‎Christian White‎
‎L'Épouse et la veuve‎

‎ Sans date. Broché.‎

Reference : 500095257
ISBN : 9782298164626


‎Très bon état‎

€2.50 (€2.50 )
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Démons et Merveilles
M. Christophe Ravignot

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‎[Auvergne, Clermont-Ferrand, Aubière, Issoire] Anne Favard, épouse de Pierre André d'Aubière, La Veuve André, de Clermont, à ses Juges.‎

Reference : 015670

‎[Auvergne, Clermont-Ferrand, Aubière, Issoire] Anne Favard, épouse de Pierre André d'Aubière, La Veuve André, de Clermont, à ses Juges.‎

‎[Auvergne, Clermont-Ferrand, Aubière, Issoire] Anne Favard, épouse de Pierre André d'Aubière, La Veuve André, de Clermont, à ses Juges. Issoire, imprimerie de Granier et Froin, an 3 [1794]. In-4, 8p. Très intéressante défense de Anne Favard qui, après avoir perdu son époux à cause de la vengeance d'un ancien praticien, Girard, destitué par son mari, est poursuivie car elle aurait de dilapider les biens de son mari en les soustrayant à la république. Notons aussi que Girard poussa la vengeance à faire aussi arrêter les deux filles, de 13 et 18 ans, dans la foulée de l'arrestation du père, qui sera exécuté (mitraillé) à Lyon le 17 février 1794. Plié anciennement, petit trou au dernier feuillet, mouillé anciennement. Peu commun. [92] ‎


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EUR75.00 (€75.00 )
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‎[Imprimerie Emile Flouret] - ‎ ‎DE LA BATUT, Jeanne et Pierre‎

Reference : 44471

(1900)

‎Carnet Manuscrit de "Souvenirs et anecdotes de Tante Lair", Angèle Lair, fille du peintre Alexandre-Gabriel Decamps, vraisemblablement notés par sa nièce Jeanne Dentu Epouse De La Batut puis son petit neveu Pierre de La Batut.[ Anecdotes sur Decamps, Gambetta, Emile Gaboriau, etc. ] : [ Témoignage détaillé sur la mort de Decamps ]. [ ... ] "Un jour Decamps invité [chez ] Napoléon III ne voulait s’y rendre qu'avec une femme et ses filles et son épouse refusant d'y aller, fit habiller en Amazone son fils qui avait une jolie figure efféminée. Personne ne s'aperçut de la supercherie, et chacun se demandait quel était cette jeune inconnue que Decamps accompagnait ainsi. Mais cela fit un scandale énorme et le lendemain toute la ville en parlait ; et le peintre s'en amusait beaucoup car il se souciait peu de l'opinion des autres. Enfin un ami qu'on avait mis dans la confidence raconta l'histoire et les potins s'apaisèrent, chacun disant : « C'est bien une idée d'artiste »." [...] "Decamps fit son premier tableau à l'huile de vers l'âge de 14 ans et le donna à une cousine [...] La scène était très animée et recelait déjà réel talent. Musard, l'introducteur des cafés-concerts en France, ayant vu ce tableau : « le jeune homme qui l'a fait, s'il continue, fera certainement son chemin ». Cela n'empêcha que le père de deux camps s'opposa longtemps à ce que son fils soit peintre ; il voulait en faire un notaire comme lui." [...] Il était très indépendant. Traité avec ses amis, éléments à s'amuser en compagnie, il avait, cependant un fond de mélancolie incurable." [...] « Les amis de ma femme ne sont pas mes amis », disait mon grand-père Dentu.[...] "M. Emile Gaboriau avait pour maîtresse une blanchisseuse. Il l'épousa après avoir été soigné par elle durant une maladie, mais sa mère ne lui pardonna pas. [...] Gambetta, ayant gagné (à la bourse, je crois) 4 millions et ne voulant pas qu'on le sache car un républicain milliardaire est toujours suspect s'acheta l'île de Porquerolles mais au nom de M. E. De Roussen, son secrétaire. Gambetta étant mort rapidement sans avoir le temps de régulariser la situation, M. de Roussen conserva, sans scrupules, l'île de Porquerolles. Sa femme, directrice d'une maison de correction dans l'île, se fit remarquer par sa brutalité, sa cruauté et fut d'ailleurs condamné de ce chef." [...] "Ma bisaïeule Mme Caumartin, veuve d'un avoué, propriétaire d'un hôtel particulier au coin de la rue Caumartin et du boulevard des Italiens vendus 2 millions au Crédit Lyonnais, versa 1 million pour libérer son gendre, dentu, de prison où il se trouvait à la suite de polémiques dans le drapeau blanc. Sans doute pour payer ses amendes. Cette somme fut déduite de l'héritage de Mme Dentu afin que les soeurs de cette dernière n'en supportent pas les conséquences." [...] Decamps avait un ours. Il le prêta un ami qui le mena au bal de l'opéra où on le prit pour un déguisé. Puis il le laissa pour danser et l'ours, s'en fut coucher dans une loge où il s'endormit. Après le bal, une ouvreuse vint lui taper sur l'épaule et pensa mourir de frayeur quand elle s'aperçut que c'était un ours véritable." [ Notes sur Mme Gonzalez, femme du romancier, mère d'Eva Gonzalez, élèvre de Berthe Morizot ; notes sur la famille de Ponson du Terrail ]‎

‎1 cahier d'écolier, Imprimerie Emile Flouret, Bergerac, 7 pages manuscrites, s.d. (circa 1900-1930 ?) [ Témoignage détaillé sur la mort de Decamps ]. [ ... ] "Un jour Decamps invité [chez ] Napoléon III ne voulait s’y rendre qu'avec une femme et ses filles et son épouse refusant d'y aller, fit habiller en Amazone son fils qui avait une jolie figure efféminée. Personne ne s'aperçut de la supercherie, et chacun se demandait quel était cette jeune inconnue que Decamps accompagnait ainsi. Mais cela fit un scandale énorme et le lendemain toute la ville en parlait ; et le peintre s'en amusait beaucoup car il se souciait peu de l'opinion des autres. Enfin un ami qu'on avait mis dans la confidence raconta l'histoire et les potins s'apaisèrent, chacun disant : « C'est bien une idée d'artiste »." [...] "Decamps fit son premier tableau à l'huile de vers l'âge de 14 ans et le donna à une cousine [...] La scène était très animée et recelait déjà réel talent. Musard, l'introducteur des cafés-concerts en France, ayant vu ce tableau : « le jeune homme qui l'a fait, s'il continue, fera certainement son chemin ». Cela n'empêcha que le père de deux camps s'opposa longtemps à ce que son fils soit peintre ; il voulait en faire un notaire comme lui." [...] Il était très indépendant. Traité avec ses amis, éléments à s'amuser en compagnie, il avait, cependant un fond de mélancolie incurable." [...] « Les amis de ma femme ne sont pas mes amis », disait mon grand-père Dentu.[...] "M. Emile Gaboriau avait pour maîtresse une blanchisseuse. Il l'épousa après avoir été soigné par elle durant une maladie, mais sa mère ne lui pardonna pas. [...] Gambetta, ayant gagné (à la bourse, je crois) 4 millions et ne voulant pas qu'on le sache car un républicain milliardaire est toujours suspect s'acheta l'île de Porquerolles mais au nom de M. E. De Roussen, son secrétaire. Gambetta étant mort rapidement sans avoir le temps de régulariser la situation, M. de Roussen conserva, sans scrupules, l'île de Porquerolles. Sa femme, directrice d'une maison de correction dans l'île, se fit remarquer par sa brutalité, sa cruauté et fut d'ailleurs condamné de ce chef." [...] "Ma bisaïeule Mme Caumartin, veuve d'un avoué, propriétaire d'un hôtel particulier au coin de la rue Caumartin et du boulevard des Italiens vendus 2 millions au Crédit Lyonnais, versa 1 million pour libérer son gendre, Dentu, de prison où il se trouvait à la suite de polémiques dans le drapeau blanc. Sans doute pour payer ses amendes. Cette somme fut déduite de l'héritage de Mme Dentu afin que les soeurs de cette dernière n'en supportent pas les conséquences." [...] Decamps avait un ours. Il le prêta un ami qui le mena au bal de l'opéra où on le prit pour un déguisé. Puis il le laissa pour danser et l'ours, s'en fut coucher dans une loge où il s'endormit. Après le bal, une ouvreuse vint lui taper sur l'épaule et pensa mourir de frayeur quand elle s'aperçut que c'était un ours véritable." [ Notes sur Mme Gonzalez, femme du romancier, mère d'Eva Gonzalez, élèvre de Berthe Morizot ; notes sur la famille de Ponson du Terrail ]‎


‎Intéressant recueil d'anecdotes diverses, rédigé d'après les témoignages de la tante Angèle Lair par Jeanne Dentu ou par son fils Pierre de La Batut.‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR180.00 (€180.00 )

Reference : 400057536

‎MARCEL PRIOLLET - LES DEUX COPINES VEUVE AVANT d'être épouse j FILS‎

‎Ferenczi Sans date. 5 MARCEL PRIOLLET - LES DEUX COPINES VEUVE AVANT D'ÊTRE ÉPOUSE/ J. FERENCZI & FILS‎


‎Etat correct‎

Démons et Merveilles - Joinville

Phone number : 07 54 32 44 40

EUR2.50 (€2.50 )

‎MAYET GENETRY & PLANCHAT‎

Reference : R240089581

‎PRECIS POUR M. LE COMTE D'ERARD ET LA DAME SON EPOUSE DEFENDEURS CONTRE LE SIEUR BOUCHER DEMANDEUR ET APPELAND ET CONTRE LA DAME VEUVE HENNET ET EN PRESENCE DU SIEUR RIONDEL APPELANT.‎

‎IMP. DE Me. Ve. SOUCHOIX ET CIE. DEBUT 19E SIECLE. In-4. En feuillets. Bon état, Livré sans Couverture, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 34 pages en feuillets - livré sans couverture - 2 photos disponibles.. . . . Classification Dewey : 90-Livres rares‎


‎PRECIS POUR M. LE COMTE D'ERARD ET LA DAME SON EPOUSE DEFENDEURS CONTRE LE SIEUR BOUCHER DEMANDEUR ET APPELAND ET CONTRE LA DAME VEUVE HENNET TANT EN SON NOM QUE COMME TUTRICE DE SON ENFANT MINEUR ET LE SIEUR HENNET FILS INTIME ET EN PRESENCE DU SIEUR RIONDEL APPELANT. Classification Dewey : 90-Livres rares‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR199.00 (€199.00 )

‎[HYPOTHEQUES]. ‎

Reference : 226469

‎Cour royale de Douay. Précis pour la dame Pagard, veuve Mouton, appelante ;. contre le sieur Dromeray et Augustine Boussu, son épouse, intimés‎

‎Vervins, Imprimerie de Delongchamps, s.d. (1822), in-4, 8 pp., en feuilles. Petite fenêtre au titre, avec perte de lettre sur les deux côtés du feuillet.‎


‎Litige portant sur la transmission de propriété d'un bien faisant l'objet d'une saisie hypothécaire : "Le 12 juillet 1821, Nicolas Boussu, créancier de 1200 fr., suivant une obligation notariée, du 30 juillet 1811, fit à la veuve et héritiers Meurant, un commandement tendant à la saisie immobilière d'une maison, sise à Fourmies, hypothéquée à la sûreté de cette créance. Le 1er octobre suivant, la saisie immobilière a été pratiquée (...). Les saisis vendirent leur maison à la veuve Mouton, par acte notarié, du 18 octobre".Aucun exemplaire au CCF. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

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