DE BOREE 2019 15x23x4cm. 2019. Broché.
Reference : 500092538
ISBN : 9782812929113
Très bon état
Démons et Merveilles
M. Christophe Ravignot
contact@demons-et-merveilles.com
07 54 32 44 40
Rapidité d'envoi Tous nos articles sont expédiés le jour même de la confirmation de la commande Soin de l'emballage Un soin particulier est apporté à l'emballage, vos objets voyagent en toute sécurité. A votre écoute Si toutefois un incident devait survenir lors de l'acheminement de votre paquet, n'hésitez pas à nous contacter, nous mettrons tout en oeuvre pour vous satisfaire, en vous proposant un retour, un remboursement ou toute autre soluton à votre convenance. Professionnalisme Les livres que nous vendons sont pour la plupart des livres anciens, nous tâchons d'être le plus objectif possible quant à leur état.
Simonetta Prosperi Valenti Rodino, Philippe Costamagna & Florian HÀrb eds
Reference : 083751
(2005)
ISBN : 8882159086
Simonetta Prosperi Valenti Rodino, Philippe Costamagna & Florian HÀrb eds: Disegno, Giudizio e Bella Maniera. Studi sul Disegno Italiano in Onore di Catherine Monbeig Goguel. Milan: 2005. 279pp with 60 colour and 11 monochrome plates, 67 colour and 103 monochrome illustrations. Paperback. 28x21cms. Collection of 150 unpublished Italian drawings, mostly illustrated in colour, with each entry by a different scholar written in honour of a distinguished colleague. Includes useful bibliography of Catherine Monbeig Goguel's writings. Text in Italian.
Collection of 150 unpublished Italian drawings, mostly illustrated in colour, with each entry by a different scholar written in honour of a distinguished colleague. Includes useful bibliography of Catherine Monbeig Goguel's writings. Text in Italian
Plummer, John: The Hours of Catherine of Cleves. New York: 2002. 361pp with 160 colour illustrations. Cloth, 21x14.5cms. Documents one of the great art treasures of the world, this 15th century illuminated manuscript was produced by an anonymous Dutch painter for Catherine's marriage to the Duke of Guelders. Reproduces 157 surviving miniatures, plus descriptive and explanatory commentary.
Documents one of the great art treasures of the world, this 15th century illuminated manuscript was produced by an anonymous Dutch painter for Catherine's marriage to the Duke of Guelders. Reproduces 157 surviving miniatures, plus descriptive and explanatory commentary. Text in English
London W. & J. Stratford 1793 Première édition. Un bel exemplaire de cette gravure, qui a été habilement colorée à la main. A l'origine pour l'Histoire de l'Angleterre d'Ashburton, elle est maintenant conservée sous passe partout. La plaque est en bon état, propre et légèrement assombrie. Le bord est légèrement rugueux à l'endroit où elle était reliée à l'origine dans le livre. La gravure mesure 23 cm x 39 cm. La monture mesure 33 cm x 45 cm. Dans les dernières années du règne d'Henri VIII, sa sixième épouse, Catherine Parr, était connue pour son intelligence, sa piété et ses sympathies religieuses réformistes. Elle s'engagea dans des discussions théologiques avec le roi, remettant parfois en question ses opinions et plaidant pour des réformes protestantes. Elle devient ainsi la cible des factions conservatrices de la cour, en particulier de l'évêque Stephen Gardiner, catholique convaincu et membre influent du conseil d'Henri. L'évêque Gardiner et ses alliés s'inquiètent de l'influence de Catherine et de ses penchants protestants. Ils cherchent à convaincre Henri qu'elle est coupable d'hérésie. Gardiner réussit à obtenir un mandat d'arrêt contre Catherine, avec l'intention de la saisir alors qu'elle se trouvait avec le roi. Selon la tradition (et comme l'ont raconté plus tard des chroniqueurs tels que John Foxe dans ses Acts and Monuments), Catherine a été avertie du complot par ses amis et, peut-être, par des courtisans sympathisants. Consciente du danger, elle demande audience à Henri alors qu'il se promène dans le jardin du palais. Au cours de leur conversation, Catherine reconnaît humblement la sagesse et l'autorité du roi en matière de religion, affirmant que ses discussions n'ont pour but que de le distraire et de le réconforter, et non de l'instruire ou de le corriger. Elle se déclare son humble érudit et non son professeur. À ce moment-là, l'évêque Gardiner arrive dans le jardin, un mandat à la main, prêt à arrêter la reine. Cependant, Henry, après avoir été apaisé par l'humilité et les assurances de Catherine, se retourne contre Gardiner avec colère. Il réprimande vivement l'évêque, l'accusant d'avoir outrepassé ses droits et de chercher à semer la discorde entre le roi et sa reine. Gardiner, conscient du danger, se retire en disgrâce. Catherine fut épargnée et ses ennemis à la cour furent temporairement discrédités.
First edition. A lovely copy of this engraving, which has been skillfully hand coloured. Originally for Ashburton's History of England, it is now held beneath passe partout. The plate is in good, clean fractionally darkened condition. Slightly rough edge where originally bound into the book. Engraving is 23cm x 39cm. Mount is 33cm x 45cm. In the latter years of Henry VIII's reign, his sixth wife, Catherine Parr, was known for her intelligence, piety, and reformist religious sympathies. She engaged in theological discussions with the king, sometimes challenging his views and advocating for Protestant reforms. This made her a target for conservative factions at court, particularly Bishop Stephen Gardiner, a staunch Catholic and influential member of Henry's council. Bishop Gardiner and his allies grew concerned about Catherine's influence and her Protestant leanings. They sought to convince Henry that she was guilty of heresy. Gardiner managed to secure a warrant for Catherine's arrest, intending to seize her while she was with the king. According to tradition (and as recounted by later chroniclers such as John Foxe in his Acts and Monuments), Catherine was warned of the plot by her friends and, possibly, by sympathetic courtiers. Realising the danger, she sought an audience with Henry while he was walking in the palace garden. During their conversation, Catherine humbly acknowledged the king's wisdom and authority in matters of religion, claiming that her discussions were meant only to divert and comfort him, not to instruct or correct. She professed herself his humble scholar, not his teacher. At this moment, Bishop Gardiner arrived in the garden, warrant in hand, ready to arrest the queen. However, Henry, having been mollified by Catherine's humility and reassurances, turned on Gardiner with anger. He rebuked the bishop sharply, accusing him of overstepping his bounds and seeking to sow discord between the king and his queen. Gardiner, realising his peril, withdrew in disgrace. Catherine was spared, and her enemies at court were temporarily discredited. .
Lausanne, François Grasset & comp., 1769. In-8 de (2)-XIV pp. 1 f.bl. 204 pp. (mal chiffré 160), 2 feuillets manuscrits reliés respectivement entres les pages 44-45 et 48-49, maroquin citron, dos lisse orné, pièce de titre en maroquin noir, filet et frise dorés d'encadrement sur les plats, tranches dorées (reliure de la fin du XVIIIe siècle).
Précieux exemplaire annoté de l'Instruction de Catherine II. Faux-titre en latin ; buste légendé de Catherine II en frontispice gravé par Boily. Examen critique d'une main anonyme des deux premières questions du Nakaz jusqu'à l'article 172 : le scripteur traque les emprunts à l'Esprit des Lois de Montesquieu et au Traité des délits et des peines de Beccaria. De nombreux articles sont soulignés et commentés en regard : dès l'article 21, il reconnaît l'apparat critique de l'édition de l'Esprit « Amsterdam 1764 » (ces notes d'un anonyme seront plus tard attribuées à Luzac), un peu plus loin, l'édition 1766 du Traité de Beccaria traduit par Morellet : Nous allons quitter Montesquieu pour quelques instants et passer au traité des délits et des peines du marquis Beccaria. S.M.I. a daigné s'approprier aussi les idées de cet auteur et pour s'épargner aussi l'ennui de traduire elle a daigné s'approprier aussi la traduction de l'abbé Morellet imprimée à Lausanne en 1766. c'est avec ce petit secours qu'elle a créé sa théorie de jurisprudence criminelle comme il s'ensuit. Ses considérations sont aussi formelles : c'est une hardiesse heureuse du génie impérial qui crée la présente instruction et qui veut bien enrichir notre langue de tours ingénieux et nouveaux dont sans doute nous nous empresserons de profiter.Le Nakaz de Catherine II fut dès sa publication commenté par ses illustres contemporains comme le physiocrate Le Trosne et surtout Diderot. Mais Quérard rendit dans ses Supercheries le mérite à Beuchot d'avoir identifié le premier les emprunts de Catherine II à Montesquieu et Beccaria pour la rédaction de son code ; curieusement, aucun exemplaire de l'Instruction apparait dans le catalogue de sa bibliothèque (Bibliothèque de Beuchot. Paris, 1851).« Catherine écrivit son Instruction en français; elle en a tiré une grande partie de l'Esprit des lois de Montesquieu et du Traité des Délits et des Peines, de Beccaria, quoiqu'elle n'ait fait aucune mention des sources où elle l'a puisée. C'est à M. Beuchot, qui le premier a fait cette remarque, que nous sommes redevable de la connaissance de ce fait. Ce qu'il y a de singulier, c'est que cette instruction, écrite d'abord en français traduite en russe et en allemand, et de cette dernière langue en français, puisse représenter dans la version donnée ( par Balthazard ) à Lausanne en 1769, de fréquents passages absolument conformes à la première édition de la traduction du Traité des Délits et des Peines, de Beccaria, par L'abbé Morellet (1766, in-8). Balthazard ayant reconnu les fragments empruntés par Catherine, trouva plus naturel de les copier fidèlement de Montesquieu et de l'ouvrage de Beccaria , traduit par Morellet, que de les traduire. En rédigeant le Nakaz, l'impératrice utilise une édition de L’Esprit des lois accompagnée de « remarques philosophiques et politiques d’un anonyme » (nombreuses réimpressions hollandaises en 1761-1764). Le nom de cet anonyme, Elie Luzac, reste inconnu à Catherine II — elle soupçonnait probablement D’Alembert — mais 21 articles du Nakaz sont largement inspirés des commentaires de Luzac, et trois autres témoignent de son influence ».Très bel exemplaire à grandes marges dans une reliure attribuable à Jean-Claude Bozerian d'après la roulette des plats.Barbier, II, 8695 ; Quérard, Supercheries dévoilées (I, p. 208 sqq. notes en bas de page, édition 1847) ; Paul Culot, Relieurs et reliures décorées en France aux époques Directoire et Empire, 81.
Import 2001 421 pages 14x2x20 4cm. 2001. Broché. 421 pages.
Très bon état