‎BLANC PONGE (Francis)‎
‎La Seine.‎

‎ Lausanne, La Guilde du Livre, 1950. Grand in-8 cartonnage crème éditeur, 73 pp., 111 planches en héliogravure. Edition originale corrigée par l'auteur, exemplaire numéroté. ‎

Reference : 552246


‎ Qq. taches claires aux plats, intérieur frais, bonne condition. - Frais de port : -France 6,9 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €) ‎

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‎PROUDHON Pierre-Joseph. ‎

Reference : 5020

‎La justice poursuivie par l'église. Appel du jugement rendu par le tribunal de police correctionnelle de la Seine, le 2 juin 1858, contre P.-J. Proudhon. ‎

‎ Bruxelles, Librairie de l'Office de Publicité 1858. 22 x 14 cm, viii-184pp. Relié demi skyvertex bleu nuit, titre doré. Exemplaire en bel état. Publication par Proudhon pendant son exile en Belgique. Mémoire écrit en réponse à sa condamnation par la justice française pour l'ouvrage De la justice dans la Révolution et dans l'Église. Dans De la justice dans la Révolution et dans l'Église, Proudhon voulait donner à la révolution sa philosophie et sa morale. C'est un réquisitoire implacable contre la religion chrétienne, à laquelle il oppose la religion du travail. Il y attaque la centralisation sous toutes ses formes (ce qui ne manquera pas de dresser ses disciples contre Marx, fédéralistes contre centralistes) et y préconise, au lieu d'une spécialisation outrancière, un apprentissage polytechnique pour les enfants des deux sexes, qui à ses yeux, permettrait d'éviter ou tout au moins, de limiter le chômage. Dès la parution, Proudhon est poursuivi devant la cour d'assises de la Seine. Défendu par l'avocat Gustave Chaudey, qui deviendra un de ses exécuteurs testamentaires, il est condamné, pour la énième fois, à trois ans de prison et 4 000 francs d'amende. Après de vaines tentatives pour faire réformer cet arrêt par les tribunaux ou par le gouvernement, Proudhon décida de s'exiler à Bruxelles en juillet 1858. Il refusa l'amnistie de 1859 tout comme Victor Hugo et Louis Blanc. ‎


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EUR80.00 (€80.00 )

‎Camille LEMONNIER‎

Reference : 2508

‎Tribunal Correctionnel de la Seine - Le Procès de l'enfant du crapaud. Affaire Camille Lemonnier. Réquisitoire, plaidoiries, jugement, documents.‎

‎ Bruxelles, Ferdinand Larcier, 1888.Un volume relié (17 x 26 cm) de 125 pages. Reliure demi toile, dos lisse, titre doré.Frontispice à l'eau-forte, portrait de C. Lemonnier. Un des 230 exemplaires sur papier de cuve spécial. Exemplaire nominatif, n°106 offert à Maître D. Elias. ‎


‎En 1888, Lemonnier est couronné par le Prix quinquennal de littérature pour la Belgique et fait lobjet dun procès en France suite à la publication dans Gil Blas de Lenfant du crapaud.Laffaire portée devant le tribunal correctionnel de la Seine nest pas anodine. Le réquisitoire du substitut Eyraud cite de longs extraits de l« article » incriminé et sattarde sur la fin : la Marcelle, qui tient un cabaret et soutient les ouvriers du charbonnage en grève, leur donne son corps stérile avec lespoir dêtre engrossée par lun deux. « Cest un tableau obscène que M. Lemonnier nous dépeint dans tous ses détails, et je ne crois pas quaprès la lecture de son article on puisse dire que la délicatesse de la forme et le choix des mots en font oublier le caractère dobscénité. »Me Edmond Picard, ami de Lemonnier, prend sa défense. Il fournit une liste de titres saisis et condamnés en Belgique pour pornographie, pour mieux dire que le texte de Lemonnier nappartient pas au même registre, cite Zola et Rabelais, revient sur le procès Flaubert explique ce quest « un Belge de tempérament flamand », élève Marcelle par sa "légendaire et sainte impudeur" mais nempêche pas Deroule, gérant du Gil Blas, et Lemonnier dêtre condamnés chacun à 1.000 francs damende. ‎

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EUR300.00 (€300.00 )

‎ NODIER Charles.‎

Reference : 161

‎La Seine et ses bords.‎

‎ 1 Demi-chagrin bleu nuit, dos à 5 nerfs dorés, titre doré. 22 x 14,5 cm, 192 p., illustrations, une carte en 4 feuillets. Paris, au Bureau de la publication, M.A. Mure de Pelanne, 1836. Edition originale ‎


‎Édition originale illustrée de vignettes par Marville et Foussereau. Belle provenance, exemplaire de M. Alexandre de Saint-Albin (mention manuscrite au verso du faux-titre), écrivain, créateur et inspecteur des bibliothèques d'arrondissement de Paris. Très bon état ‎

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EUR150.00 (€150.00 )

‎LEFÈVRE (Onésime Théodore).‎

Reference : LBW-8323

(1854)

‎ [VITRY-sur-SEINE] Commune de Vitry sur Seine. Arrond.t de Sceaux. Canton de Villejuif.‎

‎ 1854-1869. En deux feuilles jointes formant un plan de 1,21 x 0,89 m, replié.‎

‎Beau plan de très grand format de la commune de Vitry-sur-Seine en 1869, dressé par Onésime Théodore Lefèvre en 1854, puis corrigé en 1869. Il a été lithographié par Avril Frères et Louis Wuhrer pour l'Atlas communal du département de la Seine. En 1869, la commune de Vitry-sur-Seine, aujourd'hui dans le Val-de-Marne, faisait partie du canton de Villejuif, ancienne division administrative créée en 1800, au sein de l'arrondissement de Sceaux et du département de la Seine. Le département de la Seine, nommé département de Paris à sa création en 1790, comprenait trois districts ou arrondissements, et seize cantons. Il fut dissous en 1968, pour former les départements de Paris, des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. La commune prit son nom actuel de Vitry-sur-Seine en 1897. Ce plan de très grand format, de plus d'1,20 m de hauteur, figure Vitry-sur-Seine et les communes limitrophes d'Ivry-sur-Seine, Alfortville, Choisy-le-Roi, Thiais et Villejuif. Au sud d'Ivry-sur-Seine, on peut voir le fort d'Ivry, l'un des seize forts détachés de l'enceinte de Thiers, qui appartient aujourd’hui au ministère de la Défense. Construite entre 1841 et 1844, à la demande du roi Louis-Philippe, qui souhaitait faire construire autour de la capitale une enceinte bastionnée qui rendrait la ville imprenable, l'enceinte de Thiers, du nom de l'homme politique qui conçut le projet, était constituée de 94 bastions, et englobait non seulement Paris, mais aussi les communes environnantes annexées à Paris en 1859, telles Montmartre, La Villette, Belleville, Charonne, Bercy, Auteuil, ou encore Passy. Tout autour de cette enceinte, on fit construire, entre 1840 et 1846, 16 forts détachés (forts d'Issy, de l'Est, de Vanves, d'Aubervilliers, de Romainville, de Bicêtre, de Charenton, d'Ivry, de Montrouge, de Nogent, de Rosny, etc). La commune d'Alfortville porte ici encore le nom de Maisons-Alfort. Ce n'est qu'en 1885 que sera créée la commune d'Alfortville sur un territoire démembré de la commune de Maisons-Alfort, et incorporée au canton de Charenton-le-Pont. Dans la ville de Vitry, on peut voir les anciens quartiers du Petit Vitry, actuel quartier du 8-Mai-1945, et du faubourg Bacchus, aujourd'hui renommé rue Jules-Lagaisse. Dans Choisy-le-Roi figurent les manufactures de maroquins, de chapeaux, de pierres artificielles, et de porcelaine opaque. Sur la Seine, on peut voir le pont de Choisy, reliant les deux rives de Choisy, détruit pendant la guerre de 1870 puis reconstruit, et le barrage du Port-à-l'Anglais, entre les communes de Vitry et d'Alfortville. Une importante légende accompagne la commune de Vitry : liste des établissements communaux (mairie, écoles, asile, corps de garde, crèche, lavoir, fontaines, église, etc) et des établissements publics (station du chemin de fer d'Orléans, pompe de la ville de Paris et gendarmerie) ; route nationale de Paris à Antibes ; routes départementales ; chemins vicinaux de grande communication et ordinaires, et chemins ruraux ; nomenclature des rues ; signes conventionnels. Les sept teintes de la légende n'ont pas été utilisées, le plan a été laissé en noir et blanc. Plan intéressant pour l'histoire de cette commune, montrant des bâtiments qui n'existent plus aujourd'hui, comme le château de Vitry, détruit en 1910, ainsi que des rues qui ont aujourd'hui disparu ou qui ont été renommées, comme la rue d'Arnetal devenue l'avenue Roger Derry, la rue Saint-Aubin devenue l'avenue Maximilien Robespierre, la rue de la Barre devenue l'avenue Youri Gagarine, la rue de la Chapelle aux Granges, renommée rue du 10 Juillet 1940, la voie du Chevaleret devenue la rue Gabriel Péri, la rue des Étroits renommée rue Antoine Marie Colin, la rue Eugène Dubois devenue la rue Charles Infroit, la place du Petit Vitry devenue la place des Martyrs de la Déportation, la rue aux Prêtres, aujourd'hui disparue, ou encore la rue de Seine devenue la rue Jean Jaurès. Onésime Théodore Lefèvre était ingénieur, géomètre et cartographe du département de la Seine, installé à Villejuif. Il a également dressé en 1871 une carte du département de la Seine, et fut maire de Villejuif de 1856 à 1871. Bel exemplaire, replié. Petite déchirure restaurée à une pliure. Bibliographie de la France, ou Journal général de l'Imprimerie et de la Librairie, 30 juin 1855, 1855, p. 463, 101.‎


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Phone number : 33 01 43 29 72 59

EUR400.00 (€400.00 )

‎LEFÈVRE (Onésime Théodore).‎

Reference : LBW-8321

(1854)

‎ [IVRY-sur-SEINE] Commune d'Ivry-sur-Seine. Arrond.t de Sceaux. Villejuif.‎

‎ 1854-1869. En deux feuilles jointes formant un plan de 1,21 x 0,89 m, replié.‎

‎Beau plan de très grand format de la commune d'Ivry-sur-Seine en 1869, dressé par Onésime Théodore Lefèvre en 1854, puis corrigé en 1869. Il a été lithographié par Avril Frères et Louis Wuhrer pour l'Atlas communal du département de la Seine. En 1869, la commune d'Ivry-sur-Seine, aujourd'hui dans le Val-de-Marne, faisait partie du canton de Villejuif, ancienne division administrative créée en 1800, au sein de l'arrondissement de Sceaux et du département de la Seine. Le département de la Seine, nommé département de Paris à sa création en 1790, comprenait trois districts ou arrondissements, et seize cantons. Il fut dissous en 1968, pour former les départements de Paris, des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. La commune prit son nom actuel d'Ivry-sur-Seine en 1897. Ce plan de très grand format, de plus d'1,20 m de hauteur, figure Ivry-sur-Seine et les communes limitrophes de Vitry-sur-Seine, Villejuif, Charenton-le-Pont, appelée Conflans les Carrières, Le Kremlin-Bicêtre, ainsi que le quartier de Bercy dans le 12ème arrondissement de Paris. On peut voir également une partie du 13ème arrondissement, sur laquelle figure la partie de la commune d'Ivry annexée à la ville de Paris. En 1860, le nord de la commune d'Ivry fut annexé à Paris pour constituer une partie du 13ème arrondissement. Les limites de Paris sont marquées par l'enceinte de Thiers. Sur la Seine figurent le pont de Bercy, ouvert en 1864, le pont National, construit entre 1852 et 1853 pour relier les gares de Lyon (chemin de fer de Lyon) et d'Austerlitz (chemin de fer d'Orléans), et le pont d'Ivry, ici nommé pont d'Ivry ou de la Bosse de Marne. Au sud d'Ivry, on peut voir le fort d'Ivry, l'un des seize forts détachés de l'enceinte de Thiers, qui appartient aujourd’hui au ministère de la Défense. Construite entre 1841 et 1844, à la demande du roi Louis-Philippe, qui souhaitait faire construire autour de la capitale une enceinte bastionnée qui rendrait la ville imprenable, l'enceinte de Thiers, du nom de l'homme politique qui conçut le projet, était constituée de 94 bastions, et englobait non seulement Paris, mais aussi les communes environnantes annexées à Paris en 1859, telles Montmartre, La Villette, Belleville, Charonne, Bercy, Auteuil, ou encore Passy. Tout autour de cette enceinte, on fit construire, entre 1840 et 1846, 16 forts détachés (forts d'Issy, de l'Est, de Vanves, d'Aubervilliers, de Romainville, de Bicêtre, de Charenton, d'Ivry, de Montrouge, de Nogent, de Rosny, etc). Dans la ville d'Ivry sont représentées les fabriques de produits chimiques, de wagons, d'essieux, d'huiles et de bougies. Dans Paris sont représentés les entrepôts de Bercy, le magasin à fourrages, l'usine à gaz de la Compagnie Parisienne, et la manufacture de tabacs. À Charenton-le-Pont, on peut voir la gare aux charbons et aux longs bois, et les magasins généraux des vins. Une importante légende accompagne la commune d'Ivry : liste des établissements communaux (mairie, écoles, asile, église, cimetière, etc) et des établissements publics (Hospice des Incurables, fort d'Ivry, gendarmerie, etc) ; route nationale de Paris à Bâle ; routes militaires (du fort de Bicêtre à celui d'Ivry, et du fort d'Ivry à celui de Charenton) ; routes départementales ; chemins vicinaux de grande communication et ordinaires, et chemins ruraux ; nomenclature des rues publiques et particulières ; signes conventionnels. Les huit teintes de la légende n'ont pas été utilisées, le plan a été laissé en noir et blanc. Plan intéressant pour l'histoire de cette commune, montrant des rues qui ont aujourd'hui disparu ou qui ont été renommées, comme la rue de l'Est, renommée rue Jean Jacques Rousseau en 1894, la rue des Fauconniers renommée rue Jules Vanzuppe, la rue de la Gorne, renommée rue Bernard Palissy en 1894, la rue Nationale, devenue le boulevard Paul Vaillant-Couturier en 1937, la rue Jean Picourt renommée rue Gaston Cornavin, la rue du Moulin de la Tour devenue la rue Baudin en 1888, la rue des Œillets renommée rue Kléber en 1894, la rue de l'Orme au Chat, renommée rue Maurice Gusnsbourg en 1945, la rue des Plantes renommée rue de Châteaudun en 1894, la place Saint-Frambourg devenue place Parmentier vers 1900, la rue de la Voyette, renommée rue Ledru Rollin en 1894, ou encore la rue Moïse renommée rue Edmé Guilloux en 1945. Onésime Théodore Lefèvre était ingénieur, géomètre et cartographe du département de la Seine, installé à Villejuif. Il a également dressé en 1871 une carte du département de la Seine, et fut maire de Villejuif de 1856 à 1871. Bel exemplaire, replié. Bibliographie de la France, ou Journal général de l'Imprimerie et de la Librairie, 22 septembre 1855, 1855, p. 688, 222.‎


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