8, rue Bréa
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France
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Phone number : 01 43 54 43 61 Bonn, Librairie d'Adolphe Marcus, 1867, in-8°, 96 pp, broché, couv. imprimée, qqs rousseurs éparses, bon état. Edition originale
Par Théophile Droz (1844-1897), professeur suppléant de philosophie et d'histoire de la philosophie à l'Académie de Genève (1879) ; il remplaça Amiel qui avait demandé un congé pour ménager sa santé. Il devint ensuite professeur d'histoire des religions et d'étude des systèmes sociaux (1873-1880) ; enfin professeur de littérature française à l'Ecole polytechnique fédérale de Zurich (1881-1897). Il collabora à plusieurs journaux et publia quelques ouvrages, dont celui-ci et "L'esprit gaulois dans la littérature française" (1885).
P., Foucault, 1821-1827, 3 vol. in-8°, 491, 519 et 609 pp, reliures demi-veau glacé caramel à coins, dos à 4 larges nerfs filetés, caissons à froid, pièces de titre et tomaison basane noire, roulette dorée en queue, tranches marbrées (rel. de l'époque), C. de bibl., étiquettes en queue, bon état (Coll. complète des Mémoires relatifs à l'histoire de France, depuis le règne de Philippe-Auguste, jusqu'au commencement du dix-septième siècle ; avec des notices sur chaque auteur, et des observations sur chaque ouvrage, par M. Petitot). Exemplaires trés bien reliés à l'époque
"Malgré leurs caractères apologétiques les mémoires de Martin Du Bellay sont une oeuvre historique de première valeur pour l'histoire de François Ier." (Hauser, Sources II, 761)
Perrin, 1902, in-12, xxii-328 pp, broché, bon état. Les diplomates. Les grandes dames de la Fronde. La Cour, les courtisans, les favoris.
Perrin, 1905, in-12, xxii-312 pp, broché, très défraîchi
Les Magistrats et la société française. Une femme Premier Ministre. Le salon de la marquise de Lambert. Madame de Tencin. La Cour de Louis XV et Louis XVI.
Calmann-Lévy, 1890, in-12, v-324 pp, préface de Charles de Mazade, notes, reliure demi-percaline rose, dos lisse avec fleuron doré et date en queue, pièce de titre chagrin noir, couv. et dos conservés (rel. de l'époque), reliure lég. salie, dos uniformément passé, bon état
Le Prince de Ligne (pp 1-137), mais aussi Beaumarchais, André Chénier, Joseph Chénier, Lebrun-Pindare, La Harpe, Mercier, Chamfort, l'abbé Sieyès.
Genève, Mégariotis, 1975, in-8°, 318 pp, une carte dépliante hors texte, index, reliure simili-cuir vert de l'éditeur, bon état (réimpression de l'édition de 1899)
"L'auteur de ce récit n'est autre, – on le supposait, et nous en sommes maintenant assurés, – que l'excellent Jacquot de Fiedmont, dont la mémoire est encore fort considérée de ses compatriotes et dont on ne récusera pas le témoignage. C'est à M. de Beaumont que nous devons la certitude de cette authenticité. Il a trouvé une correspondance intéressante de Jacquot, avec d'autres papiers curieux, dans une vieille cantine du XVIIIe siècle, ayant appartenu au lieutenant général Le Courtois de Surlaville, qui, de 1751 à 1754, servit à l'Ile-Royale sous le comte de Raymond, pour lequel il professait un dédain peu mesuré. M. de B. n'a point publié in extenso les papiers qu'il possède, et nous le regrettons. Son livre n'en est pas moins des plus instructifs et des plus vivants. Nous y pouvons entrevoir même les coulisses de la vie privée des Canadiens, qui n'est pas toujours aussi vertueuse que l'on voudrait nous la montrer. Il y a dans ces pages une certaine Mme de Montalembert aux aventures effrontées... Sur les feuillets jaunis de ses lettres, dit M. de B., « passe un reflet de vies anciennes, mélancoliques au delà des mers, désespérées parfois jusqu'à la mort ; et l'éloignement, si effrayant à cette époque, semble grandir encore l'horreur des obscures tragédies qui se passaient là-bas. Montalembert, abandonné, fuit à travers la neige, puis disparaît à tout jamais dans les grands bois de pin ; du Gaubet tombe, victime d'un guet-apens, le dos percé de coups d'épée, et l'assassin que tous désignent n'est pas inquiété. Puis ce sont les unions étranges, nées de l'ennui mortel des postes frontières, ou le retour à la vie primitive de ces enfants perdus qui fait, en peu d'années, de l'officier français l'égal du chef indien dont il prend le costume » (p. 14-15). La carrière militaire de Michel Le Courtois, qui devait se faire connaître sous le nom de Surlaville, fut surtout une carrière d'état-major et de bureau ; elle nous montre un type d'officier plus solide que brillant, auquel nous n'accordons pas souvent l'attention qu'il mérite. Né à Bayeux le 17 janvier 1714, fils d'un avocat, il mourut à Paris le 8 janvier 1796, ayant contribué grandement, par la réforme des règlements dont il sut s'occuper, à préparer la génération des vieilles troupes qui allaient remporter les premières victoires dela République." (R. de Kerallain, Revue Historique, 1904)
P., L'Edition Moderne, Librairie Ambert, s.d. (1914), pt in-8°, 327 pp, 2 portraits hors texte, broché, bon état, envoi a.s. de Marthe Bernos
"Cette fois, ce sont bien les lettres mêmes, très touchantes, copiées d'après les originaux, et non plus, comme dans le “Roman d'une reine sans couronne”, la traduction d'une traduction." (Revue Historique, 1914) — "Née, par le hasard des luttes religieuses, sur la terre d’Allemagne, Sophie-Dorothée de Brunswick, princesse électorale de Hanovre, semble n’avoir eu d'autre religion que celle de l'amour, d'autre patrie que celle où son amour pouvait s'épanouir librement. Française par sa mère, Éléonore d'Olbreuse, la belle protestante poitevine ; Allemande par son père, Georges-Guillaume de Brunswick, duc de Zell, Sophie-Dorothée, qui fut l'aïeule du grand Frédéric de Prusse et la mère du roi d’Angleterre George II, tient à presque toutes les dynasties de l'Europe sans qu'aucune la puisse revendiquer. Mélée, par son étrange destinée, aux discussions, aux intrigues, aux compétitions des princes de cette maison de Brunswick, c'est elle, l'étrangère, indifférente à leurs manèges, qui deviendra la victime. Honnie, répudiée, reléguée, elle n’appartiendra plus qu'à une race : celle des grandes amoureuses..."
Bordeaux, Mongiron Millanges, 1658, in-12, (20)-299 pp, pièces liminaires, reliure vélin époque lég. abîmée
A La Haye, et se trouve à Paris, chez Letellier, 1789, 3 vol. in-8°, (4)-xxxii-464,(4)-523 et (4)-416 pp, reliures plein vélin, dos lisses, pièces de titre et de tomaison basane beige, Ex-libris imprimé Château des Perrays (rel. de l'époque), bon état
Rare édition publiée à la veille de la Révolution française de cet ouvrage (publié originellement en 1757) dans lequel l'auteur affirme que la prospérité et le bonheur des Etats dépend d'un équilibre juste entre tradition et changement, et prône la connaissance approfondie de l'histoire de l'organisation sociale et politique, pour savoir ce qu'il faut changer et ce qu'il faut conserver. Du Buat-Nançay (1732-1787), agent de la diplomatie française à Ratisbonne puis à Munich, historien et économiste, peut être considéré à certains égards comme un disciple de Cantillon et sa conception de l'ordre naturel était proche de celle des physiocrates (Cf. Spengler). Il publia de nombreux ouvrages dont cet essai d'une grande érudition sur les gouvernements, thème en vogue à l'époque. Son originalité réside dans le fait qu'il s'agit d'une étude de politique comparée. (Barbier III-750, Larousse XIXe II-1369-1370, manque à INED).?
Châteaugiron, Yves Salmon, 1982, gr. in-8°, 245 pp, 10 cartes, 11 planches hors texte, 16 fac-similés, biblio, broché, couv. illustrée à rabats, bon état
César Bourayne, puis baron de Bourayne (1768-1817), officier de marine français, célèbre pour ses combats contre les navires anglais dans l'océan Indien et en mer de Chine, a été nommé major général en 1814, après avoir été fait baron en 1811. Il a sous ses ordres le lieutenant de vaisseau Joseph Duburquois, son futur gendre. Ils rentreront en France tous les deux en fin 1809. Mais au large de Belle-Ile en février 1810, la Confiance est attaquée par un vaisseau anglais de 74 canons, le HMS Valiant. César Bourayne et Joseph Duburquois sont capturés et emmenés en Angleterre, sur les sinistres « pontons » de Portsmouth, véritables prisons flottantes, puis dans la région de Birmingham...
Seuil, 1981, fort in-8° carré, 655 pp, plus de 400 illustrations et cartes, 16 pl. en couleurs hors texte, biblio, index, reliure toile éditeur, jaquette illustrée, bon état
Par Roger Chartier, Guy Chaussinand-Nogaret, Hugues Neveux, Emmanuel Le Roy Ladurie.
Hachette, 1964, in-8°, 251 pp, biblio, cart. éditeur, jaquette illustrée, bon état
Hachette, 1970, in-8°, 248 pp, biblio, broché, couv. illustrée, marques au crayon rouge et bleu, bon état
"Sur la grande révolte des Camisards et sur Cavalier lui-même, des synthèses au moins honorables ont paru, la meilleure étant probablement celle d'A. Ducasse en 1962." (Pierre Goubert, Revue belge de philologie et d'histoire, 1975)
Fayard, 1991, gr. in-8°, 437 pp, 8 pl. de gravures et photos hors texte, biblio, sources, index, couv. illustrée, bon état
Desjonquères, 1993, in-8°, 147 pp, broché, bon état (Coll. XVIIIe siècle)
Noble suédois de culture française, Tessin avait composé un conte en s'inspirant de gravures qu'il avait commandées à Boucher. Duclos, homme de lettres et historien (1704-1772), accomplit la gageure d'en écrire un autre qui s'accorde avec les mêmes estampes. Outre les deux contes, cette édition reproduit les estampes et la critique de l'abbé Fréron.
Desjonquères, 1992, in-8°, 183 pp, édition préfacée, établie et annotée par Laurent Versini, broché, bon état (Coll. XVIIIe siècle)
Roman mondain et roman de moeurs, publié en 1742, relatant les souvenirs amoureux d'un homme de quarante ans. Duclos a su y décrire les démêlés qui opposent et réunissent, d'un bout à l'autre du XVIIIe siècle, le couple inévitable du coeur et de l'esprit.
Plon, 1900, in-8°, ii-442 pp, un portrait héliogravé en frontispice et un fac-similé d'autographe en 2 planches hors texte, index, broché, couv. lég. salie, bon état. Peu courant
"Née en 1750, fille du petit-fils du Régent, Louis-Philippe, duc de Chartres, et de Henriette de Bourbon-Conti, Louise-Marie-Thérèse-Bathilde d'Orléans fut mariée à vingt ans au duc de Bourbon, qui n'en avait que quatorze, et le duc d'Enghien vint au monde en 1772. Jusqu'en 1789, elle mena, à la Cour ou à Chantilly, la vie qui convenait à son rang. Le merveilleux était alors en vogue, avec Pasqualis, Mesmer, Saint-Martin ; la princesse se prit, pour leurs théories, d'un vif engouement, qui, changeant de nature à la suite de chagrins intimes, se transforma en une sorte de mysticisme religieux où elle était plongée lorsque survint la Révolution. Emprisonnée au fort Saint-Jean, à Marseille, en 1793, elle fut expulsée de France après le 18 fructidor, et se réfugia en Espagne. Elle était détachée du monde, et ses malheurs l'affectèrent peu ; au moment même où les révolutionnaires la persécutaient, elle les jugeait avec une indulgence qui contriste son biographe ; elle apprit avec indifférence la mort de son fils, et Napoléon, qui refusa de la laisser revenir en France, fut, de sa part, l'objet d'une vive admiration. En 1814, elle rentra à Paris, et y mourut le 10 janvier 1822." (Pierre Caron, Revue d'histoire moderne et contemporaine, 1900)
Editions Douin, 2016, in-8°, 657 pp, traduit de l'allemand, biblio, broché, couv. illustrée, bon état. Réédition (texte entièrement recomposé) de l'édition de 1901
Après l’avoir lu et relu ce volume, nous demeurons vraiment surpris de l’érudition considérable du Docteur Duehren et de la variété de cette érudition à la fois si originale, si profonde et si subtile, en tant que science physiopsychologique, et également tour à tour si curieusement historique, si sûre des sources les plus dissimulées de nos nouvellistes et chroniqueurs, si avisée de ce tout ce qui concerne la vie intime des hommes et des oeuvres du siècle dernier. « Qui ne connaît pas le site ne connaît pas la plante » dit un proverbe Persan. Le Docteur Eugène Duehren à voulu connaître dans toute son étendue et sa profondeur le terrain sur lequel a germé et poussa, monstrueuse, cette fleur du mal qui eut nom le Marquis de Sade. Rien de ce qui entoura son habitat, de ce qui le nourrit de son suc vénéneux n’a échappé à cet historien supérieurement avisé. Le livre qu’il nous offre dans ses divisions générales et aussi substantiel qu’il était permis de le rêver ; il dépasse même notre attente. L’ouvrage du Docteur Duehren restera comme la plus dense et la plus définitive publication de physio-psycho-bio-bibliographie qui ait encore été faite sur le divin Marquis. Ce livre laissera un sillage longtemps visible sur cet océan rose et fangeux d’érotologie du dix-huitième siècle français. On y reviendra comme on revient à un magasin de faits généraux et particuliers où l’on est assuré de se pourvoir sérieusement. Ceux qui l’auront lu auront la satisfaction d’y avoir puisé non-seulement sur le cas du Marquis de Sade et les idées que son nom évoque, mais sur tout le dix huitième siècle libertin et non conformiste, comme on disait alors, les renseignements les plus précieux et un aperçu d’ensemble et de détails qu’on ne saurait trop s’étonner de trouver ici réunis.
P., Editions Bossard, 1921, pt in-8°, 163 pp, une gravure sur bois en frontispice, numéroté sur papier vélin pur chiffon, broché, bon état (Coll. des Chefs-d'œuvre méconnus)
Picard, 1970, gr. in-8°, 183 pp, une planche en frontispice (la famille du marquis de Sourches), index, broché, bon état
Picard, 1954, gr. in-8°, 219 pp, 16 pl. de gravures hors texte, biblio, index, discographie, broché, bon état
Editions du Rocher, 2007, gr. in-8°, 649 pp, 12 pl. de gravures et portraits hors texte en couleurs, une carte, biblio, index, généalogies, code secret, broché, couv. illustrée, bon état
Marie Stuart est une incontournable et fascinante figure de la Renaissance. Fille de Jacques V roi d'Écosse et de Marie de Guise, une grande princesse française, Marie naquit en Écosse le 8 décembre 1542. Son père mourut aussitôt. Elle fut sacrée reine d'Écosse à l'âge de neuf mois et reçut trop jeune les plus glorieux hommages. Sa singulière beauté et son orgueil tracèrent les fatales arabesques de cette existence hors du commun. Mariée à François II, fils du roi de France Henri II et de Catherine de Médicis, Marie connaît la gloire et l'enchantement de vivre à la somptueuse cour des Valois. Veuve à dix-huit ans, elle veut à toute force régner sur son lointain royaume: l'Écosse. Seule en une cour de lords calvinistes, avides, hostiles, convoitant sa beauté et surtout sa couronne, Marie va rencontrer la trahison. Elle se mariera deux fois, mal. Elle épouse, au mécontentement de sa cousine, pire ennemie Elizabeth 1ère, le décevant lord Darnley dont elle aura un fils, le futur Jacques I roi d'Angleterre. Subjuguée par le séduisant comte de Bothwell, Marie bascule dans la passion. Bothwell assassine Darnley et épouse Marie Stuart au mécontentement des lords et de la cour. Des péripéties sanglantes suivent ce mariage qui déclenche la révolte des lords. Marie Stuart commet alors la folle imprudence de croire à l'hospitalité de sa cousine Elizabeth 1ère, l'implacable reine-vierge. Elle ignore que vingt années de dures prisons anglaises l'attendent. Elles aboutiront à son procès et à son exécution à Fotheringhay, le 10 février 1587. Son héroïsme devant la mort, la décapitation non sans cruauté, a impressionné même ses ennemis. Elle allait avoir quarante-cinq ans, reine déchue qui avait brodé sa devise en ses années de captivité : En ma fin est mon commencement. Pour ses fervents alliés, elle demeure fidèle à son sacre et fut la martyre de sa foi catholique. Elle est entrée pour toujours dans le mythe.
A Rouen, de l'Imprimerie privilégiée, 1788, in-12, xxxii, 33-351 pp, un portrait en frontispice (gravé par de Larmessin), 6 planches dépliantes hors texte (3 planches sont signées du graveur Le Bas, le « plan de la baye et de la ville de Rio-Janeiro » est dessiné et gravé par A. Coquart, 2 planches ne sont pas signées), glossaire de marine, reliure plein veau granité, dos lisse à roulettes et fleurons dorés, pièce de titre basane carmin (rel. de l'époque), légère épidermure au 2e plat, bon état (Polak, 2855)
Edition rouennaise des mémoires de Du Guay-Trouin (1673-1736) augmentée de son "éloge" par M. Thomas. Ses Mémoires, écrites sur le ton de la simplicité font peu de cas de tourner les événements à son avantage. Il n’hésite pas à faire part régulièrement de ses doutes et de ses faiblesses avec une étonnante sincérité, ce qui est rare dans les mémoires de cette époque, souvent marquées par des formules alambiquées et hyperboliques. L'ouvrage, qui fourmille d’anecdotes, offre aussi un précieux témoignage sur la marine de la fin XVIIe - début XVIIIe siècle, tant sur la navigation, que la vie à bord et le combat naval. On trouve à la fin des mémoires un état des officiers-majors, et des équipages des vaisseaux du Roi, commandés par M. Du Guay-Trouin de 1702 à 1709 et une liste des offciers de marine pour l'expédition de Rio-Janeiro en 1711.
dans le Correspondant, 1913, gr. in-8°, 25 pp, broché, état correct. On trouve dans le même numéro des études sur Comment a disparu l'influence de la France en Egypte (Biard d'Aunet), A l'Armée de Metz : encore Bazaine et Ladmirault (Mis de La-Tour-du-Pin Chambly), La Conférence Molé-Tocqueville : les débuts de nos hommes politiques (Cte de Larègle), Le gachis mexicain : le protectorat des Etats-Unis, etc.
Hachette, 1958, in-8°, 188 pp, une carte, biblio, index, broché, couv. illustrée, discret C. de bibl., bon état