8, rue Bréa
75006 Paris
France
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Phone number : 01 43 54 43 61 P., L'Edition d'art H. Piazza, 1933-1935, 3 vol. in-8°, 162, 164 et 182 pp, 48 aquarelles en couleurs dans le texte et hors texte par Louis Willaume, André de Doba et Charles Samson, reliures demi-basane bordeaux à coins, dos à 2 faux-nerfs filetés, fleuron et titres dorés, têtes bordeaux, signets, couv. conservées, reliures signées (rel. de l'époque), bon état
Premier volume : Jardins, quais et fontaines. 16 illustrations en couleurs de Louis Willaume. Deuxième volume : Eglises et vieux logis. 16 illustrations en couleurs d'André de Doba. Troisième volume : Monuments. 16 illustrations en couleurs de Charles Samson. Un quatrième volume (La vie à Paris par G. Lecomte), annoncé, n'a jamais paru. Ensemble rare en reliure uniforme.
P., J. Rothschild, 1891, in-8°, xvi-639 pp, 300 illustrations, portraits et plans en noir dans le texte et hors texte, broché, couv. illustrée, dos factice, état correct. Edition originale
Excellent et très érudit livre sur le Quartier des Halles à Paris, en particulier sur les demeures seigneuriales qui ont précédé l'hôtel de Soissons où vécut Catherine de Médicis. — Table des matières : Histoire du quartier de la Halle au blé. Topographie du quartier de la Halle au blé. Notes et documents historiques. Plans chronologiques. Noms et sceaux de tous les propriétaires des hôtels. Bibliographie. Appendice et pièces justificatives. Table analytique des matières. — "M. Piton a dû se borner, par suite de l'abondance des documents, à nous faire l'histoire de l'emplacement qu'occupaient la Halle au blé et ses environs immédiats. L'origine de ce quartier remonte au XIIe siècle. C'est en effet à cette époque que l'on trouve la mention de plusieurs maisons, telles que celle des seigneurs de Nesle, et c'est le récit des transformations successives de cette maison illustre que M. Piton s'est surtout attaché à nous retracer. Le premier propriétaire connu est Jean Ier, de Nesle en Picardie. La maison de Nesle devait être de quelque importance, car Louis IX la convoita pour y loger sa mère, la reine Blanche. C'est ainsi que cet hôtel devint, très légitimement, la propriété des rois de France, jusqu'au jour où Philippe de Valois le donna au roi de Bohême Jean de Luxembourg. A la fin du XIVe siècle, l'hôtel de Nesle devient l'hôtel d'Orléans. Mais le duc d'Orléans est assassiné en 1407... Un siècle passe sur l'hôtel d'Orléans, un instant devenu couvent pour abriter les pauvres Filles repenties, lorsque Catherine de Médicis, dont l'hôtel était voisin, mais trop à l'étroit, acheta cette antique demeure pour la faire abattre, et les bâtiments rasés firent place à des jardins qui vinrent à propos agrandir ceux de son hôtel. Devenu l'hôtel de Soissons au XVIIe siècle, il subsista jusqu'au milieu du siècle suivant. C'est, en effet, vers 1755 que fut décidée la construction d'une halle aux grains, ce qui fut fait sur l'emplacement du palais de Catherine... Telle est, résumée d'une façon très incomplète, l'histoire du quartier de la Halle au blé. Je regrette de ne pouvoir parler des notes, parfois si intéressantes, qui accompagnent le texte de cette consciencieuse monographie ; notes si abondantes qu'elles occupent les deux tiers du volume. Elles se trouvent réparties entre la Topographie historique, les Documents historiques suivis de plans, et les Pièces justificatives ; on aurait fort à faire de citer tous les noms de famille parisiens qui s'y trouvent mentionnés..." (A. Trudon des Ormes, Bibliothèque de l'École des chartes, 1892)
P., Ariane, 1946, in-8°, 399 pp, 1et plat de couverture et illustrations en noir de Marcel Capy dans le texte, 22 gravures sur 11 pl. hors texte, broché, couv. illustrée, bon état
Intéressant ouvrage qui retrace la vie théâtrale des Boulevards : L'Opéra sur les Boulevards (de Louis XVI à la chute de l'Empire) – L'ancienne Porte-Saint-Martin (De la Restauration à 1830) – La Citadelle du Romantisme (Sous Charles X et Louis-Philippe) – Les Derniers jours de la Vieille Porte-Saint-Martin (de la monarchie de Juillet à la Commune) – La Nouvelle Porte-Saint-Martin (de 1873 à nos jours). — "Le théâtre original de la Porte Saint-Martin, construit en deux mois sur l'ordre de Marie-Antoinette (1781), a duré 90 ans en tant qu'opéra, vaudeville et théâtre régulier. M. de Plunkett retrace l'histoire de cette célèbre maison principalement à travers des anecdotes, tantôt amusantes, tantôt tragiques, des acteurs et surtout des actrices qui ont gratifié ses planches. Parmi les plus remarquables, citons Mlle Mars, favorite de Napoléon, le clown Deburau, Frederick Lemaitre, le plus grand des comédiens, et d'autres. M. de Plunkett relate les batailles théâtrales du passé, en particulier les duels du XIXe siècle entre les classiques fortifiés dans la Maison de Molière et les romantiques mis en scène à la Porte Saint-Martin. Ce n'est qu'après la première guerre mondiale que les expérimentateurs contemporains, dont H.-J. Lenormand, ont été produits à la Comédie ; la Porte St-Martin a été beaucoup plus accueillante pour les jeunes. C'est là que Cyrano, Chantecler et L'Aiglon ont été produits pour la première fois au début du XXe siècle. Tout au long des 160 années recensées ici, les nombreux directeurs et leurs troupes ont maintenu ce théâtre populaire en prise directe avec son temps : révolutions, empires, républiques, se succèdent ; mais l'art, en France du moins, vit et prospère." (Winifred Smith, Books Abroad, 1948)
Armand Colin, 1908, in-12, 286 pp, reliure demi-chagrin vert, dos à 4 faux-nerfs, titres et caissons dorés très ornés, tranches dorées, encadrements à froid sur les plats, fer doré de la Ville de Paris au 1er plat (rel. de l'époque), bon état. Edition originale
"Dans ce volume, M. Poëte a voulu mettre à la portée du grand public les résultats des travaux auxquels a donné lieu l'histoire de Paris des origines à l'année 1180 et en tirer quelques vues nouvelles sur la formation de l'agglomération parisienne. Il a surtout insisté sur l'intérêt que présente l'étude du sol sur lequel s'est développée cette agglomération, idée juste et féconde." (Revue Historique, 1908) — Table : Paris à la haute époque gallo-romaine ; à la basse époque gallo-romaine ; au VIe siècle ; aux âges mérovingien et carolingien ; Paris et les invasions normandes ; La formation féodale de Paris par les établissements religieux ; Saint-Germain-des-Prés, élément formateur de Paris ; La Cité aux XIe et XIIe siècles ; La rive droite aux XIe et XIIe siècles ; La rive gauche aux XIe et XIIe siècles ; La collectivité parisienne ; Paris, centre intellectuel et artistique (XIIe siècle).
P., Auguste Picard, 1927, gr. in-8°, (4)-338 pp, broché, pt annotation stylo au 1er plat, bon état
Tome II seul (sur 4, dont un album de 600 illustrations légendées).
P., Auguste Picard, 1925, gr. in-8°, xxviii-547 pp, 152 pages de texte et 597 illustrations d'après des gravures ou des photographies, broché, dos lég. abîmé, couv. lég. salie, état correct
600 gravures légendées. Cet album constitue le quatrième et dernier volume de l'ouvrage complet.
Berger-Levrault, 1962, pt in-8°, 343 pp, 21 illustrations hors texte, index, reliure toile éditeur, rhodoïd, bon état
Perrin, 1979, in-8°, 371 pp, 16 pl. de gravures et photos hors texte, notes, biblio, broché, couv. illustrée, bon état
Depuis sa construction en 1718 jusqu'à nos jours, l'Elysée n'a connu que des occupants illustres : grand seigneurs, favorites, princes, empereurs et, bien sûr, les vingt présidents de nos cinq républiques. Ces hôtes y ont écrit certaines des plus grandes pages de l'histoire de France. Ils y ont aussi vécu une vie familière riche d'épisodes tragiques ou pittoresques, voire burlesques... — "Bâti sous la Régence par le comte d'Evreux, demeure parisienne de Mme de Pompadour, le palais de l'Elysée a été mêlé très tôt à la vie politique française. Il est devenu un « lieu de mémoire » selon l'expression de Pierre Nora. Murat l'habita, Napoléon y signa son abdication, mais surtout, depuis le prince-président, l'Elysée est le centre nerveux de la République. Tous les présidents à partir de la Ille y résidèrent. C'est là que depuis plus de cent ans s'écrit l'histoire de la France. Georges Poisson nous conte avec éclat la vie de ce palais et de ses hôtes. Cela nous vaut un ouvrage foisonnant de renseignements précieux sur tous ceux qui y « régnèrent », d'Adolphe Thiers à Valéry Giscard d'Estaing. Les grands événements vus des coulisses. C'est passionnant." (Lectures)
Berger-Levrault, 1964, pt in-8°, 302 pp, 23 gravures, index des monuments et principaux artistes, reliure toile verte de l'éditeur, titres dorés au 1er plat et au dos, rhodoïd, bon état (Grand prix du Conseil général de la Seine)
Napoléon voulait une capitale majestueuse pour servir la gloire de son règne il la trouva tout naturellement dans Paris. Outre la rue de Rivoli, les deux arcs de triomphe, la colonne Vendôme, la Madeleine, la Bourse, la façade de la Chambre des députés, faut-il rappeler que nous lui devons l'achèvement de la Cour Carrée, les ponts des Arts et d'Iéna, douze fontaines, les rues de la Paix et de Castiglione, la place Saint-Sulpice, les catacombes... Cette ville que nous voyons vivre aujourd'hui, avec ses rues à trottoirs, ses quais, ses cimetières, ses marchés, son administration elle-même, est en partie sa création. Mais la personnalité de l'Empereur est telle que l'on ne peut étudier ses réalisations sans essayer de comprendre les motifs qui les ont inspirées. On rencontrera ici un Napoléon bien différent des champs de bataille : un Napoléon réfléchi, prudent et presque hésitant, écoutant les conseils, acceptant de modifier sa décision première ; un Napoléon héritier des traditions classiques de la fin du XVIIIe siècle, mais désirant également, comme Louis XIV, utiliser les monuments dans l'intérêt de l'Etat. Bien sûr, il est impossible de séparer les réalisations urbanistiques et architecturales des événements principaux de l'époque. Aussi trouvera-t-on également dans cet ouvrage de nombreux épisodes marquants de l'histoire parisienne de ce temps comme l'attentat de la rue Saint-Nicaise, le Sacre ou le mariage autrichien. A travers l'histoire, souvent pittoresque, des projets et des réalisations de l'Empereur, le lecteur découvrira l'intérêt passionné porté par Napoléon à la vie, au développement et à l'embellissement d'une cité qu'il voulait éblouissante. — "A propos d'un récent ouvrage de la comtesse Biver sur les embellissements que Napoléon 1er a apporté à la ville de Paris, nous signalions qu'aucun souverain français n'avait, au cours de son règne agrémenté ou enrichi la ville d'autant de ponts, arcs de triomphe, colonnes, fontaines, abattoirs, et autres monuments utiles. C'est également l'opinion que M. Georges Poisson vient d'exprimer, avec preuves à l'appui, dans un charmant ouvrage illustré et relié consacré à Napoléon et Paris. Sur le Paris consulaire et impérial, sur les projets et la réalisation de la voie triomphale est-ouest, sur l'âge d'or des fontaines parisiennes, les ponts, les églises rouvertes et rendues au culte, sur les marchés, le Louvre, comme sur cet éléphant de la place de la Bastille dans le ventre duquel Victor Hugo hébergera le Gavroche des Misérables, on trouve en cet élégant volume maintes preuves de l'intérêt constant porté à l'embellissement de la capitale par celui qui en fut le premier empereur." (André Gavoty, Revue des Deux Mondes, 1964)
Genève, Minerva, 1998, gr. in-8°, 463 pp, reliure cartonnée illustrée de l'éditeur, jaquette illustrée, bon état
De l'île de la Cité aux grands aménagements contemporains, des chefs-d'œuvre des bâtisseurs médiévaux à la pyramide du Grand Louvre, Paris Monuments entraîne le lecteur à la découverte de plus de 500 monuments connus ou méconnus. Michel Poisson a passé plus de 5 ans à arpenter les rues de Paris, observant longuement les monuments connus ou méconnus de la capitale. Il a réalisé à main levée plus de 1000 croquis qui constituent un témoignage exceptionnel de la richesse architecturale de Paris. Ce que l'oeil du photographe ne peut souvent pas saisir par manque de recul, le croquis en offre ici une vision complète et souvent surprenante. Véritable outil d'investigation pour le promeneur, ce guide propose au fil des 20 arrondissements, des plans de quartier précis, un texte concis retraçant l'histoire des monuments, ainsi que des notices apportant les informations essentielles (date de construction, nom de l'architecte... ). Paris Monuments constitue un témoignage exceptionnel de la richesse architecturale, de Paris, lieu de mémoire unique au monde.
P., G. Téqui, 1873, in-12, 299 pp, 11e édition, reliure demi-chagrin carmin, dos à 4 nerfs pointillés, titres et fleurons dorés, encadrement à froid sur les plats et fer doré d'un établissement jésuite au centre du 1er plat, tranches marbrées (rel. de l'époque), coiffes frottées et un peu abîmées, plats lég. salis, bon état
Historique des arrestations, de l'emprisonnement et de l'exécution des cinq religieux par les membres de la Commune. "Un des grands succès de la littérature religieuse sur les otages" (Le Quillec, 2013). (Jean-Léo, 313).
POUGY (Anne-Marie Chassaigne alias Liane de).
Reference : 96371
(1977)
ISBN : 9782259002677
Plon, 1977, gr. in-8°, 327 pp, préface du R.P. Rzewusi, 16 pl. de photos hors texte, index, broché, couv. illustrée, bon état
Sous le Second Empire émerge un nouveau groupe social, des femmes, qu'Alexandre Dumas fils nomme « les demi-mondaines ». Actrices ou danseuses, ces « cocottes » entretenues ont inspiré les écrivains les plus célèbres de leur temps : de la Coralie des Illusions perdues de Balzac à Odette de Crécy dans À la Recherche du Temps perdu de Proust, en passant par la célèbre Nana d'Émile Zola. Anne-Marie Chassaigne (1869-1950), plus connue sous le nom de Liane de Pougy, a immortalisé la figure de la « Grande Horizontale » à l'aide de ses Mémoires, ses Cahiers Bleus. Témoin de la Belle Époque et des « années folles », danseuse aux Folies Bergère, écrivaine à ses heures perdues, avant de devenir la Princesse Ghika (épouse du Prince George Ghika), elle fut également la première amante de Colette, l'amante de Jean Cocteau et de Gabriele d'Annunzio et l'amie intime de Natalie Clifford Barney... Jonglant entre la tendresse et le dédain, ses portraits dressent le tableau unique du luxe et des habitués des nuits parisiennes de la fin du XIXe et du début du XXe. Son journal, de 1919 à 1941, trace d'inoubliables portraits de ceux que fascinèrent sa beauté, son luxe, son intelligence : princes et ducs mais aussi Jean Lorrain, Reynaldo Hahn, Auric, Max Jacob, Poiret, etc.
Genève, Editions du Milieu du Monde, 1945, in-12, 251 pp, broché, bon état (Documents d'aujourd'hui). Ouvrage couronné par l'Académie française en 1947 (prix Paul-Louis Miller)
"Empreint d'une veine romanesque, le témoignage d'Albert de Pouzols est celui d’un jeune pilote qui réussit à rejoindre Alger en septembre 1940. Avec plusieurs camarades déterminés comme lui à gagner l'Angleterre, il embarque sur un navire, le Saint-Pierre, qui est contraint d’accoster sur l'île de Formentera, aux Baléares. Arrêtés par des soldats espagnols, les hommes sont conduits dans une prison de fortune sur l'île d'Ibiza puis sont remis aux autorités françaises. Albert de Pouzols et ses compagnons sont successivement placés en résidence surveillée à Port-Vendres (Pyrénées-Orientales), puis internés dans les prisons de Toulon et de Marseille. C'est seul qu'il est conduit à Tunis puis Bizerte dans l'attente d'un jugement, au mois de juillet 1941 : un conseil de guerre le condamne à un an de prison. Il est placé en détention au sein de la prison de Tunis et affronte un quotidien d'une « monotonie sordide » (168) atténuée par la rencontre de plusieurs camarades dont Henry Blackwell, un marin britannique. Déplacé au camp de Téboursouk où sont emprisonnés une centaine de gaullistes, il connait des heures chargées « de violence et de haine » (201), encadré par des officiers pétainistes. C'est dans un état de santé des plus préoccupants que l’auteur est finalement transporté vers un hôpital où il recouvre ses forces, avant de rejoindre le « Borj Nord » (242), une citadelle marocaine à Fès. C'est là, qu'avant la fin de sa sentence, la liberté lui est rendue. De retour en France, il tente de passer en Suisse. Arrêté, il est conduit au camp de Saint-Paul-d'Eyjeaux (Haute-Vienne) d'où il ne sort qu’en avril 1943. Malade, il part en convalescence auprès des siens. Il rejoint ensuite la résistance parisienne et participe à la libération de la capitale, avant de s'engager dans l'armée régulière et de se retrouver sur le front de l'Atlantique. Ce récit s'achève par un vibrant hommage à tous ses compagnons, morts ou vivants, qui résistèrent au Troisième Reich." (Manuel Valls-Vicente, « Ecrits de Guerre et d’Occupation » EGO 1939-1945)
Perrin, 1975, in-12, 469 pp, 16 pl. de gravures hors texte, index, reliure skivertex rouge de l'éditeur, rhodoïd, bon état
P., Julien, Lanier et Cie, 1856, fort in-8°, vi-636 pp, reliure demi-toile muette, couv. conservées, qqs rousseurs, bon état
"... Littérateur, philosophe, théologien, controversiste, interprète de l'Ecriture sainte, Maldonat prit une part active au mouvement littéraire et aux questions religieuses de son temps. Son état et ses convictions l'engagèrent dans ces luttes ardentes ; mais la rivalité lui suscita des difficultés plus dures et plus bruyantes encore. Chargé de fonder l'enseignement du Collège de Clermont, qui prit plus tard le nom de Louis-le-Grand, Maldonat remplit sa mission au sein ou en face de l'Université de Paris..." (Préface)
P., A. Delahays, s.d. (vers 1870), in-12, 343 pp, reliure demi-percaline bordeaux, dos lisse avec fleuron et double filet doré en queue, pièce de titre chagin fauve (rel. de l'époque), bon état. Edition originale
Evocation du Paris populaire par Alexandre Privat d'Anglemont (1815-1859). Il était considéré de son vivant comme l'incarnation du mode de vie bohème, au même titre qu'Henry Murger, relatant les histoires incroyables du Paris du premier XIXe siècle. Sommaire : Les industries inconnues; La Childebert ; Les Oiseaux de Nuit ; La villa des Chiffonniers ; Voyage de découverte du Boulevard à la Courtille par le faubourg du Temple ; Paris inconnu.
P., Service technique de l'hygiène de l'habitation, 1961-1962, 2 vol. gr. in-4°, 45 et 86 pp, qqs planches de photos, qqs illustrations dans le texte, 33 cartes et plans dépliants en noir, en 2 ou 3 couleurs, annexes, agrafés, bon état. Peu courant
P., Société des Amis du Musée Carnavalet, 1984, fort et gr. in-8° carré (23,5 x 21 cm), 431 pp, 289 illustrations (photos, dessins, cartes) dans le texte et 32 planches en couleurs hors texte, biblio, broché, couv. illustrée à rabats, bon état
Catalogue de l'exposition tenue du 3 mai 1984 au printemps 1985 au musée Carnavalet et au musée national des Thermes et de l'Hôtel de Cluny. Ce catalogue permet de se familiariser avec la vie quotidienne et l'expression artistique du Paris historique, mais aussi de pouvoir suivre les évolutions de la capitale selon une exploration méthodique du passé. Ainsi, on pourra découvrir ou redécouvrir les nombreux pièces archéologiques à l'origine de Paris. La première partie traite de l'oppidum gaulois, des monnaies des Parisii (une planche en couleur), de la bataille de Lutèce et de son intérêt géostratégique. Ensuite, la seconde partie explique le système d'implantation et le développement de la ville. La troisième partie nous guide vers la vie sociale, religieuse et économique de la capitale. Enfin, l'ouvrage se termine par une partie consacrée exclusivement à l'histoire du musée des Thermes et de l'Hôtel de Cluny. — Table : I. De l'oppidum des Parisii à la bataille de Lutèce (IIIe siècle avant J.-C. à - 52) ; II. La ville de la paix romaine (vers - 50, au milieu du IIIe siècle) ; III. Vivre à Lutèce pendant la paix romaine (Ier - IIIe siècles) ; IV. Paris au Bas-Empire (fin IIIe à fin Ve siècle) ; V. Musée des Thermes et de l'Hôtel de Cluny. — Contributions de Jean-Pierre Adam, Philippe Andrieux, Colette Bémont, Patrick Blanc, Jean-Pierre Caillet, Paul-Marie Duval, Alain Erlande-Brandenburg, Laure-Charlotte Feffer, Brigitte Fischer, Michel Fleury, Pierre Forni, Jean-Jacques Hatt, Venceslas Kruta, Catherine Lacour, Christian Landes, Henri Lavagne, Françoise Le Porzou, Sylvie Legaret, Philippe Marquis, Patrick Périn, Michel Petit, André Rapin, Laurent Schmitt, Edmond Servat, Philippe Sorel, Marie Tuffreau-Libre, Philippe Velay, Jean-Pierre Willesme.
PÉROUSE de MONTCLOS (Jean-Marie)(dir.).
Reference : 83690
(1994)
ISBN : 9782010168123
Hachette, 1994 in-8°, 587-(21) pp, 400 gravures, plans et photos dans le texte, atlas de 19 pages de plans in-fine, index des sites et monuments, index des artistes, reliure cartonnée illustrée de l'éditeur, bon état
Des thermes gallo-romains de Cluny à la Grande Bibliothèque, le guide du patrimoine Paris fait revivre plus de dix-sept siècles d'architecture et d'urbanisme. Chaque monument majeur fait l'objet d'une longue notice, véritable monographie, accompagnée de nombreuses illustrations, certaines inédites, qui permettent d'avoir une parfaite compréhension de l'édifice et d'en suivre l'évolution. Apparaît également ici tout un patrimoine ignoré de la plupart des Parisiens eux-mêmes, tels les vestiges du palais des Tuileries de la rue Murillo ou l'hôtel néo-gothique du parfumeur Guerlain. Pour la première fois, édifices, décors intérieurs et mobilier sont présentés dans un ouvrage de référence qui s'utilise comme un dictionnaire ou comme un guide de terrain. – Près de 1.000 sites et monuments étudiés. – Plus de 400 illustrations : gravures, plans, photos. – Un atlas de plans en couleurs situant les édifices décrits. Ce guide a été réalisé par une équipe de 50 auteurs, spécialistes de l'histoire de l'art et de l'architecture. Ils nous livrent les résultats de leurs dernières recherches sur le patrimoine parisien.
P., Hachette, 1860-1864, 3 vol. in-8°, [6]-382,[4]-415 et [4]-428 pp, 5 plans hors texte dont 3 en frontispices et un en dépliant, reliures demi-chagrin vert bouteille, dos à nerfs pointillés, caissons dorés, fer doré du collège de Sainte-Barbe aux 1er plats (rel. de l'époque), un cahier en partie débroché au tome III, bon état
Unique édition de cette monographie devenue peu courante : elle est très complète sur ce collège qui demeura en exercice jusqu'en 1998, à travers les vicissitudes de l'histoire. Fondé en 1460 par Geoffroy Lenormant, il dut à l'impulsion de Pierre-Victor de Lanneau de Marey au début du XIXe siècle de poursuivre son existence jusqu'a nos jours.
P., Librairie de Paris, Firmin-Didot et Cie, s.d. (1909), gr. in-4°, 280 pp, 162 gravures dans le texte et à pleine page, reliure demi-chagrin vert, dos à 4 faux-nerfs, titres et caissons ornés dorés, encadrement à froid sur les plats, tranches dorées (rel. de l'éditeur signée Joseph Taupin), fer doré de la ville de Paris au 1er plat, bon état
La société parisienne au temps d'Etienne Boileau et d'Etienne Marcel. — "C'est cette vie active, curieuse, pittoresque, qui était celle de la capitale au bon vieux temps, dont M. Henri Ramin a présenté un tableau si complet et si heureux dans son livre sur « Notre très vieux Paris », esquisse de l'existence des bourgeois et des marchands de cette lointaine époque." (Jean Frollo, Le Petit Parisien, 2 juin 1909)
P., Société française de librairie et d'éditions, 1937, gr. in-8° carré, 263-(7) pp, 11 pl. de photos hors texte, broché, couv. rempliée, état correct. Edition originale, un des 350 ex. numérotés sur Alfa Navarre
Seconde édition de cet album d'abord paru en 1931 et décrivant les réalisations modernes d'administration, d'urbanisme et d'aménagement du Conseil municipal de Paris, dont Raymond-Laurent (1890-1969) était alors le président : rappelons que Paris n'avait alors pas de maire, et que ce poste était la plus haute magistrature municipale. Chapitres sur l'organisation administrative de Paris, la police, les finances de la ville, les grands services publics (le gaz, l'électricité, le Service des Eaux, le Service des Egouts, les transports en commun de surface, le Métropolitain, l'approvisionnement de Paris : les Halles, les marchés, les abattoirs, le Nettoiement, les pompes funèbres, le chauffage urbain), la politique éducative et sociale (l'enseignement, l'Assistance publique, le Crédit municipal, le logement), etc. — "Une ville, c'est encore une administration. M. Raymond-Laurent, ancien président du Conseil municipal, a réuni en un volume les leçons qu'il fit au Collège des sciences sociales sur la vie municipale de Paris." (Louis Hautecœur, Revue Historique, 1939)
Bibliothèque Européenne, Zaltbommel, 1976, in-8° à l'italienne, 160 pp, introduction de Jacques Hillairet, 108 reproductions de cartes postales d'avant 1914, cartonnage illustré de l'éditeur, bon état
Par Georges Renoy (1925-2001). Sa série Paris en cartes postales anciennes lui valut, en 1975, le Prix d'Histoire de Paris.
P., Librairie de l'Armée, 1936, in-8°, 29 pp, 12 gravures hors texte et 2 gravures dans le texte, broché, bon état
P., Librairie de l'Armée, 1936, in-8°, 29 pp, 12 gravures hors texte et 2 gravures dans le texte, reliure pleine toile bordeaux, couv. conservées, dos muet, bon état