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MONTAIGNE Michel Eyquem de.
Les Essais.
Paris, Rondet, Journel, Chevillon, 1669. 3 3 volumes in-12 (148 x 80 mm), 34 ff. n. ch., 556 pp., 12 ff. n. ch. ; 2 ff. n. ch., 825 pp. mal chiffrées 827, 31 pp. n. ch. ; 2 ff. n. ch., 610 pp., 17 ff. n. ch. Maroquin rouge encadré d’un triple filet avec fer à chaque angle, dos lisse orné, roulette sur les coupes et les chasses, tranches dorées, dos un peu passés, quelques frottements (reliure anglaise du XVIIIe siècle).
Reference : 8846
Cette très belle édition est illustrée de 3 frontispices (un pour chaque volume) dessinés et gravés par Matheus représentant l’auteur et sa devise : Que scay-je ? L’ouvrage comprend une table des chapitres, le privilège ainsi qu’une table des matières. Le premier volume contient en plus l’avertissement de l’auteur, l’épître dédicatoire de Mademoiselle de Gournay datée du 12 juin 1635 et une préface adressée au cardinal de Richelieu par là même. On y trouve aussi un Sommaire récit sur la vie de Michel, Seigneur de Montaigne, extrait de ses propres écrits. Il s’agit de la réimpression d’une édition parue en 1659. Le privilège fut d’abord accordé à Antoine Estienne qui le céda à Laurent Rondet, Christophe Journel et Robert Chevillion. L'exemplaire de Lady Mary Herbert. Chaque volume de cet exemplaire porte l'ex-libris gravé de Lady Mary Herbert (1835-1927) représentant sa résidence The Styche, et sa devise "records that defy the tooth of time". Lady Mary Caroline Louisa Petty-FitzMaurice, fille de William Petty-FitzMaurice, duc de Kerry, épousa le 4 Octobre 1860, à l'age de 25 ans, le Lieutenant-Général de l'armée britannique et homme politique, Sir Percy Egerton Herbert. Elle lui donna 4 enfants avant de le voir s'éteindre en 1876 à l'âge de 54 ans. Elle lui survécut 50 ans. La devise donnée à ses ex-libris peut être traduite par "œuvres qui défient la dent du temps". Charmant exemplaire en maroquin anglais du XVIIIe siècle. Sayce & Maskell, Montaigne’s Essais 1580-1700, n°34.
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[A la cour des Comptes. Essais historiques et chronologiques sur la Chambres des Comptes de Paris].
[Paris, Dumoulin, 1866]. In-folio, rel. de l'ép. demi-chagrin brun, dos à nerfs, caissons dorés et ornés, titre doré, tr. mouchetées, VIII-742 pp., lettrines et culs-de-lampe, encadrement du texte, de la pp. 8 à 324 : de l'administration de la justice et du contrôle financier, de la pp. 328 à 336 : bureaux de comptabilité nationale de la Cour des Comptes, de la pp. 340 à 377 : privilèges, attributions nobiliaires, exemptions, droits, etc, de la pp. 382 à 387 : essais sur le blason des armoiries, 2 pl. de blasons, de la pp. 392 à 734 : armorial de la chambre des Comptes de Paris avec les Armoiries de Messieurs les premiers Présidents de 1316 à 1789 reproduites et commentées, enfin de la pp. 735 à 742 : complément de la liste chronologique de Messieurs les Correcteurs des Comptes de 1443 à 1789. Bel ex-libris armorié de la bibliothèque du Château d'Issou, Vicomte de Jean.
Qq. petites épidermures aux coiffes, 2 coins émoussés, il manque la pp. de titre et la dernière partie de la pp. 743 à 1022, très bel ex. par ailleurs. - Frais de port : -France 10,8 € -U.E. 13 € -Monde (z B : 23 €) (z C : 43 €)
L'ÈRE DU SOUPÇON. " Essais sur le roman ".
N.R.F. " Les Essais ". 1956. In-8° broché. 155 pages. E.O. sur papier ordinaire.
Propre.
ESSAIS CRITIQUES. " La Politique française et étrangère, les livres, le théâtre et les concerts - et le tout par un seul rédacteur ".
N° 1. 1er janvier 1920. Bon état.
Paris (36, rue Pigalle, puis 39, Chaussée d'Antin). Directeur (et unique rédacteur) : [Marcel] Azaïs. 58 numéros ont paru en 58 livraisons de janvier 1920 à octobre 1924. Peu courant. (Admussen, 90) - " Nous sommes quelques-uns à qui la mort de Marcel Azaïs a donné un coup en plein cur. Il est mort [à l'âge de 36 ans] le 12 septembre 1924, d'un accident banal et stupide comme un fait divers, foudroyé par un moteur électrique. [] Sa petite revue portait pour titre : " Essais Critiques ". Elle paraissait le premier [et parfois le 15] de chaque mois, avec une charmante irrégularité pendant le temps des vacances. Nous avouons avoir le cur serré à la pensée que nous ne la recevrons plus. C'était une fête. C'est la seule publication dont nous pouvons dire que nous n'avons jamais sauté une ligne. On ne fermait jamais le mince cahier sans être enrichi d'une idée forte et neuve, d'un point de vue original et pénétrant. Combien y a-t-il de publications, même très grosses, dont on puisse dire autant ? [] Il avait en tout sept cents lecteurs et il ne cherchait point à en avoir davantage. Il n'avait jamais pensé que le nombre eût une valeur en soi. " Préface de Lucien Dubech au " Chemin des Gardies " (Nouvelle Librairie Nationale, 1924), recueil posthume dans lequel une grande partie des articles de Marcel Azaïs a été recueillie. Marcel Azaïs était aussi critique de musique à l'" Action Française ".
ESSAIS CRITIQUES. " La Politique française et étrangère, les livres, le théâtre et les concerts - et le tout par un seul rédacteur ".
N° 2. 15 janvier 1920. Bon état.
Paris (36, rue Pigalle, puis 39, Chaussée d'Antin). Directeur (et unique rédacteur) : [Marcel] Azaïs. 58 numéros ont paru en 58 livraisons de janvier 1920 à octobre 1924. Peu courant. (Admussen, 90) - " Nous sommes quelques-uns à qui la mort de Marcel Azaïs a donné un coup en plein cur. Il est mort [à l'âge de 36 ans] le 12 septembre 1924, d'un accident banal et stupide comme un fait divers, foudroyé par un moteur électrique. [] Sa petite revue portait pour titre : " Essais Critiques ". Elle paraissait le premier [et parfois le 15] de chaque mois, avec une charmante irrégularité pendant le temps des vacances. Nous avouons avoir le cur serré à la pensée que nous ne la recevrons plus. C'était une fête. C'est la seule publication dont nous pouvons dire que nous n'avons jamais sauté une ligne. On ne fermait jamais le mince cahier sans être enrichi d'une idée forte et neuve, d'un point de vue original et pénétrant. Combien y a-t-il de publications, même très grosses, dont on puisse dire autant ? [] Il avait en tout sept cents lecteurs et il ne cherchait point à en avoir davantage. Il n'avait jamais pensé que le nombre eût une valeur en soi. " Préface de Lucien Dubech au " Chemin des Gardies " (Nouvelle Librairie Nationale, 1924), recueil posthume dans lequel une grande partie des articles de Marcel Azaïs a été recueillie. Marcel Azaïs était aussi critique de musique à l'" Action Française ".
ESSAIS CRITIQUES. " La Politique française et étrangère, les livres, le théâtre et les concerts - et le tout par un seul rédacteur ".
N° 3. 1er février 1920. Bon état.
Paris (36, rue Pigalle, puis 39, Chaussée d'Antin). Directeur (et unique rédacteur) : [Marcel] Azaïs. 58 numéros ont paru en 58 livraisons de janvier 1920 à octobre 1924. Peu courant. (Admussen, 90) - " Nous sommes quelques-uns à qui la mort de Marcel Azaïs a donné un coup en plein cur. Il est mort [à l'âge de 36 ans] le 12 septembre 1924, d'un accident banal et stupide comme un fait divers, foudroyé par un moteur électrique. [] Sa petite revue portait pour titre : " Essais Critiques ". Elle paraissait le premier [et parfois le 15] de chaque mois, avec une charmante irrégularité pendant le temps des vacances. Nous avouons avoir le cur serré à la pensée que nous ne la recevrons plus. C'était une fête. C'est la seule publication dont nous pouvons dire que nous n'avons jamais sauté une ligne. On ne fermait jamais le mince cahier sans être enrichi d'une idée forte et neuve, d'un point de vue original et pénétrant. Combien y a-t-il de publications, même très grosses, dont on puisse dire autant ? [] Il avait en tout sept cents lecteurs et il ne cherchait point à en avoir davantage. Il n'avait jamais pensé que le nombre eût une valeur en soi. " Préface de Lucien Dubech au " Chemin des Gardies " (Nouvelle Librairie Nationale, 1924), recueil posthume dans lequel une grande partie des articles de Marcel Azaïs a été recueillie. Marcel Azaïs était aussi critique de musique à l'" Action Française ".
