Pierre Seghers, Editeur, Paris, 1945. 1 volume broché, couverture rempliée, non paginé, avec des illustrations d'André Warnod dont hors-texte. Tirage limité à 649 exemplaires numérotés, celui-ci un des 625 exemplaires sur Johannot.
Reference : LITT5305M
Bon état général. Intérieur frais et agréable, couverture avec quelques traces d’âge. Mais sinon, bon exemplaire. Pages non coupées.
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Editions Franciscaines. Mai 1987. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 80 pages.. . . . Classification Dewey : 200-RELIGION
Sommaire Promenade en jardin d'amitié par Godefroy Guillerm, Entre méfiance et permission par Henri Jacques Stiker, Jésus et l'amitié par Gérard Guitton, La tradition de l'amitié par Marie Odile Metral, L'amitié un itinéraire : François d'Assise et Bernard de Quintavalle par Fidèle Lenaerts Classification Dewey : 200-RELIGION
Turnhout, Brepols, 2007 Paperback, 485p., 160 x 240 mm. ISBN 9782503524672.
Sans conteste, l'amitie innerve le monde medieval. Le vocable sature les textes tant pratiques que theoriques. Il concerne toute la societe, l'elite, les milieux princiers et la noblesse autant que les humbles et le monde ordinaire. Au regard de l'insistance des sources medievales a dire l'amitie dans sa factualite et sa realite, il s'avere necessaire de s'interroger sur la pensee de l'amitie au Moyen Age. A-t-on pense l'amitie au Moyen Age? Plus exactement pose: quels sont les cadres intellectuels, institutionnels et structurels qui poussent les hommes des xiiie-xve siecles a penser l'amitie; quelles sont les conditions historiques et les evenements culturels qui faconnent les contours d'une telle conceptualisation? Languages: French.
Angers 25 Septembre 1929 | 13.50 x 20.50 cm | quatre pages sur un feuillet double
Lettre autographe datée et signée de Renée Guilloux à propos de l'amitié qui transcende et sublime les rapports humains, 80 lignes écrites à l'encre noire sur quatre pages. Pliures inhérentes à l'envoi, petites déchirures en pied sans aucune atteinte au texte. Pour Renée Guilloux, l'amitié qu'elle éprouve pour son correspondant domine l'éloignement et le mutisme : "... est-ce que les mots ont su dire la joie des coeurs..." et les désaccords momentanés : "Mais tous ces mois, toutes ces années nous pesaient douloureusement. J'avais l'impression que vous vous étiez mis d'un seul coup à parler très vite avec beaucoup d'agitation dans une langue qui m'était étrangère... mais je savais que ce n'était qu'un moment et qu'après nous reprendrions notre conversation rentable." Malgré les vicissitudes de la vie, Louis Guilloux et sa femme se sont toujours montrés confiants dans la fraternité qui les unit par dessus tout : "J'attendais votre retour dans la certitude, dans la paix et bienqu'il n'y ait pas de paroles écrites entre nous, votre amitié m'apportait toujours sa même force et sa même joie..." et dans la sérénité acquise après tant d'épreuves traversées : "Vous nous avez trouvés transformés dites-vous, grandis... cette paix c'est notre conquête la plus belle... après les inquiétudes et les souffrances..." Renée Guilloux loue cette paix irradiante qu'elle partage avec son ami : "Cette paix qui est en nous, elle est aussi vôtre, cher ami, et vous avez grandi comme nous... je pense au rêve de Don Quichotte, aux paroles qu'il echange avec Dulcinée. Elles sont pleines de cette lumière." Enfin, elle est rassurée par la santé de son mari qui s'améliore et qui lui permet de se remettre à son travail d'écriture. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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<p><meta charset="utf-8"><span>La vertu constitue le seul bien supérieur à l'amitié, écrit Cicéron. Ce n'est donc que par cette même vertu que l'amitié s'épanouira pleinement. Dans ce dialogue philosophique, il donne la parole à Laelius pour clarifier ses vues.</span><br><br><span>À l'instar des bons vins, les belles amitiés se bonifient avec l'âge. Il convient donc de ne pas se fourvoyer dans des relations animées par la vaine recherche de satisfactions passagères. L'amitié requiert au contraire fermeté et solidité, vertus stoïciennes par excellence. Dans son éloge, Cicéron se fait le contempteur des hypocrites et l'apologiste des hommes probes, seuls dignes de recevoir le précieux sésame de l'amitié. Mais il offre également un texte à portée politique, écrit en -44 av. J-C, peu de temps après la mort de César...</span></p> Paris, 2024 Allia 144 p., broché. 10,2 x 17
Neuf
Paris, Veuve de Claude Barbin, 1703. In-12 (162 x 95 mm), 2 ff. n. ch., 1 envoi, 1 p. titre., 4 ff. n. ch., XV p., 3pp. n. ch. (approbation et privilège), 340 p., 22 ff. n. ch. (table des matières) puis 2 ff. n. ch. Veau blond, triple filet d’encadrement doré sur les plats, dos à nerfs ornés, caissons dorés, filets dorés sur la coupe, tranches dorées sur papier rouge, guirlande dorée sur les chasses, garde et étui de papier peigné, signet en soie, rousseurs au premier feuillet, page 279 mal chiffrée (Bauzonnet-Trautz).
Rare édition originale, l’ouvrage publié en 1703 est divisé en 3 parties. Le privilège nous précise la date de première impression qui est celle du 30 janvier 1703. “La première édition est de 1703. L’auteur s’était proposé Cicéron pour modèle. L’ouvrage est divisé en trois livres, dans lesquels l’auteur disserte successivement sur la nature de l’amitié, les devoirs qu’elle impose, et les moyens de prévenir les ruptures. Ce livre fut critiqué par Dupuy, dans ses Réflexions sur l’amitié, 1728, contre lesquelles on vit paraître, la même année, une Défense du Traité de l’amitié, écrite d’un style un peu trop vif.” Quérard. Louis De Sacy, né en 1654 à Paris où il est mort le 26 octobre 1727, était un homme de lettres et avocat français. Il fréquenta le salon de littérature de Madame de Lambert qui lui marquait une grande préférence. Cet ouvrage est d’ailleurs dédié à Madame de Lambert. “Louis Silvestre De Sacy, avocat au Conseil, fut reçu en 1701 à l'Académie Française à la place de Toussaint Rose. La traduction des Lettres de Pline le Jeune, dont il donna les quatre premiers livres en 1699, et les six autres deux ans après, lui valurent cet honneur.” Celui-ci “n'avait pas moins approfondi le Droit que les Belles Lettres.” Moreri. L’exemplaire comporte un envoi de De Sacy pour Monsieur Gilles Dongois (1636-1708), le neveu de Boileau chez qui celui-ci a résidé. Précieux exemplaire avec un envoi probablement unique. Gilles Dongois, né le 9 mars 1636 et baptisé le même jour à Saint-Séverin, était fils de Jean Dongois, greffier de la Grande Chambre du Parlement, et d’Anne Boileau. Elevé au collège de Beauvais, il obtient des lettres d’Aumônier du Roi dès 1655 et en 1658 le Prieuré de Pont Sainte Maxence près de Senlis. Son père le fit, la même année, avocat au Parlement. Il fut bachelier en théologie l’année suivante, puis mêlant le profane au sacré, fut reçu, en 1662, Conseiller de la Chambre Souveraine des Décimes établie au Palais. Enfin, il prit l’ordre de Sous-Diacre pendant qu’il préparait sa licence. Le 9 mars 1663, il fut agréé Chanoine par la résignation que lui fit Nicolas Sanguin. Il fut conseiller et aumônier du Roi ainsi que chanoine à la Sainte-Chapelle. Il fut d’ailleurs enterré dans le cimetière de celle-ci. “Pour Monsieur Dongois de la part de son très obéissant serviteur De SACY” On trouve un commentaire d’une seconde main d'une écriture ancienne dans lequel on cite Boileau et Voltaire mentionnant Dongois. “Boileau a dit quelque part: Monsr Dongois, mon illustre neveu.» C’était un greffier qui demeurait dans la Cour du palais avec toute la famille de Boileau. [note de l’Epître de Voltaire à Boileau]” Voltaire écrit aussi à son propos: “Chez ton neveu Dongois je passai mon enfance ; Bon bourgeois qui se crut un homme d'importance.” (Epitre à Boileau ou Mon Testament (1769), Voltaire) Bel exemplaire en veau blond de Bauzonnet-Trautz. Moreri, Grand dictionnaire historique ou le mélange curieux de l'histoire sacrée et profane, VII (P-SEG), à S p. 14-15; Quérard, La France littéraire, VIII, p.302; Cioranescu: n°58062, p.1609, Bibliographie de la littérature française du dix-huitième siècle, Tome III.