Paris, Garnier frères, 1848 2 parties en un vol. in-12, XVI-252 pp., un f. n. ch. de table, 155 pp. demi-basane blonde, dos lisse orné de filets dorés Coiffes usées. (reliure de l'époque).
Edition populaire, très contextuelle (on est en pleine révolution sociale de 1848) de ce manifeste qui fut originellement tiré à petit nombre en 1840 pour les membres de l'Académie de Besançon. Le "second mémoire" est composé par la Lettre à M. Blanqui sur la propriété, parue en 1841, et est considéré comme un tout autre ouvrage, même s'il porte sur un sujet identique.Il est de bon ton de réhabiliter Proudhon de nos jours, mais la critique certes assez radicale que Marx en donna garde sa pertinence : par rapport ici à la notion de propriété, il est assez difficile de cerner sa position, tiraillée entre les deux formules célèbres "La propriété, c'est le vol" (pp. 1 et 2 de notre livre), et "La propriété, c'est la liberté", qui, quoiqu'on veuille, sont assez antinomiques, sauf à ne pas parler de la même réalité, ce que l'auteur a tenté de gloser ultérieurement. Il reste que, dans cette première élaboration de sa doctrine, celle que l'on retiendra et qu'on lui opposera en 1848-1849, Proudhon refuse la propriété tant individuelle que collective.En français dans le texte, 260.Relié à la suite, du même auteur : De la Célébration du dimanche, considérée sous les rapports de l'hygiène publique, de la morale, des relations de famille et de cité (sujet proposé par l'Académie de Besançon). Troisième édition. Paris, Garnier frères, 1848, VIII-72 pp. LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
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Pierre-Joseph Proudhon, Qu'est-ce que la propriété - Premier mémoire, Garnier frères, 1849, réédition de l'édition originale de 1840 chez Brocard, une petite déchirure en bas du dos (voir photo), à part cela bon état. Malgré l'annotation d'un lecteur sur la couverture " Bon à jeter au feu après l'avoir lu ", cet exemplaire est parvenu jusqu'à nos jours exempt de toute trace de brûlure. Un ouvrage important de l'histoire des idées, avec le fameux paragraphe assimilant la propriété au vol.
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Garnier-Flammarion 1966 1966. Qu'est-ce que la propriété?/ 66 Proudhon:e que la propriété?/ Garnier-Flammarion 19
Garnier Frères 1848, in-12 broché, 155 p. (bon exemplaire bien frais et non coupé) Peu fréquente deuxième édition (l'originale est de 1840) de ce prolongement de son titre le plus fameux :si l'esclavage, c'est l'assassinat, alors la propriété, c'est le vol...
PROUDHON ATTAQUE LAUTEUR DE LUNITÉIDE, PAULIN GAGNE, SUR LA FOI…M. Gagne, le candidat mystique, lauteur de lunitéide et autres volumes mystagogiques et versifiés a eu sa petite correspondance avec Proudhon ; il avait écrit au philosophe quil avait eu une vision que le lui représentaît comme devant être un nouveau St Paul et le plus grand défenseur de la religion... Proudhon lui répondit : ...« Monsieur Je ne puis quêtre flatté des choses que vous me dites (...) ; mais la ferveur même de votre foi, doit vous faire comprendre que ce nest pas sur de simples confidences dune âme pieuse que je puis me déterminer. Mon action dépend daprès vous-même, dun ordre supérieur. Or, de même que St Paul, à qui vous osez me comparer et dont vous me promettez lapostolat, ne pouvait, avant sa miraculeuse conversion, se déclarer pour le Christ et son église, de même je ne puis rien faire pour la foi tant que je me renferme dans mon rationalisme, et je nai pas encore reçu létincelle qui doit changer ma conviction et ma volonté...Anticlérical, Proudhon souhaitait labolition de toutes les formes de pensées et dorganisations ecclésiales. Etienne Paulin Gagne (1808-1876) est un avocat, journaliste et poète, auteur de L'Unitéide, poème en 25000 vers dans lequel on « rencontre la plus bizarre agglomération de noms fantastiques et de vers saugrenus que puisse inventer le cerveau humain ». Il fut « candidat universel, perpétuel, surnaturel et inamovible » à toutes les élections, et figure parmi les fous littéraires.
Garnier Frères, libraires Paris, 1848, in-12 demi-basane prune, dos à quatre nerfs, fleurons dorés. Plats de couverture conservés. 155pp. Trace d'eau sur le titre et le faux-titre, rousseurs diffuses, sinon bon état. Ce second mémoire avait été initialement publié en 1841. Ce second mémoire, sous forme de lettre est considéré comme un tout autre ouvrage que le premier mémoire, publié à petit nombre en 1840 pour les membres de l'Académie de Besançon.
Paris Prévot 1841 1 vol. broché in-12, broché, sous couverture factice avec l'auteur et le titre manuscrit, XX + 314 pp. + 1 f. (table des matières). Premier volume seul de la deuxième édition, parue un an après l'originale très rare. On y retrouve, dès la page 2, la formule lapidaire qui a fait la fortune de ce titre : "La propriété, c'est le vol !" Petites rousseurs aux premiers et derniers feuillets.
Paris, Garnier Frères, 1849. in-18 (17.4 cm) xvi, 252, (2) pages. Reliure demi-bougran bourgogne, plats marbrés. Reliure légèrement frottée, infimes rousseurs. Quérard XI, 546, 4e édition. [ Le livre qui ébranla la société bourgeoise française et fait le renom de l'auteur par sa phrase célèbre « La propriété, c'est le vol ».]
Ex-libris de Victor Barbeau dessiné par Pellan.
LACROIX A. , VERBOECKHOVEN & Cie.. 1867. In-12. Broché. Bon état, Couv. défraîchie, Dos satisfaisant, Non coupé. 353 pages.. . . . Classification Dewey : 346.04-Propriétés
Recherches sur le principe du droit, et du Gouvernement. Lettre à M. Blanqui sur la propriété. Oeuvres complètes, Tome 1. Classification Dewey : 346.04-Propriétés
A.LACROIX VERBOECKHOVEN ET CIE. 1868. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Coiffe en tête abîmée, Intérieur acceptable. 353 pages - étiquette collée + annotation sur le 1er plat - coins frottés - coiffe en pied abîmée.. . . . Classification Dewey : 346.04-Propriétés
Classification Dewey : 346.04-Propriétés
Marcel Rivière Paris, Librairie des Sciences Politiques et Sociales Marcel Rivière, 1926. In-8 broché, portrait photographique en frontispice et 367 pages. Mention de nouvelle édition publiée avec des notes et des documents inédits sous la direction de MM. C. Bouglé et H. Moysset. Bon état. Rare
Toutes les expéditions sont faites en suivi au-dessus de 25 euros. Expédition quotidienne pour les envois simples, suivis, recommandés ou Colissimo.
Garnier Flammarion Garnier Flammarion 1966, In-12 broché, 315 pages. Bon état
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Garnier Frères, Paris, 1848. Un volume in-12 (12 x 18,5 cm) de XVI-252 pages. Deuxième édition du premier mémoire. Reliure demi toile écrue, dos lisse, pièce de titre rouge. Toile salie, intérieur en état moyen.
Paris, GF Garnier Flammarion, 1966 ; in-12 broché, 315 pp. Couverture en bon état, intérieur en très bon état.
Nombreux titres disponibles en Philosophie.
Garnier - Flammarion. 1966. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Quelques rousseurs. 315 pages - couverture jauni.. . . . Classification Dewey : 346.04-Propriétés
Chronologie et introduction par Emile James. Classification Dewey : 346.04-Propriétés
GARNIER FRERES / DENTU. 1848 - 1863. In-12. Relié demi-cuir. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur bon état. 252 + 95 pages. Roulettes et titre dorés sur le dos-cuir rouge. Fleurons en empreinte froides sur le dos. Tranches mouchetées.. . . . Classification Dewey : 340-Droit
Edition originale. Recherches sur le principe du droit et du gouvernement (1er mémoire). Classification Dewey : 340-Droit
LE MONDE / FLAMMARION. 2009. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 303 pages.. . . . Classification Dewey : 300-SCIENCES SOCIALES
Classification Dewey : 300-SCIENCES SOCIALES
Garnier Frères, Paris. 1849. In-12. Broché. Etat passable, Plats abîmés, Dos satisfaisant, Fortes mouillures. 252 pages. Papier muet encollé sur le dos, le consolidant. Etiquette de code sur la couverture. Quelques tampons et annotations de bibliothèque. 1er plat taché. 2e plat refait. Fortes rousseurs. Quelques annotations au crayon dans le texte.. . . . Classification Dewey : 100-PHILOSOPHIE ET DISCIPLINES CONNEXES
1er Mémoire. Classification Dewey : 100-PHILOSOPHIE ET DISCIPLINES CONNEXES
FLAMMARION. 2009. In-8. Broché. Etat du neuf, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 303 pages. . . . Classification Dewey : 346.04-Propriétés
Classification Dewey : 346.04-Propriétés
GARNIER FLAMMARION. 1966. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 315 pages.. . . . Classification Dewey : 340-Droit
Chronologie et introduction par Emile James. Classification Dewey : 340-Droit
Garnier-Flammarion. 1966. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 315 pages.. . . . Classification Dewey : 340-Droit
Chronologie et introduction par Emile James. Classification Dewey : 340-Droit
Paris, Garnier Frères, 1849. In-12 broché (couverture très défraîchie, manque au dos), XVI-252 pp.
1 manuscrit illustré de 47 ff., avec nombreuses photos contrecollées (retirage de clichés anciens mais également plusieurs photos originales anciennes (Mathilde Müller, Fernand Marchal, Roger et Thérèse Ramspacher, Les Ormeaux à Epinal, Ninette Reboul), 1978-1980, et 1 vol. reprographié (Souvenirs de Fernand Marchal), 205 pp.. Rappel du titre complet : Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul [On joint : Souvenirs 1886-1944. Jours de Gloire par son grand-frère Fernand Marchal ]. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fill à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Ropartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul.
Ecrit avec style ("L'Aîné était un roi d'égoisme, l'autre la bonté la plus délicate" ; "Celle-ci épousa un alsacien qui la fit plus pleurer que rire..." etc...) ce manuscrit intéressera de manière très large, notamment les amateurs d'histoire de l'Alsace ou des Vosges. Nous joignons à ce manuscrit original les souvenirs reprographiés de son frère Fernand Marchal (souvenirs beaucoup mieux "construits" mais très complémentaires).Nous fournissons ci-après un résumé succinct et quelques extraits de ce manuscrit original : Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul, née vers 1900. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fille à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Rapartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul, etc...
LAIR, Angèle ; [ FAURE DECAMPS, Angèle fille du peintre Alexandre-Gabriel DECAMPS ; PHILIPON, Charles ]
Reference : 44485
(1880)
[ Correspondance, photos, carnets de dessins et Bel album intime d'Angèle Lair-Decamps, fille du peintre Alexandre Decamps ] I : Bel album intime format petit in-4 à l'italienne plein chagrin bordeaux à fermoirs, de la "Maison Giroux breveté de l'Empereur", toutes tranches dorées, copie de poésie ou de texte d'auteurs divers sur une trentaine de pages (circa 1880-1893), 35 dessins ou aquarelles contrecollés ou joints, dont : 5 esquisses de bonne facture, dont un singe et un bédouin, au crayon signées DC (attribuable à son père le peintre Alexandre Decamps ?) ; 8 belles miniatures au lavis, scènes romantiques tirées de Mme Collin d'Harleville (nom de Ch. Philipon indiqué deux fois sous deux des lavis) ; 4 belles aquarelles (scènes champêtres avec jeune fille dont une flûtiste et une joueuse de mandoline, dont une signée A DC) - II : 4 Carnets de dessins (encre et crayon, rares aquarelles) format in-12, reliure pleine toile, 1887-1888-1893 (Rouen, Avon, Fontainebleau, Mont Cenis, etc.) - III : 4 Photographies dont deux des époux Lair en leur propriété du château d'Epinay (indications manuscrites de la nièce d'Angèle Decamps, de Jeanne Dentu de La Batut, au verso) - IV : 4 L.A.S. (dont une C.P.) d'Angèle Lair-Decamps dont 3 à sa soeur Léonie (Veuve de l'éditeur Edouard Dentu) et une à sa nièce Jeanne Dentu, 1882-1914 [ dans la lettre à "Jane" elle évoque "la présence de notre cousine Gillois près de l'Impératrice Eugénie ; Madame Gillois était bien en Cour, je me suis trouvée avec mon père et ma mère au théâtre du château de Fontainebleau avec elle et sa soeur Mme Abeille" ... "Au sujet des objets que tu désirerais avoir dans l'antichambre, il y a peut-être le portrait de notre père fait par lui en caricature. Je ne sais pas si c'est une gravure ou un original". ] - V : 5 pièces manuscrites diverses, dont un billet manuscrit rédigé par son père ou sa mère (3 acrostiches formés avec les prénoms des 3 enfants : "Léonie est bonne fille, Empressée, assez gentille, On ne peut plaire avec cela, N'exigez rien au-delà, Il est certain qu'obligeance, En elle passe science" ou "Angèle ma cadette, à chacun pourrait plaire, N'était son affreux caractère, Gourmande, à 14 ans, qui ne le fut un peu, Et sans son peu de soin, la paresse et le jeu, L'étude, le travail, aidan un coeur plus ferme, En elle d'un talent ferait poindre le germe") et notes sur Angèle Lair de la main de sa nièce Jeanne Dentu
Important recueil de souvenirs d'Angèle Lair née Faure-Decamps, fille du célèbre peintre orientaliste Alexandre Decamps. L'album de dessin contient 5 notamment esquisses signées DC, 8 belles miniatures romantiques (lavis) et 4 belles aquarelles (l'album a été manipulé et plusieurs dessins décollés, accrocs à plusieurs feuillets).