Charles Jacque 1813-1894. Eau-forte originale sur Chine appliqué parue chez Delâtre. Encadrée Très bon Paris Delâtre 1865 23 x 29 cm
Reference : 13288
édition originale
Librairie Seigneur
Martine Seigneur
Conforme aux usages de la profession.
PEINTURE CHINOISE EN ROULEAU REPRÉSENTANT UN CORTÈGE DE MARIAGE.
Reference : LCS-14866
Superbe peinture chinoise en rouleau horizontal représentant le cortège d’un mariage luxueux. Chine, dynastie Qing, seconde moitié du XIXe siècle. S.l.n.d. [Chine, dynastie Qing, seconde moitié du XIXe siècle].Rouleau horizontal peint sur soie et papier traditionnel chinois. Encre de Chine et lavis coloriés. Baguette d’enroulement en bois sombre ornée d’une bande de soie bleue. L’axe central du rouleau a un diamètre de 2 cm environ. Couverture décorée de soie multicolore. Dimensions du rouleau : environ 3,85 m de longueur x 0,36 m de largeur.
Superbe peinture chinoise en rouleau horizontal représentant le cortège d’un mariage luxueux. Le rouleau offre une palette de couleurs très variée, et en particulier de superbes violets, roses et verts traditionnels. La scène est également rythmée par l’emploi du rouge qui occupe une place importante dans ce thème festif. Il est intéressant de noter que les couleurs de peau sont codifiées selon les types de personnages. De nombreux rehauts d’or et d’argent ponctuent la scène et lui donnent du relief.On peut déduire du caractère luxueux de la peinture qu’elle fut commandée par une famille noble, puissante et aisée, comme en témoignent les inscriptions visibles sur la peinture, les somptueux trousseaux de la mariée, contenus dans un coffre d’une grande richesse décoré d’un dragon, symbole de puissance... Les nombreux détails du rouleau : les palanquins élégants, les magnifiques lanternes et boites de cadeaux, les bannières, soulignent l’importance et la richesse de la famille, sans jamais révéler son identité. La peinture porte trois inscriptions : 1. Sur une bannière : Deng Ke, 登科, signifiant qu'un membre de la famille (probablement le père déjà décédé) a été reçu aux examens impériaux, au niveau le plus élevé, ouvrant la voie à une haute fonction dans le gouvernement impérial, 2. sur une boîte: 登科, la même inscription que sur la bannière, mais en caractères stylisés, 3. sur une autre bannière (le deuxième caractère est à moitié caché): Shi Jia, せ家, signifiant qu'il s'agit d'une famille de “Mandarins” (les personnes de la famille, de génération en génération et depuis des temps anciens, ont toujours été des hauts fonctionnaires du gouvernement impérial). 76 personnages sont représentées sur la peinture. Le cortège se compose essentiellement de six groupes, définis selon des règles strictes de l'époque: a. la mère de la mariée, portée sur un palanquin, (le père, probablement décédé, n'est pas représenté sur le rouleau), b. un premier groupe de musiciens, c. un groupe de personnages porteurs de cadeaux, d. un deuxième groupe de musiciens, e. la mariée en tête d'un groupe de jeunes femmes, membres de la famille ou amies proches de la mariée, f. les porteurs du magnifique trousseau. Les deux groupes de musiciens, se composant de 8 et de 12 instrumentistes, accentuent l'atmosphère festive. Les instruments de musique représentés sont d'un grand intérêt pour les historiens de la musique chinoise: une cithare, plusieurs cornets, cymbales, flûtes, tambours ou tambourins, un lute et deux instruments dont on ne connaît pas l'équivalent en Europe et qui pourraient être des instruments de percussion. Les visages des 76 personnages sont expressifs et, contrairement à de nombreuses peintures chinoises, sont individualisés et peints avec une grande minutie. Les vêtements, aux couleurs particulièrement vives, sont élégants, en conformité avec la fête. Superbe peinture chinoise sur rouleau, mettant en scène le cortège de mariage d’une famille aisée sous la dynastie Qing, somptueusement mis en couleurs dans des tons vifs et chatoyants avec de nombreux rehauts d’or et d’argent.
ére Meiji 1912 In-4 30 x 487 cm. 12 estampes montées en 1 rouleau. Chaque estampe aquarellée 30 x 48 cm. Ensemble en bon état.
Bon état d’occasion
Ethiopie, SD [Circa 1850]. 1850 Rouleau manuscrit sur parchemin composé de 3 pièces cousues (105 x 700-630-680 mm) : texte à lencre noire et rouge et 3 illustrations. (Usures d'usage sur la partie extérieure du rouleau)
Rare rouleau magique éthiopien illustré du XIXe siècle ou antérieur. Rédigés en Guèze, la langue liturgique de lÉglise orthodoxe dÉthiopie, ces talismans ou rouleaux magiques étaient utilisés pour protéger ou soigner quelquun. Traditionnellement portés autour du cou, ils permettent déloigner le mauvais oeil comme celui connu sous le nom de « Buda » dans la culture Éthiopienne et Érythréenne. Le texte est composé de diverses prières contre les mauvais esprits. Les motifs en forme de carré et les illustrations renforcent le pouvoir protecteur du texte. Le rouleau est rédigé à lencre noire sur colonne avec quelques passages à lencre rouge. Lensemble est décoré de bandeaux à motifs géométriques répétés et rehaussés de rouge. Lillustration comporte plusieurs compositions à lencre noire dont deux représentant un ange (probablement Saint-Michel) et une représentant deux moines encadrant une croix surmontée par deux anges. Manuscrit bien conservé. Handwritten scroll on parchment consisting of 3 sewn pieces (105 x 700-630-680 mm): text in black and red ink and 3 illustrations. (Signs of wear on the outer part of the scroll). Scarce Ethiopian magic scroll dating from the 19th century or earlier. Written in Ge'ez, the liturgical language of the Ethiopian Orthodox Church, these talismans or magic scrolls were used to protect or heal someone. Traditionally worn around the neck, they ward off the evil eye, known as Buda in Ethiopian and Eritrean culture. The text consists of various prayers against evil spirits. The square-shaped motifs and illustrations reinforce the protective power of the text. The scroll is written in black ink in columns with a few passages in red ink. The whole is decorated with bands of repeated geometric patterns enhanced with red. The illustration features several compositions in black ink, two of which depict an angel (probably Saint Michael) and one depicting two monks flanking a cross surmounted by two angels. The manuscript is well preserved.
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Informant son correspondant de sa présence à Paris pendant 48 heures, Raymond Rouleau lui demande ...Veux-tu me téléphoner demain au n°17-53 pour prendre rendez-vous... Il lui rappelle ...Je te dois 180 francs belges (...). Je serais content de te les donner le plus vite possible pour ne pas être tenté de faire des folies... avant de le saluer amicalement ...Je serais heureux de te voir mon cher vieux. A bientôt. Toutes mes amitiés...Grand comédien de théâtre qui a notamment travaillé avec Antonin Artaud et Charles Dullin, Raymond Rouleau est également un grand metteur en scène et réalisateur. Nous lui devons entre autres la pièce Gigi (1951) avec Audrey Hepburn ainsi que les films Le messager (1937) avec Jean Gabin et Bernard Blier et Les sorcières de Salem (1956) avec Simone Signoret et Yves Montand.
Ethiopie, SD [Circa 1850]. 1850 Rouleau manuscrit sur parchemin composé de 3 pièces cousues (90 x 620-510-600 mm) : texte et 3 illustrations à lencre noire et rouge. (Parchemin bruni, avec mouillure en marge, usure sur la partie extérieure)
Rare rouleau magique éthiopien illustré du XIXe siècle ou antérieur. Rédigés en Guèze, la langue liturgique de lÉglise orthodoxe dÉthiopie, ces talismans sous forme de petits rouleaux étaient utilisés pour protéger ou soigner quelquun. Traditionnellement portés autour du cou, ils permettaient déloigner les mauvais esprits comme celui connu sous le nom de « Buda » dans la culture Éthiopienne et Éritréenne. Le texte est composé de diverses prières contre les mauvais esprits. Les motifs en forme de carré et les illustrations renforcent le pouvoir protecteur du texte. Le rouleau est rédigé à lencre noire sur colonne avec quelques passages à lencre rouge. Lensemble est décoré de bandeaux à motifs géométriques répétés et rehaussés de rouge. Lillustration comporte plusieurs compositions sur fond noir et rehaussé de rouge. La première représente un personnage au corps composé de motifs géométriques. La seconde semble représenter Saint Georges sur son cheval et la dernière un visage dans une croix. Manuscrit bien conservé. Handwritten scroll on parchment consisting of 3 sewn pieces (90 x 620-510-600 mm): text and 3 illustrations in black and red ink. (Parchment browned, with water damage in the margins, wear on the outer part). Scarce Ethiopian magic scroll dating from the 19th century or earlier. Written in Ge'ez, the liturgical language of the Ethiopian Orthodox Church, these talismans in the form of small scrolls were used to protect or heal someone. Traditionally worn around the neck, they were believed to ward off evil spirits such as the one known as Buda in Ethiopian and Eritrean culture. The text consists of various prayers against evil spirits. The square-shaped motifs and illustrations reinforce the protective power of the text. The scroll is written in black ink in columns with a few passages in red ink. The whole is decorated with bands of repeated geometric motifs enhanced with red. The illustration features several compositions on a black background enhanced with red. The first depicts a figure with a body composed of geometric patterns. The second appears to represent Saint George on his horse, and the last depicts a face within a cross. The manuscript is well preserved.
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