8, rue Bréa
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France
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Phone number : 01 43 54 43 61 Payot, 1937, in-8°, 291 pp, 7 cartes, broché, bon état (Coll. Bibliothèque géographique)
"L'éditeur Payot vient de publier sur ce pays, sous le titre « Les onze Républiques soviétiques » et sous la signature de M. Marc Slonim, une étude objective donnant des détails géographiques et ethnographiques qu'on lira avec grand intérêt. Cet ouvrage, écrit par un spécialiste des choses russes et qui comble une lacune, nous fait pénétrer dans ce monde aussi gigantesque que varié, formant non pas un seul pays, mais de nombreux pays différant l'un de l'autre par leur climat, par leur sol, leur population, leur histoire. Toutes ces races et ces peuples sont tellement hétéroclites qu'on se demande vraiment comment a pu être réalisée leur unité d'Etat. Quand on parle de l'URSS, que se représente-t-on ? Les toundras gelées de l'Extrême-Nord que baigne l'océan Glacial ou les côtes méridionales de Crimée remplies de magnifiques palmiers ou de magnolias en fleurs? Les beaux champs qui s'étendent à vue d'oeil dans les régions centrales ou les déserts brûlés de l'Asie aux lacs salés et aux dunes de sable ? Les forêts vierges de la Sibérie ou les sommets de la Kirghizie, qui dépassent les plus hauts pics des Alpes ? Les villes étincelantes et leurs millions d'habitants, Moscou, Leningrad, ou les steppes aux nomades entrants comme au temps de Genghis-Khan on de Timour ? M, Marc Slonim décrit l'une après l'autre les Républiques soviétiques avec les caractéristiques qui les différencient et les traits communs non moins marqués qui les unissent..." (La Croix, 1937)
Genève, Olizane, 1999, in-8°, 187 pp, 16 pl. de photos en couleurs hors texte, 45 illustrations dans le texte, un plan, petit dictionnaire biographique des noms cités, index, broché, couv. illustrée, bon état
A la différence d'autres capitales dont les origines sont liées à des légendes – telle Athènes célébrant son roi Thésée, ou Rome, créée par Romulus et Rémus – Saint-Pétersbourg a été fondée par un personnage bien réel : Pierre le Grand. Celui-ci ne s'est cependant pas contenté de faire ériger une ville à l'extrémité de son pays, il y a surtout bâti une capitale. C'est ainsi que, selon l'expression du poète vénitien Algarotti, fut ouverte une « fenêtre sur l'Europe ». Cet ouvrage nous fait découvrir le très riche passé de l'ancienne capitale des Tsars ainsi que les nombreux liens qui la liaient à l'Europe, particulièrement à l'Italie et à la France. L'auteur situe ainsi dans leur contexte les oeuvres des architectes, urbanistes, écrivains et artistes qui ont participé au rayonnement de Saint-Pétersbourg.
New York, Gemini Smith, 1975, in-4°, 296 pp, introduction à l'histoire de l'art des Etats-Unis par le Dr. Louis C. et Agnes Halsey Jones, introduction à l'histoire des Etats-Unis par les Dr. David Burner et Robert D. Marcus, 268 illustrations en couleurs dans le texte et à pleine page, biblio, index, reliure percaline décorée de l'éditeur, jaquette illustrée, bon état
Superbes illustrations en couleurs.
Plon, 1977, in-8°, 354 pp, 26 illustrations dans le texte et 21 photographies hors texte, glossaire haoussa, reliure toile éditeur, jaquette illustrée, bon état (Coll. Terre Humaine)
Témoignage passionnant d'une femme Haoussa non alphabetisée sur la société musulmane du Nord Nigéria.
Autrement, 2005, gr. in-8°, 80 pp, plus de 120 cartes et infographies en couleurs, plus de 100 notices biographiques, la carte d'identité des 54 États du continent africain, biblio, index, broché, couv. illustrée à rabats, bon état (Coll. Atlas/Monde)
Berceau de l'humanité, l'Afrique est aujourd'hui peuplée de jeunes citadins : la moitié de sa population a moins de 15 ans et vit dans des villes. Le continent de la "brousse" et des paillotes subit un bouleversement démographique sans précédent et achève sa révolution urbaine. Au sortir d'un passé souvent traumatique, marqué par les traites négrières et le colonialisme, l'Afrique est restée sous tutelle durant la Guerre froide. Elle a vécu "le temps du malheur" (Achille Mbembé), une décennie de guerres et de chaos après la chute du mur de Berlin, quand elle a pris son destin en main – en saisissant plus souvent une kalachnikov qu'un bulletin de vote. Privée de sa rente géopolitique issue de la rivalité Est-Ouest, ravagée par le sida qui fait reculer de quinze ans l'espérance de vie en Afrique australe, elle s'est retrouvée plus que jamais en marge du monde : la valeur de ses exportations ayant été divisée par trois au cours des deux dernières décennies du XXe siècle, l'Afrique ne participe plus que pour 1% au commerce international ; ses quelque 800 millions d'habitants produisent à peine la moitié des richesses créées par moins de 60 millions de Français. Cependant, le continent voisin de l'Europe a pleinement intégré le temps universel de la mondialisation. Dans le nouvel ordre international de l'après-11 septembre, son insertion dans la lutte (anti-)terroriste, son pétrole, son foisonnement religieux, sa pression migratoire et sa diversité écologique constituent des enjeux planétaires. Plus de 120 cartes et infographies, plus de 100 notices biographiques, la carte d'identité des 54 États du continent africain, une bibliographie...
Calmann-Lévy, 1993, in-8°, 243 pp, broché, bon état
Payot, 1962, in-8°, 387 pp, préface et traduction de Alain Guimbretière (“Islam in Modern History”, Princeton University Press), broché, bon état (Coll. Bibliothèque historique)
"Cet ouvrage nous semble mériter une attention particulière à deux égards. D'abord parce que soutenu par une réflexion théologique chrétienne dont la sincérité commande le respect et empreint d'une vraie sympathie pour l'objet étudié, il ne sacrifie jamais l'esprit critique et ne se repaît pas d'illusions, ensuite parce que, en plus d'excellentes réflexions sur la réforme, islamique à sa façon, en Turquie (chap. IV), il apporte au lecteur français des renseignements difficiles à trouver ailleurs sur l'islam au Pakistan et dans l'Inde (chap.V et VI). Signalons l'excellent développement sur l'échec du libéralisme dans l'islam contemporain (p. 93 sq.)..." (G. Vajda, Revue de l'histoire des religions, 1964)
La Table Ronde, 1995, in-8°, 574 pp, avant-propos du Dalaï-Lama, broché, couv. à rabats, bon état (Coll. Les Chemins de la sagesse), envoi a.s. et dessin original en couleurs signé en écriture tibétaine de l'auteur (?)
Dans cet ouvrage, Sogyal Rinpoché concilie l’ancienne sagesse du Tibet et la recherche contemporaine sur la mort et les mourants, sur la nature de l’esprit et de l’univers. Il présente de façon claire la vision de la vie et de la mort telle que nous la propose la tradition tibétaine. Il explique notamment ce que sont les « bardos », ces états de conscience après la mort qui ont tant fasciné les artistes, médecins et philosophes occidentaux, depuis la publication, en 1927, du Bardo Thödol (le Livre des morts tibétain). Sogyal Rinpoché montre que dans la mort, comme dans la vie, l’espoir existe et qu’il est possible à chacun de transcender sa peur pour découvrir ce qui, en nous, survit et ne change pas. Il propose des « pratiques » simples mais puissantes que chacun, quelle que soit sa religion ou sa culture, peut accomplir afin de transformer sa vie, de se préparer à la mort et d’aider les mourants. Ce livre est aussi une introduction à la pratique de la méditation, ainsi qu’aux notions de renaissance et de karma. Le Livre tibétain de la vie et de la mort n’est pas seulement un chef-d’œuvre spirituel, c’est un manuel, un guide, un ouvrage de référence et une source d’inspiration sacrée.
Minerva/France Loisirs, 1978, pt in-4°, 144 pp, 203 illustrations en noir et en couleurs, reliure éditeur, jaquette illustrée, bon état
Fayard, 1993, gr. in-8°, 937 pp, 12 cartes, biblio, annexes, chronologie, index, reliure souple illustrée de l'éditeur, bon état
Ce livre ne serait pas une histoire de la Russie si on n'y trouvait pas des personnages hors du commun, de furieux débats d'idées, des calamités terribles et d'innombrables victimes. Ils sont donc là, de Nicolas Ier – le tsar à la "sévérité inquiète" – au secrétaire de charme qu'à été Mikhaïl Gorbatchev ; des prises de bec entre slavophiles et occidentalistes aux récents affrontements entre réformateurs radicaux et patriotes réactionnaires ; des famines aux guerres mondiales ; de la paysannerie martyrisée aux victimes des répressions de masse. Derrière ces débordements épiques, on trouve, constamment présente, une intrigue. Au XVIIIe siècle, on parlait déjà de la Russie comme du colosse aux pieds d'argile. Et ce qui n'a pas cessé de frapper depuis les observateurs – russes comme étrangers – de l'Empire, c'est qu'il n'avait pas les moyens économiques de ses prétentions internationales. Ainsi déséquilibré, le bateau russe a parfois considérablement tangué. Triomphant en 1815, il est en détresse quarante ans plus tard, à l'issue de la petite guerre de Crimée. Brisé en 1920, il croise avec toute la majesté d'une superpuissance globale en 1975. Moins spectaculaire, mais plus éclairant au fond, est ce qui se passe entre ces grands bouleversements. Tsars et secrétaires parviennent à maintenir la Russie en équilibre bien qu'elle soit – paradoxe d'autant plus inexplicable qu'il dure longtemps – un empire sous-développé. Où chercher la clef du mystère ? Sans doute dans l'enchaînement de diverses formes d'exploitation – de l'asservissement tsariste au terrorisme stalinien – qui ont précisément permis de bâtir la gloire de l'Etat sur l'indigence du peuple...
Messidor/La Farandole, 1982, in-8°, 275 pp, 8 pl. de gravures et photos hors texte, biblio, broché, couv. illustrée, bon état
"Les Tsiganes, c'est à la fois le riche mariage célébré dans la salle des fêtes d'une mairie de l'est parisien, et l'enfant retrouvé mort sur un tas de détritus dans la région de Nantes ; les Tsiganes, c'est ce camp au milieu des arbres en Provence, et ces vieilles maisonnettes prolongées de caravanes dans les jardinets, qu'on trouve à Montreuil, Bagnolet, Romainville... Les Tsiganes, ce sont les cafés où l'on fait payer d'avance, le garçon dont on ne veut pas dans l'équipe de foot, et bien d'autres humiliations, les femmes qui, soi-disant, prédisent l'avenir au marché aux puces de Saint-Ouen et ailleurs, les gens du cirque poursuivant d'anciennes traditions, le commerce des voitures d'occasion, le contrôle des gendarmes, des enfants cherchant des hérissons dans un fourré, des maquignons sur le marché aux chevaux, près de Tours, un des derniers sans doute, la télévision combattant la vieille habitude des veillées durant lesquelles se transmettaient histoires et légendes, les fêtes, les religions, et tant d'autres choses encore... Hommes fiers de leurs différences, ou bien "assimilés", les Tsiganes, c'est aussi une conception particulière du monde, l'histoire et la réalité profonde d'un vrai peuple..." (Bertrand Solet)
P., Garnier Frères, 1858, in-12, 382 pp, une carte dépliante de l'Inde en frontispice, reliure demi-chagrin noir, dos à 4 nerfs pointillés soulignés à froid, caissons à froid, titres dorés, tranches mouchetées (rel. de l'époque), qqs rares rousseurs, petite trace d'humidité ancienne au coin des derniers feuillets, bon état
Le prince Alexis Soltykoff (1806-1859) est un dessinateur, collectionneur d'art et diplomate russe, auteur de voyages en Perse et en Inde. À partir de 1829, il occupa des postes diplomatiques, d'abord à Constantinople, puis à Athènes et plus tard à Londres, Florence, Rome et Téhéran. En 1840, il prit sa retraite et s'installa à Paris, où il prépara ses voyages en Inde. Il y fit deux voyages, un en 1841-1843 et un en 1844-46, qui lui valurent le sobriquet d'« Indien » dans l'aristocratie russe et française.
Payot, 1946, in-8°, 270 pp, traduit de la troisième édition anglaise, index, broché, couv. illustrée, bon état (Bibliothèque historique)
Table : Introduction : Les trois religions – Confucius et son école – Le taoïsme : Lao-tse, Tschouang-tse et leur école – Le Bouddha et le bouddhisme – L'idée de Dieu – Relations de l'homme avec Dieu et méthodes qu'il emploie pour s'en approcher – Idées cosmologiques – L'âme, le culte des ancêtres et le futur – Les idéals moraux – Le péché et ses conséquences – Le culte offiel ou la religion publique – La religion privée – Index alphabétique.
Armand Colin, 1964, gr. in-8°, 281 pp, 51 figures dont 6 cartes, annexes, chronologie, biblio, glossaire, cart. éditeur, bon état (Coll. U)
"La Collection U a fait paraître dans sa section « Histoire contemporaine » un manuel consacré à “La Société soviétique 1917-1964” par Pierre Sorlin. L'entreprise était difficile, mais dans l'ensemble, l'auteur s'en est assez bien tiré. Le tableau de l'ancienne société russe et de son effondrement est alertement brossé. Celui de la naissance d'une société nouvelle à l'époque des premiers quinquennats (1928-1938), le récit de ses épreuves durant la guerre et les dernières années du « culte de la personnalité » présentent des faits et des commentaires bien équilibrés. M. Sorlin sait prendre ses distances à l'égard des thèses et statistiques officielles sans tomber dans la sous-estimation des résultats. Un manuel utile, étoffé de bons documents et graphiques." (Georges Friedmann, Annales ESC, 1967)
Grasset, 1931, in-12, 219 pp, reproduction d'une statue de Soun Iat-Sènn en frontispice, broché, bon état (Coll. Les Contemporains vus de près)
Biographie du leader et président chinois Sun Yat-sen de 1892 à 1925 ; l'auteur, un témoin, utilise aussi l'autobiographie de Sun Yat-sen, et critique parfois le nouveau régime, non-démocratique.
L'Edition d'Art, H. Piazza, 1924, pt in-8°, x-202 pp, une gravure hors texte, jolies ornementations et lettrines dessinées par Paul Zenker, broché, couv. illustrée, bon état (Coll. Epopées et légendes)
La belle Yang Yuhuan (719-756), connue généralement sous le surnom de Yang Guife, était la concubine favorite (c'est le sens du mot guifei) de l'empereur Xuanzong des Tang, qui régna de 712 à 756. Bien qu'elle ait été une concubine de haut rang, elle ne s'est jamais mêlée de politique. Elle est l'une des quatre beautés de la Chine antique.
P., Institut d'Ethnologie, 1958, gr. in-8°, x-268 pp, 14 pl. de photos hors texte, 16 figures, notes, glossaire, biblio, index, broché, bon état
"... En 1940, bénéficiaire d'une nouvelle bourse pour le Mexique, Georgette Soustelle (1909-1999) décida de s'installer dans un village de la Sierra de Zongolica, dans l'État de Veracruz, où la langue et la culture nahuas étaient restées vivaces. Durant deux ans elle y observa la vie sociale, économique, religieuse des habitants, réunissant ainsi le matériel sur lequel allait reposer sa thèse principale : “Tequila, un village nahuatl du Mexique oriental”. Il faut noter au passage que les descriptions précises des gestes de la tisserande, de la potière, les références nombreuses aux dénominations, aux expressions en nahuatl qu'on y relève, témoignent des qualités d'observation de l'ethnologue, de son souci de pénétrer en profondeur l'esprit, la mentalité des indigènes, de sa sympathie pour eux. Se plaçant dans une perspective diachronique inverse de celle de l'ethnohistorien, Georgette s'est employée à remonter dans le temps en confrontant les traits culturels qu'elle avait observés sur le terrain avec ceux dont les sources anciennes rendaient témoignage. En 1942, Georgette quitte le Mexique pour rejoindre son mari Jacques à Londres, auprès du Général de Gaulle et s'adonner à des activités patriotiques. Peu après la libération de Paris, Georgette reprend son travail au musée de l'Homme en tant que responsable du département d'Amérique..." (Jacqueline Durand-Forest, Journal de la société des américanistes, 1999)
P., Hermann & Cie, 1940, gr. in-8° (165 x 252), 91 pp, 6 pl. d'illustrations hors texte, index des divinités aztèques, biblio, broché, qqs rares annotations au stylo vert, bon état
Conférences prononcées au Collège de France (chaire d'antiquités américaines, fondation Loubat) en 1939 : mythologie, astronomie, divination, science du calendrier, religion, magie, rites de la vie privée et collective des Aztèques.
Arthaud, 1966, in-4°, 184 pp, 206 planches en héliogravure dont 17 en couleurs, 42 cartes, dessins et plans, tableau chronologique, glossaire, index, bibliographie, reliure toile noire de l'éditeur, jaquette illustrée, bon état
"L'auteur inclut dans le Mexique ancien toute l'aire maya ; l'ouvrage est donc consacré à l'art de la Mésoamérique à l'exclusion de sa périphérie Sud, qui n'a généralement connu que des cultures marginales. Les différentes grandes civilisations sont présentées successivement, ainsi que leurs antécédents, du Pré-classique au Postclassique. Une des grandes qualités de l'ouvrage est de ne jamais séparer l'art des caractères généraux des diverses civilisations et d'insister sur le symbolisme religieux dont sont imprégnées les créations artistiques. La synthèse de l'évolution culturelle est très claire, la présentation de la bibliographie est excellente : au lieu d'infliger au non spécialiste une liste interminable d'ouvrages, l'auteur prend soin de distinguer les catégories (ouvrages d'ensemble, documents indigènes, etc.) et de faire suivre les livres essentiels d'un court commentaire. (...) L'art de chaque civilisation est étudié en passant en revue ses diverses manifestations, et les descriptions des principaux monuments des grands centres indigènes sont particulièrement bien venues, d'autant plus que le texte est accompagné de plans. (...) Ce livre peut être considéré comme le meilleur que nous ayons actuellement en français sur les arts anciens de l'Amérique Moyenne. Il mérite de figurer dans la bibliothèque de l'amateur d'art, mais il constitue également un excellent ouvrage d'introduction à l'étude des civilisations mésoaméricaines." (Pierre Becquelin, Journal de la société des américanistes, 1967)
Hachette, 1959, in-8° carré, 95 pp, 12 pl. en couleurs hors texte et 80 gravures dans le texte et à pleine page (photographies de Gisèle Freund, Henri Lehmann, Jacques Soustelle, Musée de l'Homme), une carte et un plan, cart. illustré de l'éditeur (Coll. Tout par l'image)
"Présenter une monographie sur « la vie quotidienne » d'une nation à telle ou telle phase de son histoire, cela peut revenir assez souvent à regrouper sous un jour nouveau des faits déjà connus, et l'entreprise risque de côtoyer la vulgarisation. Mais il arrive aussi que certaines de ces coupes dans le courant de l'histoire aient un intérêt très supérieur à celui-là et répondent véritablement à un besoin. Tel est le cas, à coup sûr, du récent livre de Jacques Soustelle, qui offre un tableau de la vie quotidienne des Aztèques à la veille de l'arrivée au Mexique de Fernand Cortès. Nul ne pouvait être mieux qualifié que lui pour l'écrire. A la fois ethnologue et historien, — qualités indispensables à qui aborde un tel sujet, — il a observé longuement les Indiens qui sont les descendants directs des peuples de l'empire aztèque, et, d'autre part, il a déjà publié plusieurs études sur la religion et le système cosmologique de l'ancien Mexique..." (Jean Cazeneuve, Annales ESC, 1959)
Hachette, 1964, in-8°, 318 pp, une gravure en frontispice, une carte sur double page, biblio, cart. éditeur, jaquette illustrée, bon état
"Présenter une monographie sur « la vie quotidienne » d'une nation à telle ou telle phase de son histoire, cela peut revenir assez souvent à regrouper sous un jour nouveau des faits déjà connus, et l'entreprise risque de côtoyer la vulgarisation. Mais il arrive aussi que certaines de ces coupes dans le courant de l'histoire aient un intérêt très supérieur à celui-là et répondent véritablement à un besoin. Tel est le cas, à coup sûr, du livre de Jacques Soustelle, qui offre un tableau de la vie quotidienne des Aztèques à la veille de l'arrivée au Mexique de Fernand Cortès. Nul ne pouvait être mieux qualifié que lui pour l'écrire. A la fois ethnologue et historien, — qualités indispensables à qui aborde un tel sujet, — il a observé longuement les Indiens qui sont les descendants directs des peuples de l'empire aztèque, et, d'autre part, il a déjà publié plusieurs études sur la religion et le système cosmologique de l'ancien Mexique..." (Jean Cazeneuve, Annales ESC, 1959)
Hachette, 1982, in-8°, 318 pp, une gravure en frontispice, une carte sur double page, biblio, broché, couv. illustrée, qqs rares marques au crayon en marges, bon état
"Présenter une monographie sur « la vie quotidienne » d'une nation à telle ou telle phase de son histoire, cela peut revenir assez souvent à regrouper sous un jour nouveau des faits déjà connus, et l'entreprise risque de côtoyer la vulgarisation. Mais il arrive aussi que certaines de ces coupes dans le courant de l'histoire aient un intérêt très supérieur à celui-là et répondent véritablement à un besoin. Tel est le cas, à coup sûr, du récent livre de Jacques Soustelle, qui offre un tableau de la vie quotidienne des Aztèques à la veille de l'arrivée au Mexique de Fernand Cortès. Nul ne pouvait être mieux qualifié que lui pour l'écrire. A la fois ethnologue et historien, – qualités indispensables à qui aborde un tel sujet, – il a observé longuement les Indiens qui sont les descendants directs des peuples de l'empire aztèque, et, d'autre part, il a déjà publié plusieurs études sur la religion et le système cosmologique de l'ancien Mexique..." (Jean Cazeneuve, Annales ESC, 1959)
Hachette, 1955, in-8°, 318 pp, une gravure en frontispice, une carte sur double page, biblio, broché, bon état
"Présenter une monographie sur « la vie quotidienne » d'une nation à telle ou telle phase de son histoire, cela peut revenir assez souvent à regrouper sous un jour nouveau des faits déjà connus, et l'entreprise risque de côtoyer la vulgarisation. Mais il arrive aussi que certaines de ces coupes dans le courant de l'histoire aient un intérêt très supérieur à celui-là et répondent véritablement à un besoin. Tel est le cas, à coup sûr, du récent livre de Jacques Soustelle, qui offre un tableau de la vie quotidienne des Aztèques à la veille de l'arrivée au Mexique de Fernand Cortès. Nul ne pouvait être mieux qualifié que lui pour l'écrire. A la fois ethnologue et historien, — qualités indispensables à qui aborde un tel sujet, — il a observé longuement les Indiens qui sont les descendants directs des peuples de l'empire aztèque, et, d'autre part, il a déjà publié plusieurs études sur la religion et le système cosmologique de l'ancien Mexique..." (Jean Cazeneuve, Annales ESC, 1959)
Hachette, 1972, in-8°, 318 pp, une gravure en frontispice, une carte sur double page, biblio, broché, couv. illustrée à rabats, bon état
"Présenter une monographie sur « la vie quotidienne » d'une nation à telle ou telle phase de son histoire, cela peut revenir assez souvent à regrouper sous un jour nouveau des faits déjà connus, et l'entreprise risque de côtoyer la vulgarisation. Mais il arrive aussi que certaines de ces coupes dans le courant de l'histoire aient un intérêt très supérieur à celui-là et répondent véritablement à un besoin. Tel est le cas, à coup sûr, du récent livre de Jacques Soustelle, qui offre un tableau de la vie quotidienne des Aztèques à la veille de l'arrivée au Mexique de Fernand Cortès. Nul ne pouvait être mieux qualifié que lui pour l'écrire. A la fois ethnologue et historien, — qualités indispensables à qui aborde un tel sujet, — il a observé longuement les Indiens qui sont les descendants directs des peuples de l'empire aztèque, et, d'autre part, il a déjà publié plusieurs études sur la religion et le système cosmologique de l'ancien Mexique..." (Jean Cazeneuve, Annales ESC, 1959)
Hachette/GLM, 1998, in-8°, 332 pp, une carte, biblio, reliure souple illustrée de l'éditeur, bon état (Coll. La vie quotidienne)
Il y a un peu plus de quatre siècles, une civilisation brillante et étrange, profondément différente de celle de notre Ancien Monde, s'épanouissait sur les bords des grands lacs du Mexique central. Elle allait bientôt s'effondrer sous les coups d'une poignée de soldats espagnols, dans un désastre dont l'histoire offre peu d'exemples. Comment vivaient ces Aztèques ? Quels étaient leurs usages, leurs croyances, leurs travaux, leurs divertissements de tous les jours ? C'est à ces questions que répond Jacques Soustelle. De la ville impériale hérissée de pyramides à la cabane du plébéien, de la magnificence des jardins à l'activité grouillante des marchés, de la variété colorée des costumes à l'art ésotérique des hiéroglyphes, c'est tout un monde disparu qui ressuscite au fil des pages. Vie familiale : éducation des enfants, rites de la naissance, du mariage et de la mort ; vie politique type de gouvernement, intrigues de cour et guerres ; vie réligieuse : cérémonies, danses et sacrifices humains. Les multiples aspects de l'Empire aztèque à l'apogée de sa puissance sont décrits dans ce livre avec une grande ferveur et une profonde connaissance du pays, des hommes et des langages.