Paris, Tresse & Stock, 1895. In-8° (185 x 130 mm), demi-maroquin à coins havane, plats de papier marbré, dos à nerfs, doublures et gardes de papier peigne, tête dorée sur témoins, couvertures conservées (reliure de l’époque). Édition originale. L'un des 50 exemplaires sur papier de Hollande. Envoi autographe à son ami et exécuteur testamentaire Lucien Descaves. Très bel exemplaire. Superbe provenance. Fiche descriptive détaillée et photos sur simple demande.
Reference : 44
Librairie Thomas Rossignol
M. Thomas Rossignol
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Claude Sidoine Michel. Mis au Jour et Dirigé par Le Sr Desnos Ingénieur Géographe
Reference : 81119
(1765)
Paris, Rue Saint-Jacques à L'Enseigne du Globe, 1765, in-4 (21x27,5cm), reliure tardive (19e s.) en demi-chagrin bleu nuit à dos long, titre et filets à l'or, plats papier marbré oeil de chat, Contient 19 cartes montées sur onglets, certaines dépliantes : une Carte Générale de France, IIe Feuille: Route de Paris à Rennes. IIIe F. Route de Paris à Bordeaux et Toulouse. IVe F. Route de la Diligence de Lion. Ve F. Le Carosse de Strasbourg. VIe F. Routes de Champagne, Lorraine, Franche-Comté, partie de la Bourgogne et de l'Alsace. VIIe F. Troisième Route de Paris à Strasbourg. VIIIe F. 3e Route de Paris à Strasbourg. IXe F. Grande Route des Prov. de Picardie, de Thiérache, d'Artois, de Hainaut, de la Flandre et des Pays-Bas. Xe F. Route des Provinces de Normandie, Boulonois, partie de la Flandres et Picardie, et Route de Paris à Londres. XIe F. Détail de la première Route d'Amsterdam à Marseille. XIIe F. suite Route Amst. à Mars. XIIIe F. Grande Route de Strasbourg à Wienne. XIVe F. Carte de Bretagne. XVe F. Routes et Chemins des Communications, compris entre les 4 grandes routes de Paris à Nantes et Rennes. XVIe F. Carte de Gacogne. XVIIe F. Qui donne les Routes et Chemins, tant Royaux que Particuliers, compris entre les deux grandes Routes de Paris à Toulouse. XVIIIe F. Qui donne les continuations des Routes Orientales et Méridionales des Grandes Routes de Paris à Marseille. Suit : un Prospectus du Guide des Voyageurs (1ff), un Catalogue Alphabétique des Routes Royales et Particulières (3ff), un Catalogue alphabétique du Supplément des 1380 Villes et Routes de France (4ff). MANQUE la Première Feuille, représentant Paris et les villages de la Banlieue.
Toutes les routes, villes, les fleuves et les côtes ont été réhaussés à la main à l'aquarelle rouge, verte et bleue. Perforation de la 6e carte à la fin de l'ouvrage, n'altérant aucunement la lecture. Légère mouillure dans le Cat. Alphab. du Supplément. Cartes en bel état de fraîcheur. Rare édition originale de cet atlas. Cet Indicateur fidèle ou Guide du voyageur, véritable succès de librairie, offre un regard attrayant sur la France du XVIIIe siècle. Ses routes sont organisées ; le pays est administré. Les grands travaux de construction d’un réseau routier moderne, lancés par Denis-Charles Trudaine (1703-1769) qui créa le corps des Ponts et Chaussées en 1747, ont ici porté leur fruit.Ce livre pouvait se vivre selon de multiples usages énoncés dans le Prospectus relié à la fin de l’ouvrage. Cinq prix différents sont énoncés. Le plus cher, “15 livres” (somme importante pour l’époque) concerne les exemplaires “Grand in-4° ; relié en veau”. On rencontre d’ailleurs très rarement ces Indicateurs reliés en maroquin. Les moins chers se trouvent en feuilles ou “broché d’une manière commode & portative, pour être mis dans la poche”. Le démembrement du livre était possible dès sa commande. Le voyageur pouvait acheter cet atlas “en feuilles” pour “aisément en enfermer une dans un Porte-feuille, & la consulter au besoin”.
Payot, 1946, in-8°, 302 pp, avec 90 dessins de l'auteur, broché, couv. illustrée, pt mque au dos, sinon bon état (Bibliothèque historique)
Les portes de la Méditerranée - La route du Cap - Les aires de navigation dans l'Antiquité - Les navires occidentaux et orientaux de la route des Indes - L'interpénétration des formes de bateaux et des techniques de construction navale. — "L'auteur, adepte de la voile, des constructions navales et de l'amiral Paris, a passé, comme magistrat dans l'une ou l'autre de nos colonies, beaucoup de temps à observer les bateaux exotiques. A ce travail de première main sur le terrain mouvant de la mer, il joint une solide connaissance des textes et des représentations figurées de l'Antiquité. Le résultat consiste en une précieuse contribution à cette science encore neuve qu'est l'ethnographie navale..." (Jean-Paul Faivre, Journal de la Société des Océanistes, 1947) — "La méthode de l'ouvrage que M. Poujade vient de publier sur la Route des Indes et ses navires est originale ; c'est, en effet, une étude d'« ethnographie navale » : pour saisir l'origine et l'évolution des navires, de leurs formes, de la technique de leur construction, de leurs gréements, M. Poujade ne se contente pas de l'étude des documents anciens, à laquelle se limitent les archéologues ; il complète et éclaire cette analyse par l'étude des types de navires actuels, dont certains, dans des pays de techniques stables, comme ceux de l'Extrême-Orient, représentent la survivance de modèles extrêmement anciens. Grâce à une connaissance directe des navires chinois et indochinois, l'auteur peut ainsi se livrer à des rapprochements ingénieux, et il est certain que ses hypothèses sur les navires de l'antiquité méritent une attention sérieuse. L'objet de la discipline pratiquée par M. Poujade est en premier lieu de déterminer des « aires ethnographiques », caractérisées par certains types de coques et de gréements. Il en distingue quatre principales : atlantico-nordique, pacifique, chinoise, et celle « de la route des Indes », longue bande s'étendant de Gibraltar au Japon et à Célébès ; il se propose dans son livre d'en démontrer l'unité et d'en indiquer les principaux caractères. (...) Ce travail d'un technicien, marin et ethnologue, ne manque donc pas d'intérêt pour l'historien." (François Crouzet, Revue Historique, 1947) — "Il est difficile de rendre compte, en une brève analyse, d’un livre aussi riche à tous égards, aussi bien du point de vue technique que du point de vue de l’histoire maritime et générale. En étudiant, au cours des siècles, la route des Indes et ses navires, c’est en effet toute l’histoire du bateau de haute mer que l’éminent membre de l’Académie de Marine et Attaché au Musée national d’histoire naturelle (Musée de l’homme) a réussi à résumer. L’étude minutieuse des techniques navales a, en effet, amené l’auteur à des observations ethnographiques d’une grande valeur archéologique. Il a pu préciser, par l’étude historique du commerce et des relations maritimes depuis l’Antiquité, exposée dans les premiers chapitres, comment les peuples des mers des Indes sont entrés en contact avec les marins de la Méditerranée, d’une part, et avec l’Extrême-Orient, de l’autre, ce qui lui a donné la faculté de préciser avec une exactitude relative quelle grande aire de navigation représente cette route maritime opposée aux autres aires de navigation qui sont celles de l’Atlantique Nord ou des Vikings, l’aire chinoise ou aire du Pacifique, enfin, l’aire arctique. De cette conclusion, fondée sur une série d’analyses souvent minutieuses, et passionnantes, il résulte que, sur la route des Indes, depuis la plus haute Antiquité jusqu’à l’époque précédent immédiatement l’actuelle, les navires de mer, qu’ils soient égéens, phéniciens, arabes ou japonais, ont un mât robuste, gros à la base, dépourvu de haubans, qui arbore une voile carrée. Celle-ci s’est conservée aux extrêmes limites de la route des Indes. Les marins qui parcourent cette dernière depuis la haute Antiquité, se sont heurtés à trois autres familles de marins auxquelles ils ne se sont pas mêlés : les Européens du Nord, les Chinois, les Océaniens. Les marins européens du Nord semblent procéder de la tradition des Vikings. La construction navale moderne paraît descendre en ligne directe de cette dernière. Les Chinois forment un monde maritime homogène autour duquel les marins de la route des Indes ont évolué. Les Océaniens, découverts bien tard, ont construit des radeaux et des pirogues munis de balanciers doubles. Par conséquent, l’unité de la culture matérielle navale tout au long de la route des Indes, ne saurait plus être discutée. On voit l’intérêt d’un pareil livre ; il touche à tous les grands problèmes relatifs à la technique et à la politique générale de l’Humanité..." (Edmond Delage, Revue Défense Nationale, 1946)
17 vues format 17,6 x 8,8 cm, tirage albuminés, Aug. Couttet, Chamonix (Haute-Savoie) s.d. (circa 1885) Numéros 25 : le sommet du Mont Blanc - 26 : Le sommet du Mont Blanc - 27 : Mont Blanc vu du Belvédère - 28 : Arrêt d'une caravane, route du Mont Blanc - 29 : Passage d'une échelle (route du Mont Blanc) - 30 : Passage d'une crevasse, route du Mont Blanc - 31 : Sérac au Grand Plateau ; 32 : Vallée de Chamonix vue à la jonction - 33 : Entrée du glacier, route du Mont Blanc - 34 : Glaciers des Bossons et Séracs - 35 : Traversée et grotte au Glacier des Bossons - 36 : Entrée de la Grotte aux Bossons - 37 : Traversée au glacier des Bossons - 38 : En route pour les Bossons - 41 : Traversée de la mer de glace - 42 : Aiguille du Chardonnet et d'Argentières vues de la Flégère - 43 : Mont Blanc vu de la Flégère
Bon état pour ces belles photographies stéréo du Mont Blanc (et de la mer de Glace) et du glacier des Bossons ; les indications de localisation sont manuscrites (et naturellement d'époque.) Prix du lot, non séparable.
Paris, Goeury, libraire des ingénieurs et de l'école royale des ponts et chaussées, 1820. In-4 broché de [4]-64 pages et une carte rempliée.
Bien complet de la "Carte de la Route du Simplon entre Brigg et Domo d'Ossola" dessinée par Nicolas Céard, lithographiée par L. Houblou. Édition originale de toute rareté.Ci-dessous la notice rédigée par Georges Savary pour l'association Patrimoine versoisien:Né le 22 janvier 1745 à St Martin d'Arconoisse, Nicolas Céard sort de l'École royale des Ponts et Chaussées en 1769. Une de ses premières missions le conduit sur le chantier de Port-Choiseul à Versoix, seul accès du royaume de France sur la rive nord du lac Léman. En 1774, il épouse une Genevoise, Françoise Massé et achète un domaine aux portes de Versoix (Montfleury). De 1784 à 1786 il est employé à la construction des ports de Cherbourg, du Havre et de Honfleur. Il est ensuite nommé ingénieur en chef de l'Ain en 1791. Maire de Versoix de 1790 à 1792. Contraint à émigrer en Suisse pendant la Terreur, il réalise les plans de nombreux ouvrages d'art sur la rive droite du Léman (port d'Ouchy, pont Saint Antoine à Vevey). De retour en France, il est nommé ingénieur en chef du nouveau département du Léman en 1798 puis inspecteur des travaux du Simplon à partir de 1800. La construction de la route du Simplon va constituer l'œuvre maîtresse de sa carrière et lui assurer la célébrité. D'abord en concurrence avec les militaires et les officiers du génie chargés des travaux sur le terrain, il devient dès 1801 seul responsable de l'ensemble du chantier conduit par une dizaine d'ingénieurs des Ponts et d'élèves ingénieurs sortis depuis peu de la toute jeune Ecole Polytechnique.Des tournées nombreuses, une activité continue, un solide réseau de relations à Paris comme à Milan, l'appui sans faille de son Directeur, Emmanuel Crétet, et la volonté forte de Bonaparte vont lui permettre d'achever la première route alpine moderne en l'espace de quatre années. Il est nommé, en 1805, inspecteur divisionnaire chargé de l'inspection de Lyon tout en conservant l'inspection du Simplon. En 1813, il est la tête de la division de Grenoble avant de prendre sa retraite en 1815. Nicolas Céard participe à de nombreux conseils d'administration des Ponts et Chaussées réunis par l'Empereur. Lors de ces conseils, comme le rapporte le Baron Fain dans ses Mémoires, il est toujours pour Napoléon " l'Homme des Alpes ". Sous la Restauration, la paternité de la route du Simplon est revendiquée par de nombreuses personnes ayant participé à sa construction, ingénieurs des Ponts, généraux, ou officiers du génie. En 1820, pour répondre à ces différentes revendications, Céard écrit ses Mémoires et observations historiques et critiques sur la route du Simplon. Les recherches historiques récentes montrent d'ailleurs le rôle capital qu'il a joué dans cette oeuvre pharaonique. Dans son "Mémoire et observations historiques et critiques sur la route du Simplon et autres objets d'art" il écrit à propos de Versoix: "De retour à Paris, j'eus ordre de me rendre à Versoix pour y prendre part au projet insensé, d'établir en ce lieu une ville de quatre-vingt mille âmes, avec une citadelle bien entendu, un port militaire, etc. etc., pour nuire aux Genevois qui ne firent qu'en rire, et avec raison ; j'étais en sous-ordre, et j'obéissais. Les plans gravés, fournis par moi, ayant été approuvés, des terrains furent concédés, pour y bâtir, à des colons qui s'y ruinèrent. Un canal d'arrosement devait être dérivé de la rivière de Versoix j'en fis le projet et le fis exécuter. C'est la seule chose utile qui ait subsisté de cette folle entreprise." (Nous lui devons aussi le pont sur le Nant-de-Braille qui est à l'origine du lieu-dit Pont-Céard).
Ensemble de 371 plaques photographiques (gélatino-bromure d'argent, iodo-bromure d'argent ou lactate d'argent) conservées (hormis 8 plaques) sous 22 boîtes, à savoir 354 plaques au format 9 x 12 cm, 12 au format 13 x 18 cm (boîte 13) et 5 au format 9 x 6,5 cm. Boîte 1 (la numérotation servant d'index est la nôtre ; les titres indiqués entre guillemets sont ceux du photographe, indiqués sur le papier protégeant la plaque) : 12 plaques dont "Vanillerie à Nossi Bé" , porteurs, hommes entravés, cheval, etc.. ; Boîte 2 : 23 plaques dont : "inauguration d'un nouveau marché couvert à Ambositra 28 février 1903", "l'apéritif à la résidence d'Ambositra Mr et Madame Fontfreyde 1902", "Tombeaux d'Ambohipia près Ambositra october 1902", "Square devant la résidence d'Ambositra" ; "travail des rizières à Tafaina sur l'Ikopa (janvier 1903)", "Rivière l'Hobemay sur la route de Finsarivo", "Finsarivo chef-lieu du District décembre 1903", "Notre maison à Ambositra", convoi vers escorteur, "Chutes de la Kelilandsy 22 avril 1904", "bœuf destiné à une corrida", etc... ; Boîte 3 : 17 plaques : "Forêt de Ravinaly (Arbre du Voyageur) Mai 1903", "Pipo cheval entier malgache janvier 1904", "Réparation à la grande route de Mananjary", "Chute d'eau dans la forêt sur la grande route de Mananjary", "Traversée de la Mania février 1903", "Tananarive marché d'Analakely 1903", "L'Hobemay novembre 1903", etc. ; Boîte 4 : 17 plaques : "Rivières et pont Manankazo novembre 1904", "Rivière et chute Manakazo", "Rivière Manankazo", "Rivière Manankazo", "Métisse malgache fille d'un colon français juillet 1904", Statue ou Totem, "Rivière Andobodavaka novembre 1903" ; Boîte 5 : 18 plaques : "Le bureau des postes et télégraphes septembre 1903", "Inauguration du marché à 19 km Ankazobe 21 mai 1904", "Chutes de la Kolilanpsy 12 avril 1904", "Chutes de Filosopona 12 mai 1904", "Briquetiers malgaches le long de la rivière du Manakazo 20 octobre 1904", "Fête des enfants à Ankazobe. Députation des petites filles venant adresser un compliment et offrir des fleurs aux chefs de la Province 7 avril 1904", etc... ; Boîte 6 : 14 plaques : dont cavalier ; Boîte 7 : 13 plaques ; Boîte 8 : 15 plaques : "Poste de Manakago 18 juin 1904", "Poste de Manerinerina 19 juin 1904", "Avenue Lyautey Ankazobe 13 juillet 1904", "Pont du Manankazo 18 juin 1904", "Logement du Docteur Monfort à l'hôpital d'Ankazobe février 1904", "Arrivée du Général Galliéni à Ankazobe 2 mai 1904", "Inauguration d'un marché à Ahé Danpinana", etc. ; Boîte 9 : 7 plaques : Manankazo octobre 1904, etc. ; Boîte 10 : 14 plaques ; Boîte 11 : 8 plaques : joli pont, embarcadère, bateau ; Boîte 12 : 14 plaques : dont 2 beaux bivouacs ; Boîte 13 : 12 plaques : belles vues et chevaux, etc. ; Boîte 14 : 11 plaques : "Muraie du Fansarivo de Vahalafotsy boutures mises en place en décembre 1903 (un an)", Village, Pilon, "Village de Mahazarivo (Vahalfosty) Village fortifié entouré de fossés (janvier 1905)", "Travail des rizières à Maharidaza (concession Hartmann) 29 décembre 1904", "Kiangara décembre 1904", "Pilons à décortiquer le riz à Ankazola juin 1904", "Cascade et village de Vohinzanitra" ; Boîte 15 : 20 plaques : divers paysages ; Boîte 16 : 15 plaques ; Boîte 17 : "Suzanne et Pierre à Farafangana octobre 1901" ; Boîte 18 : 13 plaques ; Boîte 19 : 12 plaques : "Arbre à la Résidence d'Ankazobe qui a donné son nom à la ville (24 juin 1904)", "Le grand marché du lundi à Ankazola juin 1904" ; Boîte 20 : 16 plaques : "Fête du 14 juillet 1903 à Ambositra", "Rivière Mahakamba débordée novembre 1903", "Convoi sur la route de l'Ouest 14 aoû 1904", "Halte de la colonne sur les bords de la rivière d'Andobodarako novembre 1903", "Ankazoke le kiosque de la musique au jardin public septembre 1903, , Finsarivo", "Fête des enfants à Ankazihe arrivé des légions d'enfants (7 avril 1904)", etc. ; Boîte 21 : 22 plaques : "Danses malgaches à Faranfangana 1901", "Traversée de la rivière Mananbavana devant Farafangana sur un radeau formé d'un sac de toile imperméable remplié de paille 1901", "Randriamifidy sous gouverneur d'Ankazobe juin 1904", etc. ; Boîte 22 : 12 plaques : "Rivière l'Hobemay décembre 1903.Le dimanche au jardin public d'Ankazobe septembre 1903", "Casernement de la Milice à Finsarivo", "Marché couvert en construction à Finsarivo octobre 1903", etc.; Boîte 23 : 18 plaques dont chaise à porteur ; Boîte 24 : 19 plaques dont Tananarive ; Boite 25 : 18 plaques (13 9 x 12 et 5 9 x 6,5 cm) dont Palais du Gouverneur (Palais d'Ambohitsorohitra)
Important : nous vendons uniquement les plaques ; les photos visibles sur le site sont seulement le développement photographique informatique du contenu de ces plaques. De nombreux clichés se situent soit dans la région d'Ankazobe (80 km au nord de Tananarive) et de Manankazo (40 km au nord-ouest d'Ankazobe) soit dans la région d'Ambositra (180 km au sud). Remarquable ensemble en bon état (trois plaques cassées, quelques-unes passées mais la plupart en très bon état, et pour un grand nombre (plus d'un tiers), situées par une mention manuscrite sur le papier de protection emballant la plaque. Prix du lot de cet ensemble ethnographique remarquable, en l'état.