Paris, Maradan, 1802. In-8 broché, couv. d'attente (dos et dernier plat manquants).Dernière page salie et volante , une petite déchirure marginale sans manque, coins cornés sinon bon exemplaire en attente de reliure.
Reference : PHO-1118
Première édition de la traduction française ,relation d'un voyage en Crimée et surtout de Constantinople par un diplomate russe , rare .(Barbier IV, 1085.)
Librairie Voyage et Exploration
M. Stéphan Feldman
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Paris, Maradan, de l'imprimerie de Crapelet, an X - 1802 in-8, VIII-398 pp., un f. n. ch. (table des matières et errata), demi-basane havane, dos lisse orné de guirlandes dorées, pièce de titre verte, tranches mouchetées (reliure moderne). Bon exemplaire.
Première traduction française de cet ouvrage à la fois rare et important, qui tourne moins autour de la Crimée (cette partie se termine dès la page 66), que sur l'ambassade russe auprès de la Porte en 1793, à laquelle l'auteur fut attaché.Johann Christoph Gustav von Struve (1763-1828 - il est incroyable de constater les prénoms inexacts dont les bibliographes continuent de l'affubler) était comme son père Anton Sebastian (1729-1802), diplomate au service de la Russie. Après huit ans de service à Varsovie auprès du comte Stackelberg (1780-1788), il poursuivit une carrière honorable, échappant aux postes les plus prestigieux, mais non dépourvue de responsabilités, surtout pendant la période napoléonienne.Absent de Blackmer (alors que l'essentiel du texte regarde la Porte). - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Maradan, Imprimerie de Crapelet, an X - 1802 in-8, VIII-398 pp., un f. n. ch. (table des matières et errata), demi-basane brune, dos lisse (reliure postérieure). Modeste reliure d'amateur, sans pièce de titre. Coiffe abîmée. Petites mouillures marginales sans gravité. Non rogné.
Première traduction française de cet ouvrage à la fois rare et important, qui tourne moins autour de la Crimée (cette partie se termine dès la page 66), que sur l'ambassade russe auprès de la Porte en 1793, à laquelle l'auteur fut attaché.Johann Christoph Gustav von Struve (1763-1828 - il est incroyable de constater les prénoms inexacts dont les bibliographes continuent de l'affubler) était comme son père Anton Sebastian (1729-1802), diplomate au service de la Russie. Après huit ans de service à Varsovie auprès du comte Stackelberg (1780-1788), il poursuivit une carrière honorable, échappant aux postes les plus prestigieux, mais non dépourvue de responsabilités, surtout pendant la période napoléonienne.Absent de Blackmer (alors que l'essentiel du texte regarde la Porte). - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT