Paris, Alphonse Lemerre, 1880. 4 vol. in-12, XVI-333 pp. + 337 pp. + 304 pp. + 301 pp., demi-maroquin à coins indigo de Lanscelin, filet à froid sur les plats, dos à nerfs, tête dorée sur témoin (petits frottements, dos légèrement foncés, quelques petites rousseurs éparses).
Reference : 18083
Édition de la traduction française par Francisque Reynard. Exemplaire joliment établi par Lanscelin. Voir photographie(s) / See picture(s) * Membre du SLAM et de la LILA / ILAB Member. La librairie est ouverte du lundi au vendredi de 14h à 19h. Merci de nous prévenir avant de passer,certains de nos livres étant entreposés dans une réserve.
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A Paris, Chez Laporte, [1795] ; 4 volumes in-8, demi-veau marbré havane, dos lisse, estampé de frises et filets dorés, pages de gardes et tranches jaspées, pièces de titre, titre et tomaison en lettres dorées, non rognés. (Reliure de l'époque). 2 ff., 374 pp - 2 ff., 390 pp - 2 ff.,384 pp et 2 ff., 389 pp.
Ouvrage orné de 46 planches dessinées par C. N. Cochin gravées par De Launay, Lingée et Ponce, les mêmes que celles du Roland Furieux traduit par d'Hussieux paru chez Brunet en 1775-1783. Sans le portrait en frontispice de l'Arioste dessiné par Eisen d'après le Titien. Elle est précédée d'un Abrégé de la vie de l'Arioste extraite de Simon Fornari, de l'abbé Pezana, etc., d'une traduction de la Lettre de Galilée au seigneur François Rinuccini (au sujet de l'Arioste et du Tasse). Le dernier tome contient un extrait du Roland de Boyardo (pp.100-261) ainsi que la Fleur des Batailles de Doolin comte de Mayence." Chef-d'uvre de l'Arioste, poète italien de la Renaissance, le Roland Furieux (Orlando Furioso), parodie du poème chevaleresque, tresse, avec une habileté et une ironie, trois grands thèmes : la guerre entre Charlemagne et les Sarrasins, la folie de Roland vainement amoureux de l'inconstante Angélique, enfin les amours et le mariage de Roger et Bradamante, ancêtres imaginaires de la dynastie d'Este. Composé de 46 chants, mêlant le tragique au plaisant, le lyrique au romanesque, usant avec autant de liberté que de maîtrise de toute la culture européenne, d'Homère aux contemporains en passant par les romans médiévaux, le Roland furieux, expérience livresque et humaine de l'Arioste en une symphonie perpétuellement mouvante de personnages et d'événements qui, après l'écroulement des repères du Moyen Âge, reflète le scepticisme souriant de la Renaissance. Ses compatriotes, l'ont surnommé le divin Arioste et son ottava rima a été appelé ottava d'oro (la huitième d'or). Il publia son poème pour la première fois en 1516, en 40 chants, mais il ne cessa de le retoucher et en donna en 1532 une édition augmentée de six chants. ". Photos sur demande.
[ P.-C. Lehuby] - ARIOSTE ; [ L'ARIOSTE ] ; NANTEUIL, Célestin
Reference : 59725
(1847)
Edition épurée illustrée de 20 dessins de Célestin Nanteuil, 1 vol. petit in-8 cartonnage éditeur pleine percaline polychrome, dos orné avec cimier et Roland appuyé sur son épée, toutes tranches dorées, P.-C. Lehuby, Paris, 1847, VIII-539 pp. avec 20 planches hors texte (y compris le frontispice)
Bon état (cartonnage lég. frotté, ors sur la dame au premier plat passés, ff. un peu brunis) pour ce charmant cartonnage polychrome. On rencontre diverses versions de ce cartonnage (parfois avec la Dame au dos, en place du Roland).
P., Paulin, 1846, 4 vol. in-16, xi-300, 280, 297 et 284 pp, notes, les 4 tomes reliés en 2 volumes demi-toile havane, dos lisses avec filets à froid, titres et tomaisons dorés (rel. de l'époque), qqs rares rousseurs, bon état
Chef-d'œuvre de l'Arioste, poète italien de la Renaissance, le Roland Furieux (Orlando Furioso), parodie du poème chevaleresque, tresse, avec une habileté et une ironie, trois grands thèmes : la guerre entre Charlemagne et les Sarrasins, la folie de Roland vainement amoureux de l'inconstante Angélique, enfin les amours et le mariage de Roger et Bradamante, ancêtres imaginaires de la dynastie d'Este. Composé de 46 chants, mêlant le tragique au plaisant, le lyrique au romanesque, usant avec autant de liberté que de maîtrise de toute la culture européenne, d'Homère aux contemporains en passant par les romans médiévaux, le Roland furieux, expérience livresque et humaine de l'Arioste en une symphonie perpétuellement mouvante de personnages et d'événements qui, après l'écroulement des repères du Moyen Âge, reflète le scepticisme souriant de la Renaissance. Ses compatriotes, l'ont surnommé le divin Arioste et son ottava rima a été appelé ottava d'oro (la huitième d'or). Il publia son poème pour la première fois en 1516, en 40 chants, mais il ne cessa de le retoucher et en donna en 1532 une édition augmentée de six chants.
Un ouvrage de 96 pages, format 300 x 225 mm, illustré, relié cartonnage couleurs, publié en 2020, Silvana Editoriale, bon état
Le cycle de Roland furieux du Château d'Effiat (Puy-de-Dome) est composé de douze toiles conservées dans les collections clermontoises depuis le milieu du XIXe siècle
Phone number : 04 74 33 45 19
Paris Seuil 2000, 2 volumes forts et grands in-8, 964+1160 pages. Brochés sous emboitage illustré en noir d'éditeur. Jamais ouvert, encore filmé.(2600 gr.)
Edition bilingue, traduction de Michel Orcel, présentation d'Italo Calvino. "Traduire le Roland furieux est un gigantesque défi: Michel Orcel l'a relevé. Non seulement il nous restitue les 4842 huitains de l'original, mais il nous propose une traduction en vers, car c'est d'après lui le seul moyen de retrouver en français la «polytonalité» de l'œuvre et sa variété de registres. Comme il s'en explique dans une note détaillée et fort instructive, il prend quelques libertés par rapport aux règles métriques traditionnelles.Le résultat force l'admiration, et nous sommes en présence d'une traduction qui fera date. Un des principaux modèles dont Michel Orcel s'est inspiré est Audiberti et sa traduction partielle de la Jérusalem délivrée du Tasse (Les Flèches d'Armide, Imprimerie nationale), l'un des absolus chefs-d'œuvre du genre. Il a tenu aussi compte de la version de La Divine Comédie fournie par André Pézard, «trop fréquemment méprisée». C'est dire que ce Roland furieux n'est pas seulement un magnifique hommage rendu à l'Arioste, mais aussi une passionnante expérience linguistique où la langue française a certainement tout à gagner."Article dans "Le Temps"