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Phone number : 01 43 54 43 61 La Pierre-qui-Vire, Zodiaque, 1982, gr. in-8°, 376 pp, 3e édition, 152 héliogravures hors texte, 5 pl. en couleurs hors texte, plans, reliure toile éditeur, jaquette illustrée (pelliculage de la jaquette lég. décollé), soulignures crayon sur les 20 premières pages, bon état (la Nuit des temps, 16)
"Ce livre a la netteté et la clarté qui conviennent au sujet dont il traite. Il est également, ce qui explique ses qualités, l'œuvre d'hommes qui par leur vocation, leur vie et leurs travaux sont mieux à même que quiconque de dégager l'esprit qui imprègne l'art monastique en général, et plus particulièrement l'aspect exceptionnel que revêt l'art cistercien. Il s'agit de dom Angelico Surchamp, religieux bénédictin, et, pour la majeure partie de l'ouvrage, du r.p. Marie-Anselme Dimier, religieux cistercien, auteur de nombreux et remarquables travaux sur l'histoire, l'expansion et l'architecture de l'Ordre auquel il appartient. Les dernières pages du livre, consacrées aux manuscrits, ont été demandées à M. Jean Porcher, éminent spécialiste en la matière. Nous sommes ici pourvus de douze monographies solides et claires s'appliquant aux ensembles majeurs, entendons ceux qui nous sont parvenus. Le choix de ceux-ci ne pouvait être imprévisible ; cependant, des abbayes relativement peu connues comme l'Escale-Dieu, Léoncel ou Flaran sont mises ici très légitimement à l'honneur. On trouvera également, en tête de l'ouvrage, trente-six notices brèves consacrées trop souvent, hélas, à une manière de nécrologe dans lequel sont évoquées les abbayes mutilées dont certaines, ne seraient-ce que Cîteaux et Clairvaux, devraient revêtir, sans la stupidité des hommes, une importance capitale. Ces notices sont intelligemment présentées dans l'ordre historique, un index alphabétique permettant de retrouver aisément chacune d'elles. Tout cela, disions-nous, est clair, net, sans fioritures ni vaine littérature..." (René Crozet, Cahiers de Civilisation Médiévale, 1963)
La Pierre-qui-Vire, Zodiaque, 1962, gr. in-8°, 356 pp, 150 héliogravures hors texte, 4 pl. en couleurs hors texte, cartes et plans, reliure toile éditeur, sans la jaquette, bon état (la Nuit des Temps, 16)
"Ce livre a la netteté et la clarté qui conviennent au sujet dont il traite. Il est également, ce qui explique ses qualités, l'œuvre d'hommes qui par leur vocation, leur vie et leurs travaux sont mieux à même que quiconque de dégager l'esprit qui imprègne l'art monastique en général, et plus particulièrement l'aspect exceptionnel que revêt l'art cistercien. Il s'agit de dom Angelico Surchamp, religieux bénédictin, et, pour la majeure partie de l'ouvrage, du r.p. Marie-Anselme Dimier, religieux cistercien, auteur de nombreux et remarquables travaux sur l'histoire, l'expansion et l'architecture de l'Ordre auquel il appartient. Les dernières pages du livre, consacrées aux manuscrits, ont été demandées à M. Jean Porcher, éminent spécialiste en la matière. Nous sommes ici pourvus de douze monographies solides et claires s'appliquant aux ensembles majeurs, entendons ceux qui nous sont parvenus. Le choix de ceux-ci ne pouvait être imprévisible ; cependant, des abbayes relativement peu connues comme l'Escale-Dieu, Léoncel ou Flaran sont mises ici très légitimement à l'honneur. On trouvera également, en tête de l'ouvrage, trente-six notices brèves consacrées trop souvent, hélas, à une manière de nécrologe dans lequel sont évoquées les abbayes mutilées dont certaines, ne seraient-ce que Cîteaux et Clairvaux, devraient revêtir, sans la stupidité des hommes, une importance capitale. Ces notices sont intelligemment présentées dans l'ordre historique, un index alphabétique permettant de retrouver aisément chacune d'elles. Tout cela, disions-nous, est clair, net, sans fioritures ni vaine littérature..." (René Crozet, Cahiers de Civilisation Médiévale, 1963)
La Pierre-qui-Vire, Zodiaque, 1978, gr. in-8°, 344 pp, 155 héliogravures et 3 pl. en couleurs hors texte, très nombreux plans, index, reliure toile éditeur, jaquette illustrée, bon état (la Nuit des Temps, 49)
Nous avions déjà, dans la collection « Zodiaque », un Languedoc roman de Jacques Lugand, Jean Nougaret et Robert Saint-Jean ; il était centré sur le Languedoc méditerranéen. Le Haut-Languedoc est celui du Toulousain et de l'Albigeois – étendus jusqu'à Saint-Antonin, Varen et Lasplanques qui n'avaient pas trouvé place dans le Rouergue roman. Que le choix de Marcel Durliat s'imposât pour la rédaction de ce volume n'est que trop évident ; que les éditeurs de la Pierre-qui-Vire fussent d'emblée assurés d'un texte de premier ordre ne l'est pas moins. L'illustration ayant par ailleurs la qualité à laquelle cette collection nous a accoutumés, la réussite est assurément exemplaire. (Francis Salet, Bulletin monumental, 1979)
La Pierre-qui-Vire, Zodiaque, 1964, gr. in-8°, 260 pp, 2e édition, 88 héliogravures et 6 pl. en couleurs hors texte, cartes et plans, index, reliure toile éditeur, jaquette illustrée, bon état (la Nuit des Temps, 7)
"Nul n'était plus qualifié que M. Marcel Durliat pour conduire cette étude. Depuis plusieurs années, en effet, il s'est entièrement consacré à l'art roman en Roussillon ; il a patiemment et inlassablement fouillé les richesses ; toutes ses recherches, tous ses travaux ont été orientés dans ce sens et les nombreuses publications qu'il a déjà donnée sur la sculpture, la peinture murale, les manifestations de la civilisation sont significatives d'une activité productrice qui lui a permis d'embrasser le problème de l'archéologie médiévale dans son ensemble et d'en saisir les véritables caractères. L'ouvrage s'ouvre sur une vue générale de l'art roman en Roussillon, suivie d'un aperçu très rapide sur une trentaine d'églises. Et puis, fidèle aux formules particulières adoptées par les éditeurs, l'auteur ne les étudie pas individuellement dans le détail, mais choisit simplement les plus typiques, celles qui, par elles-mêmes, traduisent une originalité de style ou permettent de suivre une évolution architecturale et sculpturale. Celles-ci sont encore présentées suivant la conception adoptée pour les divers ouvrages de la collection, avec un aperçu général, une notice historique, un plan de visite suivant un itinéraire intelligemment conçu et une illustration photographique. (...) Tout est à retenir et à méditer dans ce beau livre, depuis les descriptions objectives, les aperçus concrets, les hypothèses savamment appuyées sur des arguments chronologiques et techniques, jusqu'aux planches photographiques, saisissantes de netteté et de vie et qui traduisent encore, par leur éclectisme et la pureté de leurs lignes ce que l'auteur a si heureusement exposé en style simple et concis, sans cesse relevé par une sûreté de vues et une érudition qui n'est jamais en défaut." (André Dupont, Annales du Midi, 1959) — "Cet ouvrage, très important et nouveau lorsqu'il fut écrit, continue d'être indispensable à toute étude sur le Roussillon à l'époque romane." (Xavier Barral i Altet, Bulletin Monumental, 1974)
La Pierre-qui-Vire, Zodiaque, 1977, gr. in-8°, 427 pp, 140 héliogravures et 6 pl. en couleurs hors texte (photographies inédites de Zodiaque), 110 figures, 5 cartes et un plan dans le texte, biblio, reliure toile éditeur (très lég. salie), jaquette illustrée (lég. défraîchie), bon état (la Nuit des Temps 47)
"Disons tout de suite que ce livre est excellent. On sait que sous le nom de mozarabes on désigne les chrétiens d'Espagne vivant sous la domination musulmane, qui ont conservé leurs églises, leur clergé, leur liturgie. Trop longtemps les créations artistiques de l'islam andalou ont caché la réalité d'un art chrétien qui s'est exprimé non seulement dans les pays soumis aux Arabes, mais dans les régions au nord du Tage et du Duero, dans des régions frontières ou reconquises par les rois chrétiens, régions de refuges pour des communautés monastiques venues du sud. En fait, c'est surtout là que nous trouvons des édifices encore debout. J. Fontaine a défini heureusement cet art composite qui s'exprime différemment selon les régions. Il n'a pas seulement étudié les grands monuments tels San Miguel de Escalada, San Millan de la Cogolla, etc., mais il recherché la moindre église perdue dans la montagne et les églises rurales qui ont été fondées dans les Pyrénées aragonaises et dans la Catalogne..." (Pierre Riché, Annales ESC, 1980)
La Pierre-qui-Vire, Zodiaque, 1965, pt in-4°, 204 pp, 2e édition, 77 héliogravures en noir et 2 pl. en couleurs hors texte, reliure toile éditeur, jaquette illustrée, bon état (Coll. Les Points Cardinaux, 1)
La Pierre-qui-Vire, Zodiaque, 1964, gr. in-8°, 305 pp, 112 héliogravures hors texte, 16 pl. en couleurs hors texte, 8 pl. documentaires hors texte, 41 figures, cartes et plans, index, reliure toile éditeur, jaquette illustrée, bon état (la Nuit des Temps 19)
"Les lecteurs des Études Celtiques connaissent bien les travaux de Mlle Henry sur l’art irlandais, et qui font d’elle le maître incontesté en la matière. Le très bel ouvrage en trois volumes, publié aux éditions Zodiaque, qu’elle nous donne maintenant, est le digne couronnement de cette oeuvre. Nous avons là une somme magistrale, qui traite de l’art irlandais dans son ensemble depuis la préhistoire jusqu’à l’invasion franco-normande de la deuxième moitié du XIIe s. C’est bien, semble-t-il, l’œuvre définitive que nous attendions sur la question. Tous les aspects en sont étudiés avec la maturité approfondie du maître qui possède pleinement et domine largement son sujet, mais ne néglige aucun détail significatif. Une très vaste érudition lui permet de comparer les faits correspondants dans d’autres pays et d’autres écoles contemporaines. C’est donc ce nouvel ouvrage qu’il faudra désormais consulter en la matière. Ce livre ne s’adresse pas seulement aux érudits, il a été conçu pour initier un public beaucoup plus large à l’histoire de l’art irlandais. Les illustrations le rendent d’ailleurs particulièrement « parlant ». Les figures dans le texte sont largement employées, mais surtout les planches photographiques, d’une magnifique qualité, sont très nombreuses. Un éclairage habile y fait ressortir les reliefs et les volumes. Et un certain nombre de planches en couleurs permettent de saisir immédiatement la richesse de certaines décorations. Pour l’exposé de ses idées, Mlle Henry a adopté, avec raison, un cadre historique. Les trois volumes correspondent chacun à une période chronologique. Chacun d’entre eux commence par un exposé des circonstances historiques dans lesquelles l’art irlandais s’est développé à l’époque correspondante : au premier volume, avant les invasions des vikings ; au deuxième à l’époque des incursions des vikings, puis de la coexistence dans l’île des royaumes irlandais et des royaumes Scandinaves aux IXe et Xe s. ; au troisième, après la chute des royaumes vikings et jusqu’à l’invasion franco-normande de la 2e moitié du XIIe s. Dans chaque volume, les faits sont classés par chapitres concernant respectivement l’architecture, l’orfèvrerie, la sculpture, les manuscrits enluminés..." (E. Bachellery, Études celtiques, 1966)
[Zodiaque] – LUGAND (Jacques), Jean NOUGARET et Robert SAINT-JEAN.
Reference : 120877
(1975)
La Pierre-qui-Vire, Zodiaque, 1975, gr. in-8°, 421 pp, 158 héliogravures et 4 pl. en couleurs hors texte, très nombreux plans, index, reliure toile éditeur, jaquette illustrée, étui carton, bon état (la Nuit des Temps, 43)
La Pierre-qui-Vire, Zodiaque, 1984, gr. in-8°, 336 pp, 162 héliogravures hors texte, 4 pl. en couleurs hors texte, plans, cartes, index, reliure toile éditeur, jaquette illustrée, qqs soulignures crayon, 6 mots surlignés dans l'index, bon état (la Nuit des temps, 61)
[Zodiaque] – MAURY (Jean), Marie-Madeleine S. GAUTHIER, Jean PORCHER.
Reference : 124280
(1960)
La Pierre-qui-Vire, Zodiaque, 1960, gr. in-8°, 320 pp, 2e édition, 102 héliogravures et 19 pl. en couleurs hors texte, cartes et plans, reliure toile éditeur, jaquette illustrée, bon état (la Nuit des Temps 11)
La Pierre-qui-Vire, Zodiaque, 1967, gr. in-8°, 341 pp, 145 héliogravures hors texte, 4 pl. en couleurs hors texte, nombreux plans, index, reliure toile éditeur, jaquette illustrée, bon état (la Nuit des Temps 25)
Cet ouvrage de L. Musset traite de la basse Normandie (Calvados, Manche, Orne). L'ouvrage ne se limite pas aux édifices célèbres, comme ceux de Caen, mais passe aussi en revue beaucoup d'églises habituellement négligées par les ouvrages à grand tirage. Le texte apporte une documentation sûre et une masse d'informations neuves, peu connues ou récemment acquises, présentées avec modestie, et de façon toujours attrayante pour le non-spécialiste.
La Pierre-qui-Vire, Zodiaque, 1986, gr. in-8°, 328 pp, 8e édition, 133 héliogravures et 10 pl. en couleurs hors texte, carte, nombreux plans, index, reliure toile éditeur, jaquette illustrée, sous étui carton, bon état (la Nuit des Temps, 1)
Dijon, Tournus, Cluny, Berzé-la-Ville, Paray-le-Monial, Saulieu, Autun, Vézelay, portraits du Brionnais.
La Pierre-qui-Vire, Zodiaque, 1968, gr. in-8°, 304 pp, 129 héliogravures et 8 pl. en couleurs hors texte, plans, reliure toile éditeur, jaquette illustrée, étui carton, bon état (la Nuit des Temps 27)
Par Jean Secret, parfait connaisseur du patrimoine religieux de la Dordogne, un guide pour parcourir une région à la manière des pèlerins ou des troubadours d'autrefois et découvrir les témoins architecturaux de ce monde roman des XIe et XIIe siècles.
La Pierre-qui-Vire, Zodiaque, 1965, gr. in-8°, 473 pp, 163 héliogravures en noir sur 136 planches hors texte, 2 pl. en couleurs hors texte, nombreux dessins de dom Wenceslas Bugara, index analytique, reliure toile éditeur, sans la jaquette, bon état (Introductions à la Nuit des Temps 1)
La Pierre-qui-Vire, Zodiaque, 1965, gr. in-8°, 351 pp, préface de Hans Haug, 155 héliogravures et 4 pl. en couleurs hors texte, plans, reliure toile éditeur, jaquette illustrée, étui carton, bon état (la Nuit des Temps 22)
"Ce vingt-deuxième volume de la collection, dont la large diffusion contribue à raffermir le goût de l'art roman, mérite, pour son texte, des éloges particuliers ; ouvrage scientifique dans le plein sens du mot, L'Alsace romane dépasse, par sa documentation et par le caractère de ses « notices », la formule primitive de la collection, qui est de bonne vulgarisation. Ce livre est l'ouvrage le plus considérable en langue française sur ce sujet. Ainsi que l'exigeait la formule de la collection, un choix fut opéré parmi les monuments romans d'Alsace, sept seulement ayant été retenus pour donner des monographies largement illustrées (Ottmarsheim, Eschau, Epfig, Murbach, Marmoutier, Rosheim et Sainte-Foy de Sélestat). Mais des « notes » préliminaires ajoutent trente monographies abrégées et une dernière partie, intitulée « fragments divers » (p. 253-334), fait état de quatre monuments encore ; à quoi s'ajoutent des notices sur des œuvres de ferronnerie, d'orfèvrerie et de peinture sur verre. Ainsi, à part les manuscrits enluminés, l'ensemble de l'art en Alsace entre le Xe et le XIIIe siècle est analysé dans ses œuvres essentielles, situées dans la chronologie et le contexte historique. Chacune des « notices » de ce volume, quelle que soit sa longueur, est le fruit de constatations et de réflexions personnelles de l'auteur et non le simple « état de la question » résumant la bibliographie..." (Louis Grodecki, Bulletin Monumental, 1966)
Hachette, 1964, pt in-8°, 399 pp, une carte dépliante hors texte, cart. éditeur, jaquette illustrée
PUF, 1954, in-8°, 344 pp, notice bibliographique, index, broché, bon état
"On connaît l'intelligente et précise “Histoire littéraire de la France médiévale” de Paul Zumthor." (Georges Duby, Annales ESC, 1958)
P., Eugène Figuière, s.d. (1932), in-12, 220 pp, broché, bon état
L'histoire de Jeanne d'Arc mise en vers par un conseiller à la Cour d'appel de Pondichéry. Pierre Énim est le pseudonyme du Guadeloupéen Daniel Lasocki, né en 1876 à Pointe-à-Pitre, qui s'ajoute ainsi à la longue liste de ceux qui ont rimé la grande épopée de la petite Lorraine de Domrémy. Une curiosité.