Paris, Mercure de France, 1910. In-12 broché de 170-[2]pages.
Reference : 20386
Édition originale du deuxième livre de Jean Cocteau, enrichi d'un dédicace au faux-titre: "à Jacques Ruff [Le prince frivole] devenu tragédie avec amitié. Jean Cocteau 1958". A la justification, marque verte figurant un main tenant une rose. Papier un peu bruni, mais bon exemplaire.
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S.n., S.l. s.d. (ca 1909), 24,5x25cm, une page.
Tercet autographe de jeunesse signé de douze strophes de Jean Cocteau, 13 lignes écrites à l'encre noire sur un feuillet. Ce poème manuscrit en alexandrin fut imprimé dans le recueil "Le prince frivole" édité au Mercure de France en 1910, second ouvrage publié par le poète. Bel exemplaire. Ce manuscrit du Prince frivole fut réputé égaré :«Le manuscrit original de la main de Cocteau manque» (Oeuvres poétiques complètes, Bibliothèque de la Pléiade, page 1842). L'ouvrage, encensé par Marcel Proust saluantainsi Jean Cocteau comme un :«Banville de vingt ans qu'attendent de plus hautes destinées », sera renié par l'auteur qui ira jusqu'à interdire sa réédition. Ce poème fait partie de la série de 8 poèmes intituléeLes Chansons du petit prince (Le petit prince en exil dans l'édition) dont voici la liste :Le petit prince arrive, Le petit prince à l'hôtel, Le petit prince en auto, Un dialogue et deux lettres, Battis à Hermas, Hermas à Battis, Acis à Néère et Néère à Acis. "Je saisis mal, Battis, le sens de tes propos J'aime la fauve odeur des grisâtres troupeaux Et le parfum du lait qui gicle au fond des pots... ... Et le soir, je retourne à mon humble grabat Cours vite, Rome est loin... une fraîcheur tomba... Et tu sais, quand je suis en retard on me bat ! " - Photos sur www.Edition-originale.com -
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S.n., S.l. s.d. (ca 1909), 24,5x25cm, une page.
Tercet autographe de jeunesse signé de douze strophes de Jean Cocteau, 13 lignes écrites à l'encre noire sur un feuillet. Ce poème manuscrit en alexandrin fut imprimé dans le recueil "Le prince frivole" édité au Mercure de France en 1910, second ouvrage publié par le poète. Bel exemplaire. Ce manuscrit du Prince frivole fut réputé égaré :«Le manuscrit original de la main de Cocteau manque» (Oeuvres poétiques complètes, Bibliothèque de la Pléiade, page 1842). L'ouvrage, encensé par Marcel Proust saluantainsi Jean Cocteau comme un :«Banville de vingt ans qu'attendent de plus hautes destinées », sera renié par l'auteur qui ira jusqu'à interdire sa réédition. Ce poème fait partie de la série de 8 poèmes intituléeLes Chansons du petit prince (Le petit prince en exil dans l'édition) dont voici la liste :Le petit prince arrive, Le petit prince à l'hôtel, Le petit prince en auto, Un dialogue et deux lettres, Battis à Hermas, Hermas à Battis, Acis à Néère et Néère à Acis. "Je sens bondir en moi le coeur fiévreux d'Hélène Le parfum de ma chair et de ma tiède haleine Vaut mieux que l'odeur fade et grasse de la laine... ... Les mots d'amour vers moi coulent comme des laves ! Cornificuis chanta la splendeur de mes caves Et mon troupeau docile est un troupeau d'esclaves..." - Photos sur www.Edition-originale.com -
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S.n., S.l. s.d. (ca 1909), 24,5x25cm, une page.
Tercet autographe de jeunesse signé de douze strophes de Jean Cocteau, 14 lignes écrites à l'encre noire sur un feuillet. Ce poème manuscrit en alexandrin fut imprimé dans le recueil "Le prince frivole" édité au Mercure de France en 1910, second ouvrage publié par le poète. Bel exemplaire. Ce manuscrit du Prince frivole fut réputé égaré :«Le manuscrit original de la main de Cocteau manque» (Oeuvres poétiques complètes, Bibliothèque de la Pléiade, page 1842). L'ouvrage, encensé par Marcel Proust saluantainsi Jean Cocteau comme un :«Banville de vingt ans qu'attendent de plus hautes destinées », sera renié par l'auteur qui ira jusqu'à interdire sa réédition. Ce poème fait partie de la série de 8 poèmes intituléeLes Chansons du petit prince (Le petit prince en exil dans l'édition) dont voici la liste :Le petit prince arrive, Le petit prince à l'hôtel, Le petit prince en auto, Un dialogue et deux lettres, Battis à Hermas, Hermas à Battis, Acis à Néère et Néère à Acis. "Puisqu'Eros entre nous tourna le divin pêne, Puisque tu m'as quitté sans fiel et moi sans haine Mon aveu ne saurait te causer nulle peine. ... Oui Néère, j'en eus des fièvres torturantes ; Les dents brillent au point d'en sembler transparentes Elle n'est pas cupide... elle a de larges rentes." - Photos sur www.Edition-originale.com -
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S.n., S.l. s.d. (ca 1909), 24,5x25cm, une page.
Quatrain autographe de jeunesse de huit strophes de Jean Cocteau, 9 lignes écrites à l'encre noire sur une feuille cartonnée souple. Ce poème manuscrit fut imprimé dans le recueil "Le prince frivole" édité au Mercure de France en 1910, second ouvrage publié par le poète. Bel exemplaire. Ce manuscrit du Prince frivole fut réputé égaré :«Le manuscrit original de la main de Cocteau manque» (Oeuvres poétiques complètes, Bibliothèque de la Pléiade, page 1842). L'ouvrage, encensé par Marcel Proust saluantainsi Jean Cocteau comme un :«Banville de vingt ans qu'attendent de plus hautes destinées », sera renié par l'auteur qui ira jusqu'à interdire sa réédition. "Un lys muet au col du vase de cristal Où la fenêtre, en tout petit, brille et se bombe Contre un mur où leur grâce en stuc s'émonde et tombe Des roses... je craignais ! un noeud, c'était fatal - Photos sur www.Edition-originale.com -
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S.n., S.l. s.d. (ca 1909), 24,5x25cm, une page.
Quatrain et quintil autographes de jeunesse signé de treize strophes de Jean Cocteau, 15 lignes écrites à l'encre noire sur une feuille cartonnée et intitulé "Rondel de la sultane embarassée". Ce poème manuscrit, rédigé sur une feuille cartonnée souple, fut imprimé dans le recueil "Le prince frivole" édité au Mercure de France en 1910, second ouvrage publié par le poète. Deux corrections manuscrites de Jean Cocteau : le titre du poème raturé puis modifié en dessous à l'encre noire ; les trois premiers mots du quintil barrés puis modifiés au crayon de papier. Ce manuscrit du Prince frivole fut réputé égaré :«Le manuscrit original de la main de Cocteau manque» (Oeuvres poétiques complètes, Bibliothèque de la Pléiade, page 1842). L'ouvrage, encensé par Marcel Proust saluantainsi Jean Cocteau comme un :«Banville de vingt ans qu'attendent de plus hautes destinées », sera renié par l'auteur qui ira jusqu'à interdire sa réédition. "Shéhérazade ne sait point Comment finir son dernier conte ! Le lourd arôme rampe et monte... Dont son corps nonchalent est loin ... Mille et une fois l'aube a point Car le vieux despose les compte Mais voici que le sort la dompte Et pose à son histoire un point Shéhérazade ne sait point..." - Photos sur www.Edition-originale.com -
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