Hachette, Les Albums des Guides Bleus, Paris 1954, in-8° cartonnage éditeur sous jaquette illustrée, nombreuses photographies de l'auteur en noir tirée en héliogravures. EO.
Reference : 4461
Librairie La Rose de Java
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P., Librarie Orientale & Américaine, E. Guilmoto, s.d. (1913), pt in-8°, xvi-294 pp, 12 pl. de photos hors texte, reliure demi-chagrin vert, dos à 4 faux-nerfs, titres et caissons dorés, encadrements à froid sur les plats, fer doré de prix de la ville de Paris au 1er plat (rel. de l'époque), qqs rousseurs, bon état
"Aux personnes qui désirent être renseignées sur la Grèce, spécialement au point de vue économique, nous recommandons l'ouvrage de M. Martin. Il a, été composé avant les guerres balkaniques, mais ses renseignements n'en conservent pas moins toute leur valeur. M. Pontsevrez a d'ailleurs ajouté plusieurs notes complémentaires qui en font un livre parfaitement à jour. L'auteur étudie successivement la cour et le gouvernement, les finances, l'instruction publique, les chemins de fer, la marine marchande, l'industrie, l'agriculture, les mines, les questions sociales, etc. Il consacre ensuite plusieurs chapitres aux villes principales, comme Athènes, Patras, Nauplie, etc., et aux diverses provinces. C'est donc un ouvrage récent tout à fait unique en son genre. Point de descriptions, de rappel de l'antiquité, point de lyrisme classique. M. Martin a étudié la Grèce en homme d'affaires pour qui seules les choses du présent ont une importance réelle." (Raymond Janin, Revue des études byzantines, 1914) — "Il ne s'agit pas, malgré le titre, de la Grèce telle qu'elle a été agrandie par le traité de Bucarest ; c'est bien pourtant une Grèce nouvelle qui s'est révélée à l'Europe au cours de la dernière guerre. Une Grèce qui avait réparé l'échec de 1897, dont l'armée était réorganisée, dont les finances étaient rétablies ; en grande partie l'oeuvre d'un homme d'Etat de premier ordre, M. Eleutherios Venizelos, premier ministre. Sans doute la Grèce ne peut encore se comparer à l'un de nos Etats occidentaux ; et si M. Percy Martin avait été géographe, il aurait tenté de montrer quelle part dans ce retard revient aux conditions physiques ; sa comparaison de la Grèce avec la Colombie de l'Amérique du Sud est assez saugrenue. La mer offre, en Grèce, des communications si faciles et si naturelles, la terre, en revanche, a un relief si accidenté et si tourmenté que l'on s'est tourné vers la mer et que l'on a négligé les routes terrestres. Les dominations successives qui ont pesé sur le pays ont été stériles à cet égard ; ce n'est que depuis l'indépendance, à mesure que la Grèce se remettait des plaies du régime turc, des blessures des guerres libératrices, qu'elle a pu songer aux routes et aux chemins de fer. Elle possède maintenant quelques bonnes routes où l'on peut circuler en automobile. Elle possède aussi un réseau ferré de 1600 kilomètres de long ; il appartient à diverses compagnies ; il n'y a pas jonction entre plusieurs des lignes ; il ya plusieurs types de voie, à1m. 44, à1m., à 60 cm. ; enfin, jusqu'ici, il y avait interruption de la ligne à l'ancienne frontière turque et impossibilité de communiquer directement avec l'Europe. Cependant on voit l'agriculture trouver de nouvelles voies, l'industrie naitre. Il ne manque plus que le temps, la persévérance dans le travail, la confiance de l'étranger aussi bien que du peuple dans un gouvernement qui comprend son devoir. L'organisation administrative et judiciaire du pays, l'instruction (le l'armée, l'état des finances, marquent déjà un progrès énorme. C'est donc une impression optimiste qui se dégage des nombreux renseignements recueillis par M. Martin. Un mot d'éloge en passant aux très belles photographies." (C. Biermann, Bulletin de la Société neuchateloise de géographie, 1915)
Lucien Mazenod 1972 in4. 1972. Cartonné. belle iconographie en couleurs et en noir et blanc dépliants --- K. Papaioannou L'ART GREC Editions d'Art Lucien Mazenod 1972 L'ART ET LES CIVILISATION DE LA GRECE ANCIENNE - LES SITES ARCHEOLOGIQUES DE LA GRECE ET DE LA GRANDE-GRECE par J. Bousquet M.F. Billo P.C. Bol P. Bruneau P. Courbin C. Doumas P. Ducrey R. Flesch M. Fourmont D. Gaye Z. Kiss D. Knoepfler C. Le Roy C. Llinas J. Mlynarczyk E. Ripoll-Perello G. Roux F. Salviat A. et A. Schnapp R. Treuil in 4° reliure toilée sous jaquette(quelque peu défraÎchie) 636 pages. Agréable exemplaire Très nombreuses photographies noir et blanc et couleurs dont certaines dépliantes de Jean Mazenod de Scala du Musée du Louvre du British Museum de Spyros Meletzis et Hélène Papadakis de Titus de N. Kondos d'Edistudio de Mauro Pucciarelli de la bibliothèque nationale d'Isolde Luckert du musée de Berlin et de Hinz Contenu du volume : Introduction - L'héritage créto-mycénien - Les siècles obscurs et l'art archaïque - Les dieux et le divin - La Grèce préclassique - La conquête des libertés - Cosmos - L'art classique - La crise de la cité - L'art post-classique - Le legs d'Alexandre - Planches en couleur - Documents photographiques - Sites archéologiques de la Grèce et de la Grande-Grèce - Documentation Divinités et héros mythiques - Architectes sculpteurs peintres philosophes et écrivains illustres de ka Grèce Ancienne - Chronologie historiqu
jaquette en mauvais état bords frottés jaunie multiples déchirures couverture jaunie sur les bords tranche ternie intérieur propre par ailleurs bonne tenue du livre sans rousseurs à l'intérieur
Complet 8 tomes en 4 vols reliés demi cuir, 140x90, frottements sur les coins, tranches jaspées, bon état intérieur, environ 300pp par tome. Au bureau des éditeurs, 1830 "Voyage du jeune Anacharsis en Grèce" est un ouvrage de Jean-Jacques Barthélemy, un érudit et homme de lettres français du XVIIIe siècle. Publié pour la première fois en 1788, cet ouvrage est une œuvre majeure de la littérature de voyage et de l'étude de l'Antiquité grecque. Le livre relate les aventures fictives d'un jeune Scythe nommé Anacharsis qui entreprend un voyage en Grèce au Ve siècle avant J.-C. L'auteur utilise ce personnage pour explorer et décrire la société, la culture, les institutions politiques et les mœurs des Grecs anciens. L'ouvrage présente ainsi une vision imaginaire de la Grèce classique à travers les yeux d'un étranger. "Voyage du jeune Anacharsis en Grèce" est remarquable pour sa précision historique et son érudition. Jean-Jacques Barthélemy s'appuie sur des sources historiques et littéraires de l'époque pour reconstituer la vie en Grèce antique, y compris les jeux olympiques, la philosophie, les arts, la religion, les coutumes et les conflits politiques. L'ouvrage a connu un grand succès et a influencé l'engouement pour la Grèce antique qui a marqué la période du néoclassicisme. Au-delà de son intérêt historique, "Voyage du jeune Anacharsis en Grèce" est également un récit captivant qui offre une vision vivante de la Grèce antique et suscite la réflexion sur les thèmes universels de la civilisation et de l'identité culturelle. Réf / 34
S.l., 1953. Un volume de texte in-4 (27 x 21,1 cm) de 49 et 3 pp., broché, dos de toile verte, titre dactylographié sur le plat supérieur, et un album de photographies grand in-4 (34,5 x 32 cm) de (53) ff., demi-chagrin vert foncé, dos à nerfs, étiquette dactylographiée «Yougoslavie - Grèce 1953» au dos (reliure de l’époque).
Relation d’un voyage en Yougoslavie et en Grèce. Le texte est illustré de 7 cartes, dont 5 dépliantes, en reproductions photographiques tirées sur papier; l’album contient 4 cartes dont 1 en reproduction photographique, 4 photographies volantes et 610 photographies contrecollées au recto et au verso de chaque feuillet. Ce voyage se déroula du 30 juin au 2 août 1953. Antoine Larue quitte Paris en voiture (une traction-avant Citroën) avec sa femme Colette, son fils Denis et une parente dont le prénom est Lydie. Les premières étapes sont Strasbourg, Karlsruhe, Augsbourg, Munich, Bruck (Autriche), Lienz et Klagenfurt. Ils franchissent les Alpes Carniques, passent la frontière yougoslave et arrivent le 3 juillet à Ljubljana (Slovénie)pour faire le même jour la visite des grottes de Postoïna (Postojna). Ils passent ensuite à Rijeka (Fiume, Croatie) puis à Cricvenica, sur la mer Adriatique. Le 4, les voyageurs quittent cette localité pour longer la côte dalmate: Senj, Karlobag, Obrovac puis Benkovac où ils dorment sous la tente. Le 5 juillet, ils parviennent à Sibeniko(Sibenik) ; puis ils se rendent à Trogir, ville d’architecture vénitienne. Les étapes suivantes sont Spalato (Split), où ils observent les murailles de l’ancien palais de Dioclétien, puis Makarska, Metkovic et Dubrovnik (Raguse) avec la visite de la vieille ville. Le 7, les voyageurs quittent la Croatie pour le Monténégro, passent par Cattaro (Kotor) puis Cetinje avant d’arriver le même jour à Titograd (Podgorica). Le lendemain, ils traversent le Kosovo: Pec, Decani (visite du monastère), Dakovica et Prizren, puis parviennent à Skopje (Macédoine) dans la soirée. Les étapes suivantes sont Prilep, Bitola (anciennement Monastir) et Okrida (Ohrid) où Larue rencontre, le 10 juillet, un ancien officier de l’armée impériale russe devenu directeur d’hôtel. Revenus à Bitola, les voyageurs traversent la frontière yougoslave le 12 juillet pour arriver le même jour à Florina (Grèce). Le trajet continue par Kozani, Grevena, Kalambaka (visite des Météores), Argios Stephanos, Trikala, Larissa, Pharsale, Lamia (plaine des Thermopyles), Thèbes (Thiva), Eleusis (Elefsina) puis Athènes où l’arrivée a lieu le 13 au soir. Le lendemain, ils visitent l’Acropole, puis, le 15, le cap Sounion (temple de Poséidon). Le 16, ils prennent place à bord de l’Andros pour visiter les Cyclades: les principales étapes sont Tinos, Paros, Naxos, Ios, Oia et Santorin. De retour à Tinos, ils s’embarquent le 18 sur le Costacis Toya qui les emmène à Mykonos. De là, ils prennent une barque à voiles à destination de Délos où ils visitent les ruines. De retour à Mykonos, ils montent à bord de l’Aegeon avec plusieurs autres Français. Le 19, ils font une halte à Leros, puis passent à Kalimnos avant d’arriver le même jour à Rhodes où ils visitent le musée et le château. Le retour au Pirée a lieu le 21 juillet. Ils repartent aussitôt pour faire le tour du Péloponnèse: Corinthe, Nauplie, Epidaure (visite du théâtre), Tirynthe, Mycènes, Argos, Tripolis et Sparte, où ils arrivent le 22. A Mistra, ils visitent des églises et des couvents byzantins, puis retournent à Tripolis avant de se diriger vers Olympie. Arrivés le 24, ils visitent le musée ainsi que le stade que l’on est en train de dégager. Ils passent ensuite par Pyrgos et Patras, prennent le bac pour traverser le golfe de Corinthe, passent par Naupacte (Lépante), et arrivent à Delphes le soir même, où ils visitent le musée et les ruines (temple d’Apollon, voie sacrée, stade, théâtre). Le 26, ils quittent Delphes, visitent le monastère de Saint-Luc (Hosios Loukas) dont l’église byzantine date du XIe siècle, passent par Lévadhia et Thèbes pour revenir à Athènes le soir. Le lendemain, ils se rendent au Pirée et montent à bord du Cyclades qui, après avoir traversé les golfes de Corinthe et de Patras, passe au large d’Ithaque, fait escale à Corfou et arrive à Brindisi (Italie) le 29 juillet. Le voyage de retour s’effectue par Tarente, Salerne, Naples, Pompéi, Rome (visite du Vatican), Sienne, Florence, Bologne, Milan et Domodossola. Les voyageurs passent le col du Simplon, traversent la Suisse par Montreux, Vevey, Lausanne et Genève, puis rentrent en France le 2 août 1953. Dans son récit, Larue dresse un tableau assez critique de la Yougoslavie: mauvais état des routes, difficultés de s’approvisionner en pièces détachées pour réparer les voitures, espionnage des fonctionnaires, faiblesse du niveau de vie, misère des habitants dans les campagnes, inadaptation du pays aux activités touristiques; malgré cela, il affirme que «Tous, malgré tout, aiment Tito, même ceux qui critiquent son administration car Tito leur a redonné leur orgueil national et reste le drapeau d’un pays fier et pauvre…» (p. 25). Le voyage en Grèce, essentiellement consacré à la visite des sites archéologiques, s’effectue dans de meilleures conditions: «Avec la récente dévaluation de la drachme qui est passée de 43 pour un franc à 85, la vie en Grèce n’est pas très chère; elle est cependant plus chère mais beaucoup plus confortable qu’en Yougoslavie…» (p. 44). Le texte contient aussi quelques allusions aux événements politiques (tensions entre la Grèce et l’Albanie) et s’achève par la liste des dépenses effectuées dans les différents pays traversés. Ancien directeur des relations sociales de la société Ugine, Antoine Larue avait étudié à l’Ecole des Hautes Etudes Commerciales (promotion 1921). Les récits de ses voyages, restés inédits, sont illustrés d’un grand nombre de photographies pour la plupart prises par lui-même. Parmi les 610 photographies contenues dans l’album, environ 200 sont consacrées à la Yougoslavie: grottes de Postojna, vues de Cricvenica, Senj et Karlobag, port de Sebenico, monuments de Trogir, de Split et de Raguse, vues de Cattaro, ancien lac de Scutari, grand hôtel de Titograd, paysages montagneux dans les environs de Pec, monastère de Decani, église de Prizren, vues de Skopje, marché de Prilep, mosquée de Bitola, vues d’Okrida (dont certaines avec la mention: «données par Mlle Cavalieri»). Concernant la Grèce, on relève environ 300 photographies: les Météores, l’Acropole d’Athènes avec l’Erechtheion et les Propylées, l’île de Santorin, Paros, Mykonos, Délos (ruines), Kalimnos, Rhodes (palais des grands-maîtres, hôpital des chevaliers, fort Saint-Nicolas, remparts, acropole, marché aux melons et aux citrons, etc.), canal de Corinthe, Nauplie, Epidaure (stade et théâtre), Tirynthe, Mycènes (tombeau d’Agamemnon, porte des Lionnes), Sparte, Mistra (églises), vues de Karitaina et Andritsaina, Bassæ (temple), Olympie (ruines), port de Lépante, Delphes (temple d’Apollon, portique des Athéniens, stade, théâtre), Hosios Loukos (monastère), à nouveau Athènes, puis Le Pirée et Corfou. Les dernières photographies concernent essentiellement l’Italie (Ravello, Pompéi, Sienne, Bologne…). Légères mouillures sur la couverture du volume de texte; une carte est détachée dans l’album.
Chez la veuve Duchesne, Paris 1783, in-8 (12,5x19,5cm), (4) viij ; 527pp. et (4) 382pp. et (4) 373pp. et (4) 240pp. [mal pag. 140pp.], 4 volumes reliés.
Troisième édition illustrée de 10 planches hors-texte dont un frontispice de Dalbou d'après Hoüel, 5 planches hors-texte de Laurent d'après Favray et 4 planches hors-texte dépliantes de Laurent d'après Massit. Les trois premiers volumes contiennent toutes les lettres sur la Grèce, le dernier renferme d'autre opuscules de l'auteur : Essais sur les Elégies de Tibulle (suivis de la traduction de ces dernières), Les Saisons et Poésies légères. Nombreux bandeaux et culs-de-lampe floraux (corbeilles de fleurs, illets...). Reliure en plein veau blond marbré de l'époque. Dos lisses ornés de pièces de titre et de tomaison de maroquin vert, de petits fleurons floraux dorés, ainsi que d'une dentelle dorée en queue. Triples encadrements dorés sur les plats. Toutes tranches marbrées. Coiffe de tête du premier tome arasée. Quelques trous de ver sur les dos des deuxième et troisième volumes. Mors de queue fendue sur le premier volume. Six coins émoussés. Epidermures. Quelques pâles mouillures angulaires. Un travail de vers portant atteinte à tout le coin inférieur droit du troisième volume. Bel aspect de l'exemplaire. Plus large que ne le paraît son titre, le Voyage littéraire de la Grèce contient de nombreuses informations sur les Turcs, les Arméniens et leurs murs, et naturellement les peuples de la Grèce. Les lettres sont l'oeuvre d'un négociant résidant à Constantinople, Monsieur Guys, adressées à un amateur d'art, Bourlat de Montredont. Épris profondément de belles-lettres et de recherches sur l'Antiquité, l'auteur dans sa description de la Grèce, de ses murs et de ses coutumes, puise sa matière dans les écrivains de l'Antiquité en établissant des parallèles constant avec la Grèce moderne, montrant combien en elle se retrouve toute la littérature grecque. Chaque lettre porte sur un sujet, de nombreuses ont pour objet l'art, mais certaines plus spécifiques portent sur le mobilier, les bijoux, le maquillage, les fêtes, les convenances, les bains, l'architecture, et naturellement, un domaine intéressant plus particulièrement l'auteur : le commerce et la navigation. Certaines lettres sont des additions, et traitent des usages chez les Turcs, les Juifs... Projet ambitieux d'un homme ancré dans la réalité de son temps (et qui passa plus de 30 ans dans le Levant), le Voyage littéraire de la Grèce repère dans la Grèce moderne tout l'héritage de l'Antiquité, et fait des Grecs modernes les héritiers directs, les descendants des Grecs anciens. L'auteur renouvelle ainsi l'intérêt du voyage vers la Grèce. Avant la lettre, c'est un des premiers ouvrages d'anthropologie. - Photos sur www.Edition-originale.com -