8, rue Bréa
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France
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Phone number : 01 43 54 43 61 Sans lieu (Genève), 1774, in-8°, viii-344 pp, reliure plein veau marbré, dos lisse orné de caissons et fleurons dorés, pièces d'auteur et de titre basane rouge et verte, coupes filetées (rel. de l'époque), coiffe sup. lég. abîmée, traces de mouillure ancienne sur la tranche, état correct
"Fragments sur quelques révolutions dans l'Inde et sur la mort du Comte de Lalli", composés de vingt articles (Tableau historique du commerce de l'Inde. Commencement des premiers troubles de l'Inde, et des animosités entre les Compagnies française et anglaise. Sommaire des actions de La Bourdonnaye et de Dupleix. Envoi du Comte de Lalli dans l'Inde. Etat de l'Inde lorsque le général Lalli y fut envoyé. Des Gentous et de leurs coutumes les plus remarquables. Des Brames. Des guerriers de l'Inde et des dernières révolutions. Etc.), suivi de "Précis du procès de M. le Comte de Morangiès contre la famille Verron" et des "Fragments sur l'Inde", composés de treize articles. "Ouvrage destiné à redresser l'injustice de l'exécution du général Lally (…). Le texte fut radicalement altéré dans l'édition des œuvres de Kehl" (Dictionnaire Voltaire, p. 85).
Hanoï, Imprimerie Taupin et Cie, 1941, in-4°, 16 pp, 20 photos sur 12 pl. hors texte, qqs dessins, publicités, broché, couv. illustrée, bon état. Peu courant
C’est en pleine Seconde guerre mondiale, le 12 septembre 1940 très exactement, qu’est paru le premier numéro d’ “Indochine”, un hebdomadaire illustré qui n’aura certes pas duré longtemps – le dernier numéro est daté de 1945 – mais qui aura suffisamment marqué les esprits. Politiquement favorable au général Decoux et au Gouvernement de Vichy, son intérêt est cependant capital pour la connaissance de l'Indochine dans les années 40. Les articles touchent à tous les sujets, sociaux, ethnologiques, historiques, artistiques et culturels. Les très nombreuses illustrations photographiques, sur les campagnes, les monuments modernes et anciens, les hommes et les coutumes, font de cette revue un important témoignage de la vie indochinoise de cette époque. “Indochine” était en fait une publication de l'association Alexandre de Rhodes. De nombreuses figures de proue de l’École française d’Extrême-Orient y ont publié des articles. Louis Malleret, Paul Lévy, Louis Bezacier, Paul Boudet, Nguyên Van Huyên, Duong Quang Hàm, Nguyên Tiên Lang, Dang Phuc Thông, Trân Van Giap... « Il y avait sans doute une volonté sincère, de leur part, d’établir des liens entre Français et Vietnamiens », constate Vu Trong Dai. « Mais il y a quand même beaucoup de paternalisme là-dedans... Ils sont prêts à vanter les charmes des cultures qu’ils côtoient, mais sans oublier d’y aller de leur petit couplet sur la mission civilisatrice de la France qui et que… Ils essaient de se réapproprier notre histoire et notre culture... C’est du reste en ça que tous ces articles sont intéressants : parce qu’ils nous renseignent sur un certain état esprit, qui était en vogue à une certaine époque, et qui a tout de même façonné les rapports entre les deux peuples... » (Le Vietnam à travers l’hebdomadaire illustré “Indochine” 1941-1944)
Hanoï, Imprimerie Taupin et Cie, 1941, in-4°, 16 pp, 26 gravures et photos sur 8 pl. hors texte, qqs dessins, publicités, broché, couv. illustrée, bon état. Peu courant
C’est en pleine Seconde guerre mondiale, le 12 septembre 1940 très exactement, qu’est paru le premier numéro d’ “Indochine”, un hebdomadaire illustré qui n’aura certes pas duré longtemps – le dernier numéro est daté de 1945 – mais qui aura suffisamment marqué les esprits. Politiquement favorable au général Decoux et au Gouvernement de Vichy, son intérêt est cependant capital pour la connaissance de l'Indochine dans les années 40. Les articles touchent à tous les sujets, sociaux, ethnologiques, historiques, artistiques et culturels. Les très nombreuses illustrations photographiques, sur les campagnes, les monuments modernes et anciens, les hommes et les coutumes, font de cette revue un important témoignage de la vie indochinoise de cette époque. “Indochine” était en fait une publication de l'association Alexandre de Rhodes. De nombreuses figures de proue de l’École française d’Extrême-Orient y ont publié des articles. Louis Malleret, Paul Lévy, Louis Bezacier, Paul Boudet, Nguyên Van Huyên, Duong Quang Hàm, Nguyên Tiên Lang, Dang Phuc Thông, Trân Van Giap... « Il y avait sans doute une volonté sincère, de leur part, d’établir des liens entre Français et Vietnamiens », constate Vu Trong Dai. « Mais il y a quand même beaucoup de paternalisme là-dedans... Ils sont prêts à vanter les charmes des cultures qu’ils côtoient, mais sans oublier d’y aller de leur petit couplet sur la mission civilisatrice de la France qui et que… Ils essaient de se réapproprier notre histoire et notre culture... C’est du reste en ça que tous ces articles sont intéressants : parce qu’ils nous renseignent sur un certain état esprit, qui était en vogue à une certaine époque, et qui a tout de même façonné les rapports entre les deux peuples... » (Le Vietnam à travers l’hebdomadaire illustré “Indochine” 1941-1944)
INFIELD (Henrik), Henri DESROCHE, Koka FREIER et Clarence SENIOR.
Reference : 76040
(1956)
Editions de Minuit, 1956, in-8°, 135 pp, 26 gravures et photos sur 16 pl. hors texte, biblio, broché, bon état (Coll. Bibliothèque Internationale de Sociologie de la Coopération). Peu courant
"Après avoir retracé l'évolution des modes d'exploitation, les auteurs examinent de façon détaillée le fonctionnement des coopératives d'exploitation qui se sont établies en grand nombre après la réforme agraire de 1917, faisant revivre les communautés de village pré-colombiennes pour donner aux paysans misérables la possibilité d'utiliser les techniques de culture moderne." (Revue française de science politique, 1957) — L'Introduction, sous la plume de H. Desroche, a pour thème : « Propriété privée et propriété collective dans l'histoire sociale de la paysannerie mexicaine. » L'étude de H. Infield et K. Freier porte sur « Les Hommes des Ejidos. Journal de voyage à travers les coopératives communautaires rurales du Mexique moderne ».
Bucarest, 1940, in-8°, 16 pp, 2 cartes, broché, bon état
Communication préparée pour le XIVe Congrès International de Sociologie, qui devait avoir lieu à Bucarest en août-septembre 1939.
P., Gamber, 1929, gr. in-8°, 100 pp, + 72 planches hors texte, broché, bon état
I. Eglises de bois ; chansons premières. II. Architecture en briques : emprunts à Bizance et aux Serbes. III. Art moldave sous Etienne-le-Grand. Chronique de guerre. IV. Art et littérature du XVIe siècle. V. Le XVIIe siècle. VI. Les XVIIIe et XIXe siècles.
Editions Soline, , 2000, in-4°, 192 pp, 200 photographies, peintures et dessins en noir et en couleurs, glossaire, index, cart. illustré de l'éditeur, jaquette illustrée, bon état
P., Société de l'histoire des colonies françaises, 1932, in-8°, 20 pp, broché, bon état. Introduction en anglais (11 pp) suivie de la bibliographie. Peu courant
P., Editions Karthala, 1989, gr. in-8°, 269 pp, avant-propos de Claude-Hélène Perrot, 23 gravures sur 16 pl. hors texte, broché, couv. illustrée, bon état
Hachette Réalités, 1980, gr. in-8°, 393 pp, 68 photos en noir dans le texte et 12 pl. de photos en couleurs hors texte, index bibliographique, reliure simili-cuir éditeur, jaquette illustrée, très bon état
Un panégyrique à la gloire de Saddam Hussein, avec de nombreuses photos en compagnie des grands du monde entier.
Fernand Nathan, 1979, in-4° (25 x 33,5), 192 pp, avant-propos de Miguel Angel Asturias, importante et superbe iconographie (environ 150 photographies en couleurs + plans et figures en noir), biblio, tableau chronologique, glossaire, index, reliure toile verte de l'éditeur, titre doré au dos, jaquette illustrée, bon état (Coll. Merveilles du Monde)
Les Mayas (maya signifie maïs, céréale qui tient une place primordiale dans les mythologies précolombiennes et dans la vie quotidienne des Mayas au point qu'ils se sont désignés eux-mêmes comme des « hommes de maïs » depuis une très haute antiquité) constituent une groupe culturel varié d'Amérindiens vivant dans le sud du Mexique et le nord de l'Amérique centrale (Guatemala, Belize, avec de petites minorités au Honduras et au Salvador). C'est dans un récit simple accompagné de photographies éblouissantes que le monde maya nous est dévoilé avec ses croyances religieuses et rituelles, son agriculture et son commerce, sa vie sociale, politique et quotidienne, ses réalisations scientifiques en matière d'astronomie et le développement du calendrier, du langage, de la littérature, de l'art et de l'architecture. Des extraits d'écrits indigènes sacrés et historiques fournissant un aperçu rare de la civilisaion ainsi qu'elle était vécue par le peuple maya lui-même, complètent ce témoignage de la grandeur des Mayas.
P., Armand Colin et SEVPEN, 1955-1960, 2 vol. in-8°, (6)-451 et viii-579 pp, copieux index, reliures demi-basane carmin à coins, dos à 4 nerfs soulignés à froid, titres dorés, filets à froid sur les plats (rel. de l'époque), pt accroc en tête du tome II, bon état (Bibliothèque générale de l'Ecole Pratique des Hautes Etudes, VIe section). Rare
"Le Journal d'un Bourgeois du Caire est dû à Ibn Iyâs et, dans l'oeuvre de G. Wiet, forme la suite de l'Histoire des Mamlouks Circassiens, t. II, éditée en 1945 par l'Institut français d'archéologie orientale du Caire et relatant les évènements entre les années 1467 et 1500. Les présents volumes traitent du début du XVIe siècle jusqu'en novembre 1522, époque capitale puisqu'elle prépare la fin des sultans mamlouks et consomme la décadence de la puissance égyptienne. Le premier volume s'arrête avant la victoire de Selim Ier à Merdj Dabiq (près Alep) sur les troupes du sultan d'Egypte Malik Ashraf, de son vrai nom Qun-suh al-Ghûri, qui y trouva la mort. Après cette victoire amenée par la défection de l'aile droite d'Al-Ghûri, les Ottomans ne devaient pas tarder à mettre la main sur l'Egypte. Ibn Iyâs nous montre Malik Ashraf se débattant dans les difficultés financières les plus graves qui entraînaient la désaffection de ses troupes et l'hostilité de ses sujets. C'est que la découverte de Vasco de Gama amenait une perte considérable pour le commerce égyptien. Encouragé, dit-on, par les Vénitiens, le sultan organisa une flotte qui inquiéta les Portugais sur les côtes des Indes. L'état des finances égyptiennes accule le sultan d'Egypte aux expédients les plus fâcheux. Il pressure les marchands et les pensionnés, supprime la solde des mamlouks les plus anciens, dépouille les fondations pieuses, abaisse le titre de la monnaie. La vénalité des charges ne développe pas la moralité des fonctionnaires qui se rattrapent sur le particulier. Les conséquences ne tardent pas à se faire sentir. Les mamlouks en arrivent même à se plaindre moins du retard de leur solde qu'à réclamer « l'abolition des taxes mensuelles et hebdomadaires qui pèsent sur les petits boutiquiers, sur toutes les denrées, si bien qu'ils ne trouvent plus à manger... la suppression de toutes les mesures arbitraires, les confiscations par exemple (p. 447) ». A la fin de 1515, un grand fonctionnaire s'était enfui auprès de Selim Ier, excitant ce dernier contre les actes tyranniques du sultan d'Egypte, le mettant au courant des abus et de la situation financière, le renseignant sur l'armée d'Egypte. « II l'encouragea vivement à envahir l'Egypte, en lui présentant l'opération comme aisée » (p. 435). Ainsi fut fait. Du même coup la dynastie circassienne disparut et le commerce des Portugais ne fut plus inquiété." (René Dussaud, Syria, 1955)
P., Editions Karthala, 1985, gr. in-8°, 164 pp, 2 cartes, généalogie royale du Yatenga, chronologie, biblio, lexique, broché, couv. illustrée, bon état
"On se réjouira de trouver enfin accessibles au grand public ces travaux si complets et si précis du spécialiste français des Mossi. Cet ouvrage se présente sous la forme d'une chronique des divers règnes depuis l'origine (fin du XVe siècle) jusqu'à la fin de l'indépendance du royaume avec la mise en place du protectorat français (1895). L'épilogue nous mène jusqu'en 1912. (...) Il s'agit pour une part d'histoire événementielle, avec une reconstitution minutieuse de la chronologie et des portraits pittoresques comme celui de Naba Kango (qui, chassé du trône par un usurpateur, y remonte en force) ; mais il s'agit aussi d'une histoire moderne qui prend en compte le quotidien et tâche de chiffrer toutes les données politiques et économiques, comme le taux annuel de création de maîtrises de terre ou de quartiers de forgerons. (...) Un lexique et des cartes complètent utilement ce précis de l'histoire du Yatenga." (Philippe Laburthe-Tolra, Revue française d'histoire d'outre-mer, 1988)
Beyrouth, Publication de l'Université libanaise, 1985, pt in-4°, xx-298 pp, broché, bon état
Lausanne, 1950, gr. in-8°, 128 pp, 4 gravures hors texte, biblio, broché, bon état. Rare
Sainte-Croix est une commune du Jura-Nord vaudois. L'auteur nous offre d'abord une belle évocation du haut village vaudois au XVIIe siècle : l'état de la population et la lente évolution des moeurs, des coutumes et des institutions, à l'aide des comptes communaux. La seconde partie est consacrée à l'une des industries jurassiennes les plus typiques d'autrefois, l'exploitation des mines de fer et des forges de la contrée. Fruit de longues investigations dans les archives et dans les bibliothèques, cet ouvrage fournit d'abondants et précieux renseignements sur l'esprit d'entreprise des Vaudois et prouve à l'envi que cette région, à la fin du XVIIe siècle, était loin d'etre essentiellement agricole.
London, Longmans, 1966, in-4°, 136 pp, 184 gravures, photos et fac-similés en noir, 9 gravures en couleurs (en frontispice et sur 4 pl. hors texte), biblio, index, reliure toile rouge éditeur, jaquette illustrée, bon état
Laffont, 1974, in-8°, 237 pp, 8 pl. de photos hors texte, broché, couv. illustrée à rabats, bon état, envoi a.s.
East African Safari : 5 000 km dans la poussière et la boue de l'Afrique centrale. Rallye du Bandama : 5 000 km à travers la brousse et les marigots de la Côte d'Ivoire. Rallye du Maroc : 5 000 km de caillasse et d'oueds desséchés. World Cup Rallye : 10 000 km à travers les regs et les hammadas du Sahara. Et puis, la Panafricaine. Elle met pratiquement bout à bout les itinéraires de ces quatre redoutables épreuves. Elle cumule toutes leurs difficultés sur 25 000 km de pistes infernales, pour joindre Tunis à Marrakech en passant par Brazzaville et Abidjan. C'est le plus long raid automobile jamais imaginé. Le plus dur et le plus exaltant. Un défi insensé. Trois cents équipages prennent le départ aux portes du désert. Combien parviendront au terme de l'épreuve ?
P., Michel Lévy, 1861, in-12, 330 pp, reliure demi-toile rouge, dos lisse avec titres dorés et filets à froid (rel. de l'époque), reliure défraîchie, traces de mouillures marginales, état correct
Edition originale, unique et peu commune, de cette bonne synthèse, due au chartiste Alfred Jacobs, des dernières relations de voyage et des connaissances de l'époque sur l'Océanie. Table : L'Australie colonisée ; Les mines ; L'Australie sauvage et les récentes explorations ; La Tasmanie ; La Nouvelle-Zélande ; Occupation de la Nouvelle-Calédonie par la France ; Taïti et les Marquises ; Les Sandwich ; Les coolies chinois ; Les Chinois dans le Pacifique ; Le bouddhisme ; Le bouddhisme contemporain ; Nouveaux chemins du Pacifique.
Tallandier, 2000, in-8°, 296 pp, une carte, sources, broché, couv. illustrée, bon état
Gentilhomme des mers imprégné de L'esprit des Lumières, Lapérouse est l'une des plus grandes figures de la marine française. Il participa à la guerre d'indépendance américaine et fut chargé par Louis XVI d'effectuer avec deux navires, "La Boussole" et "L'Astrolabe", un grand voyage où étaient prévues, entre autres, la reconnaissance des côtes de l'Alaska et une nouvelle exploration du Pacifique. Le 1er août 1785, les deux navires quittent Brest, ils se dirigent vers le cap Horn, abordent, huit mois plus tard, L'île de Pâques puis explorent Les îles Hawaï, Les côtes de l'Alaska, celles de la Californie, sillonnent les mers de Chine et du Japon, se dirigent, en novembre 1787, vers les îles Samoa où une partie de l'expédition est massacrée par les indigènes. Accablé par cette tragédie, Lapérouse fait lever l'ancre en direction de l'Australie et fait escale à "Botany Bay" (Sydney), alors occupé par les Anglais. Dans une précédente lettre adressée en France Le 7 février 1788, il précise qu'il souhaite visiter les îles Tonga, la Nouvelle-Calédonie, les îles Salomon, la Nouvelle-Guinée, l'Australie. Ce sera toutefois son dernier message puisque l'expédition disparaît peu après. Plusieurs recherches seront entreprises pour retrouver des traces des navires et tenter en vain de percer le mystère de ces disparitions. Quarante ans plus tard, Dumont d'Urville retrouvera des structures de l'épave de "L'Astrolabe". D'autres expéditions se succéderont jusqu'à nos jours avec une fascination croissante. En 1964, l'amiral de Brossard situera avec précision le lieu du naufrage de "La Boussole". Mais y eut-il des survivants ? Et dans ce cas, quelle fut leur fin ? Quel bilan peut-on faire des découvertes du gentilhomme des mers ? C'est à toutes ces questions que l'auteur se propose de répondre, dans un livre haletant qui fait revivre l'esprit de la marine royale et l'attrait pour l'inconnu qui motiva cet homme au destin exceptionnel et mystérieux.
PUF, 1979, in-4°, 240 pp, préface de Jean Boisselier, 158 figures dans le texte, biblio, broché, bon état (Publications du Musée Guimet)
Comme l’indique le titre, l’auteur s’est appuyé sur les bas-reliefs de trois grands temples khmers pour étudier l’armée khmère de l’époque angkorienne. Un travail très détaillé et très documenté où Michel Jacq-Hergoualc’h s’intéresse dans les moindres détails à l’armement et à l’habillement des hommes, à l’organisation des différents corps d’armée (infanterie, cavalerie, éléphanterie, etc.), et aux rôles qui pouvaient être joués par les différentes composantes.
P., Garnier Frères, 1861, 2 vol. in-12, 432 et 442 pp, 5e édition accompagnée d'une carte nouvelle, reliures demi-chagrin carmin, dos à 4 nerfs, titres et caissons dorés, encadrements à froid sur les plats (rel. de l'époque), plat sup. du tome I sali, rousseurs éparses, sans la carte annoncée, bon état
Au lendemain de sa mort, survenue à Bombay en 1832, Victor Jacquemont remporta un des plus grands succès littéraires de l'époque par sa « Correspondance avec sa famille et plusieurs de ses amis pendant son voyage dans l'Inde (1828-1832) » qui eût de nombreuses éditions, fut traduite en plusieurs langues et subit même des contrefaçons. Prosper Mérimée qui avait été un de ses amis renouvela ce succès, en 1867 en publiant une « Correspondance inédite avec sa famille et ses amis (1824-1832) ».
La Colombe, 1961, in-8°, 318 pp, introduction et notes d’André Lebois, une carte hors texte, broché, bande éditeur conservée, bon état
P., Leroux et Masson, 1933, in-8°, xxiv-467 pp, un portrait gravé de Jacquemont en frontispice, broché, bon état (Coll. Bibliothèque d'histoire coloniale)
Séjour à Calcutta. De Calcutta à Delhi (novembre 1829 à mars 1830). Dans l'Himalaya et le Thibet (avril 1830 à janvier 1831). — "L'oeuvre de Jacquemont (1801-1832) reste parfaitement sous-estimée. Son voyage dans l'Inde, plus de trois mille cinq cent pages, sa correspondance – des centaines de lettres – ont été éditées en grande partie entre 1833 et 1844 – avec de nombreuses « retouches » et coupures. Des extraits de son voyage ont été édités en 1933 et 1934. (...) L'ensemble est devenu rare et ses oeuvres mériteraient une réédition complète et critique." (Olivier Herrenschmidt, Dictionnaire des orientalistes, 2012)
P., Société de l'Histoire des colonies françaises et Leroux, 1934, in-8°, xxviii-168 pp, une carte et 8 pl. de gravures hors texte, reliure demi-toile de bibl., dos lisse avec titres dorés, C. de bibl., bon état (Coll. Bibliothèque d'histoire coloniale)
Dans le Rajpoutana ; Dans le Malwa ; Dans le Deccan ; Pouna ; La fin du voyage. Mort de Jacquemont. — "L'oeuvre de Jacquemont (1801-1832) reste parfaitement sous-estimée. Son voyage dans l'Inde, plus de trois mille cinq cent pages, sa correspondance – des centaines de lettres – ont été éditées en grande partie entre 1833 et 1844 – avec de nombreuses « retouches » et coupures. Des extraits de son voyage ont été édités en 1933 et 1934. (...) L'ensemble est devenu rare et ses oeuvres mériteraient une réédition complète et critique." (Olivier Herrenschmidt, Dictionnaire des orientalistes, 2012)
JACQUET (Philippe), René NOËL et Guy PHILIPPART (dir.).
Reference : 101905
(2005)
ISBN : 9782870374894
Presses Universitaires de Namur, 2005 gr. in-8°, 356 pp, qqs illustrations, broché, couv. illustrée, bon état
Dans ce volume, le lecteur trouvera treize articles qui éclairent le passé namurois d'un jour nouveau. Les uns traitent de sujets qui n'ont guère été évoqués jusqu'ici. Les autres renouvellent nos connaissances sur des questions déjà abordées par l'historiographie. Tous se focalisent sur un même espace dont l'évolution est retracée d'entrée de jeu : la ville de Namur. Selon ses centres d'intérêt, chacun y trouvera matière à découvertes, pour le Moyen-Age, les Temps modernes et la période contemporaine. L'éventail des domaines couverts est large : histoire religieuse, économie, structures sociales, gouvernement et institutions, vie intellectuelle et artistique...