que ces deux pièces ne furent jouées ensemble qu'à cette seule date lors de la tournée (par ailleurs, "Au Printemps" y sera représentée 4 fois, "Mlle de Belle-Isle" 8 fois). Il n'est fait mention sur le programme ni du Prince de Galles, ni d'une date précise, mais tous les indices signalés coïncident pour permettre de conclure sans risque d'erreur qu'il fut imprimé pour la Représentation de Gala donnée le 29 Mai 1871 en l'honneur du Prince de Galles (futur Edouard VII). L'impression sur soie des programmes artistiques est une pratique connue au XIXe siècle, pour marquer les grandes occasions (dernières de grands artistes, premières, soirées de gala...). Les galons à frange en fil d'argent sont évidemment un rappel des galons ornant le bas du rideau de scène. Ce bel exemplaire est un émouvant témoignage historique, de la tournée londonienne de la Comédie Française en 1871 et de la visite dont l'honora le futur Edouard VII. Et la date même de cette représentation, donnée au lendemain de la Semaine Sanglante de la Commune de Paris n'est pas le détail le moins marquant. ‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR1,900.00 (€1,900.00 )

‎COLLECTIF‎

Reference : RO10079587

(1873)

‎L'ILLUSTRATION JOURNAL UNIVERSEL N° 1587-Texte : Histoire de la semaine. — Courrier de Paris. — Le peintre Ab-Ovo. — La Cage d’or, nouvelle, par M. G. de Cher-ville (suite). — Nos gravures. — Revue comique du mois,par Bertall. — Les Théâtres. — Bulletin‎

‎Au bureau du journal. 26 juillet 1873. In-Folio. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 16 pages environ illustrées de nombreuses gravures en noir et blanc - Paginées de 54 à 72. . . . Classification Dewey : 70.4417-L'illustration / Figaro salon‎


‎SOMMAIRE : Texte : Histoire de la semaine. — Courrier de Paris. — Le peintre Ab-Ovo. — La Cage d’or, nouvelle, par M. G. de Cher-ville (suite). — Nos gravures. — Revue comique du mois,par Bertall. — Les Théâtres. — Bulletin bibliographique.Gravures : L'ineendie des magasins du Grand-Monge, rue Monge (2 gravures). — Sir Samuel Baker, explorateur de l’Afrique centrale; — Lady Baker. — La sieste, composition et dessin de J. Millet. — Un nouveau sport : le Paper Hunt, chasse autante a succession, d'après le tableau de Découverte d’un éléphant fossile à Durford (Gard), 3 gravures.— Revue comique du mois, par Bertall (12 sujets). — La cabine-laboratoire du Challenger, navire chargé d’explorer le fond des mers. — Echecs. — Rébus. Classification Dewey : 70.4417-L'illustration / Figaro salon‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR59.25 (€59.25 )

‎COLLECTIF‎

Reference : RO10079592

(1873)

‎L'ILLUSTRATION JOURNAL UNIVERSEL N° 1592-Texte : Histoire de la semaine. — Courrier de Paris, par M. Philibert Audebrand. — Nos gravures. — La Gage d’ór, nouvelle, par M. G. de Cherville (suite). — Les Théâtres. — Bulletin bibliographique. - Revue comique‎

‎Au bureau du journal. 30 aout 1873. In-Folio. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 16 pages environ illustrées de nombreuses gravures en noir et blanc - Paginées de 138 à 152. . . . Classification Dewey : 70.4417-L'illustration / Figaro salon‎


‎SOMMAIRE : Texte : Histoire de la semaine. — Courrier de Paris, par M. Philibert Audebrand. — Nos gravures. — La Gage d’ór, nouvelle, par M. G. de Cherville (suite). — Les Théâtres. — Bulletin bibliographique. - Revue comique du mois, par Bertall. — Histoire de la Colonne (troisième article), — Bigarrures ancc- j dotiques : l’esprit de parti (suite). — Echecs.Grapures : Événements d’Espagne : un poste d’insiirgés surveillant l’entrée de la rade de Carthagène; — Une séance du Comité insurrectionnel dans la cathédrale de Valence. — La Toi- | lelte japonaise, d’après le tableau de M. Firmili Girard. —A propos de l’ouverture. — Irlande : le château de Dun-LuCe. — Revue comique du mois, par Bertall (12 sujets). — Le navire cuirassé le Suflren de la marine nationale. — Rébus. Classification Dewey : 70.4417-L'illustration / Figaro salon‎

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