8, rue Bréa
75006 Paris
France
E-mail : clio.histoire@free.fr
Phone number : 01 43 54 43 61 Tours, Imp. A. Mame et Fils, 1896, gr. in-8°, 349 pp, index, broché, dos fendu proprement recollé, bon état. Peu courant
"En 1871, le conseil municipal de Tours chargea Mgr Chevalier de recueillir les documents et les détails relatifs à l'histoire de la capitale de la Touraine, devenue pour quelques semaines la capitale de la France. Après de consciencieuses et habiles recherches, après de longs entretiens avec les personnages les plus qualifiés pour juger les actes du gouvernement de la Défense nationale et les mesures administratives, Mgr Chevalier rédigea un important ouvrage, qui ne fut pas publié de son vivant, et que la maison Mame a eu l'heureuse idée d'éditer, On y suit les efforts patriotiques d'une population prête à se sacrifier pour résister à l'invasion, mais l'on voit aussi l'indiscipline et le découragement de certaines troupes de francs-tireurs, mal recrutées et mal commandées, dont la tenue contraste avec l'allure martiale et l'esprit militaire des zouaves de Charette et des volontaires de Cathelineau, Mgr Chevalier trace un curieux tableau de l'arrivée à Tours de Gambetta, de Garibaldi et de plusieurs députés républicains espagnols, « missionnaires de l'idée internationale accourus pour asseoir, sur les ruines sanglantes de notre patrie, le règne de leurs chimères et de leurs utopies. » Après le combat de Monnaie, la Touraine fut envahie el. les troupes françaises se retirèrent sur Angers. Le 21 décembre, sous prétexte qu'une patrouille de uhlans avait été assaillie aux portes de Tours, les Prussiens bombardèrent Tours jusqu'à ce qu'une délégation de la municipalité eût obtenu la cessation du feu. La Touraine eut ses otages et ses victimes, et les Prussiens se signalèrent particulièrement dans la région par des exactions et une brutalité indignes d'une armée victorieuse. Enfin, le 9 mars 1871, l'armée prussienne évacua Tours. Une statistique soigneusement contrôlée évalue à sept millions les pertes causées par l'occupation allemande dans les arrondissements de Tours, Loches et Chinon, la ville de Tours exceptée." (Revue des Questions historiques, 1897)
Ouest-France, 1985, gr. in-8°, 210 pp, 32 pl. de photos en couleurs, 18 cartes, biblio, cart. illustré de l'éditeur, bon état
CHEVALLIER (Jean-Marie), Denise DESBOUIS, André HU, Marcel ROGER.
Reference : 43383
(1986)
La Ferté-Milon, Corps 9 Editions, 1986, pt in-8°, 205 pp, 5 photos, une carte, broché, bon état
L'histoire du mouvement ouvrier local dans l'entre-deux-guerres : 1934, les émeutes et la naissance du rassemblement populaire dans l'Aisne, les conditions de vie et le chômage dans le Soissonnais, les organisations syndicales, les grèves à Soissons, mai-octobre 36, etc.
Rouen, Editions Defontaine, s.d. (1936), gr. in-8°, 253 pp, 24 planches hors texte, broché, couv. illustrée, bon état (Coll. Images d'art)
Rouen, Le Havre, Fécamp, Gisors, Caen, Lisieux, Honfleur, Coutances, etc.
Montpellier, 1973, gr. in-8°, 21 pp, paginé 73-93, notes, broché, qqs soulignures stylo sur 2 pp, bon état. Tiré à part extrait de “Narbonne, archéologie et histoire”, envoi a.s. et lettre a.s. de Gérard Cholvy
Rodez, 1975, gr. in-8°, 20 pp, paginé 249-267, notes, tableaux, broché, bon état. Tiré à part extrait des Actes du Congrès d'Etudes de Rodez, envoi a.s.
Toulouse, Privat, s.d. (1981), gr. in-8°, 28 pp, paginé 275-302, broché, bon état. Tiré à part extrait de l'Histoire de Rodez (Coll. Pays et villes de France), envoi a.s.
Toulouse, Privat, 1985, gr. in-8° carré, 438 pp, 16 pl. de gravures et photos hors texte, biblio, index, reliure pleine toile éditeur, jaquette illustrée, bon état (Coll. Univers de la France et des pays francophones)
Par Arlette Jouanna, Anne Blanchard, Henri Vidal, Guy Romestan, Jean Combes, Gérard Cholvy, etc. — "Cette histoire comble un vide historiographique. Ses articulations ne coïncident pas avec le découpage artificiel des siècles : les chapitres relatifs à l'histoire économique (Michel Lacave), à l'histoire politique (Roland Andréani), à celle des mentalités et des croyances (Gérard Cholvy) chevauchent les 19e et 20e siècles, la ville conservant jusqu'aux années 1950-1960 la majeure partie des traits hérités du Second Empire. C'est alors qu'elle acquiert son caractère de capitale viticole. La permanence de cette fonction a constitué l'axe essentiel de son devenir : plus qu'en tout autre ville française, « la conjoncture viticole détermine l'ambiance urbaine », avec comme conséquences : présence de la vie rurale dans le paysage urbain, secteur industriel largement para-viticole, intégration du réseau bancaire au système économique de la viticulture. Jusqu'aux années 1960, point de rupture véritable mais de lentes évolutions qui font battre peu à peu le cœur de cette ville au rythme de la modernité." (Jacques Fontaine, Vingtième Siècle. Revue d'histoire, 1986) — "Cet ouvrage vient combler une lacune bibliographique unanimement déplorée, puisqu'aucune histoire à la fois complète et sérieuse de cette ville n'existait jusqu'ici. Complet et sérieux, le travail que viennent de mener à bien Gérard Cholvy et ses onze collaborateurs l'est assurément, mais c'est encore trop peu dire – du moins pour certains chapitres, qui sont tout à fait remarquables." (Jean-Marie Carbasse, Annales du Midi, 1985)
Toulouse, Privat, 1980, gr. in-8° carré, 413 pp, 145 photos, biblio, reliure toile éditeur, jaquette illustrée, bon état (Coll. Le passé présent)
Par Gérard Cholvy, Robert Laurent, Rolande Trempé, Bernard Vielzeuf, Henri Lerner, Jean-Marie Petit, Yves Bruand et Jacqueline Gachet. — "Comment, depuis l’aube de la « Belle Epoque », ce pays de tradition a-t-il su durer, souffrir et espérer ? À proche ou lointaine distance, les guerres et les invasions faisaient sentir leurs dévastations, alors qu’une érosion lente et à première vue irrémédiable du travail, des moyens de vivre, des mœurs comme des certitudes, s’accomplissait en terre languedocienne. Nombreux sont ceux qui, à travers les récits de leurs parents ou par leur propre souvenir peuvent témoigner de cette mutation de toute une société. Les affrontements politiques en traduisent l’ampleur, de même que les conflits sociaux et révolution de la vie culturelle et religieuse. De tout ce destin, non pas visiblement mouvementé mais néanmoins soumis à l’inexorable loi du changement, cet ouvrage nous apporte aujourd’hui pour la première fois la synthèse. Oeuvre d’une équipe d’historiens hautement qualifiés, ce beau volume démontre de manière émouvante ce que représente pour toute une population l’épreuve d’un passé précaire, d’un présent obscur et d’un avenir incertain. Rarement un ouvrage historique nous aura permis de suivre d’aussi près, dans son être et son devenir, l’existence d’un peuple : ses travaux, sa vie quotidienne, ses mœurs, ses croyances et ses mythes."
Université Paul Valéry, 1978, gr. in-8°, 484 pp, Actes du Colloque de Montpellier, 25-26 septembre 1976. Université Paul Valéry 1978, 484p., grand in-8, broché (dos abîmé).
P., PUF/CNIE, 1946, in-8°, 188 pp, préface de Michel Augé-Laribé, 2 cartes et 12 graphiques, biblio, broché, état correct
Rennes, Ouest-France, 1997, gr. in-8°, 64 pp, nombreuses illustrations, cartes et photos en noir et (surtout) en couleurs, biblio, index, broché, couv. illustrée à rabats, bon état
La Bretagne est incontestablement l'une des régions françaises qui offrent la plus grande originalité. La variété de ses paysages, la diversité de ses monuments, la richesse de sa culture, aussi bien dans la zone de langue bretonne que dans celle de langue française, ne peuvent se comprendre et s'apprécier sans le recours à l'histoire. Cet ouvrage présente, à la lumière des recherches historiques les plus récentes, une synthèse claire et précise, abondamment illustrée, utile aussi bien à ceux qui vivent en Bretagne qu'à ceux qui y viennent pour la visiter.
Académie de Marseille, Diffusion Edisud, 2001, gr. in-8°, 368 pp, texte sur 2 colonnes, nombreux portraits, reliure pleine toile carmin de l'éditeur, titre doré au 1er plat et au dos, bon état
"A la différence d'un dictionnaire traditionnel toujours parisien, celui-ci est marseillais. A la différence du Who's who qui recense les personnalités vivantes, notre répertoire est réservé aux grands morts de notre histoire locale. Somme toute, c'est le Panthéon de Marseille !" (Jean Chélini, préface)
France Loisirs, 1992, in-8°, 314 pp, repères chronologiques, biblio, cart. éditeur, jaquette illustrée, bon état
"Puisant, avec l'aide de son fils Pierre-Sylvestre, dans une précieuse somme d'archives et d'études locales, guidé par le souvenir des récits que lui faisaient ses aïeux dans son enfance, Georges-Emmanuel Clancier convie le lecteur à une promenade dans le Limousin du XIXe siècle. Avec lui, nous écoutons contes, légendes et dictons au coin de l'âtre, nous suivons le laboureur aux champs, le feuillardier dans les taillis, le hobereau sur son domaine, le porcelainier dans sa fabrique, les trop rares élèves jusqu'à leurs trop rares écoles. Nous nous mêlons aux fabuleuses processions des Ostensions ou de la Lunade, nous « descendons » la Vienne sur les radeaux des flotteurs de bois, nous accompagnons dans leur exode annuel les maçons de la Creuse, nous flânons enfin dans les vieilles rues de Tulle, de Brive et de Limoges."
Genève, Mégariotis, s.d. (1978), 2 tomes reliés en un seul fort vol. in-8°, 420-464 pp, reliure simili-cuir caramel de l'éditeur, pièce de titre havane, titres dorés au 1er plat, bon état (réimpression de l'édition de Besançon, 1882)
"Suivant M. Clerc, les états remontent, en Franche-Comté, à Philippe le Hardi, fils du roi Jean, lequel fut duc de Bourgogne en 1364 et comte de Bourgogne vingt ans plus tard. ... M. Clerc croit pouvoir fixer à l'année 1384 la première réunion des états de Franche-Comté. L'auteur a écrit l'histoire des états de cette province depuis 1384 jusqu'à leur abolition en 1674 : il étudie leur rôle politique, session par session ... Les états de Franche-Comté, qui jouèrent, dans diverses circonstances, un rôle considérable, ont eu, jusqu'en 1662, le droit de voter et d'asseoir sur la province des impositions pour faire face aux besoins locaux." (Paul Viollet, Bibliothèque de l'Ecole des Chartes, 1886)
Chez l'auteur, 1970, gr. in-8° carré, 350 pp, nombreuses photos, illustrations et plans, biblio, index, imprimé sur alfa mousse des Papeteries Navarre, reliure pleine toile acajou de l'éditeur, dos lisse avec titres dorés, 1er plat avec titre et blason de la ville dorés, bon état
Excellente monographie de cette ville de la banlieue nord de Paris, située à une dizaine de kilomètres du centre de la capitale, le long d'un méandre de la Seine. Avec en particulier des chapitres sur la culture de la vigne, la guerre de 1870, la Libération en août 1944...
Hachette, 1983, in-8°, 351 pp, biblio, broché, couv. illustrée, bon état, envoi a.s. à Pierre Goubert
La Renaissance s'épanouit en Touraine dans le cadre des châteaux royaux. La monarchie y trouve un refuge sous Charles VII à Chinon et à Loche, dans un cadre qui se renouvelle pour faire une place grandissante au confort. Le goût des plaisirs mondains et champêtres anime Louis XI aussi bien que Charles VIII : le Plessis et Amboise sont des lieux de détente bien plus que des retraites fortifiées. Revenus de leurs expéditions guerrières en Italie, les souverains transforment leurs résidences pour en faire, à l'exemple des villas italiennes, des lieux de fêtes. Les anciennes demeures se parent de galeries, de loggias, de salles de bal et de réception. De vastes jardins-salons sont aménagés pour la promenade et la conversation. Partout se répand un décor fertile en réminiscences antiques. Dans ces demeures s'agite le monde pléthorique des seigneurs, des serviteurs civils et militaires, des prêtres et des marchands: une société nouvelle voit le jour à la cour. — "Cet ouvrage synthétise les travaux antérieurs d'Ivan Cloulas et nous présente une "histoire totale" de la vie dans la vallée de la Loire. En analysant des documents, des lettres et de la littérature du XVIe siècle, l'auteur réussit à dépeindre, sous de multiples facettes, la civilisation de toutes les couches sociales à l'époque de la Renaissance. Il traite la région principalement à la lumière de l'architecture et du symbolisme de Chinon, Amboise, Chenonceaux et Chambord, bien que d'autres châteaux soient parfois mentionnés. Contrairement à Marc Bloch, Braudel et d'autres auteurs de cette école qui mettent l'accent sur les "gens ordinaires" au détriment des "personnes illustres", Cloulas consacre beaucoup d'espace à des notabilités tels que Marie Stuart, Catherine de Médicis, Rabelais et Léonard de Vinci, et il montre comment ces individus (plutôt que de simples paysans et citadins) ont façonné non seulement l'histoire et la "vie quotidienne" de la vallée de la Loire, mais aussi celles de la France et du monde entier. Le texte est écrit de manière intéressante et attrayante." (Michael G. Paulson, The French Review, 1984)
Aix-en-Provence, Edisud, 1980, in-4°, 113 pp, 101 photos et gravures d'époque, broché, couv. illustrée, bon état
Laffont, 1976, 2 vol. gr. in-8°, 280 et 282 pp, 24 pl. de photos hors texte, 49 illustrations et cartes, notes, index, brochés, couv. illustrées à rabats, bon état
Complet — Jean-Paul Clébert, l'auteur de « Paris insolite », vit depuis dix ans dans le Luberon. À partir de là, il a exploré systématiquement les richesses archéologiques de la Provence à travers champs de fouille, musées secrets et monographies. Il a su retrouver la continuité historique de la Provence des premiers âges, depuis la plus lointaine préhistoire. Le livre que voici est le premier tome de ce voyage en des temps fabuleux, dont les traces et les bornes sont partout visibles à qui sait les chercher dans les garrigues, les grottes, les vallées encaissées. Au carrefour des grands courants – grec, latin, celte et ibère – la Provence se révèle, au cours de ces millénaires, comme un lieu privilégié, exemplaire, où s'élaborent et se fondent les civilisations les plus avancées. Quand Rome n'était encore qu'un village de paillottes au bord d'un marécage, les habitants des bords du Rhône buvaient déjà dans des coupes finement ornées. La France est née en Provence. C'est là qu'il faut aller la découvrir.
Tchou, 1978, gr. in-8°, 250 pp, 26 pl. de photos hors texte, broché, couv. illustrée à rabats, bon état (Coll. L'Ecole buissonnière). Edition originale
Un jour de 1956, Jean-Paul Clébert quitte Paris pour vivre à demeure en Haute-Provence, au coeur du Luberon et de la vallée d'Apt. L'un des premiers, il livre les secrets de ce pays sauvage et imprévu. Depuis, d'autres sont venus, des artistes, des artisans, des résidants secondaires. Les villages abandonnés se sont repeuplés, la vallée n'est plus ce qu'elle était il y a seulement vingt ans, le Luberon est devenu un lieu de prédilection pour l'intelligentsia parisienne, les communautés, les journaux de mode et les férus d'écologie. Les piscines ont poussé comme des champignons sous l'oeil des paysans. Le Luberon s'est réveille. Mais l'heure du pastis est si douce... Jean-Paul Clébert, à travers le récit de sa vie, nous livre la chronique douce-amère d'une région qui, le temps d'une génération, a su se transfigurer sans se renier. Vivre en Provence, c'est d'abord découvrir, explorer et rêver, c'est dénicher une maison, la retaper, et un jour allumer son premier feu de bois. C'est aussi résider toute l'année en supportant les solitudes de l'hiver. C'est avoir des enfants nés dans le pays, converser avec les autochtones, participer à la vie du village et s'y faire adopter. C'est revenir à une vie frugale, une économie domestique, une cuisine fidèle aux saisons. C'est faire pousser ses propres légumes, jouer aux boules, guetter le mistral et faire la sieste, c'est enfin travailler, peindre ou écrire, fabriquer, réparer des objets ou regarder le soleil se coucher. Vivre dans le Luberon, c'est peut-être se retirer ou se replier hors du monde, mais c'est aussi apprendre à mieux appréhender, à aimer cette terre millénaire pour mieux la transformer.
Lyon, Editions Horvath, 1993, in-8°, 136 pp, 130 photos (cartes postales anciennes), broché, couv. illustrée, bon état
Anet, Imp. d'Anet, 1982, in-8° carré, 45 pp, illustré d'un frontispice et de bois gravés de l'auteur, et d'une carte repliée hors texte, broché, couv. illustrée, bon état
Cette élégante plaquette imprimée sur beau papier évoque plaisamment l'histoire de Montchauvet. La localité, située au sud de Mantes, a pour origine une forteresse construite en 1133 par Louis VI sur un terrain élevé, acquis de l'abbaye de Saint-Germain-des-Prés, et faisant partie de l'ensemble des défenses de l'Ile-de-France contre la Normandie. La ville, dotée de franchises en 1181, entourée de remparts, eut fort à souffrir durant la guerre de Cent ans et les guerres de religion, et, depuis lors, elle n'a cessé de décliner malgré la richesse de son vignoble.
Nimes. Lacour, 1992, in-8°, 150 pp, broché, bon état, envoi a.s.
France-Empire, 1979, gr. in-8°, 318 pp, notes, mesures anciennes, glossaire, sources, broché, couv. illustrée à rabats, bon état
L'auteur fait renaître la vie provinciale dans un village de la Côte du Rhône, proche de Bagnols-sur-Cèze, à travers les différents visages qui ont fait l'histoire du Languedoc de l'Ancien Régime : le laboureur, l'artisan, le boucher, le ménager, le meunier, le notaire, les consuls, les chanoines, les femmes des champs, les gardes-terres, le maître chirurgien.
Mézières, Editions du Comité du Centenaire de la IIe République, 1948, gr. in-8°, 64 pp, préface de Charles Braibant, une planche hors texte, broché, bon état
17 études. I. La société ardennaise. II. Les idées. III. Les événements. IV. Figures ardennaises.