, London, The Tate Gallery, 1962, Paperback, originale wrappers illustrated in color ( photo), 20x21cm, 120pp, illustrated b/w.
A retrospective exhibition of paintings, drawings, lithographs, stage designs and books, organized by the Arts Council of Great Britain 1962.
Paris Galerie Adrien Maeght 1983 In-2 En feuilles, couverture illustrée Edition originale Dédicacé par l'illustrateur
Catalogue de l'exposition de François Fiedler. 35 reproductions en couleurs et 2 LITHOGRAPHIES originales en couleurs à double-page. Exemplaire dédicacé par l'artsite. Très bon 0
L'Artiste 1857 LES FIENAROLLES DE SAN-ANGELO Lithographie de Célestin NANTEUIL d'après HÉBERT Edition "l'Artiste" à l'occasion du Salon de 1857Dimensions de l'image : 214 x 142 mmDimensions de la feuille : 293 x 217 mmRecommandation importante : la plupart de mes envois se font en recommandé avec assurance. Si à la livraison le colis présente des signes de détérioration il est important de le signaler au facteur ou au livreur et d'émettre des réserves, seul moyen de faire fonctionner la garantie.
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La Louve de l'hiver 1976 In-12 en feuilles, couverture rempliée
EDITION ORIGINALE imprimée par Thierry Bouchard. Hors texte, 4 LITHOGRAPHIES originales en violet d'Adrien DAX. Prière d'insérer de Gaston Puel. Tirage à 50 exemplaires numérotés et signés par l'auteur, l'artiste et l'imprimeur, plus quelques hors commerce dont celui-ci sur Rives, contenant une LITHOGRAPHIE supplémentaire. INSÉRÉES 4 cartes de voeux de Simone Dax, illustrées de DESSINS originaux d'Adrien Dax. Très bon 0
Les Médecins Bibliophiles en 1947. Préface inédite de Pierre Audiat, et lithographies de Jacques Ernotte. Ex. n° 86/150 imprimé pour le Docteur Pierre Perrier. In-folio en feuilles avec chemise et emboîtage. TBE.
Émile Chamotin, éditeur En cahiers sous chemise titrée Paris 1944 Ed. numérotée
Très bon Grand in-8. 132 pages. Sous chemise et étui. Exemplaire numéroté sur Vélin. Bel illustré.
Paris, Ed. Emile Chamontin, Flammarion, 1944. 1 vol. en feuilles (190 x 244 mm.) de 132-[4] pages, couverture à rabats. Sous chemise et étui carton. gris. Belle condition, à part quelques infimes défauts à l'étui.
Illustré de lithographies de Roland Oudot. Tiré à 1050 exemplaires. Celui-ci un des 1000 numérotés sur vélin pur chiffon à la forme de Lana.
Chez l'artiste, Paris, 1945.In-8 en feuilles, 16 X 24 cm., couverture rempliée et imprimée, sous chemise et emboitage écru.- Lithographies originales de Camille BERG sous forme de bandeaux, lettrines, culs-de-lampe, frontispice et planches hors texte tirées en noir, 161 pages. Tirage limité à 340 exemplaires numérotés, le nôtre un des 200 exemplaires sur pur fil teinté (n° 203) après 50 ex. sur vélin. Quelques faibles rousseurs en début, étui un peu défraichi, bon état d'ensemble pour un livre aux jolis attributs typographiques. Joliment illustré de d'un frontispice et de 12 lithographies par Camille Berg.
Imprimerie Champenois pour CH. Masson & H. Piazza, Paris (Décembre 1898), sujet : 23x35cm, planche : 40,8x55cm, une feuille.
Rare lithographie originale, exécutée par Paul-César Helleu pour L'Estampe Moderne, série numéro 20 publiée en décembre 1898. Une des50 épreuves de grand luxe tirées sur Chine à grandes marges, signature de l'artiste dans la planche, timbre à sec de l'éditeur représentant un profil d'enfant en marge inférieure, contrecollée sur un feuillet de papier vélin avec au dos le tampon numéroté du tirage de luxe, quelques rousseurs. Lithographie inspirée d'un extrait de Polichinellede Charles Nodier. Magnifique publication mensuelle française éditée entre mai 1897 et avril 1899,L'Estampe modernese constitue de chromolithographies inédites qui, contrairement à d'autres revues commeLesMaîtres de l'Afficheet tel qu'il est stipulé sur les serpentes, ont été réalisées spécialement par chaque artiste pour la revue. Ce sont ainsi 100 estampes qui paraissent au total, couvrant les courants artistiques majeurs de la fin du XIXème siècle: Symbolisme, Art Nouveau, Préraphaélites, Orientalistes et Belle Epoque. Chaque livraison de quatre estampes est tirée à 2000 exemplaires vendus 3,50F et 100 sur papier Japon proposés à 10F. Henri Piazza prévoit également un tirage confidentiel de très grand luxe: 50 exemplaires sur Japon à grandes marges et 50 en noir sur Chine au prix considérable de 30F. Cette estampe d'un beau format est superbement imprimée sur l'un des plus prestigieux papiers: le Chine. «Malgré toutes ses qualités, le papier de Chine, trop inconsistant, doit sa réputation, non pas à sa propre beauté, mais bien à ses affinités particulières avec l'encre d'impression. Son tissu, lisse et mou tout ensemble, est plus apte qu'aucun autre à recevoir un beau tirage. Cette propriété fait rechercher le papier de Chine pour le tirage des gravures...» (Anatole France). L'intérêt des collectionneurs français pour les affiches artistiques s'amplifie au début des années 1890. Octave Uzanne, pour qualifier cette fièvre invente le terme d'«affichomanie». L'affiche, à l'origine populaire et placardée dans les rues de la capitale, devient alors objet d'art et son support éphémère se fait précieux et voué à la conservation. Piazza décide de soustraire l'affiche à sa vocation publicitaire et de l'élever au rang d'uvre d'art à part entière au même titre que le livre illustré de luxe. Il compose ainsi une collection prestigieuse d'uvres entièrement originales, par les artistes européens les plus en vue du moment: Georges de Feure, Eugène Grasset, Henri Detouche, Emile Berchmans, Louis Rhead, Gaston de Latenay, Lucien Lévy-Dhurmer, Gustave-Max Stevens, Charles Doudelet, Hans Christiansen, Henri Fantin-Latour, Steinlen, Ibels, Engels, Willette, Henri Meunier, Evenepoël, Bellery-Desfontaines, Charles Léandre, etc. Bel exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Imprimerie Champenois pour CH. Masson & H. Piazza, Paris (Décembre 1898), sujet : 23x35cm, planche : 40,8x55cm, une feuille et une serpente.
Rare lithographie originale, exécutée par Patrice Dillon pour L'Estampe Moderne, série numéro 20 publiée en décembre 1898. Une des50 épreuves de grand luxe tirées sur Japon à grandes marges, signature de l'artiste dans la planche, timbre à sec de l'éditeur représentant un profil d'enfant en marge inférieure, tampon numéroté du tirage de luxe au dos ; gravure précédée d'une serpente légendée du nom de l'artiste, du titre, et d'un extrait d'oeuvre. Lithographie inspirée d'un extrait de Polichinellede Charles Nodier, reproduit sur la serpente de l'estampe. Magnifique publication mensuelle française éditée entre mai 1897 et avril 1899, L'Estampe moderne se constitue de chromolithographies inédites qui, contrairement à d'autres revues comme Les Maîtres de l'Affiche et tel qu'il est stipulé sur les serpentes, ont été réalisées spécialement par chaque artiste pour la revue. Ce sont ainsi 100 estampes qui paraissent au total, couvrant les courants artistiques majeurs de la fin du XIXème siècle: Symbolisme, Art Nouveau, Préraphaélites, Orientalistes et Belle Époque. Chaque livraison de quatre estampes est tirée à 2000 exemplaires vendus 3,50F et 100 sur papier Japon proposés à 10F. Henri Piazza prévoit également un tirage confidentiel de très grand luxe: 50 exemplaires sur Japon à grandes marges et 50 en noir sur Chine au prix considérable de 30F. Cette estampe d'un beau format est superbement imprimée sur le plus prestigieux des papiers: le Japon. Epais, soyeux, satiné et nacré, il contribue à faire de chaque page une uvre à part entière. Sa qualité d'absorption de l'encre et son affinité avec les couleurs en font également le support idéal de ces très belles lithographies. L'intérêt des collectionneurs français pour les affiches artistiques s'amplifie au début des années 1890. Octave Uzanne, pour qualifier cette fièvre invente le terme d'«affichomanie». L'affiche, à l'origine populaire et placardée dans les rues de la capitale, devient alors objet d'art et son support éphémère se fait précieux et voué à la conservation. Piazza décide de soustraire l'affiche à sa vocation publicitaire et de l'élever au rang d'uvre d'art à part entière au même titre que le livre illustré de luxe. Il compose ainsi une collection prestigieuse d'uvres entièrement originales, par les artistes européens les plus en vue du moment: Georges de Feure, Eugène Grasset, Henri Detouche, Emile Berchmans, Louis Rhead, Gaston de Latenay, Lucien Lévy-Dhurmer, Gustave-Max Stevens, Charles Doudelet, Hans Christiansen, Henri Fantin-Latour, Steinlen, Ibels, Engels, Willette, Henri Meunier, Evenepoël, Bellery-Desfontaines, Charles Léandre, etc. Bel exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris, Firmin-Didot, 1829 - 1833 ; 2 tomes reliés en 3 volumes in-folio atlantique (53 x 35,3 cm) ; demi-chagrin maroquiné à coins grenat, dos à nerfs soulignés de filets fins à froid, titre doré en lettres majuscules, filets à froid sur les plats, armes poussées à froid sur le premier plat de chaque volume, ex-libris Belton House (Grande-Bretagne), tête dorée, tranches juste ébarbées (reliure de l’époque) ; [4], 4, 9, [1 bl.], 50 pp. ; [4], pp.51-143, [1 bl.] pp.; [4], 143, [1bl.] pp. et en tout 254 lithographies hors-texte tirées sur Chine contrecollé sur vélin fort (quelques unes le sont directement sur la feuille), par Taylor, Fragonard, Eugène Isabey (17), Jorand, Deroy, Bourgeois, Sabatier, Bouton, Jaime, Athalin, Adam, J.D. Harding, Dauzats, Daguerre, Regnier, Brascassat, Ciceri, Bichebois, Tirpenne, Goré, Nouveaux, Villeneuve, Hubert, Monthelier, Alcaux, etc... ; 15 dessins in-texte lithographiés, 3 grandes lettrines de style celtique.
(Tome 1, partie 1: planches 1 à 68 plus 9 numérotées bis ou ter ; Tome 1, partie 2 : planches 69 à 117 plus 15 numérotées bis ou ter ; et pour le tome 2 : planches 118 à 207 plus 23 numérotées bis ou ter) (Vicaire, VII-764-765, compte 47 planches numérotées bis ou ter).EDITION ORIGINALE absolument complète, bien conforme à Vicaire ; pendant un siècle et demi, cet ouvrage a été cassé pour être vendu planche par planche. Formidable ouvrage magnifiquement illustré et tiré à petit nombre, la liste des souscripteurs, dans laquelle figure Victor Hugo, ne compte que 154 noms.On ajoute un double des planches N°138 et 196 en feuillets libres. Ex-libris Belton House, manoir anglais dans le Lincolnshire qui appartenait à la famille Brownlow, avant d’être cédé au National Trust. Rousseurs très claires éparses : peu dans le texte sauf quatre feuillets au papier plus acide, et claires et très éparses pour les planches qui, dans l’ensemble, sont peu affectées, les rousseurs touchent un peu les marges, l’exemplaire est bien frais avec en général un très beau tirage des planches ; petite usure très légère d’usage à certains endroits (coiffes, nerfs et certains coins), les plats de percaline présentent quelques traces d’insolation sans gravité. Bel exemplaire, dans une belle reliure décorative d’époque, l’ensemble est en bel état général, grand de marges.
Phone number : 06 60 22 21 35
Albeuve, Paul Castella, 1966. In-folio de [6]-50-[10] pages, plein maroquin aubergine, dos à 5 nerfs avec étoile et titre dorés, tête dorée, étui avec bords de maroquin accordés, gardes de velours, contreplats ornés chacun d'une gouache originale non signée. Reliure signée M[iko] Mazzocchini.
Illustré d'une gravure sur pierre et de lithographies d'Albert-Edgar Yersin; bien complet de la gravure sur cuivre accompagnant cette tranche du tirage. L'ensemble a été tiré par Pietro Sarto et Alexandre Delay. Tirage limité à 187 exemplaires numérotés sur vélin de Rives, celui-ci un des 20 (n°XX) avec la gravure sur cuivre. Signé par l'artiste au justificatif.
NOVALIS; ROUD Gustave (trad.); JACCOTTET Philippe (avant-propos):
Reference : 4051
(1966)
Albeuve, Paul Castella, 1966. 1 volume grand in-4 en feuilles de 50-[6] pages, couverture blanche ornée, sous chemise et étui cartonnage noir. Belle condition.
Illustré de lithographies d’Albert-Edgar Yersin. Tiré à 187 exemplaires numérotés, celui-ci un des 167 sur vélin de Rives.
Imprimerie Champenois pour CH. Masson & H. Piazza, Paris (Août 1898), sujet : 35x24cm, planche : 55x40,8cm, une feuille et une serpente.
Rare lithographie originale en couleurs, exécutée par Paul Leroy pour L'Estampe Moderne, série numéro 16 publiée en août 1898. Une des50 épreuves de grand luxe tirées sur Japon à grandes marges, papier vélin contrecollé sur Japon, signature de l'artiste dans la planche, timbre à sec de l'éditeur représentant un profil d'enfant en marge inférieure, tampon numéroté du tirage de luxe au dos ; gravure précédée d'une serpente légendée du nom de l'artiste, du titre, et d'un poème, traces de plis. Lithographie inspirée d'un extrait des Contes persansde Rifat Oktay, reproduit sur la serpente de l'estampe. Magnifique publication mensuelle française éditée entre mai 1897 et avril 1899, L'Estampe moderne se constitue de chromolithographies inédites qui, contrairement à d'autres revues comme Les Maîtres de l'Affiche et tel qu'il est stipulé sur les serpentes, ont été réalisées spécialement par chaque artiste pour la revue. Ce sont ainsi 100 estampes qui paraissent au total, couvrant les courants artistiques majeurs de la fin du XIXème siècle: Symbolisme, Art Nouveau, Préraphaélites, Orientalistes et Belle Époque. Chaque livraison de quatre estampes est tirée à 2000 exemplaires vendus 3,50F et 100 sur papier Japon proposés à 10F. Henri Piazza prévoit également un tirage confidentiel de très grand luxe: 50 exemplaires sur Japon à grandes marges et 50 en noir sur Chine au prix considérable de 30F. Cette estampe d'un beau format est superbement imprimée sur le plus prestigieux des papiers: le Japon. Epais, soyeux, satiné et nacré, il contribue à faire de chaque page une uvre à part entière. Sa qualité d'absorption de l'encre et son affinité avec les couleurs en font également le support idéal de ces très belles lithographies. L'intérêt des collectionneurs français pour les affiches artistiques s'amplifie au début des années 1890. Octave Uzanne, pour qualifier cette fièvre invente le terme d'«affichomanie». L'affiche, à l'origine populaire et placardée dans les rues de la capitale, devient alors objet d'art et son support éphémère se fait précieux et voué à la conservation. Piazza décide de soustraire l'affiche à sa vocation publicitaire et de l'élever au rang d'uvre d'art à part entière au même titre que le livre illustré de luxe. Il compose ainsi une collection prestigieuse d'uvres entièrement originales, par les artistes européens les plus en vue du moment: Georges de Feure, Eugène Grasset, Henri Detouche, Emile Berchmans, Louis Rhead, Gaston de Latenay, Lucien Lévy-Dhurmer, Gustave-Max Stevens, Charles Doudelet, Hans Christiansen, Henri Fantin-Latour, Steinlen, Ibels, Engels, Willette, Henri Meunier, Evenepoël, Bellery-Desfontaines, Charles Léandre, etc. Bel exemplaire dans le style orientaliste. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Imprimerie Champenois pour CH. Masson & H. Piazza, Paris (Août 1898), sujet : 35x24cm, planche : 55x40,8cm, une feuille.
Rare lithographie originale, exécutée par Paul Leroy pour L'Estampe Moderne, série numéro 16 publiée en août 1898. Une des50 épreuves de grand luxe tirées sur Chine à grandes marges, signature de l'artistedans la planche, timbre à sec de l'éditeur représentant un profil d'enfant en marge inférieure, contrecollée sur un feuillet de papier vélin avec au dos le tampon numéroté du tirage de luxe, pâles rousseurs marginales. Lithographie inspirée d'un extrait des Contes persansde Rifat Oktay. Magnifique publication mensuelle française éditée entre mai 1897 et avril 1899,L'Estampe modernese constitue de chromolithographies inédites qui, contrairement à d'autres revues commeLesMaîtres de l'Afficheet tel qu'il est stipulé sur les serpentes, ont été réalisées spécialement par chaque artiste pour la revue. Ce sont ainsi 100 estampes qui paraissent au total, couvrant les courants artistiques majeurs de la fin du XIXème siècle: Symbolisme, Art Nouveau, Préraphaélites, Orientalistes et Belle Epoque. Chaque livraison de quatre estampes est tirée à 2000 exemplaires vendus 3,50F et 100 sur papier Japon proposés à 10F. Henri Piazza prévoit également un tirage confidentiel de très grand luxe: 50 exemplaires sur Japon à grandes marges et 50 en noir sur Chine au prix considérable de 30F. Cette estampe d'un beau format est superbement imprimée sur l'un des plus prestigieux papiers: le Chine. «Malgré toutes ses qualités, le papier de Chine, trop inconsistant, doit sa réputation, non pas à sa propre beauté, mais bien à ses affinités particulières avec l'encre d'impression. Son tissu, lisse et mou tout ensemble, est plus apte qu'aucun autre à recevoir un beau tirage. Cette propriété fait rechercher le papier de Chine pour le tirage des gravures...» (Anatole France). L'intérêt des collectionneurs français pour les affiches artistiques s'amplifie au début des années 1890. Octave Uzanne, pour qualifier cette fièvre invente le terme d'«affichomanie». L'affiche, à l'origine populaire et placardée dans les rues de la capitale, devient alors objet d'art et son support éphémère se fait précieux et voué à la conservation. Piazza décide de soustraire l'affiche à sa vocation publicitaire et de l'élever au rang d'uvre d'art à part entière au même titre que le livre illustré de luxe. Il compose ainsi une collection prestigieuse d'uvres entièrement originales, par les artistes européens les plus en vue du moment: Georges de Feure, Eugène Grasset, Henri Detouche, Emile Berchmans, Louis Rhead, Gaston de Latenay, Lucien Lévy-Dhurmer, Gustave-Max Stevens, Charles Doudelet, Hans Christiansen, Henri Fantin-Latour, Steinlen, Ibels, Engels, Willette, Henri Meunier, Evenepoël, Bellery-Desfontaines, Charles Léandre, etc. Bel exemplaire dans le style orientaliste. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Olivier-Pinot, Epinal s.d. (circa 1880-1900), 49 x 39 cm.
Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Rousseurs marginales, sinon bel état, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les "Grandes Constructions" au format de 39 x 49 cm, les "Moyennes Constructions" et les "Petites Constructions". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou "théâtre chez soi" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Olivier-Pinot, Epinal s.d. (circa 1880-1900), 49 x 39 cm.
Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Une déchirure restaurée en marge inférieure n'affectant pas la gravure, sinon bel état, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les "Grandes Constructions" au format de 39 x 49 cm, les "Moyennes Constructions" et les "Petites Constructions". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou "théâtre chez soi" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Olivier-Pinot, Epinal s.d. (circa 1880-1900), 49 x 39 cm.
Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Légères et marginales rousseurs, sinon bel état, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les "Grandes Constructions" au format de 39 x 49 cm, les "Moyennes Constructions" et les "Petites Constructions". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou "théâtre chez soi" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Olivier-Pinot, Epinal s.d. (circa 1880-1900), 49 x 39 cm.
Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Légères rousseurs marginales sinon bel état, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les "Grandes Constructions" au format de 39 x 49 cm, les "Moyennes Constructions" et les "Petites Constructions". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou "théâtre chez soi" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Olivier-Pinot, Epinal s.d. (circa 1880-1900), 49 x 39 cm.
Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Déchirures restaurées en marge gauche affectant légèrement la gravure et comportant de petits manques, sinon bel état, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les "Grandes Constructions" au format de 39 x 49 cm, les "Moyennes Constructions" et les "Petites Constructions". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou "théâtre chez soi" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Olivier-Pinot, Epinal s.d. (circa 1880-1900), 49 x 39 cm.
Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Légères et marginales rousseurs, sinon bel état, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les "Grandes Constructions" au format de 39 x 49 cm, les "Moyennes Constructions" et les "Petites Constructions". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou "théâtre chez soi" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Olivier-Pinot, Epinal s.d. (circa 1880-1900), 49 x 39 cm.
Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Légères et marginales rousseurs, sinon bel état, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les "Grandes Constructions" au format de 39 x 49 cm, les "Moyennes Constructions" et les "Petites Constructions". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou "théâtre chez soi" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. ?Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris Sources 1962 In-4 En feuilles, couverture rempliée, chemise et étui toilé éditeur
Edition illustrée. Préface de Jacques Audiberti. Hors texte, 6 LITHOGRAPHIES ORIGINALES en couleurs de Antoni Clavé, Jean-Jacques Morvan et Simon Segal, deux de chaque artistes. Les deux estampes de Segal sont exceptionnellement signée. ENVOI autographe signé de l'auteur. Tirage à 150 exemplaires numérotés sur vélin pur fil de Rives. Un des 119 avec les lithographies. >> Il existe une autre édition de ce livre, tirée la même année à 350 exemplaires, illustré de reproductions de dessins de Bernard Gantner, Marcel Gromaire, Jean-Jacques Morvan, Simon-Auguste, Simon Segal, Jean Vinay. Très bon 0
1 En feuillets, sous couverture illustrée rempliée et emboîtage en pleine toile de l'éditeur. Quelques traces d'usure sur l'emboîtage. Bièvres, Pierre de Tartas, 1973.
Édition illustrée de 20 lithographies originales en couleurs d'André Berry, tirage à 321 exemplaires, celui-ci est un des 190 numérotés sur grand vélin d'Arches comportant trois doubles planches signées par l'artiste. Il est également signé à la justification par l'artiste, l'éditeur, et visé par un huissier de justice (!). ""Ces célèbres pages du poète latin Ovide sont traduites et présentées par André Berry. Ce livre est conçu par Pierre de Tartas"". Très bon état
Lausanne, Gonin, 1935. In-folio en feuilles de 122-[2] pages, couverture blanche rempliée ornée d’une composition de Maillol, sous chemise demi-vélin blanc et étui cartonné. Belle condition.
Illustré de 11 bois originaux, 3 lettres gravées et 12 lithographies originales d’Aristide Maillol. Tiré à 225 exemplaires numérotés sur papier spécial pur chanvre fabriqué à la main, dans les manufactures Canson et Montgolfier, d’après les procédés d’Aristide et Gaspard Maillol. Exemplaire signé par l’artiste à l’achevé d’imprimer. Guérin, cat. raisonné,; 64 à 75 pour les bois et 307 à 318 pour les lithographies; Le Peintre et le Livre, p. 163); Rauch, 140; Carteret, IV, 309.