Ed. Arthaud, 1959, gr. in-8vo, 266 p. rich. ill., 100 photogr. en noir (héliogravures) reliure en toile originale, jaquette.
Reference : 57366aaf
Harteveld Rare Books Ltd.
M. Ben Harteveld
rue des Alpes, 5
1700 Fribourg
Switzerland
41 (0)26 3223808
Les livres sont habillés de leur reliure originale de l'époque. Si une reliure est d'une époque plus récente, ou si elle a subi des restaurations, nous le précisons dans nos descriptions (des petits défauts ne sont pas toujours mentionnés). Les frais de port et d'emballage sont à la charge du destinataire. Les envois sont effectués sous la responsabilité des acheteurs. Paiement par CARTE DE CRÉDIT (veuillez indiquer les numéros, la date): Visa, Eurocard, Mastercard, ou par mandat postal international.
Paris, Editions Bias, 1947, in-8 de119 pages, cartonnage déditeur, jaquette illustrée, illustrations noir et blanc et couleurs in-texte, planche couleurs hors-texte. Bel exemplaire complet de sa jaquette.
Cet ouvrage présente dans les Alpes 36 sommets dont les noms ont fait rêver plus d'un montagnard et explique minutieusement la façon la plus classique et la plus simple de les gravir. La plupart d'entre eux sont facilement accessibles et constituent donc des buts de randonnée, mais cet ouvrage a le mérite d'ouvrir une fenêtre sur des objectifs plus sérieux, comme le Viso, le Tenneverge, les aiguilles d'Arve ou le mont Aiguille, de véritables courses où la présence d'une personne expérimentée est un minimum indispensable. Les sommets sont classés par ordre croissant de difficulté. Chacun d'entre eux fait l'objet d'un texte évoquant son ambiance et son histoire, prodiguant des conseils et des renseignements pratiques appuyés par des croquis et des photographies de l'auteur qui, pour la circonstance, a gravi ou regravi tous les itinéraires.
absolument neuf
Lausanne, Editions Rencontre, "Sommets de la littérature espagnole", 1962 1 volume 11,7 x 17,7cm Cartonnage éditeur skivertex rouge; dos imitant une reliure ancienne, avec ornements dorés et 2 "bandes de titre" noires. 537p., 3 feuillets. Très bon état.
Ouvrage réunissant les traductions ou adaptations françaises de 4 pièces de Lope de VEGA (1562-1635), grand dramaturge du Siècle dor espagnol: "La Fontaine aux brebis", traduction, par Dominique AUBIER, de "Fuenteovejuna", comédie dramatique en 3 journées; "Le Chevalier d'Olmedo", traduction, par Eugène BARET, de "El Caballero de Olmedo", comédie dramatique en 3 journées; "L'Etoile de Séville", adaptation en vers, par Jules SUPERVIELLE, de "La Estrella de Sevilla", pièce en 3 journées; et "Le Chien du jardinier", adaptation, par Georges NEVEUX, de "El Perro del hortelano", comédie en 3 actes, suivie d'un 2nde version, la traduction d'Eugène BARET. Présentation de Georges HALDAS et José HERRERA PETERE. 7è volume de la série des "Sommets de la littérature espagnole du douzième au dix-neuvième siècle", établie et présentée par Georges HALDAS et José HERRERA PETERE (la préface générale de Jean Cassou ne figurant que dans le 1er volume).
au bureau du journal. 1997. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 64 pages augmentées de quelques photos en couleurs dans texte.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire: Certains sommets ne s'escaladent pas; Bienvenue à Saint-Benoît; Lumière sur l'électrotechnique... Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Edition originale de la dernière grande tragédie de Racine, souvent considérée comme son chef-d’œuvre, ornée d’un frontispice gravé par J. Mariette d’après J.-B. Corneille. Paris, Denys Thierry, 1691. In-4 de (1) f.bl., (6) ff., 1 frontispice gravé, 87 pp. Petit trou en marge de la p. 40. Relié en plein veau granité de l’époque, dos à nerfs orné de fleurons dorés, coupes décorées, tranches mouchetées. Reliure de l’époque. 252 x 185 mm.
Edition originale de la dernière grande tragédie de Racine, souvent considérée comme son chef-d’œuvre, ornée d’un frontispice gravé par J. Mariette d’après J.-B. Corneille. Tchemerzine, V, 350; Graesse, Trésor de livres rares, VI, 15; Rahir, La Bibliothèque de l’amateur, 601; Brunet, IV, 1083; Le Petit, Bibliographie des éditions originales, 377-379; Guibert, Bibliographie des Œuvres de Jean Racine, 107-110. Composée à la demande de Louis XIV et de Madame de Maintenon, Athalie fut d’abord représentée par les élèves de Saint-Cyr, dans la plus grande simplicité, sans décor, ni costume, aux mois de janvier et février 1691. Souvent considérée comme le chef-d’œuvre de Racine, la pièce fut vivement appréciée par le comité privé devant lequel elle fut jouée. Elle ne fut cependant donnée en public qu’après la mort de l’auteur, le 3 mars 1716, au Théâtre-Français. Dans cette pièce lumineuse Racine campait avec génie l’affrontement entre le bien et le mal et le drame bouleversant et grandiose de la reine. L’auteur renouvelait son art, proche de celui du théâtre grec par son action continue, tout en étoffant le spectacle par des chœurs magnifiques, mis en musique par Jean-Baptiste Moreau. «‘Athalie’ fut la dernière pièce de Racine et son dernier chef-d’œuvre» (Guibert). Cette tragédie ne reçut véritablement sa consécration qu’au XIXe siècle, lorsque les romantiques virent dans Athalie «l’un des sommets de la poésie française». Bel exemplaire très pur conservé dans sa reliure de l’époque de l’une de nos grandes tragédies classiques.