Gravure à l’eau forte sur vergé 92x138mm à la cuvette, marges inexistantes. Callot fec. .au bas à gauche, Israël excud au bas à droite. Epreuve sur vergé. Avant le numéro. Saint de la suite des grands apôtres gravée à Nancy entre 1630 et 1635.
Reference : 13854
Charbonnel
M. Sylvain Charbonnel
2, rue du Champ de Mars
55000 Bar le Duc
France
03 29 79 40 63
Les commandes se font de préférence par e-mail ou par courrier.Tous les livres proposés sont en bon état sauf indications contraires mentionnées dans la description.Les prix sont nets,port en sus à la charge du destinataire.Les envois,après entente concernant les frais de port pour la France s'effectuent dès réception par chèque bancaire,mandat ou virement bancaire.Pour la zone euro par virement bancaire. Me demander mon RIB-IBAN-BIC.Hors Europe Règlement par carte bancaire accepté uniquement par l'intermédiaire de pay pal,les frais sont à la charge de l'acheteur.Les livres voyagent aux risques et périls du destinataire,l'emballage soigné est gratuit.Afin d'éviter tout litige il est expressément conseillé l'envoi en recommandé.Passé un délai d'une dizaine de jours à partir de la date de commande,les ouvrages non réglés seront remis en vente.
Paris, Editions Contrepoint, 1982. 315 g In-8 broché, xii-259 pp.. Préface d'Edmond Pognon. Ouvrage tiré à 1000 exemplaires. . (Catégories : Bibliographie, )
Berger-Levrault, 1973, gr. in-8°, 447 pp, reliure toile éditeur, jaquette illustrée, bandes conservées ("avec de nombreux inédits", "Prix Malherbe 1975"), bon état
"Il s'agit bien, précisons-le, d'une biographie, et non d'une analyse littéraire des Mémoires. Tout au contraire, – et c'est peut-être là un des aspects les plus originaux et les plus nouveaux du livre – , M. Poisson insiste tout au long sur ce fait, évident mais souvent négligé ou perdu de vue, que les Mémoires ont été écrits très longtemps après les événements qu'ils relatent : quarante-cinq ans pour le début des Mémoires, vingt-cinq ou vingt-six ans pour la fin. Prendre pour argent comptant le récit des Mémoires et rebâtir d'après lui la vie de l'auteur serait donc, non seulement inutile (pourquoi récrire après Saint-Simon ce qu'il a écrit mieux que personne ?) mais illusoire. M. Poisson s'est fixé pour règle de ne recourir aux Mémoires, pour relater la vie de Saint-Simon, qu'à titre d'appoint, et toutes vérifications faites à l'extérieur : ce qui l'amène à citer, dans ses notes, une impressionnante quantité de documents d'archives. Un des éléments neufs et originaux du livre de M. Poisson est le développement consacré au sort posthume des Mémoires et des autres écrits de Saint-Simon, ainsi qu'à l'évolution et à l'épanouissement du saint-simonisme aux XIXe siècle et XXe siècle. On a l'impression, quand on referme l'ouvrage, de mieux connaître la curieuse, irritante et, finalement, malgré tout, attachante personnalité du coléreux duc et pair. « Nous avons essayé moins de le juger que de le comprendre », écrit M. Poisson dans son avant-propos. Il y a pleinement réussi, et au-delà. On se sent l'envie, après lui, de relire aussitôt les Mémoires ; c'est le plus beau compliment, je pense, qu'on puisse faire à l'auteur de ce livre." (Michel Duchein, La Gazette des archives, 1974) — "Cette biographie est à la fois sérieuse et palpitante. Exploitant son fichier avec un sens très sûr du vivant, du coloré et du caractéristique, Georges Poisson révèle d'emblée des qualités d'écrivain et d'historien. L'honnête homme désireux de mieux connaître l'existence de l'un des plus extraordinaires écrivains de langue française qui furent jamais, pourra revivre le curieux destin de Louis de Rouvroy, deuxième duc de Saint-Simon et premier mémorialiste de France ; il constatera en tournant les pages l'intérêt constant porté par le biographe aux mentalités, aux manières de vivre, de sentir et de penser d'une époque qui coïncide avec les règnes de Louis XIII et Louis XIV, et la Régence. Le lecteur des Mémoires sera ravi de découvrir que le dernier quart du livre se penche avec un luxe de détails sur Saint-Simon après 1723 (c'est-à-dire après la mort du Régent qui clôt les Mémoires), et sur « Saint-Simon après Saint-Simon »." (Dirk Van Der Cruysse, Cahiers Saint-Simon) — "Cet ouvrage constitue une biographie minutieuse et admirablement documentée de Saint-Simon. On y suit le personnage depuis l'enfance jusqu'aux dernières années dans ses multiples aspects de courtisan, de politique et de mémorialiste. Ce livre se recommande par sa très riche information, sa clarté et, ce qui ne gâte rien, l'agrément de la lecture." (Raymond Trousson, Dix-Huitième Siècle)
P., A. Quantin, Imprimeur-Editeur, 1880, gr. in-8°, (4)-411 pp, pièces justificatives, broché, couv. lég. abîmée, dos factice, rousseurs éparses, état correct (Vicaire VII, 106)
"Après une séquestration de cent vingt ans contre laquelle tous les lettrés ont protesté en vain, les papiers divers et les manuscrits du duc de Saint-Simon, déposés, en 1760, aux Archives du ministère des Affaires étrangères, voient enfin la lumière. Sous ce titre les “Papiers inédits du duc de Saint-Simon”, la librairie Quantin met en vente un volume qui est destiné à produire une vive sensation. Ce volume contient les Lettres et les dépêches adressées par Saint-Simon, pendant son ambassade en Espagne, au duc d'Orléans, au cardinal Dubois, au roi, au comte de Belle-Isle. Ces documents, publiés pour la première fois, révèlent sous un jour tout nouveau le caractère de Saint Simon et la nature de ses rapports avec Dubois. Le tableau de la cour d'Espagne, fait à la fin de 1721 et au commencement de 1722, très intéressant à comparer avec le texte des Mémoires dont il différe notablement, montre l'écrivain à côté de l'homme politique. Enfin, dans une longue introduction qui ne sera pas un des moindres attraits de ce volume, M. Édouard Drumont, après avoir raconté en détails les circonstances presque incroyables de cette longue et incompréhensible séquestration d'une partie de l'œuvre du grand historien français, indique et analyse les innombrables manuscrits et mémoires de Saint-Simon qui se trouvent aux Archives du ministère des affaires étrangères." (Revue du monde catholique, 20e année, tome 62, 1880)
Henri-Jean-Victor de Rouvroy de Saint-Simon (1782 - 1865), vicomte de Saint-Simon, puis grand d'Espagne, marquis de Saint-Simon et "pair de France", est un général et homme politique français. A partir de 1842, il se fait appeler "duc de Saint-Simon". Il est à l'origine, en 1829 et 1830, de la première édition complète des Mémores de son lointain parent, Louis de Rouvroy, duc de Saint-Simon (1675 - 1755). (cité d'après Wikipédia).