La Chaux, F. A .Parisod, 1973. En feuilles : 16,5x22 cm. Petit ouvrage illustré par Yersin et comprenant 1 petite gravure originale (cuivre) en couleurs, signée au crayon gris. Chemise-étui en carton recouvert de papier vert. Ouvrage en excellent état.
Reference : 2725
Un des 200 exemplaires. Langue
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1935 Numéro 152 - 15 août 1935 - in-8 broché - Ed. Les Editions Rieder, Paris
bon état (rousseurs légères)
1922 1922. Editions du Trèfle Edmond Bernard 1928 EX NUM n°953/1000ex sur Alfa lux. Couverture un peu insolée sinon restant en bon état. Réf. YY-13317
Paris, Plon, 1917 ; in-12, 311 pp., reliure demi-veau prune, dos à nerfs. Très bon état.
Paris, Edmond Bernard, 1928. Gr. in-8° carré, non paginé. Broché.
Edition originale numérotée 1/200 exemplaires sur pur fil Lafuma (deuxième papier après 50 exemplaires sur Japon). Avec en frontispice, un portrait de Valéry et un portrait de Mallarmé reproduits sur papier japon. En fin de volume, fac-similé d'une lettre autographe de Paul Valéry (4 pages). Bel exemplaire, non coupé.
Berger-Levrault, 1915, 3 vol. in-12, 116, 123 et 136 pp, 3 ouvrages de la collection “Pages d'histoire” reliés ensemble en un volume demi-chagrin noir, dos à 5 nerfs, titre doré (“Documents diplomatiques. Guerre 1914-1915, 3”), couvertures papier jaune des volumes conservées (rel. de l'époque), bon état
1. "Dans la Journée du 22 décembre on a réuni la déclaration du gouvernement, les discours des deux présidents, du Sénat et de la Chambre des députés. Ces paroles sont des actes historiques d'une grande signification." (Ch. Bémont, Revue Historique, 1915). Préface de Henri Welschinger. – 2. Les atrocités allemandes en Belgique. — "L'auteur, ancien professeur à l'Institut technique de Dordrecht, a visité les principales villes de Belgique dans les derniers jours d'août : il était à Louvain même lors du sac de la ville et rapporte un grand nombre de faits précis qui prouvent à la fois la légèreté des accusations lancées par les Allemands contre la conduite des habitants qu'ils veulent déshonorer après les avoir terrorisés, et la cruauté froidement calculée des envahisseurs, – ou mieux de leurs chefs. Il peint le soldat allemand souvent ivre, facilement accessible à la panique, prêt alors à commettre les pires excès s'il n'est pas contenu par le frein d'une discipline inflexible ; or, ce sont les chefs qui justement lui ordonnent de piller, d'incendier et de fusiller. En même temps qu'on brûlait la bibliothèque, des mesures étaient prises pour préserver l'Hôtel de ville. Tout dans le crime était donc réglé. M. Grondijs rencontre à Bruxelles des officiers de réserve qui reviennent de Louvain en flammes ; un d'eux est au civil docteur en droit. « C'est une honte », lui déclarent-ils sans hésitation comme sans remords; mais « il faut être officier pour comprendre la nécessité de telles mesures dans de semblables circonstances ». Aveu précieux à recueillir ; il caractérise en partie cette maladie mentale du militarisme, terme qu'il conviendrait d'ailleurs de bien définir tout d'abord, si l'on veut essayer honnêtement de comprendre l'état d'esprit des Allemands en temps de guerre et aussi en temps de paix." (Ch. Bémont, Revue Historique, 1915) – 3. Avec une préface en vers de Hugues Delorme.