Calmann Lévy, Paris 1873, 15,5x23,5cm, relié.
Reference : 60006
Edition originale vendue au profit des Alsaciens-Lorrains, mention de deuxième édition. Quelques rousseurs affectant principalement les premiers et derniers feuillets. Reliure à la bradel en plein papier marbré, dos lisse, pièce de titre de maroquin noir, couvertures comportant des piqûres conservées, tête dorée, reliure signée de Thomas Boichot. Envoi autographe signé de Victor Hugo à Léon Bienvenu. Provenance : de la bibliothèque de Léon Bienvenu avec le cachet imprimé de sa bibliothèque et numéroté de sa main sur la page de titre. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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1879 Eugène Hugues.(1879)- in-4 de VIII-300 p., demi-basane dos lisse frotté, rouss.
Paris: Hugues Eugène sd (1873?) - Demi-reliure. Très bon. In 8 , demi veau,dos orné de filets et titres dorés , texte dans un encadrement , illustrations sur bois de Flameng , Vierge , Bayard , Hugo etc , 298 pages +tables , bel exemplaire,Faux-titre, "A Paris, capitale des peuples, V.H." ; note. TALVART IX, 67.
texte frais
ARMAND COLIN; 1898, IN 12, Broché, 453 p. ;dos cassé,couvertures éffrangées avec manques,
Collectif - THIERS (Adolphe), Gontaut-Biron, Saint-Vallier, von Manteuffel, etc.
Reference : 28443
(1903)
Calmann-Lévy, 1903, 2 vol. gr. in-8°, 482 et 474 pp, conventions financières en annexes, brochés, bon état
Réunion de 362 lettres, principalement de Thiers, du vicomte de Gontaut-Biron (ambassadeur de France à Berlin), du comte de Saint-Vallier (commissaire extraordinaire du Gouvernement français près le commandant en chef de l'armée d'occupation), du général de Manteuffel (commandant en chef de l'armée allemande) et du comte d'Arnim (ambassadeur d'Allemagne à Paris), plus 13 textes en annexe. Ces correspondances retracent les négociations entre Paris et Berlin ayant pour objet de restreindre l'étendue de l'occupation et les charges (plusieurs milliards de francs) ainsi que de fixer la date définitive de libération du territoire national. — "Aux termes du traité de Francfort, signé le 10 mai 1871, une armée allemande devait occuper une partie du territoire français jusqu'au moment où l'indemnité de guerre de cinq milliards serait entièrement payée. Le 27 juin 1871, le général baron de Manteuffel en reçut le commandement ; il installa son quartier général d'abord à Compiègne, puis, le 15 septembre, à Nancy. Dès le mois de juillet, le gouvernement français avait placé à ses côtés, comme agent officiel, le comte de Saint-Vallier, diplomate de carrière, ancien ministre de France en Bavière. En janvier 1872, des relations diplomatiques régulières ayant été reprises avec l'Allemagne, Saint-Vallier reçut le titre de « commissaire général près l'armée d'occupation », tandis que M. de Gabriac, simple chargé d'affaires, était remplacé à Berlin par le vicomte de Gontaut-Biron, et que le comte d'Arnim était nommé ambassadeur d'Allemagne à Paris. C'est à ces personnages, Manteuffel, Saint-Vallier, Gontaut-Biron, d'Arnim, agissant au nom des chefs de leurs gouvernements respectifs, Thiers et M. de Rémusat, ministre des Affaires étrangères, d'une part, le roi Guillaume et Bismarck de l'autre, qu'allait incomber le soin d'assurer, dans les conditions les plus satisfaisantes, l'exécution des clauses du traité de Francfort relatives à l'occupation et à l'évacuation de la France. Et c'est une partie notable des lettres échangées au cours de leur mission que nous fait connaître aujourd'hui cette publication. Ces lettres sont au nombre de 362 : 187 dans le premier volume, 175 dans le second. Elles sont de longueur très inégale ; certaines n'ont que quelques lignes, d'autres dix pages et plus. La première est datée du 3 mai 1871, la dernière du 27 septembre 1873..." (P. Caron, Revue d'Histoire moderne et contemporaine)
Collectif - THIERS (Adolphe), Gontaut-Biron, Saint-Vallier, von Manteuffel, etc.
Reference : 116928
(1903)
P., Calmann-Lévy, 1903, 2 vol. gr. in-8°, (8)-482 et (6)-474 pp, conventions financières en annexes, brochés, couvertures de relais des éditions Balzac, très bon état
Réunion de 362 lettres, principalement de Thiers, du vicomte de Gontaut-Biron (ambassadeur de France à Berlin), du comte de Saint-Vallier (commissaire extraordinaire du Gouvernement français près le commandant en chef de l'armée d'occupation), du général de Manteuffel (commandant en chef de l'armée allemande) et du comte d'Arnim (ambassadeur d'Allemagne à Paris), plus 13 textes en annexe. Ces correspondances retracent les négociations entre Paris et Berlin ayant pour objet de restreindre l'étendue de l'occupation et les charges (plusieurs milliards de francs) ainsi que de fixer la date définitive de libération du territoire national. — "Aux termes du traité de Francfort, signé le 10 mai 1871, une armée allemande devait occuper une partie du territoire français jusqu'au moment où l'indemnité de guerre de cinq milliards serait entièrement payée. Le 27 juin 1871, le général baron de Manteuffel en reçut le commandement ; il installa son quartier général d'abord à Compiègne, puis, le 15 septembre, à Nancy. Dès le mois de juillet, le gouvernement français avait placé à ses côtés, comme agent officiel, le comte de Saint-Vallier, diplomate de carrière, ancien ministre de France en Bavière. En janvier 1872, des relations diplomatiques régulières ayant été reprises avec l'Allemagne, Saint-Vallier reçut le titre de « commissaire général près l'armée d'occupation », tandis que M. de Gabriac, simple chargé d'affaires, était remplacé à Berlin par le vicomte de Gontaut-Biron, et que le comte d'Arnim était nommé ambassadeur d'Allemagne à Paris. C'est à ces personnages, Manteuffel, Saint-Vallier, Gontaut-Biron, d'Arnim, agissant au nom des chefs de leurs gouvernements respectifs, Thiers et M. de Rémusat, ministre des Affaires étrangères, d'une part, le roi Guillaume et Bismarck de l'autre, qu'allait incomber le soin d'assurer, dans les conditions les plus satisfaisantes, l'exécution des clauses du traité de Francfort relatives à l'occupation et à l'évacuation de la France. Et c'est une partie notable des lettres échangées au cours de leur mission que nous fait connaître aujourd'hui cette publication. Ces lettres sont au nombre de 362 : 187 dans le premier volume, 175 dans le second. Elles sont de longueur très inégale ; certaines n'ont que quelques lignes, d'autres dix pages et plus. La première est datée du 3 mai 1871, la dernière du 27 septembre 1873..." (P. Caron, Revue d'Histoire moderne et contemporaine)