Paris, H de Villemessant Paris, H de Villemessant et G. Bourdin, 1865. Album in folio oblong relié demi6percaline rouge, plats cartonnés rouge, fer doré au premier plat. Du N° 25 du 1er décembre 1864 au N°47 octobre 1865 inclus de cette publication reproduisant des autographes, lettres, dessins d'hommes célèbres. Reliure un peu frottée, pour le reste corps de l'ouvrage en bon état.
Reference : 131531
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M. de Lescure. Correspondance de la Marquise du Deffand Bel envoi de l'auteur en page de faux-titre avec ses amis, le Président Hénault-Montesquieu-d'Alembert-Voltaire-Horace Walpole classée par ordre chronologique et sans suppressions augmentée des lettres inédites au Chevalier de l'Isle précédée d'une Histoire de sa vie, de son salon, de ses amis suivie de ses œuvres diverse et éclairée de nombreuses notes par M. de Lescure. Marie de Vichy-Chamrond (ou Champrond), marquise du Deffand, était une épistolière et salonnière française. Issue d'une famille de Bourgogne noble, mais pauvre, elle épousa, en 1718, le marquis du Deffand, homme d'un certain âge, pour lequel elle ne nourrit guère une grande estime. Elle fut introduite par son amant Charles-Jean-François Hénault, président de la Première Chambre des enquêtes du Parlement de Paris chez la duchesse du Maine qui régentait alors les plaisirs à la cour de Sceaux, avec ses salons littéraires et les fêtes des Grandes Nuits de Sceaux. Sa maison devint le rendez-vous de tout ce que la cour, la robe et surtout la littérature renfermaient d’hommes marquants. C’est dans ce monde libertin qu’elle fit la connaissance de Voltaire qui resta son ami toute sa vie. Mais elle y rencontra également des personnalités du monde des arts et des lettres et, à partir de 1742, commença sa correspondance prolixe avec les célébrités de son temps : Voltaire, Horace Walpole, d’Alembert, Julie de Lespinasse, la duchesse de Luynes et tant d’autres. À la mort de son mari, elle s’installa dans les appartements jadis occupés par Madame de Montespan, rue Saint-Dominique à Paris, dans l’ancien couvent des Filles de Saint-Joseph où, à partir de 1749, elle ouvrit son célèbre salon. Elle y donnait des soupers tous les jours, mais ceux du lundi attiraient toute l’élite intellectuelle. Son intelligence et ses dons de conversation paraissent avoir exercé une véritable fascination, même lorsqu’elle fut atteinte de cécité à 56 ans. C’est alors que pour suppléer à ses déficiences, elle prit sa nièce Julie de Lespinasse comme lectrice, avant de s’en séparer de manière fracassante après avoir découvert que les conversations commencées dans son salon se terminaient dans la chambre de Julie. Amie de Voltaire, intime de d'Alembert, de Fontenelle, Marivaux, Sedaine, Helvétius, de l’architecte Soufflot, du sculpteur Falconet, des peintres Van Loo et Vernet qui fréquentaient son salon, tout un monde bel esprit défilait et se pressait chez elle : abbés, courtisans, dames de la cour gloussantes autant que médisantes. Elle laissa, à sa mort, une correspondance fascinante représentative de l'esprit du XVIIIe siècle français. 2 forts volumes (complet) reliés 1/2 chagrin noir à nerfs, 230x150, frottements, coin cassé au dos du tomeI, qq annotations au crayon, 592 et 796 pages. 1 portrait en frontispice pour chaque volume et plusieurs fac-simile de lettres. Table analytique des matières Plon 1865
Grenoble. Prudhomme. 1865. In-8 (154 x 237mm) broché, sans couverture, 20 pages, bien complet de la planche repliée de l'autographe du baron des Adrets. Coins lgt renforcés au papier kraft mais exemplaire à grandes marges pouvant être recoupé sans dommage.
, , 1865. 2 pp. in-8 manuscrites recto verso à l'encre brune.
« Juillet 1865. Lundi matin. Cher Monsieur Perroud, Je cours depuis des jours après les numéros de journaux où l'on parle des tableaux de M. Victor Robut que je n'ai pas vus dans l'unique visite que j'ai faite au Salon. Croyez croyez bien que je suis tout, tout entier à votre service et je signerai pour vous être agréable, contrairement à mon parti pris d'envoyer pour les réclames. Mais M. Victor Robert mérite mieux sans doute. Comment faire pourtant ? Indiquez-moi un moyen de dresser ce compte-rendu et de rédiger cet éloge. Je vous enverrai courrier par courrier l'article que vous n'aviez qu'à bâtir vous-même ; j'effacerai votre marque puisque vous y tenez et tacherai d'y mettre la mienne. J'ai parfaitement vu le numéro où vous parlez de mon Merus merci. Et encore une fois à votre disposition. Avisez ! C. à V. Vallès rue de Bréa 5. PS M. Botrou Moru m'a écrit à ce sujet, je lui répond en adressant cette lettre ».
Bureaux 3 rue Rossini L'autographe Relié 1864 Deux volumes in folio à l'italienne, 32 x 47 cm., dos toilés rouge, plats de toile moirée, plaque dorée sur le premier plat, 408 pages, pagination continue, tête de série de la revue, reproductions de pages manuscrites et de signatures de personnages célèbres ; petits incidents aux coins, toile insolée dans le bas des plats, bon état. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
[HÔPITAUX] (titre factice eu dos). Recueil de onze volumes et plaquettes in-8, généralement sans faux-titre, demi-chagrin anthracite ??, dos janséniste avec titre et monogramme R.M.C. ( relié vers 1885 : dos unifor-mément passé, trace d’ancienne étiquette collée, étiquette vierge sur le premier contreplat ; quelques rousseurs éparses), 1858 – 1884, deux sans date, environ 560pp.. (détail sur les provenances successives : voir fiche n° MED999).
Reference : med202
[IV]- BERTIN (Émile) : Le nouvel hôpital Saint-Éloi de Montpellier. Avec planches. Paris, Librairie J.-B. Baillière et fils, 1879. (2)ff.[faux-titre, titre]-46pp ;-(1)f.[table]. Six figures in texte pp.43-46. Extrait des Annales d’hygiène et de médecine légale, t.II, 3° série, 1879. PROVENANCE : sur le faux-titre remplié, envoi autographe signé « A Monsieur R. de Musgrave-Clay. Souvenir de l’auteur. E. Bertin ». [V]- DUBRUEIL (Alphonse) : Transfert de l’Hopital (sic) Saint-Éloi dans la zone suburbaine et sa reconstruction sur de nouveaux plans. Montpellier, C. Coulet, Libraire-Éditeur, Paris, V.-A Delahaye et Cie, Libraires-Éditeurs, 1879. 18pp.-(1) f. blanc. In fine , deux planches à double page, « projet d’Hôpital, Système Tollet » (C. Coulet, Editeur, Litho Boehm et fils), identique à celui du n°3, et « Plan d’un pavillon d’Hôpital », accompagné d’un « Tableau comparatif, etc. ». [VI]- FÉLIX (Docteur Jules) : La question des Hopitaux (sic). Bruxelles, Office de Publicité, A.-N. Lebègue et Cie, Imprimeurs-Éditeurs, 1884. 34[dont le titre]-(1)pp. ; un tableau à pleine page. Imprimé sur papier fort. Sur le titre, envoi autographe signé de l’auteur (nom du dédicataire massicoté…). Cachet de la Bibliothèque de Pau. [VII]- DELASIAUVE (Louis) : De l‘enseignement clinique dans les hopitaux (sic). Proposition développée et soutenue a (sic) la Société médicale du Panthéon. Paris, Victor Mason, Libraire, 1858. 32 pp.[dont le titre). « Extrait du journal le Siècle, 17 septembre, 3 et 7 octobre 1858 ». Cachets, de la Bibliothèque de Pau, sur le titre et, au verso, « Timbre impérial ». [VIII]- DELASIAUVE (Louis) : De la clinique a (sic) domicile et de l’enseignement qui s’y rattache dans ses rapport avec l’Assistance publique. Sans titre, sans nom ( Versailles, Cerf et fils, Imprimeurs), sans date. 16 pp.
[IX])- PELTIER (G.) : L’Ambulance N°5. Paris, Adrien Delahaye,Libraire-Editeur, 1871. 109 [dont le titre] -(1) pp.-(1) f.[table]. Publication du « Mouvement médical ». Précisions après le titre de départ : « Notes pour servir à l’Histoire médico-chirurgicale de la guerre franco-prussienne. (1870-1871) ». Cette ambulance « partit de Paris le 2 août 1870. Son personnel était nombreux ; il ne comptait pas moins de 40 chirurgiens, 3 aumôniers, 6 comptables 105 infirmiers » (p.5) , sous la direction du « Chirurgien en chef : M. TRÉLAT » (voir supra n°2). L’auteur, alors interne des hôpitaux, y était employé comme aide-chirurgien. [X]- LATAPIE (J.) : Nouveau système de ventilation des hopitaux (sic) et Moyen pratique d’arrêter la propagation des maladies contagieuses épidémiques. Lourdes, Bertrand Pujo, Imprimeur-Libraire, 1878. In-16, 32 pp. [dont le titre]. Petit opuscule cité in : - « Comptes-rendus hebdomadaires des Séances de l’Académie des Sciences par MM. les Secrétaires perpétuels ». ( Paris, Gauthier-Villars, 1878. Tome LXXXVI N°1 janvier 1878). - Bulletin trimestriel de la Société de Borda,1878 …………………. - « Index Catalogue of the Library of the Surgeon - General’s Office, United States Army. Hospitals (Heating and ventilation of) ». Washington, Government Printing Office, 1902. Authors and Subjects. Second Series. Vol. VII Hernia-Inquiry, p. 392. [XI]- LUDLUM (Wiliam S., M. D.) : Dispensaries, their Origin, Progress and Efficiency. ( dispensaires leur origine, progrès et efficacité) New York, G. P. Putman’s sons , sans date. 30 pp. [dont le titre] -(1) f. blanc. Extrait du « New York Medical Journal Association, on Friday Evening, April 21st, 1876 »