‎LANZI‎
‎Histoire de la peinture en Italie, ..‎

‎1ère édition française de cet ouvrage remarquable par l’archéologue du Grand Duc de Toscane. Quérard, France littéraire, IV, 542 1/2 veau d’époque; reliure usagée Paris Seguin - Dufart 1824 5 vol. in-8°‎

Reference : 105


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Martine Seigneur

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‎Stendhal‎

Reference : CZC-11278

‎Stendhal.Histoire de la peinture en Italie. 2/2 vols. Edition du Divan. 1/238‎

‎Ouvrage atypique, l'Histoire de la peinture en Italie fut écrite et publiée en 1816 par Stendhal pour oublier ses soucis matériels, ses déceptions morales et politiques, mais resta inachevée. Elle méritait toutefois de revoir le jour accompagnée des reproductions des œuvres dont il fait la description, l'éloge ou qu'il rejette. Parmi les œuvres évoquées par Stendhal on retrouvera celles faisant partie du "Musée Napoléon", que l'auteur (Henri Beyle) connaissait tout particulièrement pour avoir été chargé des œuvres réquisitionnées par l'empereur, dont nombre de chefs-d'œuvre de la peinture italienne. Cette Histoire de la peinture en Italie n'est pas une histoire méthodique de l'art italien ; elle est davantage un ouvrage où se mêlent des souvenirs personnels, à la fois politiques et moraux, et des considérations artistiques. En revanche, les œuvres commentées par Stendhal constituent une véritable galerie de peinture que l'auteur dresse pour le plaisir de toute "âme sensible". Cet essai reflète autant le magnétisme puissant que l'art italien exerce encore sur ses contemporains que ses propres choix esthétiques. Stendhal se révèle ici un guide hors du commun, hostile à l'érudition, mais très sensible à l'image, et, dans ses descriptions où perce un sens historique aigu, Michel Ange trouve une place singulière. L'auteur l'affectionne autant pour ses qualités d'artiste que pour sa position morale, nous brossant le portrait d'un vrai héros romantique. Il accorde également sa reconnaissance à des artistes comme Guido Reni, le Corrège, et surtout à Léonard, "maître du genre noir et majestueux". En conclusion, cet ouvrage se révèle par bien des aspects audacieux et sa liberté de conception est encore tout empreinte des rêves d'un monde nouveau que l'auteur a partagés un moment avec Napoléon. Même si Stendhal n'est pas un critique d'art professionnel, force nous est de reconnaître que la plume hardie de l'écrivain a su traduire de façon bien souvent admirable les émotions de tout amateur éclairé Révision du texte et préface par Henri Martineau, complet en deux vols brochés, 15x10, très bel état, 435, 348pp. Exemplaire numéroté sur vergé Lafuma 238/1800 Le lire du Divan 1929 ref/269‎


Livres & Autographes - La Madeleine

Phone number : 06 35 23 34 39

EUR30.00 (€30.00 )

‎STENDHAL (Heny Beyle, dit)‎

Reference : 29779

(1817)

‎Histoire de la peinture en Italie, par M. Beyle, ex-auditeur au Conseil d'État‎

‎ Paris, Didot l'Aîné, Imprimeur du Roi, 1817. 2 vol. (130 x 210 mm). Demi-basane, plats de papier marbré, dos lisses ornés de rinceaux dorés, tranches marbrées (reliure de l'époque). Édition originale. L’exemplaire contient les cartons que l’imprimeur imposa, signalés par Cordier (p. 209-210, 211-212 et 212 bis-212 ter du t. I et p. 21.22-23.24 du t. II), ainsi que les trois feuillets d’errata (2 au t. I et 1 au t. II), reliés en fin des volumes, qui manquent très souvent. ‎


‎Cette Histoire de la peinture en Italie est la première œuvre vraiment originale publiée par Stendhal, à considérer que les Lettres écrites de Vienne en Autriche sur le célèbre compositeur J. Haydn (connues sous le titre de Vies de Haydn, de Mozart et de Métastase qui leur sera donné) sont davantage des traductions que des compositions (Paupe, p. 18). Seconde émission donnée en 1820, avec le millésime de 1817 et le nom de Beyle sur la page de titre (beaucoup plus courant, le premier tirage donne seulement « par M.B.A.A. », pour « Monsieur Beyle Ancien Auditeur » ; la seconde édition (1831) donnera le pseudonyme de « Stendhal »). Les thèses tendancieuses de l’auteur l’obligèrent à cacher son nom sous l’abréviation M.B.A.A. dans la plupart des exemplaires, et l’éditeur d’imposer 26 cartons. Plusieurs passages dangereux, en effet, pouvaient être signalés, en France à la police de la Restauration ; et en Italie, au sévère gouvernement autrichien. « Ces craintes n’étaient pas vaines, explique Martineau, et quand en 1828 Stendhal sera expulsé de Milan, ce sera en grande partie pour avoir écrit cet ouvrage, qui plus tard l’empêchera encore d’être accrédité comme consul à Trieste. […] Sa seule précaution, en réalité, fut de ne pas signer ce livre » (Martineau, L’Œuvre de Stendhal, p. 121). Aussi les rares exemplaires connus donnant le nom de Beyle sur la page de titre relèvent-ils d’une certaine audace. Ils ont été réalisés en 1820, selon une volonté de Stendhal formulée dès 1819 (Histoire de la peinture en Italie, édition d’Arbelet, p. CXXXI). Le fait qu’ils soient les seuls volumes publiés du vivant de l’auteur à porter son nom « Beyle » ajoute encore à leur intérêt (cf. Arbelet). Le tome II porte pour la première fois l’épigraphe que les connaisseurs de Stendhal connaissent bien : « To the happy few » (« Cela explique tout le titre. Je le dédie aux âmes sensibles », dit-il dans une lettre à Crozet de 1816), devise qui figure également en note (t. I, p. 148) et à la fin des Promenades dans Rome, de Le Rouge et le Noir et de La Chartreuse de Parme. Les exemplaires portant le nom complet de Beyle sont rarissimes ; outre celui-ci, on en dénombre six : exemplaire Mérimée (décrit par Vicaire d’après la vente de 1891 et repris par Cordier) ; exemplaire Stritch-Jules Guillemin (première mention en 1875, cf. Cordier) ; exemplaire Georges Heilbrun (catalogue n° 4, mars 1952, n° 1026, relié par Maylander avec les deux titres et le f. de dédicace à l’empereur de Russie) ; exemplaire Louis de Potter, puis Bibliothèque Simonson (I, Sotheby’s, 19 juin 2013, lot 276) et deux exemplaires de la bibliothèque de Stendhal : celui, également annoté, de Jacques Guérin (20 mars 1985, n° 101) ; ensuite dans la Bibliothèque Jaime Ortiz-Patino (Sotheby’s, II, 2 décembre 1998, n° 67), et celui du Colonel Sikles (I, 20-21 avril 1989, n° 196) ayant figuré dans le catalogue Blaizot n° 314 de février 1960 (référence de la main de Simonson au crayon sur la garde du tome I de l’exemplaire Potter). Parmi ces exemplaires, seuls trois portent un envoi : celui de Mérimée, celui de Louis de Potter et le présent exemplaire : « À Monsieur le Comte Kosakowsky, Secrétaire de la Légation Russe, à Rome ». Cette dédicace est répétée sur les pages de titre des deux volumes. Le comte Kosakowki était un ami de la belle Cornelia Martinetti, née comtesse Rossi, dont il fréquenta le salon romain. Dans ses minutieuses Impressions romaines, E. J. Delécluze mentionne sa participation à plusieurs événements mondains entre fin janvier et fin février 1924 (il écrit « Cosacowski »), à une période où Stendhal était à Rome (jusqu’au 4 février). Prosper Duvergier de Hauranne, ami intime et disciple de Stendhal, le cite également dans une lettre qu’il adresse à celui-ci le 14 juin 1824 : « nous sommes arrivés dans la Ville éternelle sans le moindre petit accident à raconter à nos amis et connaissances, et sauf les Anglais qui s’en sont enfuis en masse, je n’y ai rien trouvé de changé. […] Après plusieurs fluctuations, la Martinetti et Kosakowski qu’on avait cru au moment de se séparer se sont accrochés de nouveau l’un à l’autre et ils forment le soir avec la Gabrielli et Mgr Marini une partie carrée, qui au nombre de ses péchés ne compte pas au moins la dissimulation. Tout le monde au reste dans cette maison nous a beaucoup demandé de vos nouvelles, et l’ouvrage Sur l’amour y est attendu avec impatience par l’auteur d’Amélie [Cornelia Martinetti]." (Stendhal, Correspondance, p. 785.) Des bibliothèques du Comte Kosakowski (envoi) ; Julien Bogousslavsly (ex-libris gravé) : Alain Schimel, Bibliothèque Stendhal. ‎

Librairie Walden - Orléans
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Phone number : 09 54 22 34 75

EUR30,000.00 (€30,000.00 )

‎LANZI Louis ( Abbé )‎

Reference : 87548

‎Histoire de la peinture en Italie, depuis la Renaissance des beaux-arts jusques vers la fin du XVIIIème siècle.‎

‎Seguin Et Dufart Paris 1824 5 volumes in-8 ( 215 X 130 mm ) de XI-516 440 498 449 et 463 pages, demi-basane verte, dos lisses ornés de filets et palettes dorés, pièces de titre et de tomaison de basane anthracite, tranches marbrées. ( Reliure de l'époque ). Traduit de l'italien sur la troisième édition par Madame Armande DIEUDE. STENDHAL s'inspira très fortement de cet ouvrage pour la rédaction de son Histoire de la peinture en Italie. Dos passés et usés, coiffes abimées, épidermures, rousseurs. Exemplaire solide.‎


Phone number : 04 91 42 63 17

EUR170.00 (€170.00 )

‎DE CIRCOURT, Comte Adolphe ; DE CIRCOURT, Anastasie ; [Anastasie de KLUSTINE, Comtesse de CIRCOURT ] ‎

Reference : 44701

(1834)

‎[ Recueil d'articles et tirés-à-part de critique artistique, historique et archéologique par le Comte Adolphe de Circourt et son épouse Anastasie ] Giovanni Bellini et les peintres ses Contemporains. Almanach vénitien pour 1834 [ par Anastasie de Circourt ] ; Recension de : La sculpture à Venise, par M. l'abbé Giovanantonio Moschini, chanoine de Saint-Marc ; Recension de : Histoire de la Peinture en Italie. Storia della pittura italiana par Rosini ; Du Musée Espagnol ; Recension de : Le Palais Mazarin par le Comte de Laborde ; Recension de : Notice des Emaux, Bijoux et Objets divers exposés dans le Musée des Galeries du Louvre par le Comte de Laborde ; Recension de : La Toscane et le Midi de l'Italie par F. de Mercey ; Recension de : Etudes sur les Beaux-Arts par De Mercey ; Recension de : Die Gens Langobardorum und ihre Herkunft ; Recension de : Die Etrusker. Les Etrusques par le prof. Ottfried Müller ; Recension de : Phidias, sa vie et ses ouvrages ; Recension de : Etudes sur le Péloponnèse par Beulé [Etude sur le Péloponèse ] ; Recension de : L'Acropole d'Athènes par Beulé ; Recension de : Les Monnaies d'Athènes par Beulé ; Recension de : L'Architecture au temps de Pisistrate par Beulé ; Recension de : Géographie du Talmud par Adolphe Neubeuer ; Recension de : Athènes aux Xve, XVIe et XVIIe siècles par le Comte de Laborde ; Recension de : Le Mont Olympe et l'Acarnanie par L. Heuzey ; Recension de : Topographie et plan stratégique de l'Iliade par Nicolaïdès ; Recension de : Ithaque, le Péloponèse et Troie par Schliemann‎

‎1 vol. in-8 reliure de l'époque demi-basane verte, tomaison marquée : "8 - Critique, Beaux-Arts, Archéologie" : Giovanni Bellini et les peintres ses Contemporains. Almanach vénitien pour 1834 [ par Anastasie de Circourt ], Tiré de la Bibliothèque Universelle, Février 1834, 13 pp. ; Recension de : La sculpture à Venise, par M. l'abbé Giovanantonio Moschini, chanoine de Saint-Marc, Tiré de la Bibliothèque Universelle, Avril 1839, 14 pp. ; Recension de : Histoire de la Peinture en Italie. Storia della pittura italiana par Rosini, Tiré de la Bibliothèque Universelle, Mai 1839-1844, 8, 17, 15, 12, 33 pp. ; Du Musée Espagnol, s.n., pp. 38-63 ; Recension de : Le Palais Mazarin par le Comte de Laborde, Tiré de la Bibliothèque Universelle, 19 pp. ; Recension de : Notice des Emaux, Bijoux et Objets divers exposés dans le Musée des Galeries du Louvre par le Comte de Laborde, Tiré de la Bibliothèque Universelle, Mars 1854, Imprimerie Ferd. Ramboz et Cie, 30 pp. ; Recension de : La Toscane et le Midi de l'Italie par F. de Mercey, Nouvelles Annales des Voyages, pp. 227-238 puis 218-238 ; Recension de : Etudes sur les Beaux-Arts par De Mercey, Nouvelles Annales des Voyages, pp. 198-244 ; Recension de : Die Gens Langobardorum und ihre Herkunft ; Recension de : Die Etrusker. Les Etrusques par le prof. Ottfried Müller, pp. 108-129 et 249-270 ; Recension de : Phidias, sa vie et ses ouvrages, Nouvelles Annales des Voyages, pp. 355-368 ; Recension de : Etudes sur le Péloponnèse par Beulé [Etude sur le Péloponèse ], Nouvelles Annales des Voyages, 38 pp. ; Recension de : L'Acropole d'Athènes par Beulé,Nouvelles Annales des Voyages, 1856, 56 pp. ; Recension de : Les Monnaies d'Athènes par Beulé,Nouvelles Annales des Voyages, 1858, Arthus Bertrand, Paris, 36 pp. ; Recension de : L'Architecture au temps de Pisistrate par Beulé,Nouvelles Annales des Voyages, pp. 294-340 ; Recension de : Géographie du Talmud par Adolphe Neubeuer, Nouvelles Annales des Voyages, pp. 76-99 ; Recension de : Athènes aux Xve, XVIe et XVIIe siècles par le Comte de Laborde, Nouvelles Annales des Voyages, 1855, 29 pp. ; Recension de : Le Mont Olympe et l'Acarnanie par L. Heuzey, Nouvelles Annales des Voyages, 1861 pp. 211-241 ; Recension de : Topographie et plan stratégique de l'Iliade par Nicolaïdès, Nouvelles Annales des Voyages, pp. 360-367 ; Recension de : Ithaque, le Péloponèse et Troie par Schliemann, Nouvelles Annales des Voyages, pp. 259-267 ‎


‎Recueil original d'articles (le plus souvent en tirés-à-part originaux) du Comte Adolphe de Circourt et de son épouse la comtesse Anastasie. Le salon d'Anastasie de Circourt et de son mari le Comte Adolphe de Circourt fut l'un des plus célèbres du XIXe siècle. Comme l'écrit Sainte-Beuve, "aucune prévention, aucun préjugé n’arrêtait cette personne, si pieuse d’ailleurs et si ferme dans ses croyances, dès qu’elle sentait qu’elle avait affaire à un esprit de valeur et à un homme de talent". Correspondant de Tocqueville, le Comte collabora à de nombreuses revues (Revue Britannique, Revue Contemporaine, Revue Britannique, etc...). Bon état (ex-libris Bibliothèque des Bruyères) pour cet recueil établi par l'auteur, le Comte de Circourt et provenant de sa bibliothèque des Bruyères, à La Celle-Saint-Cloud.‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR290.00 (€290.00 )

‎ARBELET (Paul)‎

Reference : 206324

‎L' Histoire de la peinture en Italie et les plagiats de Stendhal‎

‎Paris, Calmann-Lévy, s.d. (1914) in-8, [3] ff. n. ch., IV-536 pp., percaline Bradel bleue, monogramme sur le premier plat Cachets et monogramme du Cercle de l'Union Artistique. Trace d'étiquette au dos. (reliure de l'époque).‎


‎Une des deux thèses de l'auteur. Second ouvrage de Henri Beyle, L'Histoire de la peinture en Italie (1817) figure parmi les titres oubliés de l'auteur, alors même que celui-ci lui accordait une grande importance à l'intérieur de son oeuvre. Spécialiste de Stendhal, Paul Arbelet (1874-1938) fait une autopsie d'un texte étrange, apparemment incohérent et mal composé, qui en éclaire le dessein et la fabrication. LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

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