Write to the booksellers
Jean Pierre François RIPERT DE MONCLAR
Procureur Général du Parlement de Provence, né à Aix le 1er octobre 1711, mort le 12 février 1773. en feuille Moyen XVIIIè 29 x 20,5
Reference : 6610
Bookseller's contact details
Librairie Seigneur
Martine Seigneur
Payment mode
Sale conditions
Conforme aux usages de la profession.
3 book(s) with the same title
Reference : 14309
Jean Pierre François RIPERT DE MONCLAR
Procureur Général du Parlement de Provence, né à Aix le 1er octobre 1711, mort le 12 février 1773. en feuille Bon XVIIIè 29,5 x 24,5 cm
édition originale
[Compagnie de Jésus] Ripert de Monclar, Jean-Pierre-François de
Reference : 104482
(1763)
Compte rendu des constitutions des Jésuites, par monsieur Jean-Pierre-François de Ripert de Monclar, Procureur général du Roi au Parlement de Provence [Texte imprimé], les 28 mai, 3 & 4 juin 1762, en exécution de l'arrêt de la Cour du 15 mars précédent
S.n.l. 1763 In-16 17 x 10 cm. Reliure de l’époque veau havane raciné, dos lisse orné de fers dorés, pièce de titre maroquin grenat, 548 pp. Exemplaire en bon état. Notes manuscrites postérieure sur la première page de garde.
Plaidoyer de M. de Ripert de Monclar (1711-1773), procureur général du roi au parlement de Provence, dans l'affaire des soi-disant Jésuites (4 janvier 1763.) Bon état d’occasion
RIPERT de MONCLAR (Jean-Pierre François de), ANTI-JÉSUITE
Reference : PHO-2087
(1763)
Compte rendu des Constitutions des Jésuites, par M. Jean-Pierre François de Ripert de Monclar, procureur général du Roi au Parlement de Provence, les 28 mai, 3 et 4 juin 1762, en exécution de l’arrêt de la Cour du 15 mars précédent.
S.l. (France), S.n., 1763, in-12 (17x10cm), 584pp., veau marbré d’époque, dos lisse orné, pièce de titre rouge, tranches rouges (frottements, coiffe supérieure arasée, coins usés).
Édition complète de ce texte fondamental dans le procès politique et religieux intenté contre la Compagnie de Jésus en France. Jean-Pierre François de Ripert de Monclar, procureur général du roi au Parlement de Provence, y expose une analyse détaillée des Constitutions de l’ordre, démontrant, selon lui, leur incompatibilité avec les lois du royaume, la hiérarchie ecclésiastique et l’autorité du souverain. Ce vaste rapport, prononcé en audience publique à Aix entre mai et juin 1762, marque un tournant dans la lutte entre le pouvoir royal et les jésuites. Il précéda la série d’arrêts qui aboutirent à la suppression de la Compagnie en France (1764), puis à son expulsion de plusieurs pays catholiques. L’ouvrage est devenu un document-clé de la littérature parlementaire anti-jésuite, emblématique de la réaction gallicane et absolutiste contre l’autorité pontificale.
